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    The Program
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    194 critiques spectateurs

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    gizmo129
    gizmo129

    75 abonnés 1 468 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 avril 2020
    The Program a pour thème l'ascension et la chute de Lance Armstrong, cycliste probablement le plus connu de l'histoire et également à l'origine de la plus grande escroquerie sportive de tout les temps. Bien plus proche d'un docu-fiction que d'un biopic, le film délaisse la vie intime du coureur pour se consacrer à ses faux exploits sportifs et sa stratégie de triche sans pour autant occulter son dévouement louable aux personnes cancéreuses via sa fondation. Armstrong est un personnage complexe, à la fois charismatique et menaçant, grandiose et tricheur, sincère et manipulateur, le film arrive à montrer maladroitement ces différents aspects de ce personnage. Les soupçons sur ce cycliste ont jalonné tout son parcours et pendant des années des mensonges ont été répondu aux amoureux de la grande boucle et on comprend aujourd'hui pourquoi. Histoire de gros sous, d'image après le cataclysme Festina, de sponsors, de manipulation, l'histoire de Lance Amrstrong possède tout les ingrédients pour adapter son histoire sous forme de thriller. Le film ici se contente simplement de retranscrire ces faits à charge de manière pragmatique mais on aurait aimer un approfondissement plus important des différents protagonistes qui ont gravité autour du champion et ont permis cette fraude sans précédent.
    FaRem
    FaRem

    7 528 abonnés 8 885 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 janvier 2016
    Lance Armstrong était un bon coureur puisqu'il a été champion des Etats-Unis et du Monde avant même qu'il ne soit question de dopage, on le voit d'ailleurs avec les couleurs arc-en-ciel sur son col lorsqu'il aborde pour la première fois cette question, mais les échecs et l'envie d'être plus qu'un simple bon coureur l'ont poussé à choisir la facilité. Il restera l'un des plus grands tricheurs peut-être même le plus fort parce que toutes les méthodes utilisées étaient très sophistiquées, mais il restera aussi un homme qui a servi d'exemple pour beaucoup de malades.
    J'ai trouvé le film vraiment pas mal, il est bien détaillé, on évite pas certains raccourcis qui laissent croire que tout est facile alors qu'il y a une sacrée organisation derrière tout ça, mais il faut dire que l'histoire de l'Américain est tellement riche que les 100 minutes n'étaient bien évidemment pas suffisantes pour avoir un traitement plus précis. Stephen Frears va à l'essentiel et décrit toutes les méthodes pour tricher, mais pas que puisqu'il montre à quel point Armstrong avait la même mise sur tout le monde que ça soit les membres du peloton, je me souviens de l'affaire Simeoni quand ce dernier était échappé et qu'Armstrong était sorti du peloton pour l'obliger à revenir, ou sur l'UCI qui avait tellement peur d'un scandale qu'ils se sont tus.
    Si vous avez aimé ce film, je ne peux que vous conseiller "La petite reine" qui se disperse moins et qui est vraiment axé sur le dopage et toutes les méthodes folles pour passer entre les mailles du filet.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 026 abonnés 4 094 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 février 2016
    Uberto Pasolini n'est pas le petit frère du réalisateur de "Salo ou les 120 journées de Sodome" mais le neveu de Luchino Visconti, ce qui n'est pas moins prestigieux. Producteur de films à ses heures ("The full monty" en 1997), il est passé derrière la caméra pour nous parler d'un phénomène peu connu mais qui gagne du terrain dans nos sociétés informatisées poussant tous les jours un peu plus à l'individualisme. De nombreux habitants des grandes villes meurent dans l'anonymat le plus complet sans personne pour s'occuper ou assister à leurs funérailles. Londres comme d'autres grandes villes du monde entier possède un service municipal en charge de pallier cette carence après avoir, le plus souvent en vain, procéder aux recherches minimum d'usage. John May (Eddie Marsan) est un de ces enquêteurs qui doivent saisir dans la demeure du défunt tous les indices permettant de retrouver un proche. John May, lui-même enfermé dans une solitude résignée, prend son travail très au sérieux, lui donnant toute la dimension humaine qui doit normalement l'accompagner. Ainsi, il assiste à tous les enterrements, choisit les musiques en fonction de ce qu'il a pu comprendre des goûts du défunt, et stocke le plus longtemps possible les urnes funéraires au cas où... Mais en ces temps où tout doit aller très vite et au moindre coût, il était fatal que ces méthodes empreintes de compassion soient remises en question. Après 22 ans de bons et loyaux services, John May est donc remercié sans aucun ménagement par son nouveau chef (Andrew Buchan). Il obtient malgré tout la permission de pouvoir s'occuper d'un dernier dossier, celui de Billy Stoke un voisin d'immeuble dont il va remontrer le fil de la vie chaotique de SDF. Eddie Marsan qui interprète John May, par son humanité et son humilité, rejoint la galerie des personnages marquants des films naturalistes de Vittorio De Sica ("Umberto D" en 1952), Marco Ferreri ("La petite voiture" en 1960) ou Elio Petri ("Les jours sont comptés" en 1961). Personnages solitaires dont le statut de marginal sert d'ingrédients à des contes populaires prenant leur source dans les contradictions d'une société qui les rejette. Pasolini de son côté dit avoir pris modèle sur le cinéma intimiste du maître japonais Ozu. Eddie Marsan comédien anglais de second rôle, fidèle collaborateur de Mike Leigh qui occupe l'écran quasiment seul, livre une performance en tout point remarquable dont on le pressentait capable, sachant donner son humanité à ce solitaire qui peut-être parce qu'il se sent une proximité avec ces pauvres hères des cités sans âme s'offre et leur offre des familles de substitution. "Une belle fin" est un film touchant qui forcément nous parle au-delà de sa facture assez froide un temps réchauffée par le sourire ravageur de la très gracile Joanne Froggatt (Anna Bates dans "Downton Abbey")
    Redzing
    Redzing

    949 abonnés 4 309 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mai 2016
    Héros devenu paria, Lance Armstrong fut une icône du cyclisme au début des années 2000. Célèbre pour avoir vaincu son cancer, puis remporté sept victoires au Tour de France, il fut détruit lorsque les forts soupçons de dopages se sont transformés en preuve quelques années après. Stephen Frears évoque cette période, en se centrant sur le coureur. Présenté comme égocentrique, arrogant, ambitieux, mais aussi combattif et dédié à sa lutte contre le cancer, Armstrong est incarné ici par un excellent Ben Foster. Le tout est soutenu par une réalisation inspirée, avec des plans et couleurs judicieux, et un mélange habile d'images d'archives et fictives. En revanche, le scénario laisse franchement à désirer. De nombreux éléments de la vie du cycliste ou de l'enquête anti-dopage sont amenés sur la table, pour être immédiatement et inexplicablement balayés, et des événements se suivent sans qu'il y n'ait de logique, une explication, ou un approfondissement (la chute d'Armstrong est expédiée en quelques dialogues !), si bien que l'on a parfois l'impression qu'il n'y a plus de fil conducteur. Par ailleurs, il faut noter que le film occulte l'enquête journalistique effectuée côté français, ne se centrant que sur la partie britannique. Il ne prend pas non plus beaucoup de risque, sortant quelques années après l'éclatement de la vérité (il aurait été plus courageux de sortir un film sur le sujet en 2004 !). Le résultat est donc assez décevant, même si tout n'est pas à jeter.
    Benito G
    Benito G

    598 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 janvier 2016
    Si Frears met du sien pour insuffler la vie à ses courses cyclistes, le reste est beaucoup plus sage et le film... inutile (je suis triste de le dire mais c'est malheureusement le cas)? Tour à tour biopic, oeuvre accusatrice, descriptive du combat d'un homme contre le cancer, témoignage d'une réussite exceptionnelle et d'une chute aussi dure que juste, essayant de mettre en avant le travail d'un journaliste, The program a au moins le mérite d'être particulièrement technique (les cyclistes sont devenus des rats de laboratoire) et servi par d'excellents comédiens. Mais le souci c'est que l'histoire a fait la une de tous les médias il y a encore peu et qu'on la connaît vraiment par coeur. Un homme fauché par la maladie et frustré qui va tout faire, vraiment tout, pour prouver au monde qu'il est le meilleur ; un homme dépassé par les évènements, son statut d'icone, de héros, de juste... mais qui, on le sait aujourd'hui, n'est que l'incarnation du mensonge, 100 % coupable. Personnage plus important pour avoir défiguré à jamais le cyclisme que pour ses performance depuis annulées corps et âme, film mettant en avant le fait depuis longtemps avéré que ce sport n'est plus constitué d'un homme seul avec son vélo mais d'une équipe complexe (du directeur marketing au médecin) : il n'y a pas grand chose à piocher ici, ce qui me fait une nouvelle fois dire qu'il ne suffit pas de mettre un évènement en image pour l'éclairer sous un jour nouveau. Peut-être que ce film est sorti trop vite, trop tôt, et n'a pas laissé à l'Histoire le temps de se faire. Mais bon on va dire qu'il en on trop parler (d'où le très faible succès au BO^^) et le sujet on a vite fait le tour. Sa manque de piquant de surprise.... Un biopic alliant un petit coté thriller^^. Dommage (mais perso je n'attendais rien).
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    365 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 janvier 2016
    Très classique avec des raccourcis assez énormes mais ça reste sympathique à suivre, Ben Foster en fait un peu trop mais de manière générale il campe plutôt bien le rôle de Armstrong comme ce type obsédé de victoire et d’un effroyable despotisme, le film est dans l’ensemble lissé, académique, parfois caricatural mais réussit tout de même par convaincre par cette part restée dans l’ombre de la personnalité du cycliste américain et des investigations journalistiques sur plus de 10 ans.
    cinono1
    cinono1

    260 abonnés 1 990 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 août 2016
    Avec ce film, Stephen Frears s'attaque à un de ses thèmes de prédilection, les faux semblants. Il montre un système corrompu ou chacun est pourtant persuadé d'agir avec la plus grande sincérité. Quand le mensonge est d'abord cru par celui qui le pratique...cela jette une lumière crue sur les fausses valeurs de notre époque, ce sentiment d'impunité, de superiorité qui ne manquera pas de se retourner contre celui qui l'utilise. Le film est très malin, très rapide, presque trop, cela empèche de sentir les enjeux qui se cache derrière la comédie humaine ordinaire.
    Hastur64
    Hastur64

    197 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juillet 2016
    Même si je connaissais la plupart des faits sur l'affaire Armstrong (comme on pourrait la nommer) - et de fait je n'ai appris que peu de choses vraiment nouvelles - j'étais néanmoins excité à l'idée de voir, de façon un peu romancée certes, cette incroyable histoire de tricherie qui autant que les exploits du coureur ont tenu en haleine la planète médiatico-sportive. On découvre alors un homme, pas plus corrompu et malhonnête qu'un autre, qui révolté par le fait que les gagnants des courses cyclistes sont dopés, va lui aussi non seulement se laisser entraîner dans cette dérive de tricherie, mais créer un système de triche qui demeure sûrement (sans révélation d'une nouvelle affaire) le système de dopage organisé le plus perfectionné jamais révélé dans tous ses détails. Le jeune coureur, plutôt modeste, va devenir un compétiteur féroce uniquement motivé par la gagne, quasi-chef de gang, arrogant, cynique et, soyons francs, carrément antipathique. Si le film est totalement à charge (il est basé sur le livre d'un journaliste du Sunday Times) et également plutôt de facture classique, les faits révélés sont si incroyables au niveau de l'ampleur de la tricherie et de la manière vindicative avec laquelle Armstrong a tenté de faire taire ses détracteurs, que même en connaissant beaucoup de l'affaire on reste scotché devant le film. Ben Foster s'en tire bien, même s'il est difficile de se faire une idée de la véritable ressemblance avec le coureur, tant celui-ci offrait un visage de sphinx dans toutes ses apparitions publiques. Un biopic passionnant qui offre toutes les facettes d'un homme dont chaque mouvement (excepté son cancer) a semblé calculé pour bâtir puis nourrir sa légende même quand il a chuté de son piédestal. À voir autant pour les passionnés de la petite reine que pour les autres.
    dai72
    dai72

    126 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 août 2016
    Un film lassant au fur et à mesure. Le dénouement est connu mais intervient trop tard et ce qu'on nous montre est trop ennuyeux pour qu'on se passionne, pour qu'on reste attentif. J'attendais mieux, j'attendais des révélations et il faut avouer que cinématographiquement ce n'est pas parfait !!
    yannick R.
    yannick R.

    96 abonnés 966 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 juillet 2016
    Dans "The Program", il est certes question de sport et de vélo, mais aussi de médias, mais encore de dissimulation, d'honneur et de tricherie, thèmes qui garantissent une dramaturgie forte et dont le film fait son miel.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    109 abonnés 2 183 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 septembre 2016
    UN AMERICAIN A PARIS. Je le jure. Le Tour de France pour les nuls. Les éléments phare de l'affaire Armstrong, on oubliant les à coté ( vie de famille, prise de produit....). The King pour le pouvoir et la victoire, à l'insu de son plein gré.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    113 abonnés 1 581 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 septembre 2016
    Un biopic sur le sulfureux Lance Armstrong pétri d’arrogance, d’ambition et terriblement manipulateur réalisé par Stephen Frears, çà paraissait alléchant. Mais Stephen Frears n’est plus très convaincant depuis plusieurs années, sa méconnaissance du cyclisme se voie à l’écran tout comme le manque de moyens dans la reconstitution de la course ; mais aussi dans l’absence de ligne directrice dans le récit qui aurait donné de la profondeur à ce tsunami sportif… tout cela ressemble à un film de commande peu inspiré et peu ambitieux. Au fond, on n’y apprend pas grand-chose que l’on ne savait déjà, voir dont on se doutait fortement déjà lors de ses victoires pour qui a un regard aiguisé. L’affaire Festina éclate avant la première victoire d’Armstrong plus les soupçons de dopage sur la Banesto et Indurain précédemment ; ces derniers étaient tout simplement plus amateurs que la programmation pour la victoire organisée au sein de l’US Postal par le Dr Ferrari. En passant, la composition de ce dernier par Canet est risible, car cette référence du dopage dans le cyclisme et le foot a l’air d’un bouffon tout droit sorti d’une série B sur la mafia. Revenons à Armstrong qui comme tout sportif de haut niveau est un malade en puissance : Armstrong son cancer, Froome sa maladie du sang. Et les comparaisons ne s’arrêtent pas là, les deux ont eu du mal à trouver une équipe pro à la petite vingtaine ; le premier monte une équipe de bric et de broc autour de lui (US Postal), le second signe chez Minolta comme coureur de 2nde zone. Leur potentiel de futur vainqueur du Tour de France n’était pas perceptible à 22/23 ans… et pourtant. Ensuite pour Armstrong, Walsch (le journaliste au cœur de l’investigation) s’étonne, à juste titre, des performances d’un ex cancéreux devenu hyper polyvalent après une si grave maladie. Mais n’a-t-on pas eu un exemple franco français avec Jalabert qui avant sa grave chute était seulement rouleur et revient bon sur tous types de terrain ; ajoutons les Festina qui roulaient à plusieurs jusqu’au haut des cols ;… On peut regretter que seul le vélo soit attaquer car nous pourrions parler du foot et de notre héros national : Zidane courant comme un lapin et ayant aussi gagné en masse musculaire après son arrivée à la Juve… tout cela dû au professionnalisme de la préparation à l’italienne et un certain Dr Ferrari probablement. Mais ici comme sur les Tour gagnés par Lance, c’est l’omerta qui prime, trop d’argent en jeu. Et le film a bon goût de se terminer par « Everybody knows », tout le monde le savait (UCI, coureurs, journalistes,…), mais une révélation pouvait conduire à l’effondrement du système. Donc du pain et des jeux et avant la musique, on ne crache pas dans la soupe qui nous fait vivre. Le film a donc une petite vertu, de pousser le public à s’interroger sur sa propension à gober les récits factices qu’on lui fait avaler. Et autre chose encore ; dans le sport, les ambitions et l’ego de certains sportifs dépasse leurs capacités, et ils passeront devant des athlètes bien meilleurs qu’eux-mêmes, car ils se fixent moins de limite… merci le dopage
    Ashitaka3
    Ashitaka3

    94 abonnés 1 187 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 août 2016
    Le film est intéressant mais de par son sujet bien ciblé, je trouve qu'il manque le coche de pouvoir plaire à un large public. La mise en scène est exemplaire et les interprétations sont remarquables. Le film réussit malgré tout son objectif principal, celui de nous faire rentrer dans le dopage du cyclisme tout en évitant les clichés qu'on peut voir dans d'autres films. Le portrait ici établi vaut le détour pour son histoire et son parcours. Mais au final, rien de véritablement nouveau, des mensonges, de l'argent, du sport... il y avait peut-être un point de vue plus original à trouver dans le sujet du cycliste. Quitte à s'éloigner de la vérité et du réalisme, on ne lâche rarement le côté documentaire, dommage...
    darkvash
    darkvash

    92 abonnés 1 499 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 avril 2016
    Biopic sur un des coureurs cyclistes les plus controversés de ces dernières années, le film met en évidence ce que tout le monde soupçonnait depuis sa première victoire et qui fût acquiescé par lui même des années plus tard.
    Lance Armstrong, longtemps soupçonné, tout le temps acquitté, avait pour lui un enjeu financier énorme avec une notoriété non moindre, un miraculé du cancer, insoupçonnable sur le dopage vu par où il était passé.
    Le film n'épargne rien et montre les rouages de ce système qui bénéficie des instances supérieures tant que cela rapporte.
    Un bon film malgré des longueurs évidentes et qui aurait mérité de lorgner un peu plus sur la vie privée du Sieur Armstrong.
    shindu77
    shindu77

    76 abonnés 1 587 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 février 2016
    C'était un bon film dans son ensemble. L'histoire de Lance Armstrong est très intéressante. En effet, on passe d'un coureur pratiquement anonyme, à un homme qui a le cancer et qui réussit à vaincre le cancer, puis qui va gagner le tour de France à de multiples reprises tout en étant fortement dopé. Is agit de l'un des plus grands scandales en terme de dopage, un véritable réseau organisé. J'ai trouvé ben Foster très convaincant dans le rôle de Lance Armstrong, et le casting dans sa globalité n'est pas en reste bien au contraire. C'est un film documentaire qui est vraiment très intéressant.
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