Avis : Bis - Page 3

Cela peut être curieux de mettre 4 étoiles autant qu'a américain sniper mais je trouve qu'il est plus difficile de faire rire que faire pleuré, ensuite le duo est très bon les deux en font pas trop ce qui est souvent le cas.
Il y a pas mal d’émotion surtout quand l un des deux retrouve son père décédè et l'autre qui retombe amoureux de sa femme et tout cela avec pas mal de rire donc un bon film de détente.

Cette fois Farrugia est tellement inspiré qu'il réalise un film qui nous fait le coup de la nostalgie où deux copains retrournent en 1986 alors qu'ils avaient 17 ans... Vu et revu il pompe éhontement "Big" (1988) de Penny Marshall et surtout "Camille redouble" (2012) de Noemie Lvovsky ! Le film n'est pas désagréable, quelques scènes fonctionnent très bien, surtout la partie rencontre avec les parents en 1986, et on évite le côté ados niaiseux. Mais on tombe beaucoup trop dans la nostalgie, l'humour est trop éculé et prévisible pour un résultat comique au ras des pâquerettes.

Bon film avec quelques scènes marrantes. le duo fonctionne plutôt bien. pas de grandes surprises je pensais pourtant rire un peu plus en vue de la bande annonce.

Revenir dans les années 80 n'est qu'une mode qui commence à s’essouffler. Ce revival de cette génération s'exprime dans les bandes originales des gardiens de la galaxie, thor 3, suicide squad etc... Les années 80, de nos jours , rapportent. Mais ici, le sujet est bâclé.
Pourtant, les idées, il y en a : mais pour la plupart : pas assez exploitées ( les pitchs des films et chansons à succès dans une seule scène devant une simple secrétaire, le générique du début en dessins au lieu de prendre la peine de nous montrer de vrais images des années 80 : quelle flemme ! Ou alors tout l'argent aurait été engloutie dans les cachets des acteurs ?? ) .
Le duo franck Dubosc et Kad Mérad fonctionne assez bien , les deux acteurs paraissent naturels, et quelques dialoguent parfois font mouche .
Bis aurait pu etre beaucoup plus dynamique et surprenant, aux gags plus poussés, mieux écrits mais le film n'est pas assez original vu le potentiel du scénario.

J'au eu l'occasion de voir le film en avant-première et j'ai été agréablement surprise. La bande-annonce ne me donnait pas réellement envie et je ne suis pas hyper fan des comédies françaises mais j'ai été étonnée de ce film. Il est drôle, plutôt bien écrit, les blagues fonctionnent même si des fois, on sent la chose arriver. Pour une fois, on ne voit pas tous les moments drôles dans la bande-annonce. Kad Merad et Franck Dubosc forment ici un bon duo, on sent qu'ils se sont éclatés à incarner ces personnages et c'est un réel plaisir pour nous, spectateurs. Bien entendu, ce n'est pas le film de l'année mais il fonctionne bien et c'est pour ça qu'il ne faut pas être si critique que ça et lui laisser une chance. Si vous avez envie d'être agréablement surpris et de vous détendre en rigolant devant un film, c'est ce qu'il vous faut :)

"Bis" (2015) TF1 le 10.09.2017

Que ce film ait dépassé le million de spectateurs (sans toutefois être rentable) tient du prodige ! Probablement l'effet "Kad Merad" qui peut jouer n'importe quoi d'instinct ! Faruggia ne devait pas être au mieux de sa forme : le scénario est nul et il n'a probablement pas été accouché sans douleur ! Le thème permettait pourtant bien plus d'inventivité et de gags ! Quant à Dubosc, il est épouvantablement mauvais et semble chercher son rôle désespérément sans le trouver. Si on est un peu intéressé au début de cette histoire réchauffée, on décroche rapidement !
willycopresto

Kad Merad et Franck Dubosc réunis dans le même film, sur le papier, ça peut donner quelque chose de pas mal. Le pari n'est malheureusement qu'à moitié réussi pour Dominique Farrugia. Bien sûr, nos deux cracks de l'humour sont bons, ils restent de vraies valeurs sûres de la comédie française. Seulement, le scénario n'est pas totalement abouti. La bande-annonce révélait la plupart des bons gags, comme toujours, mais surtout n'orientait pas le spectateur vers le vrai sujet du film. En effet, l'idée de tenter de reproduire des succès modernes à partir des années 80, était savoureuse. Mais c'est en réalité une toute autre voie qu'a décidé de suivre le réalisateur dans Bis. Il a donc préféré s'intéresser aux traditionnels problèmes existentiels de nos deux loustics à l'approche de la cinquantaine. Rien de très original donc, sauf peut-être à la fin où on retrouve une analogie amusante avec Retour vers le Futur. Sauf que le film de Dominique Farrugia reste, dans son ensemble, bien loin de cette référence. Le bon point du film c'est la reconstitution fidèle des années 80, aussi bien dans les décors, les vêtements d'époque, les véhicules que dans l'ambiance générale. Mais, bien qu’on n’atteigne jamais le stade de l'ennui, le scénario est vraiment trop léger et les dialogues trop rarement drôles pour emporter l'adhésion totale du public, à l’exception du moment hilarant où Kad s'époumone sur « l'envie d'aimer ». Au final, Bis est une comédie qui n'est pas déplaisante, sans atteindre des sommets. Elle reste donc dans la lignée de la production française actuelle.

Sur le moment, "Bis" (2015) est une comédie française assez ludique, qui se suit sans déplaisir.
Mais si on prend un brin de recul pour l'évaluer dans sa globalité, on constate qu'il s'agit d'un film feignant qui se contente du minimum, en imaginant satisfaire un public peu exigeant.
Non seulement les auteurs n'apportent aucune explication au "voyage" temporel (Dubosc se limitant à un clin d'œil lourdingue aux "Visiteurs"), mais encore Farrugia et sa clique ne tirent pas profit des immenses possibilités comiques et/ou scénaristiques offertes par cette idée, en dehors de quelques anachronismes faciles.
De même, les relations des deux quadragénaires redevenus ados avec leur propres parents, si bien exploitées par Noémie Lvovsky dans l'émouvant "Camille redouble", sont expédiées paresseusement en deux-trois running-gags pouraves. Feignant(s), on vous dit!
Vous retrouverez donc deux comédiens qui se font rares ces derniers temps, j'ai nommé Kad Merad et Frank Dubosc !!! Le premier, que j'aime bien, est en mode touriste, aucun investissement ; le second a le mérite d'être sobre, mais son potentiel comique reste très limité. De plus, leur complicité ne saute pas aux yeux, à l'instar d'un Gérard Darmon transparent, même si le décalage temporel permet quand même quelques séquences amusantes.
En résumé, "Bis" se situe dans la bonne moyenne des comédies françaises actuelles ; autrement dit, c'est vraiment pas la peine de vous déplacer.

Tres bon duo de kad merad et franck dubosc, retour au annee 80, voir en 86 toute la magie opere, on s'ennuis pas du debut a la fin, on rigole bien, de retour a leur 17 ans on part dans un delir. Un bon film francais !!!!!!

Bis : Une comédie française au scénario original et bien construit, comme on aimerait en voir plus souvent. C’est un peu de la même trempe que Retour vers le futur ou Les Visiteurs pour le coté retour en arrière et c’est ça que j’adore : les voyages dans le temps et qui n’a jamais rêver de ça. Et moi je dis, c’est ça un peu le cinéma, voir des films ou on voudrait bien être dedans. Car, c’est deux adultes, la quarantaine passer qui n’aime pas trop de leur vie, ils sont déçu et on pu de gout de vivre, ils sont tristes et ça ce voit dans le ton du film, j’en reparlerai avec l’humour. Et ils vont dégringoler dans la cave et vont être envoyé dans les années 80 quand ils avaient 17 ans avec les booms, le résultat du bac, la rencontre avec leur futur femme et donc ils vont vouloir changer leur vie mais est ce qu’ils vont faire les mêmes choix… Donc voila, scénario cocasses, remplit de bons gags avec des bonnes répliques. Le duo Franck Dubosc et Kad Mera marche et c’est grâce a eux que les films gagnes des fois. Mais des fois, je trouve l’humour du film assez froid, le ton du film des le début est triste et « stricte » et on a du mal spectateur a ce lâcher a fond et c’est dommage. Mais il y a aussi des fois des clins œil aux carrières des acteurs et je trouve qu’on aurait pu éviter cela, ça fait marketing, un peu trop facile mais bon, on sourit forcement. Ensuite, je trouve que il y a une très bonne morale dans le film, simple mais efficace : aimée la vie, tout simplement. Et il y a aussi de belle émotion, du a une relation père/fils (Dubosce/Darmon) assez tendre, de jamais oublier d’aimée ses parents car ils ne sont pas eternels. D’ailleurs, les relations s entre père et fils sont très sympa dans les films, même quand ils sont énerves. Donc voila, une comédie qui aurait pu être encore mieux mais ça marche grâce a son duo et au scenario qui fonctionnera toujours.

Une comédie sympathique basée sur un concept original relatant l'histoire de deux amis faisant un retour dans le passé où ils se retrouvent en 1986, leur période d'adolescence. J'ai trouvé ce film sympa, divertissant et drôle sans qu'il soit excellent pour autant car l'originalité du concept bon à la base n'a pas été exploité jusqu'au bout et manquant un tout petit peu de rythme dans son déroulement avec quelques rares scènes qui personnellement m'ont déplu. Cela dit le métrage est plutôt bon car la plupart des gags fonctionnent et que pour ma part j'ai souvent sourit et rit. La réalisation est somme toute plus que correcte avec de beaux plans ainsi qu'une bonne reconstitution en 1986. Particulièrement adepte de l'effet miroir lorsque les 2 personnages principaux se retrouvent jeunes. Tout cela emmener par une bande son correcte et bonne, bien ancrer dans le style du film avec aussi des morceaux années 80 bien évidemment. Le casting impeccable aide aussi car les différentes interprétations des acteurs sont vraiment bonnes avec : Franck Dubosc très bon et drôle, Kad Merad également très bon, Alexandra Lamy comme il faut, Gérard Darmon dans un rôle qui lui va comme un gant et l'interprète une fois de plus à la perfection et prouve à chaque fois son grand talent, Julien Boisselier très bon et drôle, ainsi que la jolie Ariane Brodier. Les doubles des deux acteurs principaux lorsqu'ils sont jeunes sont assez bons également.
Voilà donc un film sympa, une comédie française qui se regarde plutôt bien qui aurait pu donner quelque chose d'encore meilleur mais qui aurait très bien pu se casser la gueule aussi.
Ma note : 7/10 !!

Bis porte bien son nom. Car derrière l’amoncellement de références censées reconstruire les années 80 dans lesquelles évoluent (une nouvelle fois) nos deux protagonistes se cache en effet une paresse d’exécution qui jamais ne parvient à développer l’idée initiale ; on a l’impression d’assister au triste spectacle d’une idée qui, sur le papier, s’avère alléchante mais insuffisante, et que la mise en scène se contente de rallonger comme on rallonge son vin avec de l’eau. Non seulement le cotexte ne fonctionne guère, se limitant à l’empilement de scènes burlesques dont l’unique base comique est de reposer sur le décalage générationnel, mais c’est surtout un contexte culturel qui est ici aux abonnés absents : les années 80 ne naissent pas sous nos yeux, seulement la projection assez phallocrate de cet âge où les filles se réduisent à une paire de fesses sur patins, filles qui, en devenant femmes, s’apparentent à des ventres (cf. clausule). La femme adulte est soit une débauchée, soit une mère de famille. L’homme demeure, quant à lui, ce grand enfant qui s’amuse avec ses potes en sifflant du bon vin. On ne peut en outre que déplorer l’évincement du duo d’adolescents dont le rôle était pourtant d’incarner l’image jeune de nos deux adultes : réduits au simple statut de décorum, Antonin Chalon et Fabian Wolfrom demeurent des reflets et n’ont jamais accès au-devant de la scène. Pour une œuvre sur la transmission, on repassera. Preuve que Bis est une comédie doublement périssable, erronée dans sa reconstitution d’une génération, déjà datée quant aux signes contemporains disséminés partout (de David Guetta à Zizou). Si certaines scènes font mouche – pensons ici à la reprise de Terminator ou à la scène de l’accouchement –, si d’autres libèrent un potentiel dramatique que l’on aurait aimé voir davantage écrit et traité subtilement – la relation entre Franck Dubosc et Gérard Darmon –, le film tombe dans sa propre cave encore et encore et encore, tout en laissant entrevoir, derrière la bonhomie de son duo d’acteurs, une conception plutôt sinistre de l’homme et de la femme.

Il y a des gens, comme ça, que tu as adulé pendant longtemps et qui, un jour, font mal à ton petit cœur. C’est le cas de Dominique Farrugia avec Bis, comédie navrante, à mille lieux de l’esprit des Nuls. Bis nous a d’ailleurs brisé le cœur deux fois parce qu’on adore Kad Merad et que Bis n’est pas à la hauteur de celui qui a créé le Kamoulox et joué dans Qui a tué Pamela Rose ?, vraiment pas. Quant à Franc Dubosc, il avait trouvé avec Fiston (et avec Barbecue) avec un jeu plus juste et plus intéressant, presque touchant, qui ici fait pschitt face à la vacuité du scénario.

Eric (Franc Dubosc), restaurateur endetté et hédoniste, est l’ami de Patrice (Kad Merad). Lors d’une soirée arrosée, il descende à la cave chercher une bouteille. L’escalier cède et ils sont transportés par magie en 1986. Ils ont dix-sept ans.

Thème revisité maintes et maintes fois, avec plus ou moins de succès, avec intervention technologique (La machine à remonter le temps, Retour vers le futur, L’armée des douzes singes, etc.) ou purement magique (Peggy Sue s’est marié, Camille redouble, Les visiteurs, etc.), le voyage dans le temps a fait les beaux jours de la Science-Fiction et parfois de la comédie. Mais jamais le sujet n’a été aussi platement traité que dans Bis. Premièrement, les deux personnages, se rendant compte très vite de la situation, feigne à peine d’être perturbés. Eric tombe dans les pommes devant un miroir et l’affaire est dans le sac. On aura rarement fait plus caricatural. Bien sur, même si ça sent le réchauffé, il faudra pour les deux compères recommençaient l’expérience de la chute dans l’escalier pour retrouver leur époque. Mais ce n’est pas le plus grave. Aucune explication n’est donné à l’événement, pas même un sens mystique. Du coup, les deux amis semble là « parce que c’est écrit dans le scénario », rien d’autre. Et passons, enfin, rapidement, pour ne pas se faire plus de mal, sur les effets spéciaux incroyablement laids, style poussière d’étoile.

Bis, c’est avant tout une comédie me direz-vous, on s’en moque de la science-fiction, on n’est pas là pour là. Certes, vous dirai-je. Mais voilà le hic… ce n’est pas drôle non plus. Comme souvent, le meilleur est dans la bande-annonce mais encore là, c’est parce que la bande-annonce est bien montée. Les mêmes séquences dans le film sont terriblement embarrassantes. La seule bonne idée qui était qu’Eric et Patrice tentent de faire fortune en présentant des tubes et des idées de film futurs tombent rapidement à l’eau. La faute aux deux acteurs, pas vraiment convaincus de ce qu’ils jouent mais surtout au scénario à la fois mièvre et convenu. Les pseudos-discussions philosophiques sont à mourir d’ennui et de tristesse. Il n’y a aucune folie. Les tergiversations de Patrice qui ne sait pas s’il veut saisir l’occasion pour changer de vie ou retourner à son époque fissa pour retrouver sa femme n’ont rien de romantique, elles plombent juste l’ambiance du film qui n’arrive à aucune alchimie et devient carrément verbeux. On s’endort alors sur son siège jusqu’à ce que le voisin vous réveille parce que vos ronflements l’empêchent de dormir.

On avait espéré un nouveau départ pour Dubosc qui n’est pas un mauvais acteur mais à qui on propose des mauvais rôles. Également pour Kad qui jouait très bien le mauvais flic dans le récent Disparu en hiver, un film qui ne le m’était pas davantage en valeur. Pour se consoler, on va revoir La cité de la peur pour la vingtième fois et se dire que parfois, on vieillit bien mal.

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un duo d'acteurs qui fonctionne bien.
le retour des années 80 et tous ces concepts que j'avais un peu oublié mais tellement vrai.
le tricot de Giscard , les boissons anciennes les vieilles pubs etc.....
de bons gags et de bons moments.

Super surprise ! Je ne m'attendais pas à ça ! Les comédiens (d'habitude ils m'énervent un peu…) sont juste formidables. C'est super drôle, on a une plongée dans les années 80, qui nous rappelle à tous des souvenirs, et on a envie de manger des Fizzy Pazzi en sortant !