Avis sur Crazy Amy

Une comédie plutôt sympathique et d'une simplicité vraiment agréable.
Un mélange entre des moments hilarants et des moments plus simple et une histoire crédible et originale malgré le sujet.
Amy Schumer est une actrice pleine de talent qui partage ses émotions et nous fait découvrir autre chose.
A voir donc

Le film aborde des sujets graves et n’utilise aucun filtre. Les choses sont dites et montrées. Amy, jeune trentenaire, est attachante et se bat contre son éducation. Le film est écrit et joué par l’humoriste Amy Schumer qui avait déjà joué le personnage dans un one woman show. La jeune femme peut être vulgaire, « cash », mais on sent de la souffrance dans le personnage et c’est ce qui touche. La comédie est réalisée par Judd Apatow. Le réalisateur a poussé la jeune femme vers cette vulnérabilité. Il y a une certaine franchise qui se dégage du film. Les personnages se dévoilent et on voit apparaitre le coté grave d’Amy. Amy semble faire tout pour que la relation ne dure pas. Mettant sans cesse , le couple « en danger », les questions terribles du genre « Pourquoi tu m’aimes ? » font apparaitre la fragilité du personnage qui semble tellement léger et détaché dans le premier tiers du film. Je m’attendais à une comédie légère, la surprise a été agréable.
Amy Schumer est naturelle, jolie, attachante.

Crazy Amy est une comédie romantique mais pas que. Vulgaire, caustique, trash, franche et drôle

"Crazy Amy" ne révolutionne en rien le genre de la comédie made US... Même si ici Judd Apatow est aux commandes ou presque !
Peu amateur de ce genre de réalisations, j'ai voulu me faire mon propre avis à cause du cinéaste lui-même...
Il faut dire que ça démarre fort avec un humour trash, plutôt lourd et redondant !!!
On a en effet vite compris le problème d'Amy et en ajouter autant sur son compte, finit par être lassant, gratuit et même ses propos ou pitreries ne font pas trop d'effet !
Tout est plat alors que curieusement, on sent que la patte d'Apatow est là, par le style, mais en vain...
L'actrice Amy Schumer semble se démener et en faire, et en faire, son jeu finit par être outré alors que dans les moments plus intimes, plus tranquilles, elle serait presque touchante.
La deuxième partie fait place à un côté, précisément là où la romance se réveille pour devenir une comédie plus calibrée, une histoire d'amour, trop classique et déjà vue !
Passer du faux décapant, à un vernis bien fini et lissé ne produit pas trop d'étincelles même si on sourit un peu !
Sauf, il faut bien l'avouer lorsqu'enfin on rit franchement et à gorge déployée mais une seule fois lors d'une scène, où il est question du mot ananas !!!
Ce moment à lui seul vaut, il est vrai, le détour et me restera en mémoire...
Finalement presqu'un sketch à lui seul !
On se dit alors que débarrassé de ces excès, de ces tics nerveux, presque comme des réflexes conditionnés de ce type de cinéma, l'histoire aurait pu nous toucher quelque part...
Curieusement, la partie la plus politiquement incorrecte semble lourde à n'en plus pouvoir, et la deuxième tout en étant douceâtre et mielleuse à souhait, passerait presque mieux !
Un comble tout de même pour un film de Judd Apatow...
Produire de l'humour sur commande n'est pas si simple, surtout en accumulant des situations aussi forcées dans le jeu des acteurs (rires et mimiques indigestes), alors que l'écriture des dialogues méritait plus de recherche et d'esprit !
En définitive, plutôt moyen et décevant...

"Crazy Amy" est une comédie de Judd Apatow mise en scène
d'après un scénario d'Amy Schumer. Je ne suis pas fan des comédies
romantiques tournant autour du "girl power" comme "bridget jones" ou
"coup de foudre à Nothing Hill" mais à la "sauce Apatow", je suis
plutôt preneur.

Le postulat de départ décrit une jeune fille de 30 ans, employée dans
un journal fashion, qui va de liaisons en liaisons, jetant ses amants
d'un soir comme des kleenex. La faute à son satyriasique de père ayant
inculqué à Amy et à sa cadette le principe selon lequel, la monogamie ce
n'est pas réaliste.

J'avais beaucoup aimé "40 ans mode d'emploi", Judd Apatow ayant
trouvé le bon "mélange" entre la comédie légère et la chronique de
moeurs, choisissant de bons acteurs comme Paul Rudd. Il en va de même
pour "crazy amy" même si j'ai trouvé cette fois le film un peu longuet.
Les acteurs sont bons notamment Amy Schumer, Bill Hader et la ravissante
Brie Larson. Certains font également une apparition inattendue: Chris
Evert, Justin Broderick...et pas mal de basketteurs et de Cheerleaders.

On notera également la présence de Tilda Swinton et d'Ezra Miller,
interprètes principaux de we need to talk about Kevin. Ils sont cette
fois dans un registre bien différent.

Judd Apatow, grand manitou de la comédie américaine depuis une grosse dizaine d'années, revient avec son atout Amy Schumer. Comme souvent le sexe est au centre des préoccupations avec un prologue idéal et hilarant (et pas complètement stupide !) qui prédestine Amy à sa future vie sentimentale tumultueuse. D'un départ où irrévérencieux, cynique et ironique on parvient à une RomCom classique et moralement acceptable. Bon point également pour le seconds rôles qui enrichissent les liens entre les personnages et étoffent un peu un récit qui suit un peu trop la ligen tracée. Amy Schumer a clairement sa place dans la bande à Apatow.

Après un très bon "40 ans mode d'emploi", Crazy Amy est plutôt une déception. Jud Apatow a 2 soucis majeurs, le premier, c'est la longueur de ces films, ici, il y a bien 15 minutes de trop. Son second, c'est une certaine facilité, quand il n'a plus rien à raconter, il se contente de dialogues assez crus dans des scènes qui ne servent pas forcément le film, parfois ça marche et on se marre, mais parfois ça rate, c'est plusieurs fois le cas ici. Le rôle d'Amy n'est pas toujours très attachant, souvent agaçant. Les seconds rôles sont assez réussis. Du coup on sourit mais on ne rit pas trop. Et le scénario est plus que prévisible.

Il nous a déjà fait le coup, le cinéma américain : nous annoncer un sujet grisant qui prétendait s’amuser un peu avec les codes de la bien-pensance… « Sex Friends », « Love et autres drogues », « Crazy, Stupid, Love » : autant de films qui affichaient ostensiblement une liberté de ton à l’égard de la bonne morale mais qui finalement retournaient à chaque fois leur veste pour se conclure par des messages d’un conformisme hallucinant. Je l’avoue, j’ai du mal à comprendre cette démarche qui consiste à faire exactement l’inverse de ce qu’on annonce. Avec ce « Crazy Amy », j’espérais que Judd Apathow saurait AU MOINS réussir à se débarrasser de ses convenances pesantes. Eh bah c’est loupé. Encore une fois donc, il faudra se retaper le même discours, la même histoire, la même morale. Amy s’accorde des libertés à l’égard des normes ? Mais c’est parce qu’elle n’a jamais vraiment connu l’amour pardi ! D’ailleurs, je peux vous le dire, il est vite oublié le pitch dans ce film ! Mis à part une scène d’introduction bien marrante parce que justement iconoclaste, le sujet de la monogamie est très rapidement réduit (en trois minutes montre en main pour être exact) à un simple désir de non-engagement, à une simple logique de plan-cul… Alors soit, je ne demande pas à un film de Judd Apathow de nous sortir une thèse sur l’impact de la morale judéo-chrétienne sur nos mœurs, mais bon, quand on annonce un sujet, au moins on pourrait essayer de le traiter et, accessoirement, de nous faire rire dessus. Et là pour le coup, le film démissionne doublement, puisque non seulement il fuit son sujet pour se réfugier dans les clichés habituels, mais en plus il n’est même pas si drôle dans sa manière de manœuvrer dans ces eaux si connues malgré tout. Et pourtant, malgré ces échecs majeurs sur les points clefs de sa démarche première, je trouve que ce « Crazy Amy » nourrit un étrange paradoxe, celui de se sauver par ses détails et ses enrobages. Le premier point fort est clairement la prestation et la personnalité d’Amy Schumer. Dans un rôle de Bridget Jones un peu trash, elle a au moins le mérite de casser avec l’image lisse des midinettes qu’on retrouve habituellement dans ce genre de film. Finalement d’ailleurs, on pourrait aussi dire la même chose de Bill Hader, campant lui aussi un personnage un peu décalé par rapport aux stéréotypes habituels (…bon, et encore). Et puis tout autour de cela, il y a quelques petites sucreries pas méchantes comme la présence de LeBron James, en gentille dérision, qui savent poser quelques moments qui font légèrement sourire. Bref, il n’est pas si atroce que cela ce « Crazy Amy », mais bon, on l’a déjà tellement vu ce film qu’on est aussi en droit de s’en lasser. Moi ce fut mon cas. Deux heures d’un programme tellement convenu, entendu et téléphoné, pour moi c’est trop…. Ou plutôt c’est trop peu, mais en terme de contenu. Un oeu de créativité au cinéma, même dans les comédies gentillettes, je suis désolé, mais franchement, moi, ça ne me ferait vraiment pas de mal…

Je m'attendais à bien mieux. Le problème majeur est la durée, encore un film qui aurait mérité de durer 30' de moins, ce qui lui aurait apporté plus de dynamisme et moins d'ennui pour le spectateur. Il n'y a rien de nouveau, les situations sont banales et le pire, c'est que l'actrice principale est sans aucun relief et même chose pour son amant. LeBron James joue un rôle drôle, c'est même lui qui s'en sort le mieux, c'est un comble!

Sympa, Drôle et Trashy
Cette Amy nous livre une comédie romantique acidulé et Trash mais toutefois prévisible frisant le déjà vu
Malheureusement Amy est peu connu chez nous, comme un peu tout le reste du casting, donc le film ne connaîtra pas beaucoup de gloire en France.
C'est divertissant mais pas non plus transcendant comme le laissais croire les critiques.

Pour son nouveau film, Judd Apatow fait appel aux talents d'Amy Schumer pour qu'elle soit sur deux fronts. L'humoriste blonde et salace qui monte en ce moment a donc écrit le scénario de ce film en partie autobiographique dont elle incarne (en toute logique) le premier rôle. Soit l'histoire d'Amy, appliquant le credo de son père comme quoi la monogamie n'est pas réaliste et multipliant les conquêtes tout en se moquant de sa sœur et de son mariage. Mais bien évidemment tout basculera lorsqu'elle rencontrera Aaron, charmant et brillant médecin. Rien de bien nouveau sous le soleil finalement pour cette comédie qui se prétend irrévérencieuse mais qui n'invente rien. Si le charme d'Amy Schumer et de Bill Hader y est pour beaucoup et que certaines répliques font mouche, le fait est que la morale de l'ensemble est bien désuète. C'est d'ailleurs seulement dans quelques scènes qu'Apatow parviendra à insuffler une véritable émotion à l'ensemble tandis que le rythme s'essoufflera peu à peu, au fur et à mesure que le tout devient prévisible.

Dix années se sont écoulées depuis la sortie de The 40-Year-Old Virgin, Judd Apatow revient derrière la caméra, pour une comédie américaine nommée Crzay Amy. Les relations entre hommes et femmes ne sont plus les mêmes, l'amitié masculine est finalement possible et peu importe ce qui arrive dans la vie de tous les jours... L'idée de départ est d'inverser spoiler: les stéréotypes les plus grossiers. Notre héroïne (Amy Schumer) agit comme un gars, passant son temps à boire et à s'envoyer en l'air. Pas question de s'engager. Jusqu'au jour où elle rencontre le médecin préféré des sportifs (Bill Hader) qui pourrait bien lui faire changer d'idée.
Tout cela était fort intéressant avec une bande annonce alléchante mais il aura fallu installer des longueurs au sein de la production (2h de film pour une comédie US). Cette comédie possède un peu le même syndrome que 40 ans mode d'emploi, la précédente oeuvre du cinéaste. C'est à dire de la vulgarité au plus possible, malgré que certains dialogues sont efficaces, une conclusion prévisible. spoiler: Tout tourne autour du sexe...
Malgré tout, la distribution est satisfaisante. Amy Schumer est assez crédible dans ce rôle. Son duo avec Bill Hader s'avère romantique. Mention spéciale à John Cena, hilarant !! Une bande son plutôt bonne dans son ensemble. Donc, Crazy Amy est pour ma part, une comédie américaine parfois ennuyante, parfois amusante... On le réserve aux fans d'Apatow. A vous de voir.

J'aime beaucoup Judd Apatow, mais surtout, j'aime quand c'est un film 100 % Judd Apatow ce qui n'est pas le cas ici puisqu'il se contente de mettre en scène le scénario d'Amy Schumer et franchement, ça se ressent. Je ne connaissais pas cette actrice qui est apparemment une humoriste connue, mais je n'ai pas du tout accroché à son univers et à son humour. Elle tente de jouer sur les deux tableaux, drame et comédie, mais l'un comme l'autre tombe toujours à côté. Il n'y a pas besoin d'en dire plus, je n'ai pas du tout aimé le film, j'ai lutté pour le terminer puis 2 heures pour une comédie, c'est excessif, j'ai trouvé ça très ennuyeux en plus de n'être jamais drôle.

J'ai vu un film... porté par une grande énergie et beaucoup de pep's... Mais disons que même si une fois une deux j'ai souri, voire carrément ri, je ne me suis pas laissé emporté par la comédie affolante que je pensais voir... Du coup, je suis resté un peu en retrait... Et du coup, le film m'est apparu un peu long et tellement prévisible.

Comédie romantique très sympathique, d’une redoutable efficacité, d’une évidente simplicité. Le film pourrait presque paraître anecdotique si il n’avait pas ce ton moderne qui le rends au final presque nouveau, l’inversion du rôle homme/femme qui leurs rends justice et les mets à l’égal de l’Homme fait de Crazy Amy une date dans le cinéma comique. Judd Apatow livre un film profondément féministe qui séduit par sa simplicité, son cast. tout en charme et surtout son humour ravageur. Il n’y a ici rien de grandiose, mais Crazy Amy a au moins le mérite de tenter des choses et mieux encore il le fait avec beaucoup de réussite. -la suite de cette critique dans le lien ci-dessous- *FreshBuzzCinéma*

Une comédie sentimentale répondant aux standards éculés du genre, avec une actrice légèrement boulote jouant une fille américaine qui se veut normale.
Un peu nymphomane, un peu simple, un peu vulgaire, et pleine de bonnes intentions dans le registre de Melissa McCarthy, elle séduit un chirurgien du genou, un peu coincé. Voilà les seules originalités du film, avec un scénario "ticket de métro" étiré sur 2 heures pour les adeptes.