Anecdotes du film Les Filles d'Eve et du Serpent

Les Filles d'Eve et du Serpent

Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Les Filles d'Eve et du Serpent" et de son tournage !

Pas de connivence possible entre le réalisateur et la troupe

Le réalisateur Denys Maury a filmé en immersion totale au sein de la troupe de théâtre des Filles d’Eve et du Serpent 7 jours sur 7, 24 heures sur 24, pendant tout le mois de juillet 2012, en plein cœur du Festival d’Avignon. Dix jours avant le tournage, il ne connaissait personne, ni même le metteur en scène Arthur Vernon, ce qui lui donnait une vision parfaitement neutre du projet.

Aucune fiction dans la partie documentaire

L’épopée de la troupe fut très mouvementée, il n’y a donc eu aucune mise en scène sur les scènes de documentaire, dont certaines sont surréalistes. Lors des premiers visionnages, les spectateurs refusaient de le croire et le réalisateur a donc rajouté un deuxième panneau d’avertissement au début du film.

Un derushage pharaonique

Plus de 300 heures de rush pour le film, toutes visionnées en intégralité pour repérer les pépites du tournage ! Des semaines de visionnage et de prises de note avant de définir la structure finale du film.

Un spectacle finalement récompensé

Les déboires de la pièce « Rêveries d’une jeune fille amoureuse », dont le film suit notamment le parcours mouvementé au Festival d’Avignon, se sont bien terminés : la pièce a été jouée à Paris en 2013 et a connu un vif succès, malgré l’interdiction de son affiche par la RATP. Elle a même récolté deux nominations aux P’tits Molière 2013, dont celle du Prix du public.

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