Avis sur Le Roi Scorpion 4 - La quête du pouvoir

Bon ben "Le Roi Scorpion" au cinéma, c'est une bien triste histoire. En fait, un seul des quatre métrages proposés aujourd'hui ( aucun doute qu'ils sortiront un cinquième, voir un sixième film ) est sorti au cinoche. C'est un peu la loose, vous l'aurez compris. Je les ai tous vu, et pour vous en faire la critique, il faudra que je me les retape tous. Pas de problème pour le premier, je l'avais bien aimé, mais les trois suivants ... mon dieu ... Courage. Et donc, aujourd'hui, c'est le quatrième épisode de cette bien peu connue ( et c'est parfaitcomme ça ! ) saga, qui ne mérite pas forcément le visionnage. Ce volet ci, c'est clairement de meilleur niveau que lesdeux précédents métrages. Enfin, c'était pas compliqué, hein. Non, ce film n'est pas un mauvais film, c'es surtout un bon nanar, le genre bien poilant et très plaisant. Et j'en demandais pas plus. Alors oui, c'est sûr que ça vole pas haut, que ça cherche pas à déplacer des montagnes pour trouver le bon goût : la qualité n'est pas top, mais il est justement là l'intérêt. On en a rien à faire que les dialogues refoulent l'amateurisme, que la réalisation est mauvaise et que les acteurs sont en complète roue-libre, tellement que t'as peur que leurs freins ne puissent même plus les retenir : c'est ça qu'on cherche. Oui, le mauvais n'est pas forcément "mauvais". Fascinante cette phrase. Par quoi commencer? Tout est tellement bas de gamme que je ne sais vraiment pas à quoi m'atteler en premier. Allez, je craque : les acteurs ! Bon, on va pas tourner autour du pot, ils sont tous mauvais. Enfin non, pas tous. Il en persiste deux "que je sais pas pourquoi ils sont là mais qu'ils jouent pas trop mal quand même" : Rutger Hauer, et surtout Michael Biehn. Pourquoi??? Pour Rutger Hauer, je comprends : le gars n'est plus trop au sommet de la chaîne alimentaire niveau cinéma, mais Michael Biehn, quand même ! Alors oui, il se concentre un peu trop sur les dtv en ce moment, mais oh ! Passer de "The Divide" à ça, c'est vraiment triste ! Grosse surprise, vous l'aurez compris, mais pas forcément dans le bon sens. Après, y'a le reste du casting, et c'est là que çase gâte. Mais vraiment, hein, je plaisante pas. Le méchant est catastrophiquement empreint de cabotinage, l'héroïne semble n'en avoir rien à faire ( et je la comprends ! ), son père est ridicule et l'interprète du roi scorpion est franchement drôle. Par contre, il a vraiment la gueule de l'emploi. S'il savait faire autre chose que jouer la comédie comme un pied, je l'aurai bien vu en interprète de Conan. Pour l'écriture, c'est évidemment pas très convaincant. A défaut d'être réfléchi, c'est surtout très drôle. Les répliques cultes s'enchaînent, les scènes chocs heurtent votre sensibilité ( celle du "transformisme" est vraiment magique, autant que sa bande-sonore ) sans que vous ne puissiez les parer. C'est atroce pour les plus sérieux, mais un bain de Jouvence pour ceux qui savent rigoler. Mais l'humour est quand même parfois douteux, alors si vous parvenez à survivre à l'introduction, vous pourrez vivre le reste du film comme bon vous chante. Evidemment, c'est bourré de clcihés et d'idioties, la mise en scène est ignoble et les doublages, ainsi que les effets sonores, sont débiles, mais c'est réellement plaisant. Je ne pouvais donc mettre moins à un divertissement qui a su me faire rire. Et avant de le voir, je n'en exigeais pas mieux. Et puis au moins, y'a pas de filtre d'image. Un nanar bien sympa.

Bon d’accord, j’avais dis dans ma critique du 3 qu’un peu d’humour soft c’était OK. Mais je n’avais pas dit de l’humour hard ! Non, car là c’est vraiment pesant par moment !
En fait ce quatrième roi Scorpion se veut une comédie, et c’est très poussif, malgré des moyens que l’on imagine en hausse. En effet le seul véritable atout de ce quatrième film réside dans un aspect un peu plus classieux que le trois, avec un peu plus d’ampleur dans les plans, des effets spéciaux aussi qui montent un peu en gamme, même s’ils restent limités quand même. En somme à ce niveau le budget n’a pas été trop mal exploité, mais alors pour le reste, ouch !
Déjà la mise en scène est lourdingue. Comme celle de Reiné sur le troisième film, elle abuse d’effets de style, notamment de ralentis toujours placés aux mauvais endroits. En général pour accentuer les gags ! Ensuite les acteurs sont à côté de la plaque, sauf peut-être Victor Webster qui reprend son personnage de façon plus encourageante que dans le film précédent où il apparaissait timoré. Là il est plus à l’aise, et se prête aux scènes ridicules avec une sympathie qui incite à avoir pitié de lui. A ses côtés Ellen Hollman est limite, mais allé, elle s’accroche, tandis que Barry Bostwick est complètement en roue libre. Son personnage relève du gros n’importe quoi, et lui-même est totalement perdu, surjouant à mort. Quant au méchant il est dans cette veine là, et c’est encore le cas de Biehn venu prendre son chèque le temps d’un petit rôle. Rutger Hauer lui aussi nous gratifie de seulement 2 minutes d’apparition. A noter aussi de sérieux cabotins dans les seconds rôles.
Reste que le plus bouffon, c’est l’histoire ! En soi l’intrigue est simple, sans surprise, et aurait pu être efficace. C’était sans compter les gags affligeants (la scène du temple des femmes !), les dialogues moisis, et les vingt dernières minutes directement pompées point par point sur Indiana Jones et la dernière croisade. En nettement moins bien, d’autant que le film continue à nous assener des gags. A noter aussi les explications pseudo-scientifiques que le foldingue de service se trouve obligé de débiter toujours au plus mauvais moment. Un running-gag digne d’une histoire de Picsou magazine. Il y en a d’ailleurs un autre avec les bijoux de famille non moins ridicule.
Alors évidemment on peut considérer que cet humour est voulu, mais honnêtement, c’est plombant. Surtout si l’on estime que l’on est à des années lumières de la saga qui devrait au moins essayer de conserver une tonalité proche. Là on part en vrille, frôlant parfois le niveau d’un Dungeon et Dragons (qui lui cependant ne revendiquer pas le fait d’être une comédie !). Ce n’est pas irregardable, mais clairement dommage qu’en retrouvant des moyens le film se soit ainsi fourvoyé. 1.5

Si cet ultime suite récupère le côté "aventure" qui avait bien diminué entre Le roi scorpion 3 et 4, les personnages secondaire en font un peu trop à mon goût.
L'ensemble se tient, c'est regardable, mais mon 2/5 s'explique car il y a des moments où ce quatrième opus frôle le nanar - qui, pour rappel, est une réalisation nageant dans les eaux du ridicule, alors que le navet est une réalisation tout simplement mauvaise.

Au moins, il y a une certaine cohérence. Si le premier Roi Scorpion sorti en 2002 (que c'est déjà loin !) avec The Rock tenait la route, depuis le deux signé Russell Mulcahy en 2008, on va de Charybde en Scylla ! Et c'est le producteur Mike Elliott (j'ai vu sa photo sur Google, on dirait un genre de look-alike de Demis Roussos et de l'engagé Baleine de Full Metal Jacket) qui s'y colle pour ce quatrième épisode n'ayant strictement aucun lien avec troisième réalisé par le néerlandais Roel Reiné. Alors c'est sûr que vu comme ça, il pourrait s'en tourner des dizaines. Un héros, une princesse blonde, le sidekick comique, le méchant qui veut s'emparer du trésor convoité par le héros et en avant Guingamp. Le Roi Scorpion 4 ajoute : des stars déchues venues faire un rapide coucou à la caméra (Michael Biehn, Lou Ferrigno, Rutger Hauer), des effets spéciaux qu'on croirait tout droit sortis d'un épisode de Power Rangers (le dragon mécanique, mon dieu !) et un humour, bien plus prononcé que dans les volets précédents, résolument au-dessous de la ceinture. Le tout habillé d'un vague décor se voulant médiéval avec ses châteaux en toc, son souverain accompagné de trois gardes, grand maximum, faisant office d'armée et ses pseudos rebondissements toutes les trois secondes car il ne manquerait plus que le spectateur s'endorme. La fin se tape même le luxe de plagier celle d'Indiana Jones et la Dernière Croisade. D'ailleurs, là où Sean Connery parvenait à rester digne, celui qui joue le père de Valina se sent obligé d'en faire des caisses tout le long dans le rôle du savant fou pour bien enfoncer le clou. Preuve qu'ils ne doutent de rien avec leur téléfilm tourné au fin fond de la Roumanie (c'est marqué dans le générique de fin). Je me demande ce qu'en pense Stephen Sommers, toujours crédité comme producteur exécutif, de l'évolution de la saga. A sa place, j'aurais arrêté le massacre depuis longtemps. D'autant que vous allez pas me faire croire que ce sont les recettes du Roi Scorpion 4 qui doivent remplir son compte en banque. Allez, pour le prochain en 2018 ou 2019, chiche qu'ils fassent appel à Adrian Paul et à Renny Harlin pour tenir la caméra ?

Je ne suis perdu un soir sur tmc et j'ai regardé ce rois scorpion 4. Je dois dire que c'est le meilleur de la saga et de loin meme si il ya comme même plein de défaut les combats son pas terrible et mal fait. Il on tenté l'humour aussi,qui parfois et pas très drôle. Mais sa se laisse regardé vu comment les 3 autres son mauvais celui la passe à l'aise (à minuit sur Tmc comme moi)

Je n'ai vu que le premier avec The Rock et le moins que l'on puisse dire, c'est que ce nouveau film est très différent du 1 à tous les niveaux.
La franchise "Scorpion King" tente de survivre uniquement grâce à son nom puisqu'il n'y a plus d'argent dans les films et ça se voit directement avec la scène d'ouverture. Les décors sont en carton tout sent le fake, on se rend bien compte qu'on regarde une production fauchée et pourtant même si le film est extrêmement limité dans tous les domaines, je trouve qu'il se défend plutôt bien en proposant quelque chose d'autre. Ce 4e volet s'apparente plus à film d'aventure familiale avec une histoire qui contient de nombreuses énigmes et qui s'appuie sur une bonne dose d'humour (pas souvent efficace) voir de parodie tellement que je me suis même demandé si ce n'était pas produit par Asylum, mais apparemment non ce n'est pas le cas. Voilà sans être extraordinaire ce film se laisse voir avec plaisir du moins me concernant.

"Le roi scorpion 4: la quête du pouvoir" est le quatrième opus de la saga des "Le roi scorpion". Un film plutôt cool avec des personnages plutôt sympa, les scènes d'action sont pas extraordinaire, les effets spéciaux sont pas très bien fait et une histoire intéressante mais dommage que ça ne soit pas un peu plus fantastique.

V. Webster est peut-être plus a l'aise dans le costume du grand Mathayus, mais nous sommes bien loin du guerrier conquérant l'Egypte dans LE RETOUR DE LA MOMIE. Dépaysement total dans cette suite ou le roi de rien se retrouve dans le Nord (tournage en Roumanie) pour défaire un traître (W. Kemp), ayant subtilisé le trône a son propre père (M. Biehn), en quête d'un pouvoir plus grand que lui. Une aventure plus rythmée que la précédente mais tout aussi ridicule ou Mathayus se retrouve obligé de se travestir et de suivre les divagations d'un homme (B. Bostwick) se prenant pour un poulet. Quelques tentatives d'humour, comme dans le film (ici DTV), mais c'est surtout lourdingue et sans intérêt pour la légende du roi Scorpion.

Avec la bonne quantité de pouvoir tout homme est dangereux. Mathayus (Webster) est en quête d'un cristal magique avec son partenaire et protégé. Lorsqu'ils le trouvent Mathauys est choqué par le double jeu et doit s'échapper par ses propres moyens. J'ai trouvé que le premier Roi Scorpion était très bien. Je n'étais pas un grand fan des suites du Roi Scorpion mais je pensais que The Rock était un bon choix pour les jouer. Les deuxième et troisième films ont trop essayé de ressembler à l'original mais avec un budget limité et des capacités d'interprétation très limitées ils ont fini par être des films ennuyeux et peu excitants. Avec Le Roi Scorpion 4 ils ont changé les choses mais un peu trop. Ce film ressemble à une version ringarde de la série Hercule. Si nous avons vu cette série alors quand je dis que ce film est plus ringard que celle-là. Après avoir vu la scène où le père de Valina s'habille en poulet et essaie de voler ou quand Mathayus s'habille en femme pour entrer dans un temple vous me croirez. Dans l'ensemble ce n'est pas bon film du tout. D'un autre côté c'est quelque chose que vous pouvez regarder et dont vous pouvez vous moquer mais pendant un certain temps...

Un navet d'une lourdeur rare doté d'un scénario improbable et des acteurs sans intérêt.
Une feuilleton à l'ancienne pour spectateurs dépressifs.

Une daube intergalactique. Le genre de film fait avec un budget de kermesse d'école de campagne. Un jeu d'acteur abominable, un scénario épouvantable...j'avais envie de me crever les yeux, de me les arracher et de me les enfoncer dans les oreilles pour ne plus avoir à supporter cet navet incommensurable. A des années-lumières du premier volet. La franchise est bel et bien morte dès le 2ème épisode. RIP.

si vous voulez voir un film comédie ou une parodie, se film est pour vous !. car pour moi la saga Le Roi Scorpion, c'est arrêté au 1er film