Avant de réaliser Little Go Girls, Éliane de Latour avait déjà donné à voir l'intimité des "fraîchnies" d'Abidjan, de jeunes prostituées, à l'occasion d'une exposition photographique soutenue par la Mairie de Paris en 2011.
En plus de filmer les jeunes femmes, la réalisatrice Éliane de Latour a fondé une "Casa des Go" afin de les recueillir et de les sortir de leur ghetto. C'est principalement dans cette maison que la cinéaste a tourné son film.
Little Go Girls est un documentaire pratiquement sans dialogue, la réalisatrice préférant se concentrer sur les expressions des visages et des corps de ses protagonistes.