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    Neruda
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    106 critiques spectateurs

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    26 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Ce que le film n’est pas :
    -Ce n’est certes pas un biopic : le film met en scène juste les deux années 1948-49 de la vie du poète, celles de la traque menée par le régime répressif du dictateur González Videla contre les militants communistes, et il ignore tout du passé personnel ou politique de Neruda, de ses années futures.
    -Même si le climat d’après-guerre est relaté, le film ne constitue pas non plus un document historique, puisque centré sur l’inspecteur Óscar Peluchonneau, personnage de fiction. C’est ce policier qui va pourchasser Neruda avec passion, sans relâche, pièce maîtresse riche et ambiguë de la trame dramatique, au point que la voix off du flic fait office de narrateur tout au long du film.
    -Ni un chant général à la gloire du poète. Neruda est montré comme une personne assez peu sympathique, parfois odieuse sous des rondeurs séductrices, gros ego fantasque. En bon écrivain, il tire avantage de la traque, la façonnant et jouant avec elle avec délectation pour se créer une nouvelle figure littéraire.
    -Les vers déclamés, presque chantés par Luis Gnecco/Neruda dans de nombreuses scènes, n’en font pourtant pas un film poétique. Un petit fragment de poème qui surprend le spectateur entre deux séquences un peu bavardes peut-il être émouvant ? Comme le serait l’intimité d’une lecture, bien installée dans la suite de l’œuvre.
    -Le film n’est pas davantage un thriller, tout suspense aboli par la fin connue ou prévisible. Et dès le début, on sent bien que cette poursuite est plus symbolique que réaliste et policière : une construction quasi fabuleuse. ..
    Comment avoir assez tôt la bonne lecture ?
    Des longueurs, un peu trop de verbiage, des répétitions, parfois un ennui léger lors de la séance… Mais avant même que le générique ne commence à se dérouler, dès que la fin du film confirme l’idée que ce Peluchonneau est peut-être créé par Neruda lui-même, alors vient le regret de ne pas avoir eu assez tôt la bonne lecture. Ce drôle de flic s’avère en filigrane le rôle central d'une œuvre romanesque que Neruda écrit tout au long de sa traque. Et quel personnage ! Un inspecteur de droite extrême, fils ambigu du peuple et d’une prostituée, ennemi déclaré du poète, pourtant subjugué par son génie, n’ayant d’autre ambition pour sortir de sa classe que de le mettre aux fers… Peluchonneau attendrait-il l’une ou l’autre mort pour prendre conscience de sa condition particulière ?
    Quelque chose de cubiste…
    Gael Garcia Bernal (l’acteur qui joue magistralement le rôle du flic) a déclaré que le film de Pablo Larraín a « quelque chose de cubiste ». En effet,... La suite sur mon blog
    Stéphane C
    Stéphane C

    55 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Pablo Larrain réalise comme écrivent certains grands auteurs sud américains en plongeant le spectateur dans une scène presque surréaliste et teintée de "réalisme magique". En démontant les codes du biopic, il dresse un portrait subtil et "irrévérencieux" de l'impertinent poète qui incarne incontestablement l'âme du Chili ... absolument sublime ...
    PaulGe G
    PaulGe G

    101 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 janvier 2017
    qui est Pablo Neruda, ce n'est pas avec ce film, qu'on en saura beaucoup. il s'agit uniquement de sa traque par un policier ambitieux. ce film très intelo et prétentieux se perd dans un discours souvent pénible a suivre, tant il mélange les faits et la voix of . c'est un film pour initié , mais pas un film de vulgarisation, c'est très dommage .
     Kurosawa
    Kurosawa

    525 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 janvier 2017
    On se demande maintes fois pendant la projection de "Neruda" pourquoi le film est si inconfortable. Peut-être parce qu'il est insaisissable, parce qu'il fait le contraire de 95% des longs-métrages, à savoir se complexifier - et non pas se clarifier - au fur et à mesure qu'il avance. Neruda, figure artistique et politique importante au Chili, doit fuir le gouvernement chilien qui organise une véritable chasse à l'homme, orchestrée par l'inspecteur Peluchonneau. Le nom fait rire et, en effet, ce policier a quelque chose de comique, que ce soit dans ses expressions ou dans son incapacité à seulement approcher le fugitif. On se demande d'ailleurs comment le consciencieux inspecteur, qui rêve d'un destin héroïque à l'instar de son père, ne parvient pas à arrêter un poète qui semble passer plus de temps en compagnie de prostituées qu'à composer des vers. Le problème semble trouver une réponse lors d'un échange entre Peluchonneau et la femme de Neruda : le policier n'est pas réel, il n'est qu'un personnage fictionnel créé par l'écrivain, nécessaire pour une traque finalement fantasmée et donc pas si dangereuse. Mais notre inspecteur, qui refuse de n'être qu'un personnage secondaire, ne croit pas à cette version et souhaite écrire sa propre histoire, veut en même temps narrer ce duel à distance (la voix-off est la sienne) et le remporter. Dans un dernier tiers extrêmement complexe et à ce titre passionnant, les rôles se brouillent, réel et fiction s'entremêlent et les rapports de force deviennent illisibles. Moins qu'un hommage à la poésie et à la littérature, "Neruda" est une belle déclaration d'amour à la fiction - il faut d'ailleurs noter la très belle idée des dialogues initiés dans une pièce qui se finissent dans une autre, représentation d’un début de phrase au bas d’une page et de sa fin en haut de la suivante - qui, même si elle souffre de redondances dans la première heure, vaut pour la mise en scène puissante et originale de Pablo Larraín.
    Loïck G.
    Loïck G.

    303 abonnés 1 640 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 janvier 2017
    Depuis « Tony Manero », Pablo Lorrain excelle dans l’art de la digression et du détournement de genre. Deux attributs ici joliment compilés pour retracer non pas la vie, mais une part de vérité du poète Pablo Neruda dans sa fuite d’une dictature qui lui reprochait ses écrits et sa liberté de ton dans ses interventions publiques. Le réalisateur joue habilement sur les notes du scénariste Guillermo Calderón pour illustrer cette traque d’un policier un peu en dehors des clous et un fugitif qui s’amuse beaucoup de la complainte engagée. Tel un jeu de piste, il sème sur son passage quelques œuvres dédicacées à l’intention du policier. Lorrain excelle dans cette mise en scène du jeu et de la souris, illustration semble-t-il assez proche d’une personnalité littéraire prolixe et fantasque, amoureuse de la nuit et des femmes. La poésie qui lui vient très naturellement sous sa plume, il la met bien évidemment au service d’un peuple qui ne comprend pas forcément toujours son engagement. Si le réalisateur n’est pas plus explicite sur le véritable combat du poète, c’est pour mieux laisser au cinéma son pouvoir de rêve et d’imagination engendré par une personnalité hors du commun. Ne connaissant pas à fond l’œuvre de Neruda, je trouve ce film séduisant sur le fond et sublime pour la forme. Luis Gnecco dans le rôle-titre est parfait (et assez ressemblant avec le poète) tandis que Gaël García Bernal démontre une fois encore tout son talent. Policier aux trousses de Neruda, il possède une faconde tintinesque dans laquelle il puise une richesse d’interprétation insoupçonnée.
    Pour en savoir plus
    janus72
    janus72

    44 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Film qui avance irrésistiblement vers la lumière afin d'échapper à l'obscurantisme - au fascisme, avec élégance - poésie et même humour.
    Reconstitution et Photographie superbe et deux Acteurs Extra qui servent un scénario fabulé, réjouissant - revigorant.
    Un Film à Voir surtout par les temps qui courent !
    mutabilis
    mutabilis

    25 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 janvier 2017
    Très belles photos mais le filme est ennuyeux si on n'accroche pas à l'histoire, totalement ridicule du policier qui suit Neruda dans sa cavale.
    Neruda apparait comme un homme peu sympathique, ce qu'il était probablement, c'est un bon point pour le film qui n'est pas hagiographique. L'acteur principal ressemble beaucoup à Neruda, physiquement.
    Dommage d'avoir pris le parti d'une voix off et d'avoir introduit le policier, ce qui n'apporte rien pour qui n'aime pas le farfelu.
    Mutabilis
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    167 abonnés 686 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 janvier 2017
    Présenté comme un biopic, "Neruda" se focalise principalement sur la cavale du poète pour éviter le gouvernement chilien et durant laquelle il a écrit un de ses plus célèbres poèmes. Le film est filmé de manière originale. Les séquences autour d'un même dialogue changent facilement de lieux. Cela donne de la dynamique au film et aussi appuie sur l'authenticité de l'histoire. En effet, les biopics nous montrent une vision mais nous ne sommes jamais sur de la véracité des propos. Ensuite l'histoire n'est pas très prenante et la voix-off permanente est assez dérangeante. Visuellement, le film est plutôt bien réalisé. Les acteurs sont bons, surtout Luis Gnecco. Bientôt nous verrons le nouveau film du réalisateur,"Jackie", avec Natalie Portman.
    schemaman
    schemaman

    16 abonnés 276 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 janvier 2017
    Que de longueurs dans ce film dont le spectateur ignorant de l'histoire vraie de Neruda (la connaît-on) ne parvient à aucun moment à comprendre le point de vue du réalisateur : biopic, thriller vraie, histoire contée représentant ce que Neruda aurait projeté de lui-même dans son œuvre ou, inversement, est-ce une tentative de plaquage sur la véritable histoire de l'homme d'un récit romanesque qui aurait pu être écrit par Neruda. On n'en sait rien, on ne comprends pas où est le vrai, le faux. C'est très pénible. Certaines tirades dont on ne sait si elles sont véritablement extraites des écrits de Neruda ou reconstituées pour l'occasion n'en finissent pas et n'évoquent rien aux oreilles d'un spectateur français de 2017. Bref on s'ennuie ferme en espérant en connaître un peu plus sur la fin du grand poète...mais rien. Le film ne nous apprend rien. J'ai déjà vu ce type de réalisation lent et triste comme un Fado dans d'autre œuvres chiliennes ("Nostalgie de la lumière" et sa suite "le bouton de nacre" de Patricio Guzmán). Est-ce un style commun du cinéma chilien ? Seule consolation : quand on fait l'effort de s'y intéresser, ça semble intellectuellement intéressant.
    Galactus
    Galactus

    7 abonnés 353 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 janvier 2017
    A part un bref rappel historique, rien d'accrochant dans ce film, malgré une bande annonce prometteuse.
    Christoblog
    Christoblog

    755 abonnés 1 622 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Projet d'une ambition folle, mêlant un propos politique d'une précision extrême (déroutant pour le néophyte) et une maestria en terme de réalisation qui laisse pantois, Neruda pourra abandonner sur le bord de la route plus d'un spectateur.

    Il faut en effet s'accrocher pour ne pas se perdre dans le découpage tarabiscoté du film, qu'on l'envisage dans sa totalité (le film n'est qu'une immense rêverie lacunaire qui met en scène une création de Neruda) ou à l'intérieur de chaque séquence (la même conversation peut être poursuivies par les personnages dans des lieux différents).

    Le résultat est une marqueterie délicate et éthérée, aux aspects tantôt fantomatiques (les flous, les surexpositions), tantôt rutilants (les travelings circulaires, les couleurs chaudes, les décors dans la maison).

    C'est presque miraculeux que de ce fatras grouillant et brillant ressorte une image nette de Neruda, assez iconoclaste : cynique, dur avec les femmes, distant.

    La toute fin du film, avec son onirisme plutôt "bon marché", gâche un peu à mon sens l'esthétique spectaculairement réussie que le film affichait jusque là.
    desiles ben
    desiles ben

    30 abonnés 204 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 janvier 2017
    Le point de départ était intéressant, à savoir faire parler de Neruda par l'inspecteur qui le traque au nom des autorités chiliennes.Les premières minutes, j'étais sous le charme de l'insolence des propos... mais une demi-heure après, il ne s'était rien passé si ce n'est que Neruda, poursuivi par le régime, avait changé de lieu de résidence. Trois quarts d'heure plus tard, rien de nouveau sous le soleil. Au bout d'une heure, quel ennui !!!
    Chris58640
    Chris58640

    185 abonnés 733 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 janvier 2017
    Il ne s’agit pas d’un biopic et c’est peut-être une mauvaise idée que d’avoir nommé sobrement son film « Neruda ». On pourrait s’imaginer (bien à tort) qu’on va assister à une longue évocation de la vie du poète avec forces passages lyriques. Or « Neruda » n’a rien d’un biopic, le film de Pablo Larrain n’évoque d’une petite partie de la vie de Pablo Neruda, celle qui précéda son exil en Europe pour échapper à la police chilienne mandatée par un pouvoir politique aux ordres de Washington. Larrain choisi de faire de Pablo Neruda un héros de polar, ce n’est presque pas exagéré que de dire cela. Il décrit un Neruda très engagé mais pétri de contradictions, qui s’amuse de la situation comme si elle n’était pas dramatique, il se déguise en curé pour aller au bordel, se grime lorsque les conditions l’exigent, sème des romans policiers à l’intention de son « chasseur », fait parvenir ses écrits jusqu’en Europe au nez et à la barbe des autorités. Bref, il met en scène sa cavale pour mieux servir à la fois ses engagements, mais aussi, il faut bien le reconnaitre, sa mégalomanie. Homme à femme, un peu égocentrique et flamboyant dans ses excès, Neruda est bourré de petits défauts mais semble immédiatement (dés la toute première scène des les toilettes du Sénat) sympathique. Nul doute que l’on pardonne tout aux génies, même quand ils ont en privé une attitude parfois contestable. La relation qui le lie à la peintre Delia Del Carril est emblématique de ce que je viens de dire, il ne la traite pas très bien, il finit même par l’abandonner au Chili alors qu’il s’exile mais elle continue de le défendre, de l’aimer, de le protéger. Le scénario met en scène deux personnages principaux, Neruda (campé par un Luis Gnecco impeccable) et un Oscar Peluchonneau (quel nom étrange pour un policier chilien !) obstiné, manipulé et surement conscient de l’être qui fait de la traque du poète une affaire presque personnelle. C’est un mes acteur chouchou qui incarne Oscar, Gael Garcia Bernal. Et une fois de plus, il fait la preuve de son talent : toujours sobre, toujours juste, attendrissant alors qu’il incarne quand même un flic aux ordres d’un pouvoir quasi dictatorial, Peluchonneau est un « Yin » du « Yang » Neruda, aussi sérieux et austère que Neruda est flamboyant. Jusqu’au bout du bout du Chili et de ses possibilités, il poursuivra Neruda et participera à sa légende. Je ne sais pas du tout si cette traque est véridique, légèrement romancée ou carrément inventée. Mais au fond, ça n’a pas d’importance. Au bout d’un moment, on se dit qu’on est davantage devant un conte que devant une tranche de vie, que c’est le Neruda rêvé de Larrain qui vit à l’écran plutôt que le véritable poète mondialement connu. Je ne vais pas jusqu’à dire que le film donne envie de se plonger dans l’œuvre du poète, parce que les longs poèmes de Neruda ne sont pas forcément la « cup of tea » de tout le monde. Mais on peut être admiratif de l’homme politique (avec toutes les réserves que le stalinisme suppose) et de la flamboyance de ses idées. Une scène m’a paru importante et pertinente, assez courte, lorsque Neruda est interpellé par une militante ouvrière (ivre) dans un restaurant. Elle lui reproche, à demi-mot et de façon un peu maladroite, de vivre confortablement pour un communiste et de lui demander avec une certaine pertinence « Lorsque le Révolution aura lieu, nous serons tous égaux. Mais nous serons égaux comme vous ou comme moi ? », ce qui est une bonne question, quand même… Point de vue réalisation, le film de Pablo Larrain a les mêmes caractéristiques que « No », ce qui confirme que ce réalisateur a une « patte » bien identifiable. Larrain tourne « Neruda » comme un vieux film des années 50, avec des couleurs délavées, une photographie volontairement « vintage », multipliant les plans surexposés, les reflets du soleil sur la caméra, bref… tous ces petits défauts gommés par le cinéma moderne et ultra technologique. Je le soupçonne même, lorsque ses personnages sont en voiture ou à moto, de faire défiler en arrière plan des images comme on faisait dans les films d’Hollywood dans les années 50 ! Larrain, c’est le contrepied total du cinéma hyper léché et hyper produit d’aujourd’hui. C’est un parti pris qui se défend, mais ça reste un parti pris étonnant et un peu déstabilisant quand même pour le spectateur. La musique est assez discrète, la reconstitution plutôt soignée et je reconnais que les dernières scènes, dans la Cordillère des Andes enneigées, sont visuellement magnifiques. Deux petits défauts malgré tout, la voix off de Peluchonneau est omniprésente et cela finit par agacer un tout petit peu. Et puis, son film qui dure 1h50 a quelques trous d’air, quelques petites baisses de rythme. Par moment, malgré tout l’intérêt de ce qui se passe à l’écran, on se prend à décrocher un petit peu et a se dire que cette traque va finir par tourner en rond. Heureusement que les scènes finales, dramatiques et magnifiques, ne laissent pas perdurer cette impression. La fin du film, justement, est un poil onirique, un poil ambigüe sur le destin du policier. Elle ne maquera pas de déstabiliser quelque peu le spectateur, sans que cela ne gâche la bonne impression d’ensemble du film de Pablo Larrain.
    domit64
    domit64

    37 abonnés 230 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Un polar poétique, on peut toutefois regretter le manque de fond historique, et l'absence des prolétaires et de la classe moyenne qui se sont aussi battus durant cette période.
    Neruda est présenté comme un homme assez futile et pas des plus sympathique, on s'attache plus facilement au policer qui le traque... Belle réalisation et belles photos.
    Lussou I.
    Lussou I.

    11 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    In su por ta ble tellement que j ai été prise d une crise rare de fou rire je déconseille fortement
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