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    Passion
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    ninilechat
    ninilechat

    68 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mai 2019
    Etait-ce indispensable de diffuser le premier film de Ryusuke Hamaguchi qui nous a tant ravis avec Senses et Asako? Ce qui apparaît comme un brouillon de jeunesse (c'est son film de fin d'études)  ressemble fichtrement aux oeuvres de notre très ancienne "nouvelle vague". Les centenaires se rappelleront vaguement des Tricheurs, du Jeu de la Vérité (il y en a un justement dans le film, interminable et sans queue ni tête.) Sauf que tous ces acteurs japonais inconnus sont bien meilleurs que nos anciens.... 

              Au début, une bande d'amis (amis? ah bon?) se retrouve pour un dîner d'anniversaire. Après, les femmes rentrent sagement se coucher, les garçons restent à traîner dans les bars. Apparemment, c'est comme ça que ça se passe au Japon: on sort entre hommes.... Ils sont plutôt aisés, enseignants, thésards (sauf l'un qui fait une carrière dans l'industrie). Lorsque le film commence, Tomoya (Ryuta Okamoto) et sa compagne Kaho (Aoba Kawai) sont prêts à annoncer leur mariage. Ce qui désespère Kenichiro qui adore Kaho en secret.... Tomoya est un beau garçon frimeur et dilettante. Kenichiro un ours grincheux. Quant à Takeshi, lui est marié et, avec sa femme, ils attendent leur premier enfant. Bref, Takeshi (si ce n'est qu'il est secrètement complexé de ne pas être universitaire) a l'air sur la bonne voie.... mais il explosera comme les autres lorsque les trois garçons finiront la soirée chez Takako (Fusako Urabe), une fille indépendante et libérée qui a couché avec à peu près tout le monde..... Tout le contraire de Kaho, gracieuse et délicate, enseignante sensible et bourrée de questions éthiques. Sur le refus de la violence qui gangrène la société par exemple.... Les questions existentielles que se posent les garçons: faut il s'installer en couple stable ou multiplier les copines..... Bon!

              Tout cela, il faut le dire, n'est pas franchement intéressant, mais ce qui explose déjà c'est l'extraordinaire talent de Hamaguchi à composer des images, de zones industrielles ou de quartiers résidentiels avec leur entassement hétéroclite d'immeubles; de manier les couleurs, un rouge sombre venant souvent ponctuer un décor clair. Ainsi qu'à obtenir des acteurs qu'ils donnent le meilleur d'eux mêmes....
    dominique P.
    dominique P.

    785 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 mai 2019
    Comme je l'ai déjà dit, j'adore les films asiatiques et en général je vais toujours les voir.
    Celui-là est excellent.
    C'est un peu trop bavard mais les dialogues sont si vrais, si justes sur les relations sentimentales et sexuelles !
    Tout un chacun peut se reconnaître dans l'un ou l'autre des personnages.
    Ce film m'a captivée et je l'ai beaucoup aimé.
    islander29
    islander29

    758 abonnés 2 273 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 mai 2019
    quelle sensibilité ce film….Il fait penser au cinéma plus cérébral des coréens...Dissection en direct sous le bistouri des sentiments amoureux….La thérapie ? il n'y en a pas...Le sentiment amoureux ne se met dans aucune case, il varie d'un couple à l'autre, d'une relation douce d'une femme avec deux hommes , d'une homme pour une femme qui le méprise….il est complexe, d'autant plus complexe qu'on analyse….Et c'est là que le bats blesse...Dns un couple à un moment donné on jette l'éponge , on s'habitue c'est tout comme dit la chanson...C'est l'intérêt de ce film, de savoir qu'à trente ans, on cherche encore sa moitié, dans des soirées arrosées, dans des repas, sur des ports remplis de containers...Le film est d'une maturité exceptionnelle, ( sans savoir l'âge du réalisateur), je lui tire mon chapeau….J'ai appris des choses sur moi même comme quand on lit un bon bouquin.....Le film se compose de scènes audacieuses, de dialogues (un peu à la coréenne, je me répète) et elles ont de l'intérêt (ma préférée est celle sur le port, pleine de facétie (est ce un hasard, si quand l'amoureux touche le nez de celle qu'il convoite, une énorme corne de brume de bateau retentit), quelle trouvaille ???? Il y a du Godard dans cette séduction que tout le monde désire et que nul ne sait atteindre, autant femmes que homme….la scène dans la classe sur la non violence, vaut à mon avis bien des discours littéraires ( que d'intensité dans la rhétorique)...Je dis ça, je ne dis rien, si vous voulez découvrir une partie de votre âme, les japonais ont l'art et la manière de vous aiguiller….Je conseille, c'est brillant…..
    traversay1
    traversay1

    3 090 abonnés 4 623 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 mai 2019
    Après Senses et Asako I & II, il était tentant de voir ce que Ryusuke Hamaguchi avait tourné auparavant, alors qu'il n'avait que 30 ans. Passion, son deuxième film, peut donc se lire comme un essai de son oeuvre à venir, quelque chose comme un brouillon, avec des qualités, comme ce goût de l'exploration des sentiments et du romanesque mais aussi pas mal de défauts, notamment une mise en scène pas très assurée, qui entre finalement en résonance avec les affections de ses protagonistes, un peu hésitantes. Dans ce qui s'annonce comme une sorte de jeu de la vérité, cruel et libérateur, les hommes de Passion, au seuil de la trentaine, n'en sortent pas grandis, face à des femmes qui semblent plus mûres et honnêtes, au même âge. Il y a un côté marivaudage dans le film, pas désagréable, mais tout de même trop bavard, qui rappelle non pas Rohmer mais plutôt le grand cinéaste Yasuzo Masumura, mais en moins cynique et sensuel. Passion est évidemment aussi narrativement bien plus faible que Senses et ce n'est pas qu'une question de longueur. Les personnages sont moins aboutis du point de vue psychologique, ce sont même des lacs d'inconstance, et il manque surtout de l'émotion à ces péripéties sentimentales. Maintenant, si les distributeurs s'intéressaient à nouveau à Hamaguchi pourquoi ne pas aller voir du côté de son tout premier film, le remake fort intrigant du Solaris de Tarkovski ?
    Claudine G
    Claudine G

    180 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 mai 2019
    Je ne trouve pas le qualificatif adéquat pour ce film, qui n'a rien de passionnant. Que de longueurs...de plus des personnages qui ne savent pas ce qu'ils sont réellement, ni où ils vont. Ennuyeux à mourir !!!
    Anne M.
    Anne M.

    62 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 mai 2019
    Le cinéaste japonais réalise ce film en 2008 , bien avant « Senses » et « Asako ». C’est à présent qu’il sort dans les salles françaises.

    « Passion » m’a un peu déçue et ennuyée, je l’ai trouvé assez fade, sans relief ni humour.

    C’est l’histoire de femmes et d’hommes trentenaires, des intellectuels, en couple ou amants. Tendus entre leurs désirs, leurs amours et désamours, leurs envies de stabilité mais aussi de liberté (ou libertinage), ils se déchirent les uns les autres alors qu’a priori il s’agit d’un groupe d’amis.

    Le regard que pose Ryusuke Hamaguchi sur les personnages n’est ni tendre ni bienveillant, je dirais naturaliste, nihiliste voire cruel.

    Il radiographie les impasses relationnelles de chacun de ces jeunes adultes, c’est intéressant, mais dommage que ça manque de saveur. Mon film préféré du cinéaste reste « Asako », bien plus abouti et spirituel.
    Mon blog : larroseurarrose.com
    Kiwi98
    Kiwi98

    242 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mai 2019
    Kaho et Tomoha sont en couple depuis dix ans, et annoncent à leurs amis leur intention de se marier. À partir de là, s’installe une tension malséante vis-à-vis de leur groupe d’amis, dont fait notamment parti Kenichiro, secrètement amoureux de Kaho. Encore des amourettes fastidieuses, pourrait-on penser. Et pourtant, face à un tel sens du cadrage, de la narration et de la théâtralisation, il est difficile d’imaginer que « Passion » est bel et bien, initialement, un film d’étude, produit en 2008 par l’Université des Beaux-Arts de Tokyo. Ici, le réalisateur, Ryusuke Hamaguchi, travaille le déroulement de son film comme s’il s’agissait là d’un quotidien performé, nous plongeant dans le cahin-caha des sentiments, de fil en aiguille. Si le film dispose des nombreux défauts faisant le charme des films d’étudiants (caméra hasardeuse, son récalcitrant), il donne tout même, très rapidement, à constater une formidable maturité technique, doublée d’une subtile approche thématique.

    Parler d’amour, et plus généralement de sentiments, n’est guère chose simple sous le joug du grand écran. Pourtant, à trente ans, Hamaguchi nous apporte déjà une formidable démonstration de sa sagesse. Son travail sur l’ambivalence n’est d’ailleurs pas sans faire penser à un certain John Cassavetes. Nous apprivoisons ici une indécelable dissection de chaque profil, et ce à travers un dispositif qui, entre les mains d’Hamaguchi, paraît comme un miracle. Filmer jusqu’à ce que les comédiens s’arrêtent de jouer, pour ainsi capter l’impalpable : le vrai. Hamaguchi suis les pas d’une vérité en forme de point d’interrogation. Comment vivre dans un monde où l’on ne peut exprimer ce que l’on ressent ? « Passion », au-delà de ses personnages, capte ainsi la pression sociale, les environnements, codifiés, hantés par la peur du malaise.

    À la fin du film vient une séquence mémorable : celle où Kenichiro dévoile ses sentiments à Kaho. Traduite sous forme de plan séquence quasiment fixe, la scène nous dévoile un décor industriel, au petit matin, où marchent les deux protagonistes. Hamaguchi repousse l’image à une certaine forme de paroxysme : les comédiens ne jouent plus, ils sont eux même, tandis que l’image demeure comme inerte, face à eux. À la fin, lorsque les deux comédiens ne peuvent tout simplement plus jouer, un ballet de camion se met en place derrière eux. Miracle. Le hasard, entre les mains d’Hamaguchi, devient choral, un long spleen progressif entre la nuit, où les sentiments se heurtent, et le jour, où ils ont la gueule de bois.

    Outre son développement profond vis-à-vis de l’expression des sentiments, « Passion » aborde également, non sans délicatesse, la thématique du pardon, de la violence. Certes, il le fait d’une manière souvent extrêmement inégale, soustrayant peut-être, in fine, trop souvent les protagonistes à ce qu’ils sont. Pourtant, même ces excès moralistes ont leur place au sein de ce récit intime, mais pas voyeur. Limitant au maximum les environnements (un restaurant, un appartement, une école), Hamaguchi capte, avant tout, la manière avec laquelle les personnages changent en fonction de où, et avec qui ils sont. Chacun, finalement, trouvera sa façon d’être sincère, pour mieux calculer, à l’instar du spectateur, sa conclusion sur ses énigmes intérieures. Entre vertige et vestige de l’autre. Evanescent.
    nadège P.
    nadège P.

    125 abonnés 538 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 mai 2019
    C'est un film très réussi et brillant.
    Et aussi, comme l'ont souligné certains, très élégant.
    Le réalisateur sonde les coeurs des protagonistes.
    Ce film m'a passionnée de bout en bout.
    Si on aime pas les longs bavardages et les films lents et psychologiques, vaut mieux s'abstenir, sinon, allez-y, ce film vaut le coup.
    Christoblog
    Christoblog

    741 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juin 2019
    C'est à la fois très étrange et passionnant de découvrir aujourd'hui le premier film de Ryusuke Hamaguchi, après avoir fait la connaissance du jeune japonais à travers son oeuvre fleuve Senses, suivi très rapidement par le modeste Asako I&II.

    Il y a dans Passion tous les ingrédients du monde d'Hamaguchi : des nuits qui n'en finissent pas, des dialogues interminables d'une violence parfois sidérante, et qui n'ont parfois que peu de rapports avec l'action, des effets de mise en scène surprenants dans un océan de banalité, des personnages de femmes incroyablement fortes et peu politiquement correctes.

    Dans ce film, techniquement moins bien finalisé que les suivants (des images sont un peu sales, le cadre flotte parfois), les intentions du réalisateur sont plus franches et plus violentes que dans Senses et surtout que dans Asako. On est ici dans une sorte de vaudeville cassaveto-rohmérien à la sauce nippone, scandé par des comportements étonnants (le personnage joué par Fusako Urabe, clairement portée sur le sexe) et des moments surréalistes (le discours de l'institutrice, le jeu action vérité). Certaines scènes sont sublimes, à l'image de ce plan au lever du soleil, lors duquel les deux personnages entrent très progressivement dans le champ.

    Du point de vue du rythme et de l'intensité du scénario, Passion est sûrement le film le plus accessible d'Hamaguchi, et le plus immédiatement plaisant.
    Hotinhere
    Hotinhere

    417 abonnés 4 736 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2020
    Chassés-croisés amoureux d'une génération de trentenaires japonais à Tokyo. Même si le film est inégal, n'en reste pas moins une subtile et sensible étude de mœurs à travers une psychologie très fouillée des personnages.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    68 abonnés 482 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2019
    C’est sans doute le beau succès d’estime justifié de Senses puis Asako,qui fait que ce film plus ancien soit distribué en France maintenant.
    Marivaudage, jeu de la vérité, je t’aime moi non plus; les références à la « nouvelle vague » sont bien là!
    Dans la salle de classe, j’ai beaucoup aimé le dialogue, prof, élèves, sur le bien le mal, le pardon….
    Pas vraiment habitué à cette mise à nu des personnages, dans la culture japonaise…
    Une fine analyse des "jeux de l'Amour" .
    « On a vu souvent rejaillir le feu d’un ancien volcan qu’on croyait trop vieux »
    colombe P.
    colombe P.

    124 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 juin 2019
    Ce film japonais est une petite pépite.
    Les relations sentimentales et les relations amicales sont disséquées profondément.
    C'est très bien observé et réussi.
    Vraiment fabuleux, j'ai adoré.
    Min S
    Min S

    49 abonnés 437 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juin 2019
    Excellent film passionnant !
    Beaucoup des vérités dans les dialogues sagement réfléchis, la façon de filmer original, cette combine donne de l’authenticité à l’histoire qui parle sûrement à tout le monde.
    Contraste culturel marqué ��💫✔�🎞
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    46 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 mai 2019
    Vu et avis le 20190519

    J apprécie beaucoup.

    Je le savais déjà et ça se confirme une fois de plus, ce n est que le troisième film que je vois de lui et des le second je savais que le réalisateur est déjà dans le plus petit nombre de mes réalisateurs vraiment préférés. Ce qu il dit m intéresse profondément ainsi que sa façon de le dire.

    Le film ne commence pas très bien. Je n ai pas apprécié la sequence du restaurant qui ouvre le film. Je trouve les protagonistes filmés de trop près. Il y a de nombreux plans montés cut les uns après les autres au début. Ces images sont montées tellement rapidement, les acteurs sont tellement en gros plan, le passage de l un à l autre tellement abrupte que cela ne m a pas plu. J ai trouvé cela inutilement fatiguant. La petite scène dans le taxi qui précède était très bien. On voit très bien qu elle est moteur dans ce qui se passe et qu il ne fait que suivre. Ce qui se confirme au restaurant lorsque ça se réalise. Mais cette séquence dans le taxi pèse trop peu par rapport au restaurant, on ne connaît pas encore les enjeux du film. C est bien avec le restaurant que le film se pose, et le résultat me semble moyen.

    C est à peu près la seule faiblesse que je trouve au film.bien sûr la séquence au lycée tranche lorsqu elle intervient et détonne par rapport à la totalité du film. C est la seule chose du film qui se passe en dehors du cercle relationnel, c est le moment où il y a le plus de monde, c est le seul moment intermédiaire entre le huis clos dans une pièce à très peu et les extérieurs dégages qui font respiration. La séquence de discussion élève professeur fait parenthèse / digression. On commence avant sans parler et elle se termine de retour dans l appartement quand elle refuse d en parler. Il faut attendre la soirée entre Tomoya, Takako et Takeshi pour bien comprendre que le film cherche à dresser des portraits et que la séquence du lycée fait partie du portrait de kaho. Cette séquence au lycée est assez étrange mais ne m a pas perturbé d aucune façon.

    J ai trouvé les noms des personnages dans l article ‘ Splendide ébauche de «Passion»’ de libération. J approuvé largement ce qu il dit tant bien même que j avais probablement oublié la scène de la belle mère. Je comprend le journaliste qui parle de sa scène préférée car à ses yeux la plus jolie esthétiquement. Personnellement j ai préféré celle du retour à l appartement de takako lorsqu ils sont à trois à chercher à trouver leurs vérités. Je privilégie souvent le message à l esthétisme. D autant plus que la projection avait un double probable souci. Bas de l image un peu coupé sûrement et l image probablement pas tout à fait assez lumineuse. Aussi dans cette scène dont parle la journaliste, j ai très longtemps cherché les acteurs à l image m empêchant d être suffisamment concentré sur ce qui se disait.

    J apprécié beaucoup ce cinéma que je trouve touchant sincère et élégant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 septembre 2019
    Wiz Passhon ande craiezy lovu zis mouvie, dans la suite illogique casse tête rêve éveillé d'Asako I & II au début de la même année 2019 sortie dans les salles françaises. Un degré au dessus de la moyenne, comprenant son précédent film à la mise en scène intéressante, méticuleuse en durée et au scénario d'égaré vers le point du non-retour. Des pouvoirs sensoriels hypnotiques cette réalisation japonaise, la bouffe est très bonne et ne déçoit pas.
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