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    Les Fantômes d’Ismaël
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    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 142 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 mai 2017
    Bon… Ça fait une semaine que j’ai vu ce film là et je ne sais toujours pas quoi en dire. Je ne veux pas tomber dans la diatribe gratuite, le défoulement cathartique, la critique facile et peu constructive… Mais bon… Ouah quoi… C’est chaud quand même… Je veux bien garder l’esprit ouvert à l’égard de ce cinéma qui, socialement, est très « segmentant » pour le dire poliment, mais avec ces « fantômes d’Ismael » - je suis désolé - mais c’est juste… trop. Le film est incroyablement bavard. Ça parle tout le temps. Et ça parle souvent pour s’écouter parler… Dès les premières scènes, le premier truc qui saute aux yeux (ou plutôt aux oreilles parce qu’à dire vrai les yeux n’ont pas grand-chose pour être stimulés) c’est qu’à AUCUN moment, on peut s’imaginer entendre parler des gens comme ça dans la vie de tous les jours. Non, là, on est dans une théâtralisation du verbe très accentuée et très affirmée, à la fois dans ce qui est dit et dans la manière dont c’est dit. Alors soit, c’est un genre qu’on peut vouloir se donner, mais bon, difficile du coup de rentrer dedans. Le pire c’est qu’au départ j’étais prêt à excuser ça en me disant « l’intro est sensée se passer dans une fiction inventée par le personnage principal donc pourquoi pas »… Mais bon, dès qu’on sort de la fiction c’est presque pire ! En soi, pour moi, ça c’est déjà à la limite du supportable, mais en plus il a fallu que ce soit atrocement mal écrit. Roh mais ces dialogues didactiques qui ne savent même pas cacher leurs effets de manche ! Mais sincèrement c’est épouvantable. « Mais pourquoi dites-vous cela beau-papa, vous qui vous êtes toujours demandé quel rapport étrange vous entreteniez avec Carlotta lorsque celle-ci était adolescente ? – Je le dis parce que je n’ai jamais compris pourquoi elle a décidé de vous épouser à l’âge de vingt-ans pour ensuite passer deux années de vie commune avec vous, Ismaël ! – Ah ! Mais vous savez très bien comment cela s’est fini tout cela. Après deux ans elle a disparu et c’est quand même moi qui ai été contraint de signer l’acte d’absence… » Alors OK, ces dialogues que je viens de vous faire ne sont pas exactement ceux du film parce que – pour être franc – les dialogues originaux se sont déjà totalement effacés de ma mémoire, mais en gros, c’est vraiment dans cette veine là que c’est dit. Or, là - encore désolé - mais on ne pourra jamais me faire croire que ça, c’est le summum de l’art de l’écriture ! Et le pire c’est que tout le film est comme ça ! Toute cette écriture en plus est au service d’une intrigue amoureuse assez indigente… J’ai lu que pour ce film Desplechin s’était beaucoup inspiré de sa vie ; eh bah franchement c’est bien triste pour lui quand-même... Parce que l’Ismaël, on nous le présente clairement comme un gars qui s’écoute parler dans des bars (…ce qu’adorent les femmes à croire le film) ; qui ensuite opère clairement du harcèlement en pleine rue pour monter dans l’appartement d’une fille qu’il a accosté (…mais ce qu’elles adorent malgré tout, toujours d'après le film !), et qui – tout le long de l'intrigue – se comporte et parle comme un gars qui a clairement un gros problème avec la bouteille (…mais ce que les femmes adorent encore et toujours !) Donc bon… Moi déjà, en termes d’empathie, j’ai eu du mal. Mais en plus, il a fallu que cette histoire repose sur un triangle amoureux dont les ressorts, pour moi, ne fonctionnent clairement pas. Le film pose quand-même le personnage d’Ismaël au cœur des enjeux (choix très égocentrique et pas très judicieux à mes yeux), et c’est donc au travers de lui qu’on se doit de ressentir le dilemme qui le tourmente. Le problème, c’est que là, le dilemme, il est tout tranché. On peut comprendre tout le contexte qui fait qu’Ismaël est émotionnellement à vif au sujet de Carlotta, mais d’une part le spectateur lui ne peut pas ressentir ce dilemme car Carlotta n'est d'abord jamais présentée en tant que personnage à part entière (On ne nous la montre même pas. Elle n’existe qu'en tant qu'idée, juste pour justifier la névrose d’Ismaël, seul personnage qui, dans ce film, a visiblement le droit d’exister) et puis, de deux, quand elle apparaît, qu’elle prend enfin chair à l’écran, elle nous apprend qu’en fait elle n’est qu’une pimbèche qui a préféré partir au loin pour fuir Ismaël (...ce qui n’est d’ailleurs même pas une découverte pour qui a vu la B.-A.) Bref, dans l’esprit du spectateur, je ne vois pas comment on peut s’approprier, ni même comprendre le dilemme d’Ismaël. Qu’il ait du mal à se remettre les émotions en place quelques jours, OK. Mais bon, après ça, au bout d’un moment, la raison a quand même le droit de prendre le dessus, non ? Bah non… Pas dans ce film. Pas chez Despleschin. Alors on va continuer à parler théatraleusement pendant des heures sur le mal-être du pauvre Ismaël, pauvre garçon incapable de gérer des émotions que la plupart des gens ordinaires maîtrisent vers l’âge de quinze ans… Bon, après on me rétorquera peut-être que les tourments d’un artiste, ça ne se dompte pas de la même manière, que c’est de la soie délicate, de l’or à l’éclat sans pareil, que ça nous éveille à la vérité subtile du monde qui nous échappe… Bah voyons... En tout cas, ceux qui comptaient venir pour voir du cinéma m’auront aussi sûrement compris : ce n’est clairement pas avec ces « Fantômes d’Ismaël » qu’ils se régaleront. D'ailleurs sur ce point, juste pour la blague : sachez que le film a été tourné en cinémascope et cela juste pour que 80% du temps on fasse des gros plans sur les visages et des travellings latéraux dans des pièces closes… Ouah quoi… Donc voilà… Si vous allez voir ce Desplechin, sachez que vous irez voir du théâtre filmé. Du « gros théâtre bien grossier » filmé. Ah ça c'est sûr : le gars ne vous trompera pas sur la marchandise. Ça parlera tout le temps, ça en fera des tonnes (avec la palme pour Amalric qui donne l’impression qu’il fait un AVC à chacune de ses répliques – des restes de son jeu dans « le Scaphandre et le papillon » sûrement…) et surtout ça s’atermoiera en permanence sur le « moi » ; le « moi » tourmenté, le « moi » qui a des vrais problèmes intéressants de « moi »… Aimera qui voudra. Je ne leur en tiendrai pas rigueur… Mais bon, il faut comprendre que pour des gens comme moi, qui ne se reconnaissent absolument pas dans ce type de cinéma (ni de personne), aussi bien dans le fond que dans la forme, ce genre de film, ça a autant d’intérêt qu’une séance visionnage des films de voyage du voisin… No offense, j’espère…
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    99 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 mai 2017
    Les fantômes d’Ismaël recoupe les différentes obsessions du cinéaste. Malgré le casting, ce film trop décousu peine à séduire.
    Clement D.
    Clement D.

    18 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 mai 2017
    déception, même si le film offre de beaux moments de cinémas .... et de jeux
    on aimerait être touchés mais personnellement je ne suis entré en empathie avec aucun des personnages et j ai trouvé la narration très pénible , j avais juste envie que cela se finisse
    dommage le générique de début est beau je n'ai pas pris le temps de voir celui de la fin , je suis sorti en courant !
    titicaca120
    titicaca120

    347 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 mai 2017
    malgré ma bonne volonté je n'ai pas découvert de véritables
    bons moments dans ce film qui est long ennuyeux et confus.
    les acteurs sont bons mais ne nous procurent aucune émotion.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    916 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mai 2017
    Une première partie autocentrée sur le personnage principal: un portrait assez vaniteux puis une dernière partie politique, déstructurée et incompréhensible.
    Au final franchement ennuyeux avec sa musique pathétique aux faux airs de Ravel.
    Agathe R.
    Agathe R.

    12 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 mai 2017
    L’histoire est décousue. Le parallèle mené par Louis Garrel n'a ni queue ni tête avec l'intrigue principale. Je me suis posée la question tout le long du film "est-ce Amalric plus jeune ? Est-ce le personnage principal de son film qu'il tourne en même temps ? Le lien n'est pas évident et les scènes nous perturbent plus qu'autre chose sans parler des autres scènes avec des bureaucrates parlant autour d'une table de qui ? C’est le portrait d’Ivan, un diplomate qui traverse le monde sans n’y rien comprendre. C’est le portrait d’Ismaël, un réalisateur de film qui traverse sa vie sans n’y rien comprendre non plus. Pourtant, Ismaël dans son grenier essaie de faire tenir ensemble les fils de la fiction… Un film long très long ....
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    46 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mai 2017
    Vu et avis le 20170529

    Je suis assez partagé entre ce que j ai apprécié et ce qui m a déplu. Au final pas mal mais trop confus et prétentieux.

    Graphiquement, le film propose beaucoup de choses intrigantes qui méritent le coup d œil : les incrustations de visage qui traversent l écran au début, une caméra posée avec un angle très improbable pour souligner l ivresse d ismael dans le train, la vue derrière la vitre du metro qui est remplacé par les délires d ismael.

    En revanche le film devient confus à vouloir mélanger plusieurs histoires : celle d ismael avec ses femmes, celle du film qu il fait, et chaque histoire n est même pas linéaire et est raconté à 5 époques peut être. On comprend bien ce qui relève de quelle histoire et quelle époque, mais le découpage est fatiguant : trop ostensible - regardez comme mon film est monté.

    L histoire est intrigante et tout à fait porteuse : une femme disparaît pendant 20 ans et resurgi. J ai trouvé cela très intéressant, mais trop lourd avec le montage. En plus, il y a eu des essais de dynamisme avec caméra à l épaule inutilement instable ( la coursive circulaire d un phare où je ne sais plus quoi, on suit une femme cachée par l arrondi du virage que l on revoit en se rapprochant et disparaît à nouveau avec l arrondi - la caméra à des mouvements droite gauche alors que plus rien ne bouge sauf la caméra). Beaucoup de caméra subjective pour montrer le désarroi d ismael, son ivresse, sa démence.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 18 mai 2017
    Film d'ouverture cette année à Cannes,
    "Les Fantômes d'Ismael" n'est pas le film de la compétition qu'il faudra aller voir.
    Son rythme bâtard, son scénario incompréhensible et sa mise en scène ratée n'apportent que frustration aux spectateurs.
    Heureusement que le trio d'acteurs vedettes arrive à sortir son épingle du jeu et que les dialogues sonnent beau à l'oreille.
    S'enthousiasmer pour un tel film est digne d'une fière et ridicule branlette intellectuelle.
    stanley
    stanley

    57 abonnés 751 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mai 2017
    Les fantômes d'Ismael est pour moi une grosse déception et je ne comprends d'ailleurs pas l'accueil, en général bon, de la critique. Ah, la politique des auteurs! Après une scène d'ouverture dans un ministère assez réussie, le film s'enlise pendant une heure dans un ennui sans fond. Des acteurs (surtout Amalric) qui en font trop, une qualité de photographie médiocre, une intrigue sans finesse et qui me plongea dans un ennui total, des références permanentes à deux chefs d'oeuvre, Ulysse de Joyce (Bloom et Dedalus), Vertigo (Cf le nom de la femme Carlotta et la musique d'Hermann jouée au piano) rendent la première partie presque ratée totalement. Par la suite, je suis enfin rentré dans le film au moment où je faillis en sortir au vue de mes baillements! Par éclats, le meilleur de Desplechin revient agrémenté d'un humour imprévu. Deux très belles scènes, celles d'amour effeuillée puis l'ultime devant le PC. Quelques belles idées du film dans le film et la scène de Bloom et de sa fille. Cette deuxième partie émeut parfois mais la vraie thématique concernant le cinéaste et son oeuvre n'est que peu passionnante et ses fantômes éteints. Un film médiocre.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 169 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 mai 2017
    Film d’ouverture au Festival de Cannes 2017, Les Fantômes d’Ismaël raconte l’histoire d’un cinéaste troublé entre sa vie imaginée, la réapparition d’un amour disparu et la rencontre avec une femme qui lui ressemble étrangement. Charlotte Gainsbourg est brillante comme toujours. Marion Cotillard et Louis Garrel délivrent une prestation convenable. Mais c’est Mathieu Amalric qui, fidèle à lui-même a cette étiquette de tombeur malgré son apparence intolérable. En multipliant ses récits Arnaud Desplechin nous offre un scénario complexe mais mené avec un kitchissime plutôt navrant. Les Fantômes d’Ismaël est un mélange de désirs pervers et orgueilleux.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44
    jaja77
    jaja77

    57 abonnés 1 326 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 mai 2017
    une première partie durant les 45 premières minutes cela est très bien avec une belle histoire originale sur le trio amoureux qui s'aiment se découvrent se déchirent mais dans la seconde partie tout par en vrille, cela devient vite confus et incompréhensible dû à un trop grand mélanges de plusieurs vies des personnages qui procure trop de lenteurs longueurs lassitude et trop d'ennuie. heureusement les personnages jouent assez bien qui sauve un peu le film. donc une fois visionné, on oublie de suite. le film le plus ennuyeux que j'ai vu depuis des lustres, pourtant je suis bon public donc pour moi, à éviter si pas de carte illimité car vous serez déçu d'avoir payer pleins pots une place de ciné pour ce film que je classe de mauvais. ouf, j'ai la carte donc ça va.
    Marie G
    Marie G

    21 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 mai 2017
    J'ai trouvé que ce film était un véritable navet surjoué avec des personnages hystériques. Insupportable. Film bien trop prétentieux et nombriliste qui n'a ni queue ni tête.
    nathaliewell
    nathaliewell

    19 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 mai 2017
    Que dire de ce film sans vouloir être blessante pour le travail de certains acteurs et du réalisateur ? Pour avoir vu et aimé plusieurs films d'Arnaud Desplechin, j'ai voulu voir Les fantômes d’Ismaël en ouverture du festival de Cannes mais j'avais une petite appréhension quant à la présence de Mathieu Amalric que j'ai vraiment du mal à supporter tant il est insupportable à regarder jouer au cinéma ! ,Au bout de 15 minutes j'en ai déjà ras le bol de subir un navet aussi INSUPORTABLE !! C'est mauvais, mal joué, trop théâtrale mais surtout VIDE ! Deux heures d'ennuis soporifique où il ne se passe rien d’intéressant et où TOUT sonne terriblement faux ! Il m'en a fallu du courage pour rester jusqu'au bout parce que je dois bien l'avouer l'ennui avait laissé place à l'agacement qui m'a bien irrité et qui commencait à grave m’énerver au point de regarder ma montre toutes les 5 minutes me demandant combien de temps me restait-il à devoir subir cette projection !! Pourquoi Desplechin s’est il lancé dans une telle caricature de cinéma d'auteur ? Qu'a t-il voulu dire ou prouver ? Sa filmographie, sans être exceptionnelle était jusque là réussie (sauf pour Roi et Reine avec encore Amalric!! ) Si Amalric est INSUPORTABLE comme d'habitude, et ce n'est pas faute d'en avoir vu des films avec lui dans la distribution, il a toujours, avec beaucoup de talent, su affaiblir les films de part son interprétation habituellement mauvaise et détestable !
    Mais cette fois, il faut bien l'avouer, tout n'est pas de sa faute ! Certes il flingue le film comme à son habitude, mais là, tout est vide, chiant, et comme d'habitude, la critique encense ce navet qui pourrait laisser penser que nous spectateurs passionnés de cinéma, nous ne comprenons rien à l'Art !! Oui je sais, ces critiques vont répondre que je n'ai rien compris, que c'est une mise en abyme des angoisses du personnage principal, mais je vais tout de suite leur répondre que d'autres réalisateurs (moins encensés par vous) ont déjà réussis à faire des films dont le personnage est torturé, et cela avec du contenu et du talent. Je pense à Valérie Donzelli qui a tant été critiqué et descendue par l'élite
    Que reproche t-on à Valérie Donzelli ? Son grain de folie ? Sa multitude de proposition de mise en scène ? Son audace ? Sa poésie dans sa manière de filmer quelque que soit le sujet ? De provoquer des réactions ? De respecter les spectateurs ? De faire du cinéma pour eux ?
    Et bien moi c'est tout cela que j'aime chez cette cinéaste de grand talent. Elle a l'audace d'essayer des choses, et l'on sent dans ses œuvres combien elle respecte le spectateur en essayant de lui offrir un beau moment de cinéma. Dans les fantômes d’Ismaël, non seulement le spectateur n'est pas respecté mais il est pris pour un imbécile s'il ose dire que ce film est vide, creux, sans intérêts aucuns si ce n'est que d'insulter les spectateurs en leur faisant payer une place pour voir une telle merde en écrivant partout que c'est un chef d’œuvre ! J'aimerai rappeler à tous ces pseudo intellos que le cinéma, si exigeant soit-il, c'est de faire plaisir au spectateur qui lui , contrairement à vous critiques cinéma, paye (cher) sa place.
    La on est face à une impolitesse incroyable avec un des pires films vu de ma vie de passionnée de cinéma !
    jul27
    jul27

    11 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 mai 2017
    Film complètement hermétique mise en scène un compréhensible jeux d acteur complètement faux nous sommes deux à être venu voir ce film avec enthousiasme et nous sommes consternés par le gâchis le jeu théâtral et la fausseté de ce film
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 mai 2017
    C’est la pensée narcissique d’un réalisateur pris entre un passé qui l’a émotivement brisé et un présent qui l’a partiellement ré-équilbré. Très hétérogène (brownien), le film vous plonge d’entrée de jeu dans un long échange de type politico-policier qui, en l'absence de titre et de générique, évoquerait une intrigue de John Le Carré ; on a l’impression de s’être trompé de salle, ce qui a conduit un spectateur à sortir pour s’informer ! Les personnages vedettes des 2 femmes ne sont qu'ébauchés spoiler: (ils sont déclarés mais non démontrés, que ce soit celui de l'égarée mentale ou celui, à l'opposé, de l'astro-phycienne cartésienne)
    ce qui prive le film de l'intelligence que son thème méritait. A ajouter à cela, des scènes absurdes et dénuées de sens pour le film. Résultat : les trois interprètes vedettes se livrent à un numéro d’interprétation de haut vol (comment en attendre autrement ?) mais conventionnel, à la façon d'exercices de style didactiques au cours Florent. C'est loin de ce que j’attendais de ce film d'après sa pub.
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