Mon compte
    90's
    note moyenne
    4,0
    2605 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur 90's ?

    151 critiques spectateurs

    5
    18 critiques
    4
    62 critiques
    3
    49 critiques
    2
    12 critiques
    1
    7 critiques
    0
    3 critiques
    Lou-Anna P.
    Lou-Anna P.

    Suivre son activité 2 abonnés Lire ses 6 critiques

    4,5
    Publiée le 1 juin 2020
    Super film ! On est complètement attendrit par l'innocence de ce gamin qui découvre "la vie" avec des jeunes.
    alex supertramp
    alex supertramp

    Suivre son activité 5 abonnés Lire ses 116 critiques

    4,0
    Publiée le 31 mai 2020
    Mid90'S est une oeuvre simple, qui n'essaye pas dans faire trop, qui film une époque et une mentalité lier a cette époque d'une très belle façon. On y voit des jeunes gens qui brûle la vie par les 2 bout, sans penser au lendemain pour la plus part d'entre eux. On sens bien ici que Jonah hill ce film lui même en quelque sorte, il aime cette époque et tous ce qui va avec et nous la fait aimé ou nous y fait revenir de façon brillante, sans artifice superflus, juste l'histoire d'un gamin paumer qui ce trouve une bande d'ais et une nouvelle passion, 2 chose qui vont redonner un sens à sa vie. Il va redevenir heureux et c'est ça le plus important. L'émotion est là, ce film réussit a nous faire sourire quand le petit stevie souri, être en colère quand il est en colère....etc ça montre bien que parfois il en faut peu pour faire un beau film, suffit d'être passionné par ce que l'on veut raconter pour le faire ressentir au spectateur. Un bout de vie pure et réaliste du quotidien d'une bande de skateur dans les années 90, avec leurs haut et leurs bas, filmé avec sensibilité et passion. Une fois le film terminé c'est la nostalgie pour certain qui va dominé et l'envie de revenir dans le temps et ce film le permet. Beau simple et efficace.
    moket
    moket

    Suivre son activité 304 abonnés Lire ses 3 952 critiques

    4,0
    Publiée le 31 mai 2020
    On regarde avec tendresse ce jeune ado se chercher une identité et tenter de se faire des amis pour paraître plus cool et s'affranchir d'un grand frère qui a quelques problèmes de comportement... On s'inquiète aussi de le voir sombrer. Une chronique juste et touchante pour un film envoûtant empreint de nostalgie.
    Laagui
    Laagui

    Suivre son activité Lire ses 24 critiques

    5,0
    Publiée le 26 mai 2020
    Pas d'internet, pas de téléphone, liberté de conscience, rébellion, le monde en terrain libre, avec comme épée de damocles un avenir fermé et étiqueté. Justesse d'une période vécu,
    Ravivant les souvenirs.
    Jean B
    Jean B

    Suivre son activité Lire ses 35 critiques

    4,0
    Publiée le 26 mai 2020
    Jonah Hill a voulu nous montrer la folie de la jeunesse qui nous fait rendre nostalgique et qui nous dit qu’on a peut-être été trop sérieux.
    Dans cette folie et cette envie de tout faire et de découvrir on voit les limites. Celle de savoir où on va. Si on fait ça parce-qu'on a envie de boire de s’amuser ou si c’est la seule chose pour s’évader de la pauvreté américaine.
    On voit là un beau message à la jeunesse, Stevie qui a envie de tout faire très vite pour paraître cool et qui va être embarqué pas par des mauvaises personnes mais des garçons perdus.
    Ce film nous surprend par l’âge du garçon qui contraste avec les personnes qui passent en première et qui ont une certaine « expérience » de l’alcool et des fêtes. Ça nous surprend de voir à quel point le garçon est si rapidement amené à fumer.
    Le skate n'est un signe de liberté de défier les lois aucun sport n’aurait été aussi significatif de la situation des garçons. La façon de filmé en 4 : 3 nous redonne encore une fois ce côté assez artisanal avec une simple petite caméra.
    C’est un film qui nous montre des ados qui essayent de s’amuser en ska tant dans cette grande route avec un coucher du soleil. Mais il laisse un vrai message sûr pourquoi ils font ça ? Sûrement parce qu’ils n'ont pas d’autre choix que de s’évader.
    Mamoac
    Mamoac

    Suivre son activité Lire ses 24 critiques

    4,0
    Publiée le 27 mai 2020
    Un jeune ado (l’acteur est extraordinaire) fait tout pour s’intégrer dans une bande de grands, des skateurs alors qu’à la maison il subit la violence de son frère aîné.
    Rourkewhite
    Rourkewhite

    Suivre son activité 16 abonnés Lire ses 769 critiques

    3,5
    Publiée le 9 mai 2020
    Chronique pré-adolescente couillue, le film navigue entre deux eaux: l'ambition trashouille à la Larry Clark (ados, sexe, drogue, alcool et violence) en version light et la chronique légère, douce amère, d'un parcours initiatique un peu hard pour le genre. Et Jonah Hill parvient à trouver un bel équilibre en rendant attachant un petit personnage qui impressionne. Avec sa galerie de personnages plus vrais que nature, tout droit sortis des 90's, le film est un véritable saut dans le temps dont la véracité force le respect. Divertissant et ambitieux, aérien mais consistant, léger et grave à la fois, c'est un pari réussi qui sort nettement des sentiers battus!
    Yetcha
    Yetcha

    Suivre son activité 560 abonnés Lire ses 3 984 critiques

    2,0
    Publiée le 24 avril 2020
    Autant l'avouer de suite, je n'ai jamais aimé le milieu du skate board, ça ne m'a jamais attiré voire même cela m'a repoussé. Donc ici, se retrouver plongé dans cet univers à travers la jeunesse d'un enfant qui est sacrément paumé et au milieu d'autres paumé. Fumeurs, anti-conformistes (quoique par rapport au skate ils sont plus que conformistes), anti-autorité, bagarreurs... Pfff, ça m'a clairement apporté aucune espèce d'empathie et je me suis ennuyé tout le film... Je ne m'attendais pas du tout à ça mais plus à un voyage nostalgique dans le temps. Ici le sujet aurait pu se placer à n'importe quelle époque et perd de là toute sa saveur et l'intérêt de son titre aguicheur.
    Alasky
    Alasky

    Suivre son activité 210 abonnés Lire ses 2 946 critiques

    2,5
    Publiée le 3 avril 2020
    Teen-movie qui sort de l'ordinaire ; on suit ces ados avec nostalgie dans le milieu du skate ; belle réalisation et acteurs convaincants ; durée 1h 25 mais je me suis tout de même souvent ennuyée..
    Jolen V
    Jolen V

    Suivre son activité 1 abonné Lire ses 16 critiques

    4,5
    Publiée le 29 mars 2020
    Très bon film ! Un retour dans les années 90 qui fait du bien. Une réussite pour le premier film de Johah Hill
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    Suivre son activité 260 abonnés Lire ses 1 551 critiques

    5,0
    Publiée le 23 mars 2020
    J’ai eu un véritable coup de cœur pour ce film. Le cinéma est un art qui doit (entre autres) faire vibrer et là Jonah Hill a visé juste. Tout commence par l’atmosphère des années 90. C’est une totale réussite. Que ce soit par la musique avec une bande originale fantastique, le fait que ce soit ingénieusement tourné en 4:3, sans oublier le grain d’image bien particulier, on est plongé dans le passé. Une bouffée nostalgique enivrante. Après, l’histoire n’est certes pas révolutionnaire, le gamin sans repère qui va trainer avec une bande pas toujours fréquentable, mais c’est tellement bien fait. Sunny Suljic du haut de ses 13 ans à un talent immense. Il va nous permettre une totale identification. Ce gamin influençable qui veut juste être accepté et être « cool ». Cela va être assez dense et on n’a pas le temps de s’ennuyer. Avec son regard, tout devient extraordinaire. Plus le temps passait, plus j’étais à dedans. On va rire, mais aussi avoir peur pour lui. C’est une expérience émotionnellement riche. Les acteurs qui entourent Sunny Suljic aussi sont très doué. Son grand frère joué par Lucas Hedges a un grand impact sur le film même s’il n’est pas souvent présent. C’est un acteur qui a le vent en poupe en 2019 après BEN IS BACK et BOY ERASED. Ceux de la bande, notamment Na-kel Smith et Olan Prenatt, font leur premier film mais rajoutent une touche authentique qui rend ces moments mémorables. Pour l’anecdote, de base je ne suis pas fan de skate mais dans ce contexte ça passe très bien.
    Tayop
    Tayop

    Suivre son activité 101 abonnés Lire ses 2 448 critiques

    3,0
    Publiée le 24 février 2020
    Jonah Hill ne faiblit pas. Cohérent avec son scénario, il met sobrement en image cet itinérance vers l'adolescence.
    Eva G
    Eva G

    Suivre son activité Lire ses 62 critiques

    4,5
    Publiée le 16 février 2020
    Comment devenir un homme, être "cool" aux yeux du monde ? C'est ce que Stevie veut être et en intégrant ce groupe de skateurs, il arrive à se créer son propre caractère. Il imite ses pères et se fait accepter dans la bande en devenant un peu le "thug". Il fume, il boit, il a des relations avec une fille, il se bat... Tout ça à 13 ans. On s'attache au personnage et même si on aime le voir devenir ce petit homme, on voudrait aussi lui dire de se calmer.... et c'est exactement ce qui se passe à la fin.
    Stephane CARO
    Stephane CARO

    Suivre son activité Lire ses 3 critiques

    5,0
    Publiée le 5 février 2020
    vraiment un beau film, avec de vrais personnages, avec leurs défauts etc. très bien tourné et met en avant le monde du skate des années 90, non idéalisé, non exagéré.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    Suivre son activité 2 737 abonnés Lire ses 3 170 critiques

    4,0
    Publiée le 9 janvier 2020
    Il y a eu, dès le départ de ce « Mid 90’s » ; quelque-chose qui m’a questionné.
    Des skates. Des draps « Ninja Turtles ». Un T-Shirt « Street Fighter »…
    Tout ça sentait bon le film nostalgique plein pot.
    Un film de natif des années 80 qui entendait restaurer l’âge d’une jeunesse. Sa jeunesse.
    Un simple témoignage sous forme de bonne grosse madeleine de Proust.
    Un film qui donnait même l’impression de n’être que ça…

    Et quand j’ai constaté que je me laissais prendre sans difficulté par ce film, je me suis du coup interrogé.
    Car il se trouve que je suis du même âge que Jonah Hill, l’auteur de ce « Mid 90’s ». Et même si je n’ai pas passé mes premières années de vie à Los Angeles, beaucoup d’aspects de sa jeunesse me rappelaient la mienne. Et bien évidemment ça a titillé une fibre chez moi.
    Un plan d’un gamin avec une manette Super-Nintendo en main et moi c’est tout un océan de sensations qui refleurit dans mon esprit.
    Alors oui, je me suis demandé s’il suffisait qu’on soit la cible idéale d’un artifice grossier pour qu’on se laisse totalement bercer par lui ?
    Ça doit être un peu le cas… Sûrement.
    Mais pas que…

    Parce que « Mid 90’s » n’est pas qu’un film nostalgique.
    Il n’est pas qu’une broderie lisse et fade, prétexte à exposer toute une galerie de références susceptibles de parler à une génération bien définie.
    Et j’en veux pour preuve le fait que j’ai découvert ce film sur les conseils de deux jeunes cinéphiles de seize ans. Des natives des années 2000. Des jeunes-filles pour qui la coolitude du skate est autant mystère que celle des pattes d’eph le fut pour moi.
    Ce film a donc visiblement un véritable potentiel trans-générationnel. Et je pense que si c’est le cas, c’est parce que c’est dû au fait que « Mid 90’s » n’est pas vraiment un film sur le milieu des années 90.
    Non. Je dirais plutôt de lui qu’il est en fait un film sur la jeunesse des années 90.
    Voire même – mieux encore – je pense qu’il est avant toute chose le film d’une jeunesse.
    Une jeunesse qui se pose comme une fenêtre ouverte sur toutes les autres…

    N’oublions pas que le premier plan de ce film nous montre un jeune gamin s’exploser contre un mur.
    Cadre fixe. Plan sur un couloir.
    Intérieur ordinaire d’une maison populaire.
    Format 4/3, comme nos bonnes vieilles télés de l’époque.
    Un long silence et puis ce choc.
    Ce gamin qu’on projette comme ça. Là-dedans. Sans ménagement ni préliminaire.
    Un plan qui est au fond incroyablement signifiant de ce qu’on va voir de la vie de ce jeune Steven.
    Au fond, sa jeunesse, on ne la choisit pas. On la subit. Et parfois même violemment.

    « Mid 90’s », au fond, c’est ça.
    C’est le parcours d’un gamin qui prend conscience d’où il est, de ce qu’est sa vie et de ce qu’elle sera sûrement.
    Certes une vie dont le petit confort matériel est assuré. Mais une vie dans laquelle se semble s’offrir aucune possibilité d’exister, d’exprimer, d’explorer.
    Alors Steven va se laisser prendre. Prendre par l’envie de s’affranchir. De repousser les limites. De ressentir des choses. Et cela même si ça doit se faire au prix d’une chute violente du haut d’un toit.

    Sa vraie jeunesse elle est là.
    Elle est dans cette idée qu’au fond on s’en fout de toutes ces règles qui nous stérilisent.
    Fumer des clopes à 13 ans. Se casser les dents sur le bitume. Envoyer chier les adultes et les grands frères. Ça c’est rien à côté du fait de ne pas se sentir exister.
    Et tous nos codes moraux s’envolent dès qu’apparait ce sourire radieux sur le visage du jeune Steven.
    OK il crame la vie par les deux bouts, mais il est soudainement heureux, ce gamin.
    Alors qu’est-ce que vous voulez trouver à redire contre ça ?

    Et c’est là pour moi la grande force de ce « Mid 90’s ».
    Cette capacité à nous affranchir des mœurs et des codes.
    C’est un film qui entend témoigner mais sans se limiter au simple documentaire.
    Chacun en pensera ce qu’il en voudra, mais ce film entend imposer cette réalité toute subjective : c’est que pour certains, cette culture-là, ça a été une porte ouverte pour se construire une identité, pour s’affirmer en tant qu’individu, pour se trouver une nouvelle famille, voire même parfois pour explorer sa sexualité.
    « Mid 90’s » offre un témoignage plutôt qu’une leçon.
    Il offre un regard. Un regard d’homme. Un regard d’artiste sur une période.
    Un regard sur la jeunesse donc.

    Ainsi ai-je appris à regarder – à travers ce « Mid 90’s » – cette période de mon/sa/notre enfance, non pas pour ce qu’elle était, mais pour ce qu’elle a laissé comme trace sur un individu qui, somme toute, ne représente que lui-même.
    Mais si malgré tout ce regard si singulier me parle à moi – ancien enfant de la même génération mais terriblement plus sage que ce sulfureux Steven – et s’il parle aussi à deux jeunes adolescentes issues de la génération z, c’est parce que Jonah Hill, au-delà du simple fait de nous livrer son témoignage, n’en a pas pour autant oublié de faire du cinéma.
    Ce cinéma qui donne à tout regard singulier une portée universelle.

    Parce qu’au-delà de ses usages astucieux de la super 8 et du format 4/3 pour nous replonger dans la culture des années 90, Hill sait aussi jouer d’un véritable art du dépouillement qui est totalement au service de la transmission de son témoignage.
    Un dépouillement dans le montage qui parvient à élaguer le superflu pour ne retenir que l’essentiel. Garantissant un film dense et vif, contracté sur une simple heure et demie.
    Un dépouillement aussi dans les compositions de cadres et de la photo. Si le format 4/3 et l’espace anguleux offert par l’époque peut avoir un côté oppressif, il est compensé par des mouvements soyeux réguliers, des cadrages intimistes et une photographie chaude et douce. Les accompagnements sonores extradiégétiques sont très rares mais toujours pertinents, sachant appuyer ce qu’il faut pour qu’on soit réceptif au regard apporté par Steven sur tout cet univers là.

    Au talent d’être sincère et honnête dans le fond, « Mid 90’s » nous offre donc aussi le luxe d’être habile et pertinent dans la forme.
    Pas étonnant dès lors que ce simple témoignage sache embraser au-delà de son public cible.

    Ainsi suis-je ressorti de ce film conquis.
    Mieux encore, j’en suis ressorti plus riche.
    Plus riche d’un regard.
    Un regard sur une époque.
    Un regard sur une culture.
    Un regard sur une jeunesse.

    Et l’air de rien, avec au fond peu de moyens et sur un sujet très intimiste, Jonah Hill m’a aussi rappelé une leçon pourtant centrale au cinéma : c’est qu’un film n’a pas besoin de faire grand-chose pour sublimer son art. Il lui suffit simplement de le faire avec justesse.

    Mais bon… Après ça ne reste que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top