Avis : La Mélodie - Page 2

Non mais de qui se fout-on? Va falloir qu'on m'explique comment un film comme ça peut avoir une bonne critique. Premièrement ,inutile de rappeler que c'est un copier coller des choristes ou autres mais ce qui ne passe pas c'est qu'on veut faire croire à monsieur tout le monde que des élèves pratiquement an alphabet peuvent apprendre un art très sophistiqué.Ben vous qui mettez 5 étoiles,êtes vous sûr que vous arriveriez à devenir un virtuose du violon en une année scolaire?
Je précise ( scolaire ) car il ne faut pas oublier qu'il y'a vacances entre temps et peut être un peu d'école aussi AHHHH.

Un film très émouvant sur les difficultés d'un professeur de musique à enseigner à un groupe d'élèves pas très motivés au départ pour un concert au Philarmonic et malgré toutes les difficultés qui s'amoncellent va til reussir à vous de voir .Les enfants sont attachants et Kad Merad surprenant à voir

Beau sujet, belle réalisation seul le jeu de Kad est un peu fatigante par moment, spoiler: il aurait gagné à être ^plus humain.
Le jeune prodige du film est adorable avec sa bouille, il a une présence qui nous déroute. Un petit côté Choriste, le cercle des poètes disparus. Ce rapport élèves/profs revient forcément dans nos tête. Pas mal et plein de bon sentiments.

J’ai regardé la Mélodie, moi qui ne suis ni musicienne ni mélomane… avec beaucoup de plaisir. J’y ai trouvé un air de famille avec A voix haute : tous deux montrent qu’en accompagnant des enfants ou des jeunes, en leur faisant confiance, ils se perfectionnent, s’entraînent avec plaisir, et prennent confiance en eux. Les uns comme les autres ont appris à s’écouter. Les étudiants de Seine-Saint-Denis en prenant la parole, les 6ème en jouant du violon à la philharmonique. Kad Merad, qui se faisait bordéliser au début, réussit ce pari de les faire jouer ensemble et que leurs parents soient fiers d’eux. Comment ? En les accompagnant, pas à pas, sans les lâcher. Rachid Hami, le réalisateur, donne une leçon à l’Education Nationale, qu’il juge trop verticale, lui préférant un enseignement horizontal, où chacun apprend de l’autre. Il dit qu’il a voulu faire un film « à hauteur d’homme ». Son film est à la hauteur des enfants, époustouflants et épatants de justesse. Les projets artistiques et culturels ont bien moins de moyens qu’auparavant, à la belle époque de Jack Lang, remarquait une enseignante derrière moi. N’est-ce pas pourtant ce qui contribue à faire grandir ?

Quiconque aura vu la bande annonce saura à quoi s'attendre, tant le thème est devenu un grand classique et son traitement ici sans originalité particulière. Un musicien faisant partie de l'élite, désabusé, mis au contact d'enfants de milieux populaires qui eux aussi ont de bonne raisons d'être désabusés même si ce ne sont pas les mêmes. Un choc culturel et éducatif qui n'ira pas sans quelques frictions. Après quelques vicissitudes, il y aura finalement entente vers un objectif commun. Bien sûr, on attend qu'au final l'objectif éducatif soit atteint. Pour ça, je vous laisse regarder... sans rien vous dévoiler. Traitement classique du sujet, je vous en ai déjà trop dit !

Kad Merad, au look tout neuf et tout rasé, incarne ici un violoniste de talent qui va se retrouver, faute de mieux, à donner des cours de violon dans un collège de la banlieue parisienne.
La classe de 6ème à laquelle il est affecté possède quelques éléments très perturbateurs, ce professeur va pouvoir tester sa patience et sa rage d'enseigner.
Les enfants sont totalement naturels dans le film, beaucoup de scènes semblent même être quasi improvisées.
J'ai beaucoup aimé le message nous montrant que même des gamins défavorisés et turbulents pouvaient aimer apprendre à jouer d'un instrument de musique comme le violon, par ailleurs assimilé à la classe bourgeoise.
Quelques scènes entre cet enseignant et son élève le plus doué sont émouvantes.
J'ai moins apprécié le tableau assez pessimiste que dresse le réalisateur sur notre société actuelle, j'aurais préféré ressentir plus d'espoir et moins de violence, même si l'époque actuelle n'est pas tendre. Un sentiment final mitigé malgré de bons moments.
--> Site CINEMADOURG <--

Bon, soyons clair, c'est un remake pas assumé du film La Musique de mon coeur, un des très rares films non horrifique de Wes Craven, avec Meryl Streep qui venait donner des cours de musique classique dans une école "difficile".
Quoi qu'il en soit, j'avais bien aimé le film de Craven (sorti il y a près de 20 ans) et suis intéressé par celui-ci, mais j'aurais aimé qu'ils assument, parce que sinon, ça s'appelle du plagiat.
Bref, je modifierais (si besoin) ma note et ma critique en temps voulu.

Je ne me suis pas ennuyée mais je ne suis pas "rentrée" dans ce film...
Des belles images des toits de Paris certes, mais c'est totalement incohérent : des gamins qui ne connaissent rien à la musique qui apprendraient le violon en une année scolaire ? avec combien de cours par semaine ? qui jouent une partition pas simple sans connaître le solfège ? Donnez-moi la recette ! j'en ai besoin !
J'étais trop braquée sur ces impossibilités pour apprécier le film.
Dommage.

Un film où un personnage arbore l’écusson de l’O.M. sur la poitrine et où l’on cite Didier Drogba est-il forcément bon ? Trêve de plaisanterie, ce film est assez classique par son histoire d’un professeur de musique qui prend en charge une classe de 6ème d’un quartier défavorisé mais les émotions passent et cela fait du bien de voir que certaines expériences valent la peine d’être tentées dans notre beau pays. C’est un premier film et son réalisateur, Rachid Hami, mérite, comme les jeunes de l’histoire qui apprennent le violon, d’être encouragé dans son travail. Pour finir, mention spéciale - mais cela va presque de soi - pour la musique de Bruno Coulais.

Si vous avez aimé les choristes, vous passerez un moment délicieux avec les personnages de La Mélodie! Enjoy!

L'enfer est pavé de bonnes intentions, et Ca résume bien ce film. Ça dégouline de bons sentiments, c'est lent, et surtout hyper peu réaliste avec un scénario non seulement prévisible mais tellement exagéré que ça en devient presque drôle. Reste que les acteurs jouent Bien (bravo a Kad Mérad taciturne qui réussit à exprimer des émotions sans parler) et que les jeunes arrivent à être relativement attachants par leur spontanéité même s'ils ne sont probablement Pas tous Non plus promis à devenir de grands acteurs...

Un film touchant, plein d'espoir ... trop peut-être... la mélodie du pouvoir transformateur de la musique est parfois dissonante.

J'ai vu le film en avant première à Evreu, les acteurs sont vraiment super, c'est magnifiquement filmer. La salle entière était ému, c'est un très grand film, très émouvant...

ALLLEZ-Y!!!!

Toujours la même mélodie... À l'image des comédies basées sur les clichés, ce film est l'une de ces comédies "sociales" avec une personne venant d'un milieu différent qui vient aider des enfants d'un milieu modeste. Dans les grandes lignes, l'histoire ressemble à celle de "Les grands esprits" sauf que la matière est différente, mais aussi à celle de bien d'autres films. On sait dès les premières minutes comment ça va se terminer, quelles seront les difficultés rencontrées, etc. Ce n'est pas vraiment le film qui est en cause même si j'ai trouvé ça peu intéressant et bien trop dégoulinant de bons sentiments, mais surtout le moment où il sort. On assiste toujours aux mêmes choses à savoir ce choc culturel et les nombreux clichés que l'on ne compte plus. Les acteurs ne déméritent pas surtout certains jeunes, mais entre le personnage mollasson de Kad Merad et les jeunes personnages insupportables et peu attachants, il n'y a rien qui est fait pour que ça fonctionne. Bref, j'ai trouvé le film barbant, prévisible et sans grand intérêt, car trop banal.

sur le même thème que "les grands esprits" l'éducation des jeunes de banlieue. c'est bien fait , émouvant, plein de bons sentiments, quelque fois mièvre,jamais d'excès, le jeu des enfants est impeccable, mais pourquoi toute la misère du monde s'est elle abattue sur les yeux de Kad, là il exagère un peu, mais on passe quand même un bon moment.