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    La Sainte Famille
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    47 critiques spectateurs

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    Guy T.
    Guy T.

    8 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 janvier 2020
    J' avais été attiré par la bande-annonce, le thème et le casting mais au final, quel ennui.... Les acteurs semblent d'ailleurs les premiers à trouver le temps long..... Rien n'est abouti, les dialogues sont incohérents, le tout est plutôt mal filmé.....
    Très grosse déception!
    traversay1
    traversay1

    3 090 abonnés 4 623 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 décembre 2019
    Jean, universitaire réputé, se retrouve ministre de la Famille, alors même qu’il est perdu dans les événements qui secouent la sienne. Voilà pour le pitch de La sainte famille qui se déroule grosso modo entre deux enterrements, alors que deux naissances s'annoncent. Le film chemine de façon sinueuse entre les différents membres d'un clan pour le moins disparate et est censé nous montrer que "la famille est le socle du vivre ensemble" mais aussi "celui de la névrose", selon les propres mêmes du ministre fraîchement nommé. L'ironie est sous-jacente mais le ton du film est plutôt à la mélancolie douce avec des personnages dans l'ensemble peu développés hormis pour Jean, joué par le réalisateur Louis-Do de Lencquesaing, qui ne s'est pas privé de se donner le rôle principal, omniprésent mais au caractère un peu neutre, qui n'a pas grand chose d'attachant ni de remarquable. Il est bien dommage, quand on s'entoure d'actrices comme Marthe Keller, Laura Smet ou Léa Drucker, de leur donner aussi peu de texte à défendre. Plus grave, l'espèce de monotonie grise qui s'installe, la moitié des scènes, au moins, n'ayant pas au fond de grande utilité. Elles auraient pu être remplacées par d'autres, tout aussi anodines, sans que l'esprit du film en soit changé. Ni réellement désagréable, ni vraiment ennuyeux, La sainte famille se révèle surtout terne et sans enjeux autres que de nous donner à voir une famille dysfonctionnelle comme tant d'autres et dont les agissements et les comportements ont bien du mal à passionner.
    Peter M
    Peter M

    3 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 décembre 2019
    Un film paresseux et mou, impuissant comme une fin de race. Mais avec le charme de l'abandon et de la désillusion
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    676 abonnés 1 416 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 décembre 2021
    Difficile d'être positif avec ce drame français pourtant porté par un casting plutôt robuste : Laura Smet, Marthe Keller, Léa Drucker...
    Jean va devenir ministre de la famille alors que lui-même galère totalement avec la sienne : plutôt gênant !
    Le souci principal de ce film est que l'on traverse les épreuves de la vie de cette famille sans réelle émotion ni empathie, les événements se déroulent dans une forme d'indifférence tristounette un peu désolante.
    Du coup, le ressenti final débouche sur une oeuvre sans âme et sans saveur même si on ne passe pas non plus un mauvais moment.
    Très très décevant : terne.
    Site www.cinemadourg.free.fr
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 décembre 2019
    La bande-annonce m'avait donné très envie de voir le film, je pensais voir une comédie sur l'intrusion de certains membres de la famille, l'espace qu'occupe par exemple une mère, comédie accompagnée de scènes profondes, voire dramatiques, sur les relations internes à une famille. Marthe Keller est généralement garante d'une excellente qualité de film. Finalement, après vingt minutes, j'ai complètement décroché. Si je n'avais pas été accompagné, j'aurais quitté la salle. Quel ennui ! Un encéphalogramme totalement plat ! Aucun rebondissement, des dialogues à mourir d'ennui (une scène d'une minute où on se demande quatre fois si l'on veut du café), pratiquement aucune émotion, une trame (quelle trame ?) difficile à suivre. Une immense déception pour un film que j'oublierai très vite.
    PLR
    PLR

    406 abonnés 1 474 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 décembre 2019
    Le titre pourrait signer une comédie sociale sinon un peu caustique au moins ironique. Mais non ! Il s’agit certes ici de comédie (du moins c’est dans ce registre-là que ce film est classé) mais de comédie dramatique. On cherche toutefois assez vainement le… drame ! Le personnage central est surtout neurasthénique. Comme cet acteur est aussi le scénariste et réalisateur, bigre que c’est contagieux auprès du spectateur. Cela dit, il ne se passe pas grand-chose. Les portraits de cette Sainte Famille ne sont pas développés. Deux enterrements balisent le scénario. Mais quoi entre les deux ? Pas grand-chose. Des questions de société survolées. Ou alors c’est du cinéma d’auteur demandant de faire un effort. Personnellement, je n’ai pas réussi.
    tixou0
    tixou0

    630 abonnés 1 969 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 avril 2020
    Louis-Do de Lencquesaing a un beau nom - noble famille du Hainaut, attestée au moins depuis le 16e siècle. Alors il a écrit une histoire (en collaboration) sur une famille qui devait avoir un beau nom (Argenson ?), mais qui est tombée en quenouille.
    Les filles se sont mariées dans la roture - même si l'une (Marthe Keller) vouvoyée par ses fils (le metteur en scène, et Thierry Godard), les vouvoie aussi (comme dans certaines familles de l'aristocratie). L'autre ( spoiler: d'ailleurs adultérine - fruit d'une longue liaison
    de "Bonne" - Maman, alias Brigitte Auber, avec le régisseur de la propriété familiale, qu'il va falloir vendre) est morte - sa fille (Laura Smet) étant présentée comme travaillant, à Barcelone, pour un "auctionner" british. On s'arrêtera là, côté arbre généalogique, sauf à y adjoindre "Marie", spoiler: l'épouse du héros, "Jean" (L-DdL, donc), enceinte elle ne sait pas trop de qui, et passant son temps à Tanger (pour y faire quoi, à part se faire peut-être engrosser ?
    [...Mystère). On la signale parce que c'est Léa Drucker qui s'y colle... Elle ne fait que quelques apparitions - lesquelles sont ce qu'il y a de moins nul, au global.
    Si on ajoute un oncle curé, une spoiler: Africaine décorative, qui devient l'assistante de Jean, lequel obtient, alors que universitaire (anthropologie ?) le maroquin de... la Famille (??), quelques ancillaires (dont le chauffeur du ministre) et l'amant, pucier, du frère pourtant en couple avec une fausse" Daphné" - façon Arlésienne, pour s'assurer une descendance..
    .. y voit-on plus clair ? Et surtout, cela prend-il du corps ? Pas vraiment ! C'est confus, mal fichu, dialogué de façon catastrophique, sans le début du moindre intérêt, ni de mise en scène, ni (on s'en doutait) de scénario.
    C'est de plus très mal joué : Smet fait la moue, comme d'hab', et se déshabille à la première occasion, Marthe Keller a un accent tudesque (et pour cause) insupportable (et inexpliqué - évidemment), Godard est transparent, L-DdL est aussi expressif qu'une porte de manoir médiéval.... Moralité : à FUIR, "La Sainte Famille" !
    Ce 2e "long" de Lencquesaiang à la réalisation est encore pire que son premier essai ("Au Galop !").
    yeuce
    yeuce

    28 abonnés 862 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 mai 2020
    Les tribulations d'un intellectuel parisien autour de Paris dans sa famille et dans des hôtels particulier. Lent, mou, plat....Un film qui réjouira la caste intello gauchiste parisienne élevée au caviar.
    bbnut
    bbnut

    7 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 janvier 2020
    Claude Chabrol disait que n'importe qui pouvait apprendre techniquement le métier de réalisateur en deux minutes. Et que la différence se faisait alors entre les réalisateurs qui avaient quelque chose à dire et eux dont ce n'était pas le cas.
    Inutile de préciser ici dans quelle catégorie ranger ce film. Vain, mou et inodore, tels sont les adjectifs qui viennent immédiatement à l'esprit une fois le film terminé. Ce à quoi on pourrait ajouter que mis à part Clint Eastwood, Mathieu Kassovitz et Mathieu Amalric, très rares sont les cas de figure où un acteur passe avec succès et intelligence derrière la caméra.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 janvier 2020
    Rien ne fonctionne dans ce film interminablement long et soporifique. Les personnages ne sont pas intéressants, les dialogues plats, l'histoire ne véhicule aucune émotion, ni chez les acteurs ni chez les spectateurs. Les rebondissements ne rebondissent pas, les surprises ne surprennent pas. Le film n'est ni drôle, ni triste, ni intéressant, ni profond...Sinon, je suis content d'avoir vu Marthe Keller, Laura Smet et Léa Drucker....
    nemo69690
    nemo69690

    1 abonné 44 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 mai 2020
    Et c'est présenté comme une comédie dramatique... J'hésite à voir la côté dramatique dans ce film lent, lent, lent, long comme un jour sans pain. On ne comprend pas où le réalisateur veut aller, et quel ressort met en action des personnages peu sympathiques, auxquels il est difficile de s'identifier, et donc pour lesquels il est difficile de ressentir de l'empathie.
    Ce film est une longue punition...
    zorro50
    zorro50

    109 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 décembre 2019
    Je m’attendais à mieux après avoir visionné la bande-annonce et j’avais vraiment très envie d’aimer ce film, mais c’est un film choral trop peu nourri, avec trop de personnages dont le portrait est tracé superficiellement à la va-vite, et je ne retiendrai que 2 choses, d’une part, chez les friqués, la baise a un rôle prépondérant où les sentiments n’ont pas leur place, et d’autre part, le ministre joue à l’homme très occupé qui travaille beaucoup et cela me fait trop penser à notre cher gouvernement au grand complet avec cette rengaine « je travaille trop, je n’ai pas de temps pour vous écouter » dont il nous gave abondamment tandis qu’il nous pond des lois plus absurdes les unes que les autres.
    velocio
    velocio

    1 163 abonnés 3 025 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 décembre 2019
    Voilà un film qui sonne faux dès le début, qui nous présente une histoire sans aucun intérêt, avec des personnages mal "typés". Parmi eux, il y en a un qui devient ministre de la famille, on se demande bien pourquoi ! Bon, d'accord, de telles nominations abracadabrantesques arrivent de plus en plus souvent dans la vraie vie. En tout cas, si on se fie au film, le travail de ministre est bien loin d'être épuisant. Si on réfléchit bien, le seul intérêt du film est de nous permettre de revoir Brigitte Auber, 91 ans, qui a fait sa première apparition au cinéma en 1946, qui n'avait pas tourné depuis 1998, une des seules actrices françaises à avoir tourné avec Hitchcock.
    Sarah from aix
    Sarah from aix

    5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 avril 2021
    J' avais l’habitude de voir le mauvais jeu de ce louis do qui cumule les seconds rôles dans des films pour la plupart mauvais, des profs Netflix douteuses, les rôles de pervers ou de mecs insupportables. Ça doit lui coller à la peau.
    La bande annonce m’avait donné envie de donner une seconde chance, surtout le casting car à part lui les autres acteurs sont bons et je les apprécie en général. Mais on se rend vite compte que c’est un navet auquels meme les acteurs ne croient pas, l’impression qu’ils s’emmerde, personne n’est vraiment dedans , meme le realisateur qui apparemment à tellement la grosse tête qu’il se donne un gros rôle dans son propre film. ... Les acteurs semblent d'ailleurs les premiers à trouver le temps long... rien ne va : les plans, l’histoire, les dialogues, une catastrophe. Tout est raté. A vouloir se prendre pour un réalisateur après avec cumulé les seconds rôles médiocres, autant passer à autre chose ?
    Heureusement le cinéma Français nous réserve encore aujourd’hui de belles surprises avec de nouvelles têtes, de l’originalité, pas ces films d’acteurs en fin de vie que plus personne ne veut voir.
    Fuyez !
    Jorik V
    Jorik V

    1 195 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 janvier 2020
    Le second long-métrage réalisé par Louis-Do de Lencquesaing avait tout pour être réussi, de son casting hautement sympathique à son sujet central qu’est la famille, sujet qui est certainement l’un des plus utilisés (et balisés) sur grand écran. Notamment dans le cadre des comédies et des drames. Bizarrement, « La Sainte Famille » se posait au croisement de ces deux genres mais n’est finalement ni l’un, ni l’autre, pas plus que le mélange des deux, la comédie dramatique. Difficile à ranger dans une quelconque catégorie, on dira que c’est une chronique familiale douce-amère qui tente maladroitement de dire que la famille est le socle de nos névroses tout autant que du vivre-ensemble. Pour cela, le réalisateur, qui tient également le rôle principal, va slalomer entre les différents personnages de son scénario peu construit et aléatoire de manière quelque peu erratique et sans réelle logique.



    Les personnages évoluent encore dans le milieu bourgeois, ce qui peut aussi agacer comme s’il était plus facile (et lâche ?) de représenter à l’écran les tergiversations de gens aisés que ceux moins dotés. Ceci mis de côté, on peine à s’intéresser aux petits soucis de ces nantis sous forme d’enterrements, de partage d’héritage, de tromperie ou d’homosexualité cachée. Lencquesaing effleure pas mal de sujets mais n’en approfondit aucun. Il y a là plusieurs embryons d’histoires épars, comme des sous-intrigues placées au gré du script qui n’ont ni véritable début ni véritable épilogue. Le genre d’œuvre dont le propos reste continuellement en surface et qui n’a pas de réel but. On aurait aussi bien pu lui ajouter des scènes pour densifier l’intrigue ou la rendre plus intéressante comme en enlever certaines pour supprimer des personnages que cela n’aurait rien changer au résultat.



    Il y a cependant quelques bonnes répliques, surtout venant de la bouche de l’impeccable Marthe Keller, mais noyées dans un océan de vacuité et les errances du personnage principal, qui se balade d’un interlocuteur à l’autre sans plus de motivations que ça. Les atermoiements de celui-ci peinent à passionner et on finit par suivre tout cela avec un intérêt mitigé sans que ce soit déplaisant non plus. En effet, « La Sainte Famille » a beau être décevant et guère passionnant, il parvient paradoxalement à ne pas être ennuyant non plus. Juste des bons acteurs qui se donnent la réplique chacun de leur côté au sein d’un ensemble décousu et monotone. Le genre de long-métrage dont le côté anecdotique empêche de se souvenir durablement à la sortie de la projection. Du cinéma d’auteur un peu vain et nombriliste mais fait avec assez d’application tout de même pour ne pas s’avérer désagréable.



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