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Un visiteur
5,0
Publiée le 12 août 2017
Excellent film ! J'ai beaucoup rigolé et apprécié. On ne s'ennuie pas. On s'attache au personnage qui est d'ailleurs très bien interprété par Marlon Wayans qui est hilarant avec ses mimiques. Très bonne idée de film.
Marlon Wayans et Michael Tiddes ne se quittent plus... C'est le quatrième film du réalisateur après "A Haunted House" 1, 2 et "Fifty Shades of Black" et c'est la quatrième collaboration entre les deux hommes avec chaque fois le plus jeune des Wayans qui participe à l'écriture du scénario. On n'a toujours pas droit à une histoire originale de leur part seulement, ce n'est pas une énième parodie, c'est le remake du film suédois "Naken" sorti en 2000. On suit l'histoire de Rob qui se réveille nu dans un ascenseur le jour de son mariage et qui est pris dans une boucle temporelle qui l'oblige à revivre sans cesse l'heure qui précède la cérémonie. La mécanique certes pas inédite joue beaucoup dans la "réussite" du film qui grâce à cela est très vivant et bien rythmé en plus d'ajouter des enjeux à l'histoire puisque Rob doit se sortir de ce mauvais pas, trouver un moyen d'arriver à l'heure et aussi trouver qui l'a mis dans cette situation. C'est malgré tout parfois redondant, mais l'ajout de personnages secondaires permet d'enchaîner des situations déjantées puis de toute façon, c'est toujours mieux qu'un déroulement classique comme on pourrait le croire au début avec les échanges tendus avec la belle-famille. "Naked" n'est pas un grand film, mais je l'ai trouvé sympathique et amusant grâce notamment à Marlon Wayans qui fait à nouveau le show.
Un film qui ne marquera pas par son humour ni par ses situations cocasses. Il y a quelques moments d'emotions. Mais l'histoire ne marquera pas les esprits
Parti de la même idée qu'un jour sans fin (sans arrivé à la cheville de ce dernier), le film reste pourtant plaisant car les personnages sonnent juste et restent touchants. On a vraiment envie de savoir comment cela va se finir. Malgré l'entrée en scène d'un personnage nu comme un ver, le film ne dérape vers le graveleux. Reste le couple de policiers assez hors normes donc peu crédible.
L'histoire du film est du réchauffer, sa en devient lours a un moment, mais malgré cela, le film reste agréable à regarder avec quelques gags marrant, et un Marlon Wayans toujours au top.
Une superbe comédie Netflix !!! Les acteurs sont excellents, les plans sont très bien filmés, le scénario est vraiment bien exploité, les blagues sont bien trouvée et la musique est superbe. Marlon Wayans s'en sort super bien dans son rôle. Avec ce film, on rigole beaucoup, on n'a pas le temps de s'ennuyer. Aucun temps mort, aucune longueur. Bref, un film bien rythmé, un très bon divertissement !!! On se marre, une comédie vraiment réussie. Film que je recommande.
Le film est pas mal, on peut le regarder tranquillement sans se poser des questions. Le film est assez drôle, souvent dans l'excès et parfois prévisible .
une comédie romantique amplement inspirée d'"un jour sans fin". à noter : des largesses dans le scénario, des moments parfois dégoulinants de bons sentiments et des péripéties très inégales, drôles ou navrantes. même si M. Wayans n'est pas crédible en professeur, qu'il cabotine beaucoup, il faut avouer qu'il assure le show et a un sens du rythme! en bonus et en guest star : B. McKnight.
Si beaucoup de films du genre valent le coup, Naked n'entre pas dans cette catégorie. Marlon Wayans bien connu pour les parodies de films d'horreur se voit ici vivre encore et encore la dernière heure avant son mariage. Déjà, l'idée n'est pas exceptionnelle mais ce qu'en fait Michael Tiddes est clairement décevant. Lui aussi cantonné aux parodies, il prend le risque de raconter (enfin) une histoire et se prend les pieds dès l'entrée dans l'église..
Michael Tiddes, si son nom ne vous dit rien, c’est un habitué des comédies US et c’est surtout un habitué de Marlon Wayans, avec lequel il vient de tourner cinq films (!) Coproduit, coscénarisé et interprété par Marlon Wayans, Naked (2017) est le remake US de la comédie suédoise Naken (2000), réalisée par Mårten & Torkel Knutsson. Pour les rares personnes qui auraient vu la version d’origine, rassurez-vous, il n’y a de « naked » que le nom. Les américains étant tellement puritains et prudes qu’ils se sont limité à en faire un remake familial et nous évite ainsi de voir le héros déambuler à poil (à savoir, le service 3 pièces à l’air libre).
Il n’y a qu’à voir la filmographie de Marlon Wayans, pour savoir à quel genre de film on va avoir affaire. Une comédie potache et absurde, où il campe le premier rôle et s’amure à faire le pitre. Il y incarne Rob, un jeune homme qui se réveille complètement nu dans l’ascenseur d’un hôtel, le jour de son mariage. Pourquoi ? Comment en est-il arrivé là ? D’autant plus qu’il se rend rapidement compte qu’il est pris dans une boucle temporelle qui se répète toutes les 60min.
Si le film d’origine ne faisait pas dans la finesse (imaginez le héros se réveillant nu dans un ascenseur avec une capote usagée dans le fondement anal…), il ne fallait pas s’attendre à ce que cette nouvelle version relève le niveau. Certes, c’est beaucoup moins beauf et pathétique, mais le film n’en reste pas moins lassant. Une comédie auto-centrée sur Marlon Wayans (qui visiblement, prend un malin plaisir à se déguiser en femme, tantôt en maillot de bain, tantôt en peignoir rose à froufrous).
Boucle temporelle oblige, si le scénario ne fait pas un minimum d’effort et encore moins ses acteurs, on se retrouve rapidement devant une comédie redondante qui nous fera esquisser un sourire toutes les 20min montre en main… ce qui est bien peu vous en conviendrez.
Une pochade assez en dessous la ceinture, pâle copie de Un jour sans fin. Ça se laisse regarder distraitement, le plus bel intérêt reste les fesses de Marlon Wayans, nues les 3/4 du temps, c’est peu...
Cette comédie "fantastico-romantique" se révèle posséder un humour agréable à suivre, pas du tout aussi lourd qu'on pourrait le croire en voyant Marlon Wayans parmi les premiers rôles. En regardant ce film, on se dit "qu'il est loin le temps où il jouait Shorty dans les Scary Movie". Car, heureusement, l'histoire ne tourne pas autour du fait de le voir nu dans un ascenseur : la boucle temporelle trouve son intérêt à le voir tenter de s'améliorer pour enfin se marier et mettre fin à ce réveil insolite. Ce fut une belle surprise, ce qui me fait dire que "Nu" mérite bien plus que sa note de 2,6/5 que j'ai vu au moment où j'écris cette critique.
Ce film, réalisé par Michael Tiddes, jusque là spécialisé dans la parodie bas de gamme, et sorti directement sur Netflix en 2017, n'est vraiment pas pas terrible. Et encore, si on le considère simplement comme un téléfilm et non réellement comme un film. Car oui, "Naked" n'a rien d'un film de cinéma. Il ne fait que reprendre les codes déjà bien éculés de la comédie romantique et de la boucle temporelle pour les mixer dans un espèce de truc un peu cheapos que l'on retrouve normalement sur la plateforme pendant la période de Noël. Nous suivons donc ici Rob qui doit absolument se marier et prouver à sa belle famille qu'il est le parfait amant. Mais, à chaque début de boucle, il se retrouve nu dans un ascenseur. D'ailleurs toute la com, et même le titre, sont basés sur ce détail ; détail qui donne surtout l'impression de n'être là que pour donner une certaine identité au film, un quelconque élément original permettant de le différencier de n'importe quelle comédie romantique ou film de boucle temporelle. Car en dehors de ça, nous avons un film ultra balisé qui ne prend jamais de risques et dont l'humour rempli un cahier des charges bien précis. Ainsi, on s’ennuie assez rapidement car le film n'est ni divertissant de par son intrigue (pratiquement inexistante), ni de par son humour, toujours très sage, jamais corrosif ou même un tant soit peu mordant. Mais malgré tous les défauts que je lui balance depuis quelques lignes, je dois avouer que je n'ai pas forcément passer un mauvais moment pour autant. Certes, le film possède un gros ventre mou qui m'a fortement ennuyé mais j'ai malgré tout apprécié le "mood" qu'il dégage. C'est très rom com quoi, le genre de téléfilm que l'on peut trouver l'après-midi sur TF1 qui n'est jamais marquant ou original mais qui divertit sur le moment. Concernant les acteurs, on remarquera surtout le retour du duo Marlon Wayans/Regina Hall même si c'est évidemment Wayans qui prend toute la place. "Naked" n'est donc pas forcément un mauvais film, si nous ne sommes vraiment pas très exigeants, mais ne restera certainement pas gravé dans les annales.
Sans grande originalité, Michael Tiddes recycle un format maint et maint fois revisité. Il assume ainsi son style parodique et décomplexé, dans le contexte d’une boucle temporelle très limitée. Ce n’est pas qu’en terme de durée que l’on trébuche. Le film pêche surtout au niveau de son élan scénaristique peu recherché.
Figure iconique de la saga « Scary Movie », ou encore « Ghost Bastards », Marlon Wayans reste ouvert à de nombreuses parodies de genre, mais qui ne volent pas bien haut. A force d’y croire, il persiste à incarne un personnage qui définit aussi bien sa carrière redondante et sans prise de risque. La série B burlesque pure, dure et vulgaire le cloisonne dans son l’ascension dans ce même genre, dont il ne revendique pas plus que sa fougue pour répondre aux attentes de spectateurs souhaitant vider leur esprit, et plus encore…
Il incarne ainsi Rob Anderson, professeur remplaçant, le replaçant de nouveau à une classe inférieure à ses ambitions initiales. Toujours au second plan, il propose de mettre les formes afin de prouver qu’il peut faire mieux que ce qu’on lui prédestine. Est-ce un succès ? A voir. Rob possède près d’une heure pour résoudre son problème. Quelque part, ce timing concorde parfaitement avec la méthode d’analyse d’Albert Einstein. Sa vie ou son problème ne dépend que de cette heure décisive, où il prend 40 minutes à l’analyser, 15 minutes pour en faire le revue critique et 5 minutes pour sa résolution. Extrapolé à la longueur réelle du film, on s’y retrouve et l’intrigue tire son ressort comique sur les successions de gags et de quiproquos limpides et banales. On mise alors tout sur l’humour et le jeu d’acteur de Wayans, dont on connaît la subtilité. Le running gag est la clé de voûte. Le pari n’est pourtant pas satisfaisant, dans la mesure où l’on applique systématiquement une démarche prévisible, tant dans la forme que dans le discours.
Le cinéma n’impose rien. Le choix d’offrir du divertissement à outrance est à présent un genre du grand public. Mais au fur et à mesure que l’originalité se perd, les auteurs se perdent également. Et ils sont ainsi pris dans leur propre piège, à l’image d’une boucle d’innovation, sans surprise et peu rafraichissante. « Naked » est un de ces exemplaires indénombrables, prouvant encore que le marché du cinéma ouvre des portes dont il faut savoir tirer profit. La bonne fortune est partagée entre la morale et le succès. Reste à trouver l’équilibre afin de ne plus buter sur des facilités qui auraient pu contourner quelques codes supplémentaires, au lieu de se conformer à une recette tant éprouvée.