Derniers Avis : Les 101 Dalmatiens - Page 6

Regardé alors que j'étais enfant ce film est très sympathique et très rocambolesque nimbé de quelques touches d'humour. Un classique !

Je ne sais pas pourquoi, mais "Les 101 Dalmatiens", dans mon esprit de gamin, ne représentait pas le film Disney dans toute son excellence. Disons que je n'ai jamais été très intéressé par les histoires d'animaux (trop souvent vu, revu et re-revu) et que la lutte entre les chiens, héros du film, et les forces de Cruella ne m'avaient que moyennement passionné. Puis, voilà que je me retrouve un beau jour d'été avec un exemplaire de ce classique. En gros, me voilà possédé une nouvelle fois par ma curiosité et quelques minutes plus tard, voilà que le film squatte l'écran. Moi qui m'attendait à être déçu, comme je le fus étant môme, le verdict s'est finalement soldé par une tout autre opinion du long-métrage. "Les 101 Dalmatiens" est un bon dessin-animé. Certes, on a été habitué à mieux chez Disney, notamment dans les premiers dessins-animés tels que "Blanche-Neige" ou encore "Pinocchio", mais "Les 101 Dalmatiens" se révèle être une aventure canine des plus honnêtes, avec son lot d'humour et de suspense, sans que l'action ne soit bouffé par une ou plusieurs chansons niaises, comme on peut en entendre par dizaines dans plusieurs autres films made in Disney. De plus, dès les premières secondes et l'apparition du générique, la première chose m'ayant surpris est la qualité de ces dessins, très beaux et détaillés. Certainement ce que l'on a fait de mieux dans le genre. Le scénario, quant à lui, est simpliste mais efficace. On se retrouve scotché rapidement, même si le récit est, lors de quelques instants, plombé par des longueurs. Outre le côté manichéen vis-à-vis de la lutte du bien (les chiens) contre le mal (Cruella et ses sbires), "Les 101 Dalmatiens" propose un spectacle convenable, aussi bien pour les plus jeunes que pour les plus vieux. Et lorsque arriva le générique de fin, je constatais que les goûts changent au fil des années, et qu'à l'époque, Disney était capable de sortir des dessins-animés de qualité qui, à défaut d'être originaux, parvenaient à faire rêver les enfants comme les adultes. Maintenant, lorsque je vois les dernières bouses des studios, j'ai envie de pleurer...

Ce 17ème «Classique d'animation» des studios Disney bénéficie d'une histoire un peut trop simple, limité, qui manque d'enjeu, d'émotions notamment de tendresse ainsi que de scènes et de chansons marquantes. Malgré cela le dessin fourmille toujours autant de détails et c'est très jolie. Les animaux sont mignons et les personnages sont réussis que ce soit le capitaine, le sergent Tibs ou les méchants comme Jasper, Horace ou Cruella qui est un personnage très charismatique qui aura marqué son époque. Ils arrivent à faire sourire assez souvent mais pas à nous touché. Les 101 Dalmatiens n'est pas le meilleur Disney mais sauras ravir les enfants, un peut moins les adultes.

Un classique , qui tient bien la longueur. Le graphisme superbe et un scénario original sur mesure. Du Disney de la grande période.

1961, rendez-vous compte du temps qui passe et toujours cette nostalgie indétrônable. Des personnages charismatiques, drôles, cruels aussi. La magie opère de fond en comble si-je puis m'exprimer ainsi. J'y baigne depuis mon enfance grâce à ces splendides décors. Tout réussi car tout a été fait intelligemment. Avec quelques scènes où l'humour prend place, les musiques, toutes ces petites touches provoquent inconsciemment du plaisir et cela reste et restera gravé dans les mémoires.

Exactement la même trame que les Aristochats (enlèvement, solidarité des animaux dans la recherche, et périple du retour maison) avec Cruella en plus.
Bon Disney, sans surprises, avec des longueurs, et qui s'en sort grâce au charme de son graphisme à l'ancienne.

Là ou maintenant, tout les petits ne connaissent que les derniers nés. Pour une prof datant des années 60, celui ci est d'un bon niveau. Avec une histoire bien plus prenante qu'a l'accoutumée chez Walt Disney. Et ou les dessins se montrent plus accrocheurs (pour maintenant non, mais pour l'époque ; c''est t'une réussite ou l'on constate que le visuel est deja bien avancé). LEs chansons qui quant à eux, lassent un brin le public (peut être faute d'être un peu trop nombreuse ou tout simplement pas assez prenante, touchante... Cela reste donc purement enfantin, mais on se laisse embarquer facilement par cette histoire et même les remakes sont le reflet de la version original qui tapé dans le mille pour le temps de sa sortie.

La kyrielle de petits dalmatiens constitue le principal intérêt graphique de cette production Disney un brin surévaluée. Si le plaisir des yeux et des oreilles est encore de mise en cette année 1961 on peut en revanche déplorer un scénario lourdement développé, comme en déséquilibre dans sa structure. Après une introduction savoureuse et analogique - c'est au pied du cabot qu'on voit le maître ! - Les 101 Dalmatiens se poursuit dans une étrange affaire d'enlèvement au motif difficilement compréhensible ( rapt de chiots à des fins vestimentaires ) qui sombre vite dans une interminable scène de téléphone arabe ( étirement narratif comme lacune rythmique regrettable ) pour enfin se terminer dans un périple héroïque en forme d'évasion organisée ( segment représentant pratiquement un tiers du métrage, les deux premiers sombrant assez vite dans un oubli expéditif ). Le personnage de Cruella Devil est quant à lui mal écrit car trop caricatural, le spectateur ayant du mal à comprendre ce qui le motive véritablement ; les deux sbires sont sympathiques mais un peu trop développés en comparaison... Finalement ce sont surtout Pongo et Perdita qui sont les mieux exploités par l'équipe de scénaristes, puisqu'ils tiennent en grande partie le rôle de narrateur ( la voix off inaugurant la fable...). Pas le meilleur des Disney, même si encore une fois visuellement magnifique.

Un grand classique que ce Walt Disney. Difficile de trouver un défaut à ce film tellement c'est maitrisé de bout en bout. Avec Clyde Jeronimi et Wolfgang Reithermann (2 des meilleurs réalisateurs de la fabrique Disney) à la réalisation,on peut s'attendre à voir un beau spectacle. Les dessinateurs, eux-mêmes, ont pris un vrai plaisir à faire ce film. Ca se ressent. Le "graphisme", soutenu par de superbes couleurs traditionnelles (non "informatisée"), est incroyable, riche, détaillé avec des décors magnifiques (la ville de Londres, son ambiance, ses maisons, ses rues, les paysages enneigés de la campagne anglaise, ses fermes,...). Bref, des décors d'une richesse graphique rarement égalés dans d'autres métrages d'animations. Les personnages humains (Roger très drôle, Cruella et ses deux nigauds de sbires) comme le bestiaire (les différentes races de chiens parfaitement représentées à l'écran) sont tout aussi réussi et plein de charme. Je ne sais si à l'heure actuelle, on pourrait encore faire de tel film, retrouver cette magie d'antan qui faisait partie des meilleures Disney.

Voici le film d'une époque révolue celle ou Disney savait faire de bon dessins animés. L'’historie des 101 dalmatiens et tout à la fois,drôle,attachante,haletante,est crée un formidable divertissement familial,sans chansons niaises. L'animation est très belle,même s'il est possible de voir les traits de crayons elle à un chien fou. Quand l'histoire est bonne et surtout bien conté elle reste intemporel. Disney à beau faire des trucs en 3d bourré de chansons insupportables,la firme à perdue en son âmes et ses conteurs.

Alors je vais vous dire : moi, les classiques de Mr Walt, ils ont bercés mon enfance et je suis plutôt fier d'avoir reçu cette première « éducation cinématographique » des vieux Disney. Les 101, je les ais vus au moins vingt fois, et ce parce que j'adorais, je me régalais de ce périple dans la neige et de cette ambiance graphique londonienne, et bien sûr pour Cruella d'Enfer. Après cette redécouverte grâce à la sortie blu ray (cela dois bien faire une douzaines d'années que je ne l'ai pas approché du bout des doigts), je trouve cela très amusant, car j'aime ce dessin animé toujours autant et pour les même raisons. C'est d'autant plus croustillant de constater, avec le recul que j'ai aujourd'hui, que ces deux points préfigurent déjà un futur petit fan de Burton en puissance. Les 101 constituent un film charnière sur le destin du fabuleux studio Disney, un tournant esthétique qui déplut au grand manitou de la firme dans un premier temps. L'utilisation d'un nouveau procédé, la xérographie, basé sur l'utilisation de photocopieuses afin d'éviter le travail démentiel qui consistait en la reproduction de toutes les tâches de chaque dalmatien, brisait déjà le côté très artisanal des films de Disney. Il faut ajouter à cela un coup de crayon extrêmement versé dans un style précis, qui donne un aspect de croquis quasi caricatural aux décors, et une personnalité très différente des anciens chef d’œuvres. Ce qui en aucun cas ne signifie une chute libre de la qualité des 101, il s'agit d'une réaffirmation, d'un renouveau mené avec un talent inégalable, sans lequel la société aurait peut-être pu glisser lentement vers une série de films répétitifs pour achever de s'essouffler complètement une dizaine voire une vingtaine d'années plus tard. De quoi me plaire au plus haut point (la prise de risque au niveau artistique). Dès le générique très british, je plonge dans cette œuvre qui me captive à chaque plan, pour ne la lâcher que le lendemain voire le surlendemain, la musique me trottant sans cesse dans la tête et l'air de Cruella ne me lâchant pas avant une bonne semaine. La narration, d'abord à travers Pongo pour le démarrage de l'intrigue, puis à travers les fantastiques tableaux que nous offre l'Angleterre contemporaine, est d'une efficacité redoutable, le rythme est si maîtrisé qu'on décèle à peine le changement par rapport aux productions d'aujourd'hui, pourtant beaucoup plus rapide. Que ce soit la ville grise aux angles tranchants et difformes, les campagnes désertes et brumeuses, le visuel enchante et enveloppe le spectateur de toute parts. L'arrivée de l'hiver marque un tournant dans le récit qui se fait alors plus dramatique et éprouvant, tout en restant adorable. En effet les 101 dalmatiens n'est pas si drôle, les touches d'humour sont légères et parsèment élégamment l'ensemble du long métrage, au final on rit plus parce qu'on est attendrit que pour les gags (même si la parodie du colonel en vieux chien est à se tordre). Le final tourne carrément en film d'aventure avec une poursuite délirante, qui se termine en atteignant une intensité fulgurante en osant pousser excessivement la transfiguration de son méchant bien plus loin que les autres Disney ne l'avaient fait auparavant. Diablement excitant, émouvant et empli d'un charme unique, les 101 dalmatiens est un chef d’œuvre que je range directement parmi de mes 20 dessins animés préférés.

Sans toutefois parvenir à la hauteur des plus grands chef d’œuvres du studio, ce grand classique délicieusement désuet et surtout plein de charme, ravira encore et toujours les plus petits, comme les plus grands enfants. Une histoire attachante et drôle, aux graphismes toujours parfaits, en compagnie d'une des méchantes les plus réussites de Disney, la terrible : Cruella d'Enfer !!

"Les 101 Dalmatiens" ou un des nombreux classiques de Walt Disney. Pongo vivant avec son maître Roger dans le Londres des années 50 rencontre un matin sa dulcinée, Perdita en l'occurence. Et puis arrivent 99 petits chiots. Et là, l'aventure commence et Cruella fait son entrée. Cruella la diablesse, telle qu'elle est décrite par Roger est bien décidé à se confectionner un manteau avec le pelage de tous ces petits Dalmatiens. Avec deux "complices", Jasper et Horace, qui sont très maladroits, elle va tenter de mettre la main sur toute cette tribu de petits chiots. Mais ces petits canidés sont bien malins et Cruella d'Enfer risque d'avoir fort à faire. Enfermons là dans une cage de fer! "Les 101 Dalmations" est un film d'animation indémodable, ne s'adressant pas exclusivement à un jeune public. L'univers Londonnien des années 50 est très bien retranscrit malgré une qualité d'image vieillissante. Un classique que l'on a tous vu quelque soit la génération dont est issu...

"Les101 dalmatiens" fait parti de ces longs metrage d'animation qui ont marqué toute une génération et traversé les époques. Aussi, malgré un style graphique qui accuse son âge, une animation pas toujours aboutie, et un scénario qui s'enlise dans la répétition, on ne peut que s'émouvoir devant ces truffes indomptables. Cette oeuvre dynamique posséde néanmoins deux côtés : en premier lieu, sa miévrerie assumée qui nous obligé à supporter quelques séquences assez guimauves et spécialement déstinées aux plus jeunes. Mais en second lieu, on trouve une énorme maturité dans le propos, si bien que l'on se surprend à anticiper la mort funeste de ces chiots, que les réalisateurs Geronimi, Luske et Reitherman ne manquent pas de rappeller au cours de l'aventure. Assez noir dans le fond, mais forcément léger sur la forme, ce périple aura également permis d'imposer la plus diabolique des méchantes : Cruella D'enfer. De son design inimitable, ses lubies sordides, son caractere bien trempé et son vocabulaire familier, elle aura su (et sait toujours) terroriser des millions de spectateurs. Comme souvent, Reitherman n'accorde pas énormement de soin à l'écriture de ses personnages. Si bien qu'on ne peut reellement s'identifier aux humains. Mais il a su, cette fois (contrairement aux "Aristochats") harmonier tout l'ensemble de sorte que l'on soit concerné par le sort funeste qui attend nos cabotins. Une belle performance, qui propose de vrais méchants (Horace et Jasper, deux parfaits abrutis, inquietants néanmoins), une vraie lecture, une animation vieillie mais saisissante, et des moments de bravoure appréciables. Un peu "léger" pour le faire entrer au panthéon des chefs d'oeuvre de disney, mais à n'en pas douter un grand classique incontournable.

Ce Disney, "Les 101 Dalmatiens" séduit principalement par l'originalité de son scénario. En effet, celui-ci met en scène un kidnapping d'une centaine de chiots, quatre-vingt-dix-neuf pour être précis. L'origine de ce kidnapping est Cruella, une infâme personne ne pensant qu'à ses manteaux en forure. Les dessins sont d'une très bonne qualité, ils ont conservés leur charme grâce aux multiples restaurations. Les chiens sont particulièrement attachants ce qui rend l'histoire touchante, cependant on est loin des productions Disney antérieurs qui mettaient des émotions plus fortes, il est vrai que ce dessin-animé reste un plaisant divertissement mais ne va pas plus loin. Il se contente de mêler humour et originalité, ce qui est déjà très suffisant.