Avis : Santa & Cie - Page 6

Version moderne du film de Noël où le Père Noël doit sauver ses lutins, dommage que nous sommes sur un Chabat qui joue un Père Noël un peu moumou voir un peu neuneu, l'histoire tourne un peu en rond et traîne en longueur au milieu du film. A voir 1 fois mais pas au cinéma vu le prix des places de nos jours...

Hélas, hélas.... même avec la meilleure bonne volonté..... Scénario inconsistant, "numéros" grotesques, pas de mise en scène, ni émouvant, ni amusant.... Quel beau.... ratage (les gamins cabotinent, Tautou joue les utilités, Marmaï n'est pas un instant à l'aise.... le registre dévolu à Mlle Farahani interroge sur l'opportunité dudit en permanence, et Chabat surcharge pathétiquement, pour Chabat l'auteur.....) : bilan du "casting".
Restent de jolis effets spéciaux - la "cité du jouet" et ses lutins. Cela ne suffit pas à mettre une seule petite étoile de consolation cependant, eu égard au vide sidéral général. Dire que j'avais gardé ce pauvre "Santa & cie" pour la veille de Noël....

Alain Chabat signe ici une excellente comédie de Noël familiale drôle, touchante et bien écrite avec un montage efficace, des dialogues à l’ironie malicieuse, des effets visuels réussis, un humour bien dosé, un excellent casting et un très bon scénario.

Il y a une constance dans le cinéma d’Alain Chabat, c’est tout d’abord un savoir-faire évident dans l’écriture humoristique, notamment à travers des jeux de mots ou des retournements de situation qui mettent ses personnages dans des situations plus ou moins burlesques qui font mouche à chaque fois. C’était déjà remarquable avec « Didier » dans lequel le réalisateur avait su utiliser toutes les expressions, et autres tics de langage que l’on peut avoir envers un chien, et s’en servir pour raconter une histoire drôle et en même temps émouvante. Le réalisateur avait également excellé dans l’utilisation de son savoir-faire, et de son expérience au sein du groupe des « Nuls », pour donner un nouvel élan et un coup de jeunesse aux aventures d’Astérix et Obélix, dans « Astérix et Obélix : mission Cléopâtre ». Et si on peut regretter un « Marsupilami » un peu trop, ou pas assez, on peut toutefois souligner un retour en force du réalisateur dans « Santa et cie ».

Car effectivement le réalisateur a mis quelques années avant de se relancer dans la réalisation d’un long métrage et dans l’écriture d’une histoire qui soit à la fois cohérente avec son parcours, tout en répondant à ses envies de toujours dépeindre des personnages hauts en couleur et tout à la fois émouvant. Et c’est bien le cas avec « Santa et cie », puisqu’ici le réalisateur a décidé de nous parler du Père Noël, à sa manière, en le plongeant dans une aventure hors du commun dans laquelle le maître de Noël, se retrouve face à ses propres paradoxes, à ses propres contradictions dont la plus importante étend celle d’être la star des enfants, et de finalement ne pas les connaître. Et c’est toujours avec un goût prononcé pour les jeux de mots, pour les phrases bien amenées, pour l’humour bien dosé et surtout pour une véritable sensibilité dans l’écriture et dans la peinture de personnages qu’Alain Chabat parvient, encore une fois, a transporter son public dans une aventure drôle et émouvante.

Et la première grande idée de l’ancien Nul, c’est d’avoir vu son film comme une comédie américaine, celle que l’on peut voir tous les après-midis sur la chaîne M6, une comédie dans laquelle on entendrait les chansons de Noël, où on sentirait presque l’odeur du sapin et du pain d’épice, et où la vie des hommes est rythmée par ce moment de l’année où tout semble être suspendu à la beauté des lumières, et aux rêves des enfants. Et on sent une véritable tendresse, à la fois dans la mise en scène du réalisateur que dans son écriture. Car si le Père Noël d’Alain Chabat et maladroit, un peu grognon, et ne semble pas du tout être habitué à la présence des hommes (du moins lorsqu’ils sont réveillés !) nous sentons toujours une pâte humaniste dans son histoire et dans sa mise en scène. Et pour une fois, et c’est toute la force de « Santa et cie », les effets spéciaux sont totalement à la hauteur de l’imagination du réalisateur, et ne font pas pâle figure face aux productions américaines. Nous sommes au cœur de Paris, mais par une mise en scène soignée et inventive, on pourrait presque croire que les personnages évoluent dans les rues de New York. Si vous rajoutez, en plus de cela, la musique de Matthieu Gonet (Mon Poussin), qui semble avoir parfaitement compris que le film gagnerait en volume et en puissance en ayant une musique philharmonique à grand renfort de violon et autres instruments à cordes, pour rendre encore plus merveilleux l’histoire du film.

Alors évidemment, on pourrait reprocher à Alain Chabat de se mettre en scène, plutôt que de confier le rôle principal à quelqu’un d’autre mais le résultat est tellement à la hauteur de l’attente, que l’on se dit que, finalement, personne d’autre, effectivement, n’aurait pu jouer le rôle du Père Noël. Et puis la distribution complétée par Pio Marmaï (Ce qui nous lie), Golshifteh Farahani (Pirates des Caraïbes : La Vengeance de Salazar) ou encore Audrey Tautou (Le fabuleux destin d’Amélie Poulain) donne à ce film un aspect décalé et en même temps une réponse évidente aux attentes d’un public qui a besoin de rêver en cette période de Noël. Bien sûr il serait injuste de ne pas parler du reste de la distribution, mais ils sont tellement nombreux et tellement talentueux qu’il suffit simplement de dire que l’ensemble du casting participe à la réussite du film.

En conclusion, si vous voulez voir un vrai film de Noël, qui soit à la fois drôle, émouvant, et merveilleux qui puisse enfin concurrencer les grandes cavaleries américaines tout en s’en inspirant, courez voir « Santa et compagnie », car Alain Chabat a retrouvé les clés de la réussite et de la tendresse comme il a su si souvent nous le proposer dans le passé !

Alain Chabat nous livre un magnifique conte humoristique sur Noël et le père Noël, pour les petits et les grands. Les effets spéciaux sont superbes et il y a plein de belles trouvailles. Le scénario est top, très drôle et plein de magie, et le film est bien rythmé ! Bref, on passe un agréablement moment !

Alain Chabat sait faire de bonnes comédies familiales bien sympathiques et divertissantes.
C'est encore le cas avec ce film là.
L'idée est originale et tient bien la route.
C'est amusant et les effets spéciaux sont au top.
J'ai beaucoup aimé les rennes notamment.
Les quiproquos avec la vie terrestre sont chouettes.
Je ne mets que 4 étoiles et pas 5 car je m'attendais malgré tout à un peu mieux, à plus drôle et plus enlevé.
Voilà je suis légèrement déçue mais j'ai tout de même passé un bon moment et ce film mérite 4 étoiles.

LE film de Noël à ne pas rater!!!! Maginfique visuellement et truffé d' humour à la Chabat.... un régal!

Santa&Cie est LE FILM à aller voir en FAMILLE au cinéma en ce moment !

Ce conte de Noël écrit, réalisé et joué par Monsieur Alain Chabat est un pur délice pour les enfants ET leurs parents, ou tous ceux qui ont gardé une âme d’enfant.
Ne vous attendez pas à La Cité de la Peur, on est dans un registre différent, et pour tous les âges. Chacun de ses films est différent.
La mise en scène est impeccable. Les effets spéciaux sont dignes d’un blockbuster US.
Le scénario est certes basique mais efficace. Les jeux de mots sont bien trouvés.
Le véritable atout de ce film est son casting et sa mise en lumière par Chabat. A commencer par lui, magnifique dans son rôle de Père Noel. Le choix d’Audrey Tautou est audacieux et très réussi. Le Palma Show comme on les aime, dommage qu’une partie de leurs gags soient dans la bande annonce. La famille composée de Pio Marmaï et Goldshifteh Farahani et leurs deux enfants, est diaboliquement attachante. On découvre Goldshifteh dans un registre plus léger et elle est magnifique dans ce rôle, très bien accompagnée par Pio qui confirme de film en film sont talent.
Et que dire des 2 enfants, Simon Aouizerate et Tara Lugassy. 2 petites pépites à croquer, qui crèvent l’écran.
Très jolie prestation de Johann Dionnet (que je ne connaissais pas), qui joue le frère de Pio.
Et plein de guests que je ne vais pas vous spoiler ...
Une petite longueur aux 2/3 du film mais un final époustouflant et féerique.

Bref vous l’aurez compris j’ai adoré et mes enfants aussi, ce formidable feel-good movie de Noel.

Quand Chabat s'attaque au conte de Noël, forcément, ça donne envie ! Dans un univers "Charlie et la Chocolaterie", ce film plaira à la fois aux enfants et aux adultes ! C'est mignon et féérique, mais c'est aussi très drôle, subtil et décalé. Vu en avant-première en présence de Monsieur Chabat, je n'ai eu que la confirmation de ce que je pensais déjà : un grand monsieur, cultivé, décalé, modeste et intelligent.

Pas aussi enchanteur que ce que la bande annonce nous avait pu le laisser croire, Santa & Cie nous amusera beaucoup dans sa première moitié avant de perdre l’inspiration dans sa seconde partie. Fort pour les gags, Alain Chabat aurait peut être du s’aider d’un autre scénariste pour développer son histoire. Parce que son humour et son originalité dépasse cependant largement la majorité des comédies françaises sorties cette année, il serait tout de même dommage de passer à coté de ce long métrage qui deviendra sans doute un classique de Noël. [lire la critique complète sur FreakinGeek.com]

Santa Claus est un Ernwin, de la constellation des N'ewok, planète Portnawak. Il a chopé l'Arzak de Moebius et l'a transformé en sirène, mais comme c'est pas Aquaman il l'a relooké en six rennes. Il a tapé dans l’œil à Wanda Jackson (la rockeuse a bien changée !) mais comme c'est un gamin de 607 ans il ne lui a pas fait d'enfants. Comme Tom Bombadil étant un pote, il lui concocte 100000 lutins en un tour de main au départ pour lui servir d'esclaves. Mais, par un passage crypto-Asgardien (utilisant l'intrication quantique de plis de l'univers pour voyager d'étoile en étoile), un Enchanteur changea la nature sombre de l'individu qui ressemblait au départ à un ours en une créature antropomorphique nettement plus sympathique. Le même phénomène incita Santa Claus a trouver un sens à sa vie. Tom Bombadil lui suggéra d'utiliser ses Minions (larbins en français) rouge et noir à fabriquer des jouets pour les Terriens de l'hémisphère Nord après en avoir boulotté 8000 (ce pourquoi il n'en reste plus que 92000). Le traineau était au départ une coiffe appartenant à un machin à forme bizarre à forme rectangulaire (si, si, vous retournez le traineau, ça ressemble bien à une coiffe !) Par contre j'ai rien trouvé sur kikimedia sur le mode propulsion. Dommage ! Pour une critique plus sérieuse, passez votre chemin les lutins...

Un plaisir pour jeune et moins jeunes tant le film parvient à combiner merveilleux avec un certain réalisme (le couple Pio Marmai- Golsifeth Farahani est crédible et attachant) Alain Chabat compose un père noël déphasé et amusant, et est toujours à l'aise pour jouer les enfants, les cheveux blancs n'y changeant rien. Les effets spéciaux et les décors sont top, les jeux de mots pullulent ( "ours bipolaire" "vous me faites tous skier").... Dommage qu'il y ai un ventre mou vers le milieu du film, mais cela reste un joli divertissement pour la famille avec un petite morale sur la nécessité de se retrousser les manches pour rendre le monde meilleur.

nullll a chiiier de la pure merde français fuyez ne perdez pas vos argent surtout vos temps pour de conneries debile

Alain Chabat se lance dans un conte de noël grandeur nature, au-delà du plaisir de voir l'acteur/réalisateur dans la peau du père noël, j'étais très heureuse de retrouver Pio Marmaï. J'ai beaucoup aimé ce film qui nous plonge dans l'ambiance et l'esprit de noël, avec un conte moderne. On y découvre l'atelier du père noël ainsi que sa manière de traiter les demandes des enfants, je regrette vraiment qu'on y est pas passé plus de temps. L'idée d'avoir un père noël qui ne connait pas la vie des personnes qu'il récompense chaque année m'a beaucoup plut. Le film ne deviendra peut être pas un classique de noël, pour autant je l'ai trouvé très plaisant, par son scénario, son casting, sa musique, ses couleurs, ses costumes, mais il manque un je ne sais quoi. Personnellement j'ai passé un bon moment et j'ai aimé retrouvé mes deux acteurs fétiches.

Mais pourquoi Alain Chabat s’entête-t-il à vouloir "sortir" des films??
stupéfiant d’ineptie pour ce Santa et Cie.
Adieu la féérie, le monde merveilleux du conte de noël, les rêves insensés des enfants.
Vive la lourdeur, les clichés, presque la vulgarité.
Quitter la salle après 20 minutes aurait été la solution la plus sage afin de ne pas devenir masochiste.
Quelle tristesse alors que les lumières brillent dans les rues et que le temps est, en principe, à la fête.
Restez donc dans votre domaine d'acteur, Monsieur Chabat et ne retentez pas un "nouveau" film.