Avis sur Teen Spirit

Une fusée ! Le début de "Teen Spirit" offre la sensation d'une fusée que rien ne semble pouvoir arrêter ! Dès les premières minutes, le premier long-métrage de l'acteur Max Minghella a beau nous raconter une histoire que l'on connaît sur le bout des doigts (Violet, une jeune provinciale à la voix d'or décide de participer à une émission de télé-crochet nationale), l'énergie impressionnante qu'il déploie derrière la caméra couplée au magnétisme d'Elle Fanning emportent à peu près tout sur leur passage et nous avec ! Même pas le temps de s'attarder sur les ficelles connues que le film utilise pour sa mise en place, cette vague de véritable teen spirit traduite assez brillamment par Max Minghella à l'écran grâce au chaos des images de l'existence figée de son héroïne fait office d'un tsunami où tout se met miraculeusement à sonner juste. Que cela soit la rencontre improbable avec un vieux mentor, une relation mère-fille enlisée dans l'incompréhension ou évidemment la soudaine ascension musicale de l'adolescente, la mayonnaise prend comme par magie à tous les niveaux avec comme incontestable firmament la superbe reprise de "Dancing on my own" de Robyn où Violet déverse littéralement toute sa vie à travers les paroles de la chanson magnifiées une fois de plus visuellement par Max Minghella...

On est tellement heureux d'être pris au coeur de ce tourbillon irrésistible que l'on n'envisage même pas un seul instant qu'il puisse se mettre à faiblir ! Et pourtant... "Teen Spirit" va bel et bien caler. Et tout bêtement en plus ! Lorsque le film décide de stopper de lui-même la montée en puissance de son héroïne pendant un moment, ce qui faisait sa force principale disparaît avec elle et toutes les faiblesses que l'on ignorait bien volontiers jusqu'alors prennent peu à peu le pas sur tout le reste.
On se dit que ce n'est qu'une mauvaise passe à partager en même temps que Violet et on espère vraiment que le film va retrouver sa fougue au moment où l'évolution de la jeune chanteuse va connaître un nouvel essor. Hélas, le souffle de teen spirit tant aimé des débuts ne se manifestera plus désormais que par intermittence.
Dès que Violet est confrontée aux mirages du star-system, Elle Fanning aura beau toujours se maintenir à son meilleur niveau (elle sera la grande constante du film, même sa propre voix évoluera avec son personnage) et Max Minghella tenter de renouer avec la qualité de la première partie, l'accumulation de lieux communs traversés par l'ensemble des personnages sera telle que rien ne pourra plus la supplanter. Quelques bonnes séquences émergeront ici et là, surtout celles entre Violet et son manager de fortune, mais il faudra véritablement attendre le numéro final pour que "Teen Spirit" nous transcende à nouveau et réveille en nous la flamme des premiers instants grâce à cette conjugaison ravageuse retrouvée entre l'actrice et son réalisateur...

Un départ tonitruant, un gros faux-pas et un film qui ne cesse de désespérément tourner la clé de contact dans le vide jusqu'à un final qui réussira enfin à redémarrer son moteur... "Teen Spirit" n'est donc clairement pas le synonyme d'un premier film totalement abouti mais, lorsqu'il trouve le parfait alignement entre son très prometteur réalisateur et sa fabuleuse actrice, il franchit un cap de plaisir aussi redoutable que contagieux et capable de faire oublier n'importe quelle facilité sur laquelle il est en train de se construire...

Une adolescente douée pour chanter participe à un radio-crochet afin de devenir une pop star. C’est tout simple et pourtant c’est charmant et émouvant. Elle Fanning trouve encore ici un rôle époustouflant et elle relève brillamment le défi.

Quelle bonne surprise que voilà !
On suit du début à la fin la vie, le parcours de cette jeune fille qui veut s'inscrire à ce concours et si possible le gagner.
C'est rythmé, stylé et franchement agréable à regarder.
En plus l'actrice chante vraiment, elle n'est pas doublée, c'est assez incroyable.
J'ai été emballée par ce film.

Un film ennuyant, presque décevant jusqu'à l'arrivée de Vald à la 2ème minute. Vald est une légende du cinéma international.Il mérite un oscar pour sa performance dans ce film.

Vive Vlad!

Porté par une bande son pop et dynamique ainsi qu’une prestation formidable d’Elle Fanning , ce télé crochet filmique s’avère très sympathique même si il aurait pu être un peu plus approfondie sur certains points scénaristiques . Ma note : 13/20

on est vraiment loin du film La la Land mais cependant j'ai pu l'apprécier même si je trouve certes que ça ressemble trop à des séries qu'on peut retrouver sur les plateformes du style Netflix!
Les chansons sont cependantes excellentes

Ce film est excellent, maîtrisé, réussi.
Il y a du rythme, de l'émotion, du suspens.
J'ai passé un excellent moment.
A souligner l'interprétation parfaite et époustouflante de l'actrice.

Pur film graphique, à la dramaturgie ultra classique, (« mais si ! vous connaissez la fin ») qui a la mérite de traiter son sujet pour ce qu’il est et de ne pas jouer dans sa mise en scène, comme dans son récit, à « qui va gagner ?! » Assumé de bout en bout, le premier film du fils d’Anthony Minghella (Le Patient Anglais) est plutôt une belle surprise dans sa forme. Evidemment la présence d’Elle Fanning couronne l’ensemble. Pour le genre, ce teen movie musical s’en sort plutôt bien. requiemovies.over-blog.com/

"Teen Spirit", c'est plus ou moins l'histoire de toutes celles et ceux qui souhaitent faire ce métier. Le rêve d'une vie qui passe par une expérience unique à savoir un grand concours de chant qui permettra au vainqueur d'enregistrer un album. Pour son premier film en tant que réalisateur, Max Minghella qui est connu pour ses rôles dans "The Handmaid's Tale" et "The Mindy Project" nous propose de suivre tout le processus de sélection de la première à la dernière étape. Une immersion au sein d'une émission musicale, mais aussi dans l'industrie de la musique puisqu'il en profite pour montrer ce monde de requins alors que Violet n'en fait même pas encore partie. Violet est une adolescente solitaire qui passe tout son temps entre l'école, son travail et sa passion pour le chant qu'elle partage en chantant dans un bar rarement plein. Elle habite dans un coin tellement paumé qu'en regardant le début du film on pourrait penser que l'histoire se déroule il y a plusieurs dizaines d'années. Et d'ailleurs le réalisateur joue sur ça puisqu'au fil des minutes on dirait qu'on avance dans le temps. Max Minghella arrive tout simplement à faire un film à la fois old school et moderne grâce à la présence de ces deux mondes. On passe plusieurs fois d'un univers à un autre avec les décors vieillots et ternes de la campagne qui laissent place à des cadres plus actuels, lumineux et flashy. Si cette success-story qui raconte l'histoire d'une outsider est plutôt classique, le film est visuellement superbe et nous transporte dans des univers différents à chaque fois que Violet chante. Il y a une vraie identité visuelle et artistique qui donne une autre dimension au film. Cela vaut aussi pour les musiques avec une BO pop entraînante qui colle bien à l'univers du film. Elle Fanning, qui est réellement passée derrière le micro, est très convaincante dans la peau de cette fille discrète qui se révèle complètement lorsqu'elle chante. Si je dois reprocher quelque chose au film, c'est qu'il s'essouffle un peu lors de la deuxième partie, mais d'un côté, c'était compliqué de maintenir le niveau de la première qui est vraiment bonne. Au final, "Teen Spirit" est un vrai bon divertissement surtout si vous aimez les films musicaux.

Scénario totalement insipide et vide d'un quelconque intérêt.

Digne d'une sortie DTV si le film n'avait pas été réalisé par le fils de... et s'il n'avait pas bénéficié d'une telle tête d'affiche en la personne d'Elle Fanning.

Bon... après on ne va pas se mentir bien longtemps, le seul et unique intérêt du film c'était Elle Fanning qui, clairement, a rarement été aussi bien mis en valeur après The Neon Demon de Nicolas Winding Refn.

Et on comprend rapidement pour qu'elle raison elle est aussi bien mis en avant, tout simplement parce que Max Minghella (le réal) n'est autre que son compagnon.

Images léchées à grand renforts de lens flare, avec de très beaux plans d'E.F. lorsqu'elle chante, ok... mais ça reste un peu vide tout de même... Intrigue à la guimauve et personnes secondaires inexistants. En dehors de captiver les ados férus de The Voice et autres daubes télévisuelles, y a vraiment rien à en retirer.

Car en dehors de se rincer l'oeil sur E.F. (et il y a de quoi ^^), très franchement on a largement le temps de s'ennuyer ferme et de se perdre dans son joli regard...

http://bit.ly/CinephileNostalGeek

Violet Valenski (Elle Fanning) est une adolescente discrète qui s'ennuie ferme dans l'île de Wight au sud de l'Angleterre. Lycéenne maussade, elle enchaîne les petits boulots pour se faire de l'argent de poche et contribuer aux charges de la famille. Sa mère, une immigrée polonaise, l'élève seule depuis que son père l'a quittée.
Mais Violet a une passion : le chant, qu'elle pratique à la chorale de l'église et dans un troquet, devant un public clairsemé d'alcooliques moroses. Jusqu'au jour où Vlad Brajkovic, un ancien chanteur d'opéra croate déchu, repère son talent et accepte de la parrainer au concours de chant "Teen Spirit".

On me dit "Teen Spirit" ? Je réponds Virginie Despentes. Je me demande combien de spectateurs iront, comme moi, voir ce film, sur un malentendu, escomptant une adaptation de l'une des œuvres de jeunesse de l'auteure de "Vernon Subutex". Ils n'en auront pas pour leur compte ; car la romance sucrée de Max Minghella (le fils de son père, Anthony Minghella, le réalisateur du Patient anglais, mais aussi l'acteur qui joue Nick Blaine dans "The Handmaid's Tale") n'a rien de trash ni de punk.

Le scénario cousu de fil blanc de "Teen Spirit" est affligeant. Comme de bien entendu, on y voit une Anglaise ordinaire passer avec succès toutes les épreuves qui la mèneront de l'anonymat à la gloire. Rien ne nous est épargné, depuis la concurrente fielleuse, le petit ami séducteur et duplice jusqu'à la corruptrice impresario (superbe Rebecca Hall révélée dans "Vicky Cristina Barcelona"), sans oublier la mère aimante mais dure et l'ami fidèle mais faible.

La musique ne réjouira que les aficionados de NRJ. Des scies déjà mille fois entendues, au risque de nous causer des acouphènes, sont martelées sur des images de video clips : "Lights" d'Ellie Goulding, "Wildflower" de Carly Rae Jepsen, "Dancing On My Own" de Robyn, etc.

Pourquoi, après ce dézingage en règle deux étoiles alors ? Pour une seule raison : Elle Fanning. J'ai déjà eu souvent l'occasion de dire la passion que je lui voue. Une admiration qui n'est ni sentimentale ni irrationnelle. Je ne suis pas sous le coup de son charme. D'ailleurs Elle Fanning a des traits assez durs, un visage carré, un menton agressif, une bouche trop petite (je lui trouve une ressemblance avec Elisabeth Moss, l'héroïne de "The Handmaid's Tale"). Mais elle réussit, d'un plan à l'autre, à se métamorphoser. Quelconque un instant, elle est sublime l'instant d'après. Elle a des expressions enfantines, un sourire désarmant, et, à plus de vingt-et-ans, une sensualité désormais parfaitement assumée.
Surtout, c'est une actrice qui travaille ses rôles. Cela se voit. On la sent investie, concentrée, attentive aux moindres détails. Loin d'être un défaut, c'est à mes yeux une qualité. À une époque où on valorise le lâcher prise, où l'on encense le talent naturel de jeunes génies au charme félin façon Timothée Chalamet ou Lily-Rose Depp, je reste indéfectiblement du côté des besogneuses, des bosseuses : Natalie Portman, Naomi Watts, Julianne Moore, Jennifer Lawrence, Jessica Chastain...

Plus acteur que scénariste ou réalisateur, Max Minghella entame sa nouvelle carrière derrière la caméra avec méfiance. Ce sera sans surprise un film balisé de bout en bout, avec des fossés scénaristiques qui ne peuvent remonter son moral, ni le nôtre. Mais là où on se laisse surprendre, c’est sur la performance de l’actrice vedette, montant de plus en plus en puissance, en succédant différents registres dramatiques. Elle Fanning est bien celle qui relève un peu le niveau, malgré les tentatives de mises en scène loupées du réalisateur. Cependant, elle ne parviendra pas totalement à s’extirper de son cocon, ou le temps d’une performance surcutée pour bien en juger. L’ensemble n’est qu’une dispersion de maladresse technique, notamment due au faible scénario, qui n’aspire pas à la créativité. Au lieu de cela, tout sonne comme un énième teenage movie oubliable.

Au milieu d’une ville perdue, une fille perdue rencontre un vieil ivrogne perdu. Mais elle a du talent en chant, alors la suite, on la connaît. Violet est inconsolable sans son iPod qui lui procure ces instants d’évasion que la vie lui prive. Même la scène locale n’est pas tendre avec elle, parce qu’il n’y a qu’elle. Certains diront le dilemme de l’adolescence et d’autres évoqueront l’exploitation lambda d’un teenage movie. Il y aura une part de vérité dans chaque, mais tout vire rapidement dans les clichés du télé-crochet qui guide notre héroïne. On cherche sans cesse à interroger sa conscience, mais les réponses sont trop facilement données et manquent de subtilité dans leur exploitation. Elle se cherche une identité dans la musique moderne, mais la compétition est intrinsèquement subtilisée par le système de vote, que l’on pourrait croire aléatoire, car le talent ne se justifie pas apparemment. Or, si on ne la confronte pas directement à ses adversaires directes, sur scène, il y a peu de chances de craindre pour son ascension. L’empathie est donc absente de notre jugement et nous suivons naïvement ce récit, manquant de personnalité et de caractère.

Vraiment dommage à débriefer, alors que la jeune comédienne enchaîne les performances scéniques, aussi bien sur le plan d’acting et de chant. Lorsqu’elle finit par baisser sa garde, la belle fille la fait transpirer et hésiter n’est plus aussi lucide qu’il le faudrait alors qu’elle avait les cartes en main. Humble jusqu’à cette fatalité, il faudra une réconciliation avec un mentor qu’on ne présente plus. Lui recherche à renouer avec sa fille et elle cherche un soutien paternel. Tout est dit de ce côté. Pourtant, niveau esthétique, il y a une certaine noirceur qui se dégage de l’écran. Et si cela ne rattrape en rien le reste et que le conflit social entre les classes ressemble à un cocktail de mauvais goût, il serait possible de pardonner par l’engagement technique, mais encore une fois superficiel.

Si la relation de confiance entre le fraîchement réalisateur et la prodigieuse Elle Fanning pouvait intriguer, les craintes confirme le fait que « Teen Spirit » n’est qu’un produit sans identité, à notre grand regret. Fanning porte tout dans l’intrigue ou le cadre, elle occupe les pensées de chaque protagoniste, car elle finit par s’imposer par innocence et sans émouvoir son public qui n’est jamais montré, c’est-à-dire nous autres spectateurs. Impossible pour nous de se consoler, ni avec la musique pop qui en découle, ni avec les motivations du personnage, pour qui la victoire devient plus qu’in combat intérieur.

L'actrice principale n'est pas mauvaise sauf que cette histoire n'est pas tres credible et passe les premieres scenes de chant , on a du mal a se passionner pour cette aventure et cette ascension.

En voilà une bonne petite surprise! Rien que le titre laissait présager un simple teen movie classique prenant place dans le milieu des télé-crochets, émissions éminemment populaires aujourd’hui. On pouvait s’attendre à du mielleux, du niaiseux et des considérations purement adolescentes enrobées de musique pop mais « Teen Spirit » déjoue ses préjugés et s’avère un premier film plein de qualités qui réussit à se différencier et surprendre avec maestria. Le script évite les sempiternels séquences au lycée et les clichés inhérents au monde de la musique et des compétitions pour se focaliser sur les relations entre des personnages bien écrits et différents (la mère, le mentor, …). C’est un peu le penchant plus classique et mainstream de « Vox Lux » avec Natalie Portman qui évoluait dans un milieu similaire mais perdait le spectateur par son côté opaque et nihiliste.



Le premier essai du jeune comédien Max Minghella doit beaucoup à la prestation de son actrice principale, Elle Fanning. Après « The Neon Demon » celle-ci montre encore une autre facette de son talent et se révèle très crédible aussi bien lorsqu’elle chante et danse que lors des scènes plus intimes où sa nonchalance mêlée de maturité et de détermination frappent juste. C’est d’ailleurs l’une des autres qualités de « Teen Spirit » : la justesse de ce qui se joue dans un genre souvent déconnecté de la vraie vie. Ici, on est loin du conte de fées malgré le dénouement attendu et tout semble empreint de véracité et crédible, loin des success story du genre où tout est formaté, prévisible et qui fuient la réalité pour faire rêver les midinettes. Les rapports de l’héroïne avec sa mère donnent du coffre à l’histoire mais c’est surtout la relation entre elle et Vlad, le père de substitution, qui touchent en plein cœur. D’ailleurs, la symbolique du collier montre bien que c’est leur rapport qui cimente le film et permet au personnage de Fanning de s’affranchir de l’absence du père.



La mise en scène de Minghella s’approche du parfois du clip, utilisant des filtres et un montage saccadé saupoudré de musique pop. En temps normal, on aurait vu cela comme des facéties prétentieuses destinées à se fondre dans le moule de la mode actuelle. Mais dans « Teen Spirit » le jeune cinéaste n’en abuse jamais et ces choix esthétiques sont parfaitement en accord avec le sujet. Certaines séquences sont même presque hypnotiques et envoûtantes. Même si on n’est pas fan de pop music, le final s’avère non seulement très bien mis en scène mais surtout, et contre toute attente, entraînant. Rebecca Hall apparaît également dans un court second rôle mémorable qui montre bien le fonctionnement de l’industrie musical actuelle. Court, appliqué, évoluant dans un contexte différent pour un tel sujet, bien écrit et divertissant de bout en bout, « Teen Spirit » est un bon petit moment de détente qui ne pêche que par son insignifiance mais révèle un réalisateur à suivre.



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Vivant seule avec sa mère sur l'île anglaise de Wight, la jeune Violet Valenski, 17 ans, rêve d'un autre destin que le sien, plutôt terne depuis le départ de son père.
Elle est un peu sauvage et dans son monde, mais elle adore chanter, la musique l'aide à s'évader un peu.
Un beau jour, elle croise par hasard une affiche d'une célèbre émission de télé-crochet musical à la recherche de jeunes talents de la chanson, elle décide de s'y inscrire sans en parler à sa mère et, comme elle est mineure, trouve un mentor-tuteur-manager de fortune plutôt improbable.
Les moments musicaux du film sont très bons, Elle Fanning assure parfaitement côté voix, charisme et charme.
J'aurais aimé une trame scénaristique plus étoffée et moins lisse, afin de donner un peu plus de volume et d'ampleur à ce long-métrage agréable à suivre, mais pas flamboyant non plus.
Un spectacle honnête.
Site www.cinemadourg.free.fr