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Mas921
7 abonnés
95 critiques
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1,0
Publiée le 23 décembre 2017
D'habitude bon public pour les comédies, mais là c'est trop! Nous n'avons pas quitté la salle, mais nous aurions dû. Que de vulgarités, de scènes obscènes ! Il était nécessaire de mettre un avertissement pour les enfants. Absolument pas drôle. Dommage avec un casting pareil.
pas la comédie de l'année mais sympathique quand même avec un scénario pas du tout bête et un bon trio d'acteurs qui jouent assez bien. il y a des belle répliques, certes quelques une sont un peu sans queue ni tête mais on se détend après une journée de travail.
Réalisée par Alexandra Leclère, cette comédie au scénario original en dit long sur la faiblesse des hommes et la perfidie des femmes. De bonnes répliques mais aussi des scènes un peu lourdes émaillent cette histoire qui fait plus sourire que rire. Heureusement cette réalisation est sauvée par ses excellents interprètes. Elle nous offre des rôles annexes de classe avec Laurent Stocker, Michel Vuillermoz, Jackie Berroyer et pour les rôles principaux les superbes prestations d'Isabelle Carré, de l'éclatante Valérie Bonneton et d'un Didier Bourdon très sobre.
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2,5
Publiée le 6 mars 2019
Le pauvre Didier Bourdon! En garde alternèe, une semaine sur deux, en compagnie de deux femmes fortes qui en veulent : Valèrie Bonneton (la femme) et Isabelle Carrè (la maîtresse) qui sont dans une rivalitè, certes au dèbut, mais qui la dèpasse pour devenir ensuite des amies! Pour une fois que les femmes ne sont pas des objets! Beaucoup diront que le Bourdon a quand même le beau rôle dans cette comèdie! Un rôle d'homme objet qui rappelle parfois Ugo Tognazzi dans "Una storia moderna : l'ape regina" avec l'infatigable Marina Vlady! Et si "Garde alternèe" ètait tout simplement un film d'amour ? Reste que les trois protagonistes en prennent plein la figure dans un vaudeville cruel et souvent jouissif (cf : la pyjama party). Bref, le film est loin d'être lourd, crasseux et grossier comme le prètend la critique! Ok, ce cinquième long-mètrage de Alexandra Leclère ne brille pas par sa subtilitè et son èlègance mais il est souvent drôle avec un Bourdon qui ose tout face à ces deux menthes religieuses...
L'idée de départ de la réalisatrice pouvait sembler originale avec un homme passant une semaine chez sa femme et l'autre chez sa maîtresse. Malheureusement, ici, tout est raté. Didier Bourdon, tout d'abord, qui le premier semble perdu dans ce rôle d'Apollon si loin de lui. Ensuite, on se demande ce que vient faire Isabelle Carré dans ce navet qui au plus il avance, au plus il tombe dans le graveleux. L'ensemble n'est jamais crédible et la gêne prend le pas sur le comique. A éviter!
Ce film traite encore du sujet de l'adultère sous un thème un peu plus original que d'habitude. La femme légitime quand elle se rends compte de la traîtrise de son mari, contacte la maîtresse de celui-ci et lui propose une garde alternée. Une semaine sur deux, chacune "garde" Didier Bourdon. Le film tient je pense plus à la perfidie et la performance de Valérie Bonneton. Le reste est un peu fade. Bref un film moyen aussitôt vu aussitôt oublié.
une bonne comédie à la française, où finalement le scénario n'est pas stupide du tout. Les acteurs s'en donnent à coeur joie et nous font souvent rire. un moment de détente.
Que la merveilleuse Isabelle Carré se soit commise dans cette galère, laisse pantois. Le scénario est ectoplasmique, interminable, parfois obscène. N'emmenez pas vos enfants ! Alexandra Leclère avait déjà commis Le Prix à payer, la vulgarité semble être la marque de Fabrique de la réalisatrice. Pour tout dire, je suis sortie au bout d'une heure.
Si l'idée de départ est plutôt accrocheuse, le film tombe très rapidement dans la vulgarité et l'obscénité, émaillé de multiples scènes de sexes et de nus aussi inutiles que déplacées. En outre, Valérie Bonneton n'est pas crédible en femme bafouée qui parvient à récupérer son mari sans avoir recours à la chirurgie esthétique. Le fait que ce film grivois et grossier soit l'œuvre d'une femme est encore plus déconcertant
Sandrine (Valérie Bonneton), qui enseigne le violon dans un conservatoire d'arrondissement, la quarantaine installée, est en baisse accélérée de libido. Sa moitié, Jean (Didier Bourdon), une chaire en Sorbonne, est donc allé entretenir la sienne auprès de plus jeune (de quelques années), Virginie (Isabelle Carré). La légitime tombe un beau jour, environ un an après, sur l'échange torride de textos avec lequel les deux amants comblent les absences. La cocue réagit alors d'une façon pour le moins non-conventionnelle..... en proposant à sa rivale une "Garde alternée" de l'objet de leur flamme commune (une semaine chez l'une, avec les deux enfants du couple, une semaine chez l'autre, célibataire et bréhaigne). Cet arrangement insolite rencontre évidemment d'assez nombreuses pierres d'achoppement.... Et c'est là que cet argument original et potentiellement explosif vient à (malheureusement) tourner assez vite court, et à s'assécher dans le marais des développements vaudevillesques - quand on aurait pu espérer une étude de moeurs caustique. Les deux figures féminines principales sont épatantes. Ainsi qu'une troisième, modèle et repoussoir, la mère de Sandrine (Hélène Vincent, toujours aussi malicieuse). On retiendra encore, au crédit de ce nouveau film d'Alexandra Leclère ("Les Soeurs fâchées", "Maman"...), les confidents des deux amants, incarnés par des sociétaires du Français familiers du grand écran (Michel Vuillermoz, l'ami et associé de Virginie, et Laurent Stocker, le collègue de Jean), personnages sachant tirer leur épingle du jeu (de ping pong, entre les deux foyers).
Un navet. Au lieu de s'en tenir à un vaudeville comique, gros sabots pour convaincre de libéraliser le moeurs, avec des scènes d'une rare vulgarité. A éviter absolument.