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    Benedetta
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    405 critiques spectateurs

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    François Monteil
    François Monteil

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 juillet 2021
    NUL.
    Ne mérite pas plus que ces 3 lettres.
    Il y a pourtant tant de beaux sujets à traiter.
    J'attends que ce réalisateur traite une fois l'imam ou le Rabin pédophile qui voit dans ses actes la volonté de Dieu...
    Didier Mion
    Didier Mion

    2 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 juillet 2021
    Vu Benedetta. Grand spectacle de type hollywoodien pour un sujet qui aurait nécessité une technique plus intimiste. Filmé sans finesse avec des méthodes grossières . L'hystérie est traitée d'une façon machiste. Mieux vaut relire "La religieuse" de Diderot ou voir les filmes qui ont déjà traité le sujet. Film a éviter
    Timic77
    Timic77

    3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 juillet 2021
    Consternant. Que ce soit le jeu des acteurs, pour la plupart peu inspirés même Virginie Efira, la caméra lourde et sans grâce, les dialogues plats... le cinéma francais n'avance pas. Le réalisateur s'envase dans ses obsessions malsaines ou pornographiques, et cela fait tomber à plat les scènes où il tente d'injecter un peu de mystique. Les femmes sont transformées en objet de désir ou d'hystérie. Bref, une bonne daube, qui provoque un peu l'Eglise pour faire semblant d'avoir de l'esprit.
    Yves G.
    Yves G.

    1 305 abonnés 3 308 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 juillet 2021
    Benedetta Carlini a été placée au couvent des Théatines à Pescia, dans le grand-duché de Toscane, à neuf ans à peine suite au vœu prononcé par ses parents alors qu’elle combattait une grave maladie infantile qui aurait pu lui être fatale. Cette enfant très pieuse prétendit parler à Jésus. Les stigmates qu’elle présentait conduisirent le nonce apostolique de Florence à diligenter une enquête. Témoigna au procès une jeune novice, Sœur Bartolomea, qui reconnut avoir eu des relations sexuelles avec son aînée.

    C’est sur ce fond historique, soigneusement documenté dans les années quatre-vingts par une historienne de Stanford, Judith C. Brown, dans un ouvrage savant intitulé "Immodest Acts – The life of a lesbian nun in Renaissance Italy" publié en français dans la très sérieuse "Bibliothèque des histoires" de Gallimard sous le titre "Sœur Benedetta, entre sainte et lesbienne", que Paul Verhoeven fait un retour fracassant dans les salles.

    Benedetta est projeté en compétition officielle à Cannes. Le film est annoncé par une rumeur insistante que les confinements à répétition ont enflée. Sa bande-annonce tourne en boucle dans toutes les salles depuis leur réouverture. La présence de Virginie Efira à l’affiche, l’une des stars les plus bankables du moment, et son sujet sulfureux garantissent d’ores et déjà à Benedetta un succès au box office.

    Pourtant sa première moitié, mal jouée (qu’est venue faire Clotilde Courau dans cette galère ?), mal éclairée, mal montée, est calamiteuse. L’action tarde à démarrer avec un préambule trop long consacré à l’enfance de la jeune moniale. On entre dans ce monastère dont on ne sortira guère et où se jouera dix-huit ans plus tard le sort de la religieuse. On comprend vite le double ressort de cette histoire. D’un côté une enquête théologique autour de prétendus miracles dont Benedetta est peut-être l’actrice sincère ou l’inventrice rouée. De l’autre la relation coupable que Benedetta entretient bientôt avec une jeune novice, aussi innocente que tentatrice, qu’elle a prise sous sa coupe.

    Ce double ressort n’a rien de très passionnant. Il y a bien longtemps que les miracles de l’Église n’intéressent plus personne. En revanche, les ébats de Benedetta et de Bartolomea, surtout lorsqu’ils sont joués, dans leur crâne nudité, par Virginie Efira et Daphné Patakia (une jeune première que j’ai passé le film à confondre avec Marina Vacth) sont beaucoup plus stimulants, au point qu’on hésite à avouer, au temps de #MeToo, l’intérêt suspect qu’on prend à les regarder et qu’on finit, correction politique oblige, par reprocher à Paul Verhoeven de leur consacrer une place disproportionnée.

    On en est donc là au milieu du film : se désintéresser superbement des enjeux théologiques de cette histoire et en être réduit à jouir d’un plaisir coupable du spectacle dénudé de ses deux actrices. Et on se dit que la seconde moitié risque d’être bien longue.

    Et c’est là que le film est sauvé par là où on ne l’attendait pas. Après avoir fait du surplace pendant une heure, il met enfin en présence des personnages, crée une tension, bref, raconte une histoire. On se prend donc au jeu de ce suspens dont on ignore encore l’issue. C’est aux personnages secondaires qu’on le doit : Charlotte Rampling, Lambert Wilson, des vieux chevaux sur le retour auxquelles les critiques pourtant nombreuses, aimantées par la staritude de Virginie Efira et par la révélation de Daphné Patakia, n’ont pas consacré une ligne.
    jean-pierre Josselin
    jean-pierre Josselin

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 juillet 2021
    Une belle escroquerie ....Verhoeven veut dénoncer mais il obéit à tous les poncifs ... Ainsi il veut une fin au "nom de la rose" mais il en est bien loin ... Hélas !!
    cinono1
    cinono1

    259 abonnés 1 990 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 juillet 2021
    Peu intéressé par le mysticisme, Paul Verhoeven signe un film à la ligne claire et à l'efficacité narrative indiscutable. Les aventures de cette nonne, prétendant avoir des apparitions de Jésus, est surtout un affrontement avec les autorités religieuses en place, et soucieux de leurs pouvoirs. La reconstitution de l'époque est soignée. Film sur le pouvoir, la croyance, la vanité, l'orgueil, Verhoeven montre mais n'impose rien au spectateur quand il dresse le portrait de son héroine, sainte ou remplie d'orgueil, messagère ou manipulatrice. Verhoeven a un gout pour l'ambiguité de ses personnages autant victimes que coupables. Il n'a pas hérité de son surnom de Hollandais violent par hasard. Le film est traversé par une tension permanente mais Verhoeven ne parvient pas toujours à saisir l'intériorité et les desseins de ses personnages, et son scepticisme donne une impression d'inachevé à son film. Virginie Elfira fait une grande prestation mais c'est surement Charlotte Rampling qui a le plus beau personnage.
    Tango26
    Tango26

    2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 juillet 2021
    Ce film est nul du début à la fin.
    Je suis sorti 15 mn avant la fin.
    Dès le début tout est mauvais. Le scénario, le jeu des acteurs....
    Elfira joue très mal alors que je l’aime bcp. Les scènes de sexe sont d’une longueur affligeante. Lambert Wilson est ridicule. Les dialogues sont nuls et les mots employés n’ont rien à voir avec l’époque.
    Quel gâchis.
    Laurent T.
    Laurent T.

    2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 juillet 2021
    Film avec des longueurs. Le début et la fin sont bien mais le milieu est ennnuyeux meme pendant les scènes sensuelles. Je m’attendais honnêtement à beaucoup mieux et reste sur ma fin.
    amour13
    amour13

    30 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 juillet 2021
    Comme à son habitude, Paul Verhoeven joue sur différents registres en se permettant même de nous fait découvrir une histoire passionnante et ambiguë dont on ressort sans pouvoir réellement savoir si le personnage principal est une femme sincère, la porte-parole de Dieu, un être possédé par le Diable ou une arriviste manipulatrice comme il l’avait fait avec Sharon Stone avec Basic instinct ou avec Isabelle Huppert dans Elle. Paul Verhoeven utilise une actrice secondaire de son précédent film (Virginie Efira qui interprétait déjà une femme extrêmement croyante dans Elle) pour la mettre au premier plan et il a eu une fois de plus raison. À plus de 80 ans, le réalisateur n’a rien perdu de son aspect provocateur et de son regard singulier. Benedetta est donc à nouveau un chef-d’œuvre provocateur de par son sujet (l’association du lesbianisme et de la religion ne pouvait qu’être électrique dans les mains du réalisateur. Un film qui va une nouvelle fois diviser ses spectateurs mais qui devrait plaire à tous les fans de Paul Verhoeven comme moi. Peut être une palme d'or pour le réalisateur et l'actrice et pourquoi un oscar, nous verrons mais en attendant allez le voir et constater peut être la même chose que moi et d'autres spectateurs.
    Calatb
    Calatb

    3 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juillet 2021
    Le film m’a déçu, certes ce n’est pas un mauvais film, comment pourrait-il en être autrement avec ce réalisateur mais je trouve que le film c’est de beaucoup de clichés a toujours utiles
    Isa
    Isa

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juillet 2021
    Excellent film , moderne , féministe et avec des acteurs au top .daphné Patakia ne dénote parmi des acteurs plus expérimentés . Le regard sur la religion et le pouvoir est particulièrement réaliste . P.Verhoeven démontre une fois de plus combien il aime mettre en lumière des femmes fortes
    Jean-Jacques P.
    Jean-Jacques P.

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 juillet 2021
    Tres bon film comme je les aime. Charlotte Rampling au top, et Lambert Wilson super. Fan de film d action passez votre chemin, heureusement il reste des films comme celui-ci.
    Pascal
    Pascal

    125 abonnés 1 416 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juillet 2021
    On ne présente plus Paul Verhoven, réalisateur de films grands publics de qualité. "Benedetta " est un film particulièrement bien filmé, les décors sont splendides, la photo est formidable. Film qui a ne m'a aucunement dérangé. Il y a quelques scènes de relations sexuelles à caractère lesbien ( on a vu l'équivalent avec "la vie d'Adèle ", palme d'or à Cannes), mais sur ce point autant clore rapidement le sujet , rien de bien sexy. Les amateurs uniquement intéressés par ce point, passeront leur chemin car ils en seront pour leur frais. Film qui aborde notamment le thème de la manipulation des masses Bref, on l'a compris sœur Benedetta etait une affabulatrice, sado maso sur les bords et plus touchée par l'hystérie que par Dieu. Venons maintenant au gros point négatif , mais alors il est de taille car il fait perdre beaucoup au film dans son ensemble. Il concerne l'interprétation de certaines actrices. Autant les acteurs qui incarnent les seconds rôles sont formidables ( Charlotte Rampling, Olivier Rabourdin, Lambert Wilson) , l'actrice principale ( V Efira) est vraiment limitée dans son jeu et représente une grosse déception. Il y a aussi une certaine Daphné Pattika (amante de Bendetta) , qui montre ici une médiocrité artistique rarissime qui va au point de déséquilibrer le film. Performance exceptionnelle ! Du jamais vu me concernant. On se demande par quel miracle ( peut-être le seul réel de l'histoire) a t elle été retenue pour le rôle ? On prie le ciel de ne jamais la recroiser sur un écran , avant qu'elle ne prenne des cours d'art dramatique. Il y a aussi la jeune actrice qui interprète Benedetta jeune, que l'on voit dans quelques scènes au début du film, qui est aussi particulièrement mauvaise. Dans la production actuelle "benedetta " me semble largement au-dessus du panier.
    Nicolas Ragonneau
    Nicolas Ragonneau

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 juillet 2021
    Un film consternant de bout en bout qui ressemble à un plagiat merdique des Diables de Ken Russell. Black Book semble bien loin.
    MARION PLOUX
    MARION PLOUX

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 juillet 2021
    Des décors de carton-pâte, les scènes s'enchaînent sans liant, hormis Charlotte Rampling tout le monde sonne faux: Bref la sauce ne prend pas. Pour un Verhoeven c'est décevant.
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