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    Benedetta
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    Alain F.
    Alain F.

    3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 novembre 2021
    on n y croît pas du tout.C est mal joué,les dialogues ne conviennent pas avec l époque !tout ça pour ça,!
    Je devrais arriver a
    refaire le même film avec mon smartphone ,mes collègues de boulot et une bouteille de jaja
    Suppositoire
    Suppositoire

    42 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 novembre 2021
    Benedetta est un film "engagé", comme ils disent, grossièrement basé sur les théories fumeuses d'une historienne américaine de la communauté LGBT qui s'est donnée pour mission de réécrire l'histoire à l'aune de ses penchants sexuels. Là-dessus vient se greffer l'exception culturelle française, gauchiste à souhait, qui y a vu l'opportunité incroyable de pouvoir continuer à salir et souiller toujours plus la religion catholique (ce que jamais ils ne se permettraient avec l'islam ou le judaïsme bien entendu) , avec des scènes blasphématoires qui, pour certaines, versent carrément dans la pornographie. Bien évidemment, toute la gauche des médias et du spectacle (c'est à dire l'essentiel d'entre eux, en France) s'est ensuite donnée pour mission d'encenser ce film, et ce malgré le fait qu'il s'agisse d'un incroyable navet au scénario indigent, mal filmé, mal monté, mal joué, mais qui présente à leurs yeux l'immense avantage de flatter leur besoin maladif de jouir de la souillure de ce qui est beau, pour ne plus permettre de distinguer leur laideur. Si au moins les critiques avaient été claires à son sujet, j'aurais évité de perdre mon temps et mon argent, c'est pourquoi je me permets d'en informer ceux qui pourraient être trompés comme je l'ai été.
    Deschanvresetiennealex
    Deschanvresetiennealex

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 novembre 2021
    d'un kitsch désarmant, seul Virginie eifira tente de sauver ce fiasco.
    on se demande ce que les critiques ont trouvé pour notre ce film aussi bien.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 811 abonnés 3 958 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 novembre 2021
    Benedetta est l'un des films que j'attendais le plus, on en parlait depuis 2017 si je ne m'abuse. Ben ouais un film de Paul Verhoeven dont j'avais adoré le film précédent, avec des bonnes sœurs lesbiennes dans un couvent, je devais être au paradis !

    Et... à l'arrivée j'ai l'impression que ça aurait pu durer une heure de plus pour développer les personnages, les intrigues politiques (et les scènes de sexe bien évidemment...) En gros je suis resté sur ma faim.

    En fait ce que j'ai vraiment adoré dans le film c'est que tout est ambigüe, rien n'est clair, tout est sujet à interprétation. C'est clairement la force du film, réussir à faire passer des choses parfois totalement ridicule comme les visions christiques de Benedetta, comme totalement ambigüe. C'est du lard ou du cochon ? Et même la personnalité de Benedetta reste trouble du début à la fin, on ne sait pas bien qui est elle, si elle est sérieuse ou si elle manipule son monde. Il y a des indices qui vont dans les deux sens. Ce qui fait qu'on ressort du film simplement perdu. Qu'est-ce-qu'on a vu ? L'histoire d'une folle ? d'une sainte ? d'une diablesse ? d'une manipulatrice ?

    Disons que je m'attendais à une fin enchaînant les coups de théâtre un peu comme Mademoiselle de Park Chan-wook. La véritable surprise c'est qu'en fait, pas du tout... Laissant encore plus un goût d'inachevé. Paul Verhoeven joue avec nos attentes (et nos nerfs).

    Je pense que toute cette ambigüité et le mélange des tons durant tout le film, va faire que le film ne pas du tout être perçu de la même manière par tout le monde. Personnellement j'ai pris le tout avec assez de légèreté (plus encore que pour Elle qui m'avait déjà beaucoup fait rire), voir Benedetta lâcher un petit : « Jésus ne m'a rien dit à propos de vous » sans trop qu'on sache comment le prendre, ça m'a bien fait rire pendant trente secondes. Et de façon générale, tout le film semble emprunt d'un humour assez particulier (le côté totalement kitch des visions allant dans ce sens).

    On voit le côté ridicule du mariage avec Jésus (qui a des vrais harems d'épouses dévouées) et comme on pouvait s'en douter avec Verhoeven, il joue avec le désir sexuelle des bonnes sœurs avec le Christ. Je ne dirais pas que le film est original sur ce dernier aspect, mais difficile de ne pas sourire lors des fantasmes de l'héroïne.

    Mais à côté de ça on a des moments plus dramatiques, plus intenses où le premier degré ne fait aucun doute, ce qui permet de toujours rester investi dans cette histoire et ses personnages. Je pense notamment au personnage de l'excellente Louise Chevillotte. De manière générale les acteurs sont tous très bons, même si je pense que chacun des personnages aurait mérité plus de temps à l'écran pour développer leurs intrigues et leur personnalité. Tout va beaucoup trop vite, que ça soit le procès, les expérimentations sexuelles, le temps passé au couvent... Alors les éléments sont là, l'histoire se tient, mais rien n'a vraiment le temps d'être approfondi. Et si rien n'est approfondi, ça rend le film plus superficiel qu'il n'aurait pu/du l'être.

    Après je n'ai clairement pas boudé mon plaisir, mais j'en veux plus !!!
    Phil Belloir
    Phil Belloir

    4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 novembre 2021
    Belles images, jeux d acteurs de qualité, l histoire nous emmène au bout des deux heures sans problème.
    Kubrock68
    Kubrock68

    34 abonnés 1 209 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 avril 2023
    Une jeune fille qui a des visions rejoint un couvent. Tirée d'une histoire vraie Verhoeven navigue habilement entre le fait de choquer et l'idée de douter des visions de la soeur. On ne sait pas ce qui l'intéresse le plus, le mensonge ou le lesbianisme. C'est intéressant, bien joué et bien filmé mais quelque chose manque au film. A voir toutefois (toute foi).
    Sandra S
    Sandra S

    9 abonnés 100 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 novembre 2021
    Deux heures d’aberration. Une sœur possédée par un démon . Ceci est tout à fait possible en même temps . Ce ne serait pas la première . Blasphème sur blasphème tout le long du film.

    Là Diable en rit encore probablement..
    elriad
    elriad

    381 abonnés 1 784 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 novembre 2021
    Érotisme saphique, blasphème mystique, mise en scène baroque, Paul Verhoeven s'attaque à la biographie de sœur Benedetta, une religieuse italienne du XVII eme siècle. Si la photo et les allégories lors des visions sont réussies, si Virginie Efira prouve s'il en était besoin qu'elle est une belle actrice, la complaisance du vieux réalisateur sulfureux de 83 ans finit par lasser et vire même parfois au grand guignolesque. Miracles ou manipulations ? le spectateur se pose évidemment la question, mais à l'arrivée, " Benedetta " finit par laisser un arrière-goût de prétentieux et démonstratif....
    Vador Mir
    Vador Mir

    225 abonnés 709 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 novembre 2021
    Virginie Efira absolument solaire dans une performance incroyable. Verhoeven et son goût de la provoc un peu dans la caricature et la pseudo-outrance. Pour le reste le film est de qualité et intelligent.
    Jorik V
    Jorik V

    1 197 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 novembre 2021
    En voilà un film qui va faire grincer des dents et certainement fortement diviser le public. Présenté en compétition au Festival de Cannes où « Titane » lui a volé le titre de film choc de la sélection, il est impossible d’être impassible devant cette « Benedetta » qui nous prend par surprise sur bien des points. Attention, ce n’est pas un film choquant, écœurant ou irregardable, que ce soit par la violence (« La Passion du Christ » était bien plus extrême par exemple) ni par les scènes de sexe (finalement rares et pas plus érotiques que bien des productions actuelles) mais plus par sa morale et ce qui est dit entre les lignes. C’est donc davantage le propos et le doigt d’honneur à la religion qui pourraient heurter certains esprits pieux et surtout le ton outrancier et jusqu’au-boutiste qu’a choisi Paul Verhoeven pour mettre en scène cette histoire de Sainte supposée en plus d’être soi-disant possédée par Jésus et lesbienne. Le film n’est pas non plus une pantalonnade où on rit à gorge déployée, ni une parodie et encore moins un pamphlet dopé à l’humour noir; non c’est juste une œuvre malicieuse et dévergondée qui se moque de certains aspects religieux et porte aux nues un fait divers ayant défrayé la chronique dans la Toscane du XVIIème siècle. On pense un peu au culte mais tout aussi bizarre et foutraque « La Neuvième Porte », qui lui parlait du Diable. Dans ses excès visuels, ses ruptures de ton et le côté pince-sans-rire de l’ensemble, on retrouve un peu du petit bijou fantastique de Roman Polanski. La comparaison est donc flatteuse même si notre « Benedetta » n’atteint tout de même pas les sommets du film avec Johnny Depp!



    « Benedetta » c’est presque du cinéma bis italien d’antan dans ce qu’il a de kitsch et d’extrême, mais moulé dans un emballage clinquant et rutilant. Et ce qu’on aime c’est que le cinéaste hollandais se permet tout, ose tout et cela se voit. Il se fait plaisir mais en nous faisant plaisir. Parfois il se rate, certaines scènes étant vraiment too much et presque ridicules. On pense par exemple à celles des latrines, vraiment pas indispensable mais surtout à toutes celles concernant les visions de Benedetta. Elles sont inutiles et donnent des clés de compréhension du personnage sur la véracité de ses visions alors que de garder le flou aurait été plus à propos. Mais c’est surtout le fait qu’elles soient visuellement d’une naïveté pastorale désuète qui donne envie de glousser. Notons cependant que c’est peu à côté de toutes celles que Verhoeven réussit et où il nous surprend - et elles sont bien plus nombreuses. S’il n’atteint pas ici la perfection de son chef-d’œuvre précédent, « Elle », il en reprend une des actrices pour le rôle principal. Et Virginie Efira de confirmer encore son talent incroyable et versatile. Elle sait tout jouer et il ne semble pas avoir de souvenir où elle échoue à nous convaincre dans un rôle. Elle se donne à fond comme dans « Adieu les cons » en début d’année, comme dans « Le grand bain », comme dans « Un amour impossible », etc. Si cette actrice avait continué dans la télévision, on aurait perdu au change.



    Même dans ses élans grotesques, le film charme par son contexte original, ses querelles de nonnes et son doit d’honneur au clergé qui en prend un sacré coup, bien plus que la religion en elle-même. Saphique, hypocrite, luxurieux er corrompu, les pontes de la religion et leurs églises n’en sortent pas indemnes tout comme l’avidité générale de toute personne ayant un tant soit peu de pouvoir en son sein. On apprécie aussi que ces plus de deux heures passent à une vitesse folle car « Benedetta » est plein de rebondissement, de scènes inattendues et de retournements de situation. Tout comme les dialogues parfaitement écrits, plein de malice, et de répliques aussi jubilatoires qu’amusantes qui enchantent nos oreilles. Et Verhoeven n’oublie pas de flatter notre regard avec quelques fulgurances de mise en scène qui nous émerveille les yeux. On pense notamment à la scène de la comète et du suicide (belle à se damner) ou au final flamboyant. Une œuvre donc généreuse, folle et impertinente qui ravira les adeptes d’un cinéma indéfinissable et mal élevé. Mais sous couvert de l’être, « Benedetta » est en plus un film qui fait réfléchir sur la religion et nos croyances. Pourtant le cinéaste se sert juste de l’histoire de cette nonne pour nous balancer ses obsessions et c’est diablement bon!



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    Bénédicte B
    Bénédicte B

    278 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 novembre 2021
    Triste star system… Un réalisateur connu (VERHOEVEN), une actrice depuis assez peu de temps "bankable" (EFIRA), et hop : on écope de ce film, bourré de poncifs, d'effets spéciaux et d'argent, et finalement assez dénué d'intérêt. Surtout que Efira est en fait trop vieille pour le rôle, donc ça frôle le ridicule.
    neronis
    neronis

    2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 octobre 2021
    Le sujet était bien choisi, passionnant sur le papier : une vrai/fausse sainte faisant des miracles/supercheries pour gagner sa liberté. La première scène, enlevée à souhait et haute en couleur, était prometteuse. Alors comment expliquer qu'à la fin du film, ce que l'on en retient se résume à peu près à : "Vachement bien foutues, les nonnes d'autrefois" ?

    Réponse : ce film n'est pas un film historique, et ne cherche pas vraiment à nous raconter quoi que ce soit. Son unique ambition est de choquer. Et attention : choquer comme on choquait le bourgeois dans la culture libertaire des seventies, c'est-à-dire par la bonne vieille transgression des bons vieux repères religieux de grand-papa et grand-maman qui veulent pas que j'écoute du Bob Marley parce qu'ils sont fans de Tino Rossi ouin ouin z'avez vu chui un rebelle je me fais pas couper les cheveux. Donc en détail, on montre des nonnes toutes nues sous toutes les coutures, elles font du sexe ensemble, elles utilisent bien sûr des substituts phalliques car c'est ce qui va flatter le spectatEUR (hein, où ça une spectatRICE ?). L'ensemble des scènes de sexe de ce film sont bel et bien un exemple des plus indigestes de "male gaze", de surexploitation décomplexée de la plastique des actrices sans aucun propos autre que l'exhibition voyeuriste. J'ai d'ailleurs passé la plus grande partie de mon temps, pendant ces scènes, à plaindre sincèrement la pauvre Virginie Efira pour ce qu'elle a du endurer avant d'arriver à ce résultat. On voit la même femme (jouée par Daphné Patakia) qui vient d'être soumise à la poire d'angoisse courir à toutes jambes quelques heures plus tard !

    Bref, ce film est clairement la provocation terriblement datée d'un vieil hippie qui n'a pas vu la société évoluer, comme le montre par ailleurs son esthétique très particulière, ses lumières ultra-contrastées et saturées, qui évoquent fortement les BD sulfureuses de Milo Manara dépeignant l'histoire des Borgia, dans la même veine et la même génération d'artistes. Pas de doute qu'il puisse plaire à un ado boutonneux. A un adulte un minimum éclairé, ou à une femme, je ne crois pas !
    soulman
    soulman

    69 abonnés 1 154 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 décembre 2021
    La force qui émane de ce grand film tient en différents éléments : les deux comédiennes principales sont époustouflantes de vérité, la reconstitution est sublimée par la modernité de la mise en scène et la qualité des dialogues. Tiré d'une histoire vraie, ce récit, qui aurait aisément embrassé l'univers de Pasolini, est passionnant car, malgré une attention remarquable aux détails, il reste d'un parfait réalisme, pointant la puissance du clergé avant la révolution tout autant que ses turpitudes. Le personnage de Benedetta, hors du commun, nous entraîne dans une aventure personnelle (sa découverte de la sexualité) et dans un défi choral (ses visions, dont on ne connaîtra le fin mot qu'à la toute fin). Une merveille.
    Bdfoucher
    Bdfoucher

    45 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 octobre 2021
    Difficile de trancher. Je ne me suis pas ennuyé… le film n’est pas mauvais mais il n’est pas bon non plus. En fait, il ne choisit pas son angle. Vieille querelle quand on porte l’histoire en costume à l’écran: les liaisons dangereuses vues par Stephen Frears (1988) ou par Milos Forman (1989)? Lire Montaigne dans le texte ou sous une forme modernisée ? Parler du corps au 17 ieme est une gageure, sur fond de peste, pandémie courante alors, qui pousse à la dévotion, renforce l’église très puissante … et suscite le mysticisme, les délires en tout genre, vrai ou faux, simulés ou non dans un monde où la peur domine … Paul Verhoeven est un authentique réalisateur dont la force des obsessions est sa marque de fabrique -sexe, violence et religion- et on pouvait s’attendre à mieux, à ce que les moyens qu’il déploie pour mettre en scène l’histoire de Benedetta dans son jus s’accorde finement à sa grille de perception … Dans ce schéma, Charlotte Rampling est extraordinaire et crédible. C’est le meilleur rôle. Le couple Benedetta (Virginie Efira) et Bartolomea (Daphné Patakia) est emporté par une passion saphique, trop envahissante, au point d’affaiblir l’ensemble. On ne peut pas traiter un sujet comme celui-ci à la manière de Basic Instinct. L’influence de l’Amérique, patrie d’adoption de l’auteur, avec ses codes d’aujourd’hui, n’a pas que du bon.
    callmeray
    callmeray

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 octobre 2021
    Comment Virgine Efira allait pouvoir se sortir d'un truc hollywoodien aussi scabreux ! Je suis allé le voir pour elle. Heureusement pour le metteur en scène et ses collègues comédiens qu'elle était là pour donner le maximum. Elle a sauvé les meubles d'un film raccoleur, pas une oeuvre d'art mais plutôt un produit du commerce probablement destiné à séduire le consommateur américain. L'essentiel de la distribution n'est pas crédible et joue tellement mal que c'est presque comique. Ça se veut à la fois mystique comme le Nom de la rose et vénéneux comme basic instinct mais ça ne décolle jamais et ce n'est au final qu'un sous produit de l'industrie du cinéma mystico érotique.
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