Avis : Nicky Larson et le parfum de Cupidon - Page 6

Mauvais acteurs, c'est honteusement surjoué; mal dirigé; les décors font faux, irréel, du fond vert et du carton; un scénario à la ramasse qui tiens sur une feuille à cigarette; le cadrage est nul voir mauvais et mal utilisé; l'humour omniprésent est grotesque, chaque blague est super appuyée, non hyper appuyée, comique de répétition à répétition à répétition bref quand c'est pas drôle la première fois inutile d'insister.
Niveau bande-son c'est la montagne russe, on retrouve certaines musiques de la série mais utilisées en jukebox, ça part dans tous les sens et souvent inapproprié.
Seul l'effort fait sur les costumes et certains éléments des (faux) décors rappelant l'univers de la série sont des bons points, mais ça ne suffit pas à sauver le naufrage.
Je ne peux pas simplement dire que je n'aime pas, c'est juste que c'est mauvais.

Beaucoup de clins d'oeil drôlement placés ou un scénario respectueux de l'humour de Hojo. Ne manque que le contraste du personnage de Nicky Larson en mode poseur (air sérieux, yeux fermés et ayant l'air de dire des choses intelligentes qui contrastent son côté délirant) et les dialogues décalés de méchants typiques de la vf ("Maurice j'ai bobo") pour compléter l'ensemble de clins d'oeil à une époque que les moins de 30-40 ans ne peuvent pas connaître... �

totalement ridicule rien de drôle, de plus après baby-sitting & alibi deux films aussi mauvais, donc rien a plus ici toujours du mauvais... encore encore est encore....

C'est nul !
Des gags lourds et éculés.
Un léger lien avec le dessin animé mais sans plus.
Si ça a été fait avec un téléphone portable par un ado je dis : pas mal !
Si ça a été fait par un pro d'âge mure je dis : Raté !
Je comptais mettre une étoile pour les scènes d'actions mais la moyenne de 4 étoiles est indécente et trompe le spectateur.

Aussi incroyable que ça puisse paraître on se bidonne de bout en bout... même si quelques passages sont un peu longs. Une très bonne surprise ! Foncez !

Un seul mot : pathétique! Cela aurait pu être un bon film car les acteurs sont attachants, les cascades bien. Mais avait-il besoin d'autant de vulgarité ? de sexe? C'est un film familial mais certaines séquences ne sont pas pour les jeunes

J'ai pas aimé du tout... Dans le dessin animé, le héros est un super détective avec un gros penchant coquin, dans le film, c'est un obsédé qui sait se défendre... Ca fait rire 5 minutes et ensuite ça devient lourd... Dommage car les scènes d'action sont très drôles et réussies...

Il y a toujours des craintes face à ce genre d'adaptation seulement, ce "Nicky Larson" est la preuve qu'il ne faut pas juger un film avant de l'avoir vu. Détruit lors de la sortie des premières images qui pouvaient laisser craindre le pire, ce film est finalement une bonne petite surprise. Philippe Lacheau est un fan de la série "Nicky Larson" est cela se ressent tout au long du film. Il rend d'ailleurs plus hommage à l'animé qu'à "City Hunter" qui est plus sérieux et plus sombre. Le «tueur» devient un détective privé / garde du corps et c'est comme cela qu'est présenté Nicky dans le film. Un homme plutôt bon dans son métier même s'il n'est pas toujours sérieux à cause de son obsession pour les femmes. L'attirance et l'amour sont au centre de l'intrigue avec Nicky qui doit récupérer un parfum qui rend irrésistible quiconque l'utilise. Une intrigue plutôt bien ficelée et agréable à suivre même si elle sert surtout à encore une fois rendre hommage à l'univers de Nicky Larson. Il y a beaucoup de clins d’œil et de références, ce qui est très plaisant. Au-delà de ça, on remarque aussi que le réalisateur a soigné la mise en scène. C'est la première comédie d'action de Philippe Lacheau et il propose quelque chose d'efficace avec pas mal de bonnes idées lors des scènes d'action. En seulement quatre films, Philippe Lacheau a déjà prouvé qu'il était une valeur sûre de la comédie française. Le film est moins bien que les "Babysitting", mais comme vous avez pu le comprendre avec tout ce que je viens de dire, c'est un film qui m'a fait passer un bon moment. Et j'aurais même pu mettre une meilleure note par rapport au final que j'ai trouvé très réussi.

une comédie drôle avec des gags absurdes, des situations énormes, une bonne bande
son, la musique de top gun au top , des clins d'oeil, du rythme,
de très jolies filles , Philippe Lacheau fidèle à lui même.

Une comédie d'action enlevée et drôle qui plaira aux fans d'humour potache et premier degré de la bande à Lacheau. Sérieux s'abstenir...

Après avoir proposé une alternative agréable aux comédies françaises avec deux films Babysitting et Alibi.com, Philippe Lacheau s’attelle à un défi de taille : réaliser une adaptation live du manga City Hunter (plus connu sous le nom de Nicky Larson par chez nous), en se basant notamment sur le dessin animé et l’humour dégagé par sa version française, plus de quinze ans après l’adaptation hongkongaise mettant en scène Jackie Chan. Revêtant lui-même le costume du célèbre détective, il confie le rôle de Laura Maroni à sa compagne Élodie Fontan, et celui de Mammouth à Kamel Guenfoud pour sa première apparition au cinéma. Le scénario place Nicky Larson face à un drôle de personnage incarné par Didier Bourdon (Les Inconnus, Les trois frères, Madame Irma), qui lui demande de protéger le parfum de Cupidon, une fragrance provoquant à tous ceux qui la sentent une attirance irrésistible envers son porteur.

Mais alors que Nicky se fait asperger pour un test, la mallette qui contient le précieux et son vaccin est malencontreusement échangée avec une autre : le duo doit alors rapidement retrouver le voleur, joué par Julien Arruti, car les effets deviennent irréversibles après quarante-huit heures et Nicky commence à avoir une attirance vraiment gênante envers son client. Tarek Boudali interprète quant à lui une victime du parfum qui suit Laura absolument partout, et vient plus d’une fois en aide au duo malgré tout. La séquence d’introduction annonce la couleur avec une bonne vieille baston entre Nicky et Mammouth en plein hôpital, un homme nu alité étant placé stratégiquement au centre avec un pistolet près de son entrejambe. Les scènes d’action sont dynamisées par des plans efficaces et des bruitages claquants, tandis que l’humour se veut d’emblée très cru avec assez peu de finesse (si Nicky s’est emparé du pistolet, qu’as donc pu attraper Mammouth !?) comme bien souvent dans les comédies françaises.

Si on se prête à rire plus d’une fois avec les running-gags qui s’enchaînent, Nicky a un peu trop tendance à regarder la moindre fille au loin en petite tenue, en pleine séance de sport ou avec les seins qui rebondissent. Ce caractère du personnage était indispensable, mais ces plans un peu trop suggestifs et pas toujours très fins se multiplient très rapidement et ont tendance à vulgariser l’humour de l’œuvre. Heureusement, ce genre de séquence s’estompe sur la seconde moitié du film pour laisser place à davantage d’action (avec une très bonne utilisation de l’effet de ralenti) et de dramatique. Le désir de bien faire habité par Philippe Lacheau se ressent de bout en bout, à commencer par la grande ressemblance des trois personnages principaux, le réalisateur étant même allé jusqu’à faire de la musculation pour endosser la carrure de Nicky. La fidélité à l’œuvre d’origine ne fait nulle doute avec le flash-back montrant spoiler: le meurtre de son ancien coéquipier
Tony Marconi, ou encore la présence du lieutenant Hélène Lamberti.

De nombreuses personnalités françaises font également une apparition lors de courtes scènes. On trouve l’ancien kickboxeur Jérôme Le Banner comme homme de main du méchant, Gérard Jugnot en psychologue qui fait passer des tests à Nicky alors que lui-même semble s’adonner à de drôles de pratiques, Audrey Lamy en mère irresponsable, Dorothée comme hôtesse dans un aéroport et même Vincent Ropion, le doubleur français de Nicky Larson. Pamela Anderson a quant à elle un rôle d’une certaine importance dans la seconde moitié du film, avec un humour toujours aussi salace. En plus de cela, de nombreux clins d’œil à l’œuvre d’origine et son époque sont présents. Pêle-mêle le tableau d’un chevalier sur un zodiac, Laura qui explose Nicky avec un maillet géant sous un fond uni, le méchant qui demande au duo de lâcher ses armes pour qu’il n’y ait « pas de bobo », une balle qui laisse une cicatrice sur la joue de Nicky en frôlant son visage, ou encore la mention des restaurants végétariens (qui remplacent les love hôtels dans la version occidentale de l’animé).

Lors d’une séquence d’action, Nicky s’empare d’une arme à feu attachée au porte-jarretelles de Laura en balayant sa robe, et quitte une bande de malfrats après les avoir mis KO en leur disant « salut les musclés », en référence au sitcom mettant en scène les membres du groupe de musique. Jean-Paul Césari, chanteur du générique français de l’époque, est même présent lorsque les héros arrivent dans un club et murmure les paroles d’une manière plus posée, laissant place à une superbe ambiance nostalgique. La superbe musique « Footsteps » est directement reprise lors d’une séquence d’action pendant laquelle Nicky se défait de ses ravisseurs, les mains liées et attaché dans les airs, qui a la particularité d’être filmée en vue subjective. Le plaisir de retrouver les codes de l’animé se poursuit jusqu’à la présence de la petite mélodie « Get wild » tout à la fin, tandis que Laura poursuit une nouvelle fois Nicky avec l’image qui se fige et s’éloigne peu à peu. Si l’on peut pester contre le trop-plein d’humour gras et regretter l’absence d’autres clins d’œil de la VF du dessin animé (les boulettes pour les balles, les voix ridicules des méchants, les vieux prénoms type Robert, Roger, Raoul et André, il en perd sa moumoute le Mammouth), Philippe Lacheau réussit son pari pour la première adaptation française d’un manga en film live.

Je lis les critiques et j'avoue que je les comprend pas. On est sur un "Patrick Chirac style". On est très loin du Nicky Larsson de mon enfance et encore plus de city hunter. On est sur une bande de copains qui joue à imiter et très mal d'ailleur son héro qu'il a vu au club Dorothèe. Je me demande même si dans mon enfance je jouai pas mieux le rôle. Comment essayer de sauver un film : je met au hasard des guest qui émoustille le chalant.
Les scènes d'action sauvent un peu le film mais c'est vraiment tout. J'y suis aller en 4me disant que le film ne pouvait pas être aussi nul que ce que l'on disait. Et bien si.
Je voulais mettre 2 étoiles pour pas trop sabrer quand même mais je vais mettre moins pour essayer que la notation sur le site vaut vraiment le prix de ce film s'est a dur même pas le prix de son affiche.

c'est nul je suis désolée mais j'aime pas du tout. l'humour est sale est vulgaire. le jeu d'acteur ne me plaît pas du tout. c'est nul.

Si la réalisation est toujours aussi approximative c'est tout de même le meilleur film de la bande à Lacheau depuis Baby Sitter. Les gags sont souvent réussis, les acteurs sont sympas, les références à l'univers télé des années 90 sont amusantes, et il y a du rythme.

À la fois bonne comédie et bon film d’action, "Nicky Larson et le parfum de Cupidon" est une réussite assez inattendue malgré le manque de charisme de Philippe Lacheau. Aux premières références, aux premiers gags que Tsukasa Hojo n’aurait pas reniés, le scepticisme laisse place à une vague de nostalgie. Un bonbon pour trentenaire.