Avis : Star Wars : Episode IV - Un nouvel espoir (La Guerre des étoiles) - Page 5

Pas terrible, le film à pas mal vieillis mais en dehors de ça, l'histoire reste assez basique et pas spécialement intéressante, il est difficile de s'attacher aux personnages, et les effets spéciaux laissent à désirer.

Immense symbole de l'évolution des effets spéciaux, Star Wars : Un nouvel espoir reste encore et toujours un des plus grands films de science-fiction que le cinéma ait montré. Près de 40 ans se sont écoulés depuis la parution de ce film et il ne perd ni de sa force, ni de son influence. Même si les figurines et les costumes d’halloween ont exploité le concept jusqu’à l’os, on voue toujours un culte à l’histoire, aux personnages et à la galaxie lointaine, très lointaine… Narrativement parlant, cette mythologie est simple, mais ô combien efficace. Lucas nous donne un bel exemple sur l’économie de l’écriture. Nul besoin d’extravagances et de décors sophistiqués pour présenter ses personnages primaires : un ciel obscur de fin de journée suffit pour introduire le regard de Luke vers l’avenir. Cette séquence frontale, doublée de la musique magique de John Williams, est époustouflante et émouvante. Que dire des effets spéciaux, si ce n’est que de leurs impacts sur les générations de films de science fiction qui ont suivi. Tellement de scènes sont mémorables, dont celle dans le bar intergalactique pour son zoo d'ivrognes spatiaux. N’oublions surtout pas les détails dans la combinaison son-image qui créent une présence qui relève du génie chez Dark Vador. Le masque, la cape, la respiration robotique et la voix ténébreuse de James Earl Jones, la Marche de l’Empereur.. Bref on ne finira jamais de montrer des exemples pour exprimer à quel point ce film a eu un impact sur le monde. Plus jeune, ce fut une expérience très forte.

Personnellement un de mes films préférés et également une saga dont je suis bien nostalgique (surtout avec l’attraction Star-Tour à Disneyland Paris que j’ai fais un nombre incalculable de fois. L’épisode 4 date du temps où George Lucas était encore un artiste. Il a fait l’erreur qu’est la prélogie uniquement à fin marketing, une série de films là pour de l’argent et non pour de l’art. Suivit par une Postlogie sous-estimé mais incroyable en action, visuellement et également au niveau du scénario : la force devient beaucoup plus profonde que simplement un pouvoir magique pour faire léviter des objets. Mais bref, Star Wars épisode 4 : Un Nouvel Espoir, première épisode de la saga dans l’ordre de sortie ainsi que l’ordre chronologique étant donné que la Prélogie n’a jamais existé, est un projet qui était à la base appelé le journal de Lewis et dont les personnages sont passés par bien des étapes jusqu’à devenir les personnages qu’on connaît, un peu comme dans le scénario tient. Han Solo était à la base un Jedi vert musclé à la Hulk est aurait du être joué par Al Pacino avant que Harrison Ford, qui avait joué dans American Graffitis de Lucas également, qui était sur les lieux du casting uniquement car il était charpentier et qu’il travaillait en même temps que donner la réplique aux potentiels acteurs de Han avant que George lui proposa de jouer le rôle malgré le fait qu’il était contre l’idée de faire reprendre des acteurs de ses précédents films. Luke quand à lui, aurait du être un méchant nommé Anakin Starkiller bien avant qu'on reprit en fait le nom d’Anakin pour son père. Et en ce qui concerne C-3PO, Anthony Daniels c’était à la base barré des lieux du casting (il détestais la SF) avant de tomber sur une image attirant son attention avec donc C-3PO et R2D2. Lucas ne croyait absolument pas à son film, avait rendu visite à son ami Steven Spielberg (perso mon deuxième réalisateur préféré après Tim Burton) sur le tournage de son « Rencontre du troisième type » dont il était impressionné par les décors (fun fact : Spielberg a, pour remonté le moral de son ami, proposé un pari sur : le réalisateur du film qui aura le mieux marché devra payer une grosse somme d’argent par chaque années je crois à l’autre, Lucas a donc dû le faire à Steven chaque années) il prit des vacances à Hawaii avec Spielberg pour se détacher de la pression, Spielberg lui disant qu’il pensait vraiment que Star Wars allait cartonner. Les décors du films sont juste incroyables, la BO composé par John Williams est magnifique et des plus mémorables (Comme d’habitude avec ce dernier) et les acteurs sont fantastiques ! En particulier je dirais : Mark Hamill, Carrie Fisher, Harrison Ford et Anthony Daniels. Évidemment il y’a aussi David Prose et James Earl Jones mais il faut savoir que David Prose (ayant aussi eu la proposition de Chewbacca mais il était moyen chaud de rester tout l’été dans un costume comme ça) était très emballé de faire le grand méchant de l’histoire mais ce qu’il ne savait pas, c’était déjà que : il allait avoir un gros Casque qui allait donc caché son visage mais également que la voix ne serait pas la sienne mais celle de James Earl Jones. Oui, la voix de Mufasa dans Le Roi Lion) selon Lucas, là où le physique c’était nickel, sa voix n’était pas assez menaçante pour Dark Vador. Notre VF est excellente aussi d’ailleurs, avec le regretté Roger Carel pour C-3PO. Ce film a beaux daté de 1977, il n’a pas prit une ride et reste encore inoubliable !

Oui, moi aussi j'ai aimé Star Wars mais un moment il faut grandir. Le film a plutôt bien vieilli, mais il prouve malheureusement à quasi chaque instant à quel point George Lucas est un piètre cinéaste. C'est simple, difficile de faire plus plan-plan que cette réalisation-là. Il ne sait pas bouger sa caméra, ce qui explique sans doute son incapacité à faire des scènes d'action. Bon, au moins on se tape pas des zooms à répétition super chiants comme chez Zemeckis par exemple. M'enfin, quand même. Il faut bien dire que ce genre de films ne reposent que sur leur caractère culte, il sortirai aujourd'hui (même avec des effets spéciaux de 2013) il ne vaudrait pas tripette à cause de l'histoire. Pas facile de faire plus manichéen : le gentil fermier un peu niais qui va devenir un héros et combattre les méchants très méchants (mais qui, attention, ne sont pas si méchants que ça!!), le bad boy mercenaire qui en fait a un coeur d'or, la gentille princesse rebelle etc. Pour résumer, que des archétypes pas vraiment intéressants. Et pourtant, le film reste plaisant pour qui a grandi avec cet univers. Oui, le film manque d'un sérieux travail d'écriture, c'est bien niais, mais tout de même je ne peux que reconnaître que Dark Vador a la classe, que le film est divertissant et rigolo. Ça ne va certes pas plus loin, mais John Williams est cette fois-ci dans son élément et ça donne des merveilles. A noter quand même la mégalomanie du sieur Lucas, se voyant obligé de compenser ses écarts de mise en scène par des effets numériques dégueulasses dans les dernières versions, qui sont bien plus horribles que les effets originaux. Je préfère largement des effets à l'ancienne, mais si ça vieillit au moins c'est regardable. Spielberg a au moins la décence de nous faire choisir la version voulue sur le dvd d'E.T. par exemple, Lucas non. Heureusement qu'il n'a pas réalisé les suivants, histoire de remonter un peu le niveau. Film sympa mais par nostalgie, ça reste de la série B pas désagréable.

La trilogie originale est de loin ma préférée !
La Guerre des étoiles est le 1er film de cette trilogie mythique ! Un pure chef d'oeuvre ;)

Un excellent quatrième volet de la saga . George Lucas voulant faire sa saga à l'envers, ce film datant de 1977 montre la jeunesse du Jedi Luke Skywalker. Il devient ami avec Han Solo , un "cow-boy" solitaire et futuriste accompagné de son acolyte Chewbacca . Mais il s'engage pour la bataille de l'Etoile Noire. Il détruit l'Etoile Noire. La scène de destruction de l'Etoile Noire fut parodié dans Narco .Gustave Klopp (Guillaume Canet) rêve d'une bataille spatiale mettant en scène un vol en rase-mottes dans la tranchée d'un gigantesque vaisseau avec des tourelles de défense, se terminant par un tir de torpille dans un puits du vaisseau. Une scène qui rappelle fortement la destruction de l'étoile de la mort dans l'épisode IV.

Un grand démarrage pour une des plus grandes saga de tous les temps. Georges Lucas nous livre ici un pur chef d'oeuvre de science fiction qui est désormais un des films plus culte pour toutes les personnes qui ont pu le voir ! Tout simplement du grand art !

Franchement une réelle déception. Un film remplis de clichés mille fois ressassés (le grand méchant tout noir, la gentille princesse blanche, le gentil héros tout blanc, le antihéros jaloux et véreux...), un jeu d'acteur franchement mauvais globalement, des scènes d'actions où on finit presque par s'endormir à force de voir les tirs lasers détruire des minutes durant l'arrière plan en carton pâte sans jamais réussir à toucher les "gentils" (la maladresse au tir est juste hors du commun dans ce film !), des pseudos retournement de situation mille fois prévisibles (ex : le retour du pilote de vaisseau pour sauver Luke de Dark Vador), un Dark Vador pas du tout crédible qui fait plus rire qu'autre chose. Un film qui conviendra au public classique qui aime voir les super gentils battre les super méchants à plat de couture mais qui n'est pas mon style. Le seul point positif est d'avoir lancé l'univers de la série (ce qui n'est certes pas rien), mais en soi cet opus reste très médiocre. (A bon entendeur je ne clasherai pas les effets spéciaux qui sont pour l'époque honorables surtout concernant les scènes de combat dans l'espace autour de l'étoile noir à la fin)

"Star Wars" représente un véritable aboutissement dans l'art du cinéma grand spectacle. La passion illimitée du réalisateur George LUCAS pour l'espace, l'aventure et les épopées chevaleresques se traduit à l'écran par de prodigieux effets spéciaux et d'extraordinaires créatures spatiales. Un grand bravo à tous les acteurs de la production, en particulier : Marc HAMILL, Harrison FORD et Carrie FISHER. Mais aussi à John WILLIAMS pour ses compositions musicales exceptionnelles. Un grand classique.

Un film phénoménal de science fiction datant de 1977 culte tout droit sortit de l'imaginaire du cinéaste en herbe George Lucas !!! Une oeuvre que j'ai découvert vers l'age de 10 ans dans les années 90, ce film m'a beaucoup marqué et les années passent et ne prend pas une ride bien au contraire, il révolutionna le genre par son coté magique, spectaculaire et divertissant. Ce long métrage nous narre une bonne histoire des bons face au coté obscur de la force dirigé par le terrifiant Dark Vador. Deux droides, R2D2 et C3PO, sont envoyer sur la planete Tatoine à la demande de la princesse Leila emprisonné délivrait un message à Obiwan Kenobi qui sera aidé par le jeune Luke Skywalker. Leurs chemins croiseront le pilote mercenaire arrogant Han Solo et son complice Chewbacca pour les aider. Un film trés bien fait avec des effets spéciaux grandioses pour son époque, des bestioles différentes trés bien créer, des batailles spaciaux qui forcent l'admiration pour un budget assez modeste selon les rumeurs, George Lucas tient son chef d'oeuvre grace à son génie qui sera une longue saga. Les acteurs, plus ou moins connus au moment de la sortie en salles tels que Mark Hamill, Harrison Ford, Carry Fisher, Alec Guiness et la voix de Dark Vador incarné par James Earl Jones, marquent tous le pas bravement dans l'histoire. Chef d'oeuvre inoubliable.

Les mots qui suivent visent la version originale de 1977...
Dans l'aube naissante d'une tentative de cinéma à l'ambition fraîchement artisanale, George Lucas livre avec Un Nouvel Espoir un opus originel à la puissance opératique rare, une épopée dans les étoiles à la Kurosawa dont les échos continuent encore de danser plus de trente années après. Les racines de cette introduction porte sur ses épaules le premier souffle et les mystères de tout un univers déjà porté à hauteur galactique. Les voiles de la narration révèlent une maladresse déjà séduisante où les idées se multiplient et les enjeux se dessinent, tandis que l'on découvre une galerie de personnages aussi attachants que passionnants, entre la filiation et l'initiation, la romance et l'amitié, la mémoire et la légende, nourrissant une aura universelle qui à de quoi peser dans la conscience collective pour longtemps. Ascension multi-générationnelle du space-opéra, Un Nouvel Espoir bâtit pour longtemps la science-fiction comme l'ultime forteresse de la force mythologique.

Le film a beau avoir près de 40 ans, et même s'il faut bien l'avouer, les effets spéciaux piquent un peu les yeux de nos jours, ce tout premier épisode de Star Wars reste un monument historique dans l'univers SF. On ne peut qu'être nostalgique du bruit un peu kitch des sabres laser, des combats mal chorégraphiés (voire pas chorégraphiés du tout) et de la moumoute de Chewbaka. Une oeuvre intemporelle dont Georges Lucas peut être fier.

Le premier reste le premier. L'œuvre initiale, la pièce maîtresse de l'univers Star Wars, le space-opera ultime source de plusieurs copies et autres inspirations naturelles. Avec un pitch des plus classiques, emprunté aux romans chevaleresques et transposé ici avec autant de simplicité que d'efficacité dans un monde spatial peuplé de personnages bizarres et de créatures plus différentes les unes que les autres, La Guerre des Étoiles est un film forcément culte, une œuvre implacable et inlassable qui a bien entendu marqué au fer rouge le domaine tout entier de la science-fiction... Que George Lucas ait oui ou non entièrement créé toutes ce bestiaire, ces planètes (ou même l'univers) de Star Wars n'y changera rien, le long-métrage reste palpitant, comme une épopée rocambolesque à base de sauvetage de princesse, de courses-poursuites dans les entrailles de gigantesques vaisseaux spatiaux, d'affrontements au sabre laser, de batailles interstellaires, de traitrises et de rebondissements haletants. Nous faisons connaissance avec des personnages attachants et charismatiques tels le jeune Luke partagé entre son passé inconnu, son présent douloureux et son futur incertain, emporté malgré lui dans une aventure extraordinaire aux côtés de son mentor Obi Wan Kenobi et du vieux brigand Han Solo pour secourir une princesse capturée par un horrible malfaiteur en armure noire, le terrible Dark Vador... Interprétation impeccable (le film a le luxe de comprendre l'immense Peter Cushing, le confirmé Alec Guiness et même le fringant Harrison Ford tandis que les méconnus Mark Hamill et Carrie Fisher restent épatants), effets spéciaux bouleversants, décors (naturels comme en studio) magnifiques, plans inoubliables (aaah Luke admirant le double-coucher de soleil sur Tatooine) et musique immortelle signée par le génie John Williams... Les qualités sont là, étouffant des défauts alors inexistants pour ce premier volet que met en scène un George Lucas enthousiaste et passionné, le barbu de 32 ans nous livrant dès lors le début d'une fantastique saga aussi inégale qu'intemporelle.

Léger comme une bulle de savon, "Star Wars" doit sa force, plus de vingt après, au fait qu'il représente une sorte d'artifact "pop" assez tendance car décalé. Dans l'environnement de l'époque, un film d'une telle naiveté aurait déjà dû être considéré comme has-been. Or cet anachronisme même lui donne encore une vitalité qui n'est pas sans rappeler le cinéma indépendant dontil était en fait issu. Depuis, Lucas est devenu milliardaire et il est un des représentants principaux d'un cinéma à l'exacte opposé de ce que "Star Wars" tentait d'être.

Malgré le manque d'originalité de sa réalisation, "La Guerre des étoiles" est un exemple de scénario captivant et universel !