Avis sur Morbius

C'est marrant parce que quand je vois les critiques qui mettent zéro étoile où ils parlent toujours de Sony ça sent le review bombing pour ceux qui sont team Disney et qui sont vénère de voir Venom bien fonctionné ou le dernier Spiderman qui a mis en PLS les derniers films Disney
Moi je ne juge pas qui a fait quoi mais plutôt le film en lui-même et franchement c'est un bon divertissement, les effets spéciaux sont super bien fait, l'histoire est chouette, Jared Leto comme d'habitude est juste incroyable, est ce le meilleur film de super-héros ? non , est ce un mauvais film? pas du tout au contraire C'est un super film qui introduit un nouveau hero plus dark de marvel , on passe un bon moment et on en a pour son argent.

"Morbius" est un film que j'ai bien apprécié et il s'agit du troisième film de l'univers commun Sony's Spider-Man Universe après Venom: Let There Be Carnage. Un nouveau film sur un personnage de Marvel. Les personnages du film sont très intéressant, les scènes d'action sont bien sympas, les effets spéciaux sont bien faits et une durée du film qui n'est pas trop longue n'y trop courte.

contrairement aux mauvaises notes , je trouve ce film vraiment sympa, très beaux effets spéciaux , histoire qui tiens le coup, le changement de visage est exceptionnel A VOIR

Je lui met 4 sur 5 car tout comme Venom j'ai passé une bonne séance. Y a mieux et surtout bien pire. Je me fit jamais aux critiques d'avant sortie qui sont chaque fois négatives. Vivement spoiler: la suite avec Amazing Spiderman de Andrew Garfield avec certainement Venom, le Vautour et Morbius.
Je recommande Morbius pour les gens qui aiment passer un bon moment au cinéma.

Film classique de super héros. Rappelant les premiers des années 2000 mais avec des effets spéciaux qui ne sont pas vieillissant. J'ai apprécié. Et concernant les personnes qui ne comprennent pas la venue du Vautour et ses intentions............... Premièrement : Le Multivers est juste chaotique suite aux événements de no way home, ce qui explique que certains personnages comme le vautour sont balancé dans un autre univers. Deuxièmement : Le Vautour a conservé sa haine contre Spider-Man en oubliant que Peter Parker est sous le masque. Troisièmement : Dans le MCU avant que le multivers s'ouvrent en plusieurs brèches Spiderman est l'ennemi numéro 1 et fait la une de toutes les télévisions, sites internet et journaux du mcu.. Donc logique que le vautour pense que le tisseur soit responsable de tout ce bordel. Certes scénario simple. Mais n'oublions pas que le prochain titre de Dr Strange 2 est "Multivers of madness" . Nous sommes déjà dedans c'est le Multivers de la folie point final. Ghost rider 2 et les 4 fantastique ( 2015) voilà de véritables navets. Mais Morbius est regardable. Hâte de voir les sinisters six.

j'aime beaucoup ce que morbius propose, même si le film n'est qu'une première approche du personnage. son physique et ses capacités sont bien exploités. j'ai hate à la suite !! allez y ne serait ce que pour lui donner la chance d'explorer en profondeur ce personnage qui je pense a sa place dans le MCU

Malgré quelques effets spéciaux réussis et un Jared LETO qui se donne à fond dans le rôle principal, "Morbius" n'apporte rien de plus à l'univers Marvel. Le sentiment de déjà-vu qui règne et le scénario du film sans enjeu provoquent une forme de lassitude face à ce genre de spectacle. Ce n'est pas la catastrophe annoncée, mais cela n'a absolument rien de prodigieux. Le film ne prend vraiment pas le temps de développer ses personnages secondaires, le montage est beaucoup trop rapide et ne permet pas de poser l'action.

Film peu surprenant et très convenu... Pas de réel surprise mais un bon divertissement en soit! Jared Leto reste très bien dans le rôle malgré une réalisation pas forcément exceptionnelle. Un bon film à mater chez soit en somme!

Le Sony's Spider-Man Universe se précise, et en même temps, toujours pas l’ombre d’une toile dans le potager. Si le tisseur de toile trouve le succès côté animation, dans les live-action, c’est encore le brouillard, que l’on confond de nouveau et absurdement avec l’aspect ténébreux des personnages. À peu de choses près, nous y sommes, au fond du fond de la crevasse, en accompagnant son camarade symbiote. Venom est face à son propre carnage et « Morbius » à sa propre tambouille artificielle, sans saveur. Daniel Espinosa (Easy Money, Sécurité Rapprochée, Enfant 44, Life) tente et espère dans le même mouvement, une stratégie abondamment recyclée et éprouver à tous les niveaux. Il est secondé par les scénaristes Matt Sazama et Burk Sharpless, qui ne cessent de piller les mythes pour les déformer au lieu de les transcender. Le vampire continue de traverser les générations et à multiplier ses nuances sur divers supports. Il fascine par son attrait du sang et une dépendance à des pulsions, qui révèle les limites de l’humanité autour de lui.

Mais ici, on ne fait pas d’histoire, on ne crée pas d’enjeux, juste des prétextes pour aller aspirer la vitalité de mercenaires et d’âmes innocentes, sans pour autant tâcher le décor de sang, ce serait de mauvais goût. Du CGI à en perdre la tête, avec des enchaînements douteux et une spatialisation incohérente ne sont que des petits exemples auxquels le spectateur devra affronter. Ajoutons du bullet-time en bonus et nous avons atteint le sommet de l’esthétique ignoble, déjà pillé ailleurs et pas dans les meilleurs crus. Jared Leto continue de disparaître derrière les personnalités borderline de ses rôles. Il incarne un docteur Michael Morbius obsédé par rien du tout en fait. Seule sa créature, qu’il cache après son expérience ratée, domine les traits de sa personnalité et son parcours, dans un récit qui avance sans balises, juste à coup de pulsions primitives, dans un désordre qui n’a pas lieu d’être. Il suffit de s’arrêter sur les premières minutes du film pour constater l’indigence du montage qui se croît malin, mais cela entraîne indéniablement une narration aussi décousue qu’inoffensive.

Parlons-en d’ailleurs, du vampire qui n’effraie pas plus que cela, qui se cache dans un hors-champ mal mis en scène ou au milieu d’une photographie aussi plate qu’imperceptible. On confond constamment le flou et l’ombre dans cette origin-story, qui prend d’abord soin de définir l’inventaire du héros, car oui, ce n’est pas un vilain, avant de nous en faire la démonstration visuelle, également sans émotion. Les citations de Murnau à Dracula restent aussi anecdotiques que ringardes dans une approche, qui ne prend pas au sérieux les artistes et les mythes, qui ont redoré le blason du suceur de sang dans l’imaginaire collectif. Au lieu de cela, c’est Milo (Matt Smith) le boiteux, qui bascule soudainement en faux-frère ennemi. Le love interest répond au nom de Martine (Adria Arjona), si l’on parvient à s’en souvenir. Mais comme pour le médecin qu’interprète Jared Harris, ils ne seront que des éléments du décor, que l’on aura oublié de caractériser, avant de nous faire croire à des réels enjeux émotionnels. De même, nous avons un duo d’enquêteurs, sur la piste des cadavres, mais jamais sur le principal intéressé, car de toute évidence, quelqu’un a oublié de les intégrer à l’écriture.

Comme d’anciennes aventures solos de Marvel chez Sony, il n’y a rien de bon à retenir et les échecs s’empilent de nouveau, derrière un studio qui ne pensent qu’à gonfler sa tirelire, quand il s’agit de surfer au gré d’autres univers. Alors oui, l’humour en moins pourrait donner plus de crédibilité au personnage, mails tout le maillage qui en découle derrière ne convainc pas et ne suscite ni plus ni moins qu’une errance mentale durant toute l’intrigue, qui use de tremplin aussi gargantuesque que conventionnel dans les adaptations des comics aujourd’hui. Ainsi, Morbius est incapable de boucler son récit et en appel à des scène post-générique de récupération pour souligner le manque de sensationnel dans son climax, terne et bruyant. Son potentiel est de l’ordre du caméo, qui reviendra au besoin et pour servir un nouveau collectif. Ce film n’est ni plus ni moins qu’un sticker dans la collection d’un studio qui ne semble pas plus impliqué à développer ce pan du Spider-Man Universe, jusqu’à se vampiriser de lui-même. Reste à savoir si l’écurie d’en face, Disney, saura quoi faire de son futur « Blade ».

Une déception pour un film que j'attendais beaucoup. Nouveau personnage, Morbius entre dans la filmographie Marvel avec son origin story, le tout interprété par Jared Leto.
On reste dans un schéma très (trop) classique et sans grand risque, dans la même lignée que le premier Venom. On est tout de même curieux de découvrir ce personnage et les conséquences de ses expériences médicales, l'histoire se suit sans ennui mais avec un arrière goût d'amertume.
Le « méchant » du film est fade et caricatural tandis que les effets spéciaux peuvent être bien réalisés comme brouillons d'une scène à l'autre. On aurait pu s'attendre à beaucoup mieux, c'est bien dommage. Deux scènes post-génériques toutefois intéressantes pour la suite.

http://cinephile-critique.over-blog.com

Le film débute de façon si banale qu'on est déjà peu enclin à espérer un grand film. Le pire dans ce film est un scénario d'une banalité affligeante qui reprend un canevas qu'on a déjà vu mille fois, qui emprunte à plusieurs autres super-héros sans trouver la moindre idée qui ferait le truc en plus. Pourtant, sa soif de sang alors qu'il est un chercheur humain plein d'abnégation est un paramètre passionnant mais qui n'est jamais transcender car rappelons que Morbius est plus un anti-héros qu'un réel super-méchant ; c'est sa soif de sang qui le transforme mais il reste foncièrement bon. Ainsi les scènes post-génériques finissent d'abattre la cohérence qui pouvait lier les deux facettes du personnages. Niveau acting le pire reste la belle de la bête poupée du nom de Martine jouée par un ersatz de Jessica Alba qui est certe très belle mais un peu fade sans étincelle. Les scènes d'action sont également une déception, trop fouillies, peu lisibles, avec un abus constant et omniprésent d'une sorte de bullet time fumeuse. Oubliable.
Site : Selenie

J'avais envie de le voir et de me faire ma propre opinion malgré les critiques qui n'arrêtaient pas de le descendre à tout va. Donc j'ai été le voir sans grande attente, et bien j'ai été agréablement surpris. Ce n'est peut-être pas le film de l'année, et il a bien sûr quelques défauts et incohérences mais il n'en reste pas pas mal. A noter, spoiler: je n'ai pas compris pourquoi morbius pouvait ordonner aux chauve-souris et non l'antagoniste, alors qu'ils ont été tout deux exposés au même produit
. Voyant sa force et sa rapidité, je vois mal un spider man se dresser devant lui... Et dommage qu'il n'y ait pas vraiment de lien avec venom, il pourrait être tellement mieux, car il y a beaucoup de potentiel. Et là scène post générique est vraiment la chose la plus bête du film, spoiler: mettre toomes dans un autre univers que le mcu n'a aucun intérêt et aucun sens, on ne sait pas pourquoi ni comment il a été téléporte, et comment son costume basé sur les événements du mcu a pu arriver dans cet univers, absolument aucun sens.

Le scénario est pas mal, la mise en scène aussi, un peu trop d'effets spéciaux. Voilà en parti mon avis

Bon film ne pas lire les critiques car on a passé un super moment devant ce film. La musique est top, les acteurs aussi.

Ce film n'est pas un chef-d'œuvre mais il n'est pas nul. Il est surtout très bien joué par Jared Leto et par Matt Smith. Handicapés de naissance, et molestés à cause de ça par les connards de leur âge (l'actualité en donne toujours des exemples), ils révèrent les anciens Spartiates, "une poignée contre la multitude". C'est toujours le cas quand la caméra les montre plus tard, encore bancals, dans la foule New-Yorkaise. Mais les deux représenteront en réalité le combat entre le bien et le mal, que le synopsis du film annonce (on ne s'attend pas à suivre deux personnages principaux). L'un dit "une chose primaire se réveille en moi et veut chasser". L'autre répond "il n'y a pas de honte à être ce que nous sommes". Tout ça est très développé, et même trop. Puis les effets spéciaux prennent le pas pour faire peur, et deviennent lassants. C'est toujours pareil, ça frustre l'imagination. La franchise de Sony's Spider-Man Universe se poursuit donc dans cette veine, qui sent l'absence de scénario pour finir, compensée par toujours plus d'effets spéciaux. On reste au final agacé par l'apparition du Vautour (incompréhensible pour ceux qui ne connaissent pas l'Univers en question), comme un cheveu sur la soupe, et deux fois en plus, le temps du générique de fin. A.G.

je pense que là Sony doit tirer la sonnette d'alarme. non mais avant d'exploser JL regardez qui réalise le film svp, ce réalisateur qui n'a réalisé que des films nuls ou très moyens et vous confiez la réalisation d'un blockbuster qui suscite des attentes dignes de ce nom ! arrêtez ça vraiment de piétiner nos rêves de gosses que ce soit via les BD ou les dessins animés qui sont certainement meilleurs en qualité que ce que vous osez nous pondre. je ne vais rien spoilers mais il serait temps de mettre le stylo dans la mains de passionnés qui donneront le meilleur de eux mêmes pour réaliser ces films c'est un investissement qui rapportera beaucoup d'argent croyez moi ! je ne vais rien spoiler du film mais franchement moi qui suis très très Open et tolérant là c'est du haut foutage de tronche sans parler de la publicité mensongère à croire que le poto peter est parti en congés ou qu'il a chopé le COVID lui aussi
PS personnages pas le moins du monde attachants moi qui ressens vite et beaucoup les émotions la c'est 0 vraiment
n'oubliez pas que la scène post générique est la plus incompréhensible et illogique du monde