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    Yalda, la nuit du pardon
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    islander29
    islander29

    741 abonnés 2 258 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 octobre 2020
    C'est comme une émission télé en direct, il s'agit pour les spectateurs de pardonner un "crime".....C'est dans une ambiance de studio de télé que se passe donc le film, avec différents intervenants dont les deux femmes au centre de l'affaire....pendant un certain remps j'ai trouvé le film confus, ne sachant pas laquelle était la coupable....Ceci dit la réalisation et les dialogues font qu'on est concerné par l'affaire (lire le synopsis) qui est une histoire qui a passionné Téhéran, puisque tirée d'un fait réel....Le film peint donc la société iranienne subtilement....Pas d'ennui, des rebondissements servis par une technique irréprochable, la force du film réside dans un choix de mise en scène et de scénario qui en font presque un reportage in live, je conseille et pas qu'aux cinéphiles
    velocio
    velocio

    1 132 abonnés 3 004 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 octobre 2020
    Il y a 8 ans, le réalisateur iranien Massoud Bakhshi, jusque là spécialisé dans les documentaires, avait proposé son premier long métrage de fiction, "Une famille respectable". Bien que ce film ne soit jamais sorti en Iran, sa description d’un pays kafkaïen gangréné par la corruption lui avait valu de nombreux problèmes, certains allant jusqu’à réclamer sa pendaison dans la presse. La peine de mort, il en est justement question dans "Yalda, la nuit du pardon", un film qui, cette fois-ci, a été projeté en Iran, dans le cadre d’un Festival, et qui s’est vu attribuer le Grand Prix du Jury lors du Festival de Sundance en janvier dernier. Petit à petit, grâce au cinéma et malgré les interdictions faites à certains cinéastes de réaliser des films (mais ils en réalisent quand même !), la réalité iranienne nous est de plus en plus accessible : un pays qui apparait très moderne en ce qui concerne la plupart des évènements qui jalonnent la vie quotidienne et très rétrograde quant au statut de la femme et aux droits humains en général. Par contre, si l’on savait que la peine de mort continuait d’être pratiquée dans ce pays, si l’on savait que, en cas de meurtre, la sentence n’était pas exécutée si la famille de la victime pardonnait à l’accusé.e, la plupart d’entre nous ignorait que ce pardon pouvait être obtenu au cours d’un show télévisé diffusé en direct, avec vote des téléspectateurs pour appuyer ou non ce pardon. Grâce à "Yalda, la nuit du pardon", film passionnant et sans temps mort, voici un nouveau pan de la réalité iranienne qui ne nous est plus inconnu !
    Sylvain P
    Sylvain P

    294 abonnés 1 326 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 octobre 2020
    Même en sachant que ce film est tiré d'une (ou plusieurs) histoires vraies, on ne peut concevoir qu'un principe aussi immoral existe. Mélange de télé-réalité, de jeux du cirque et de lynchage populaire, ce procès (dont l'enjeu est tout de même la mort) met aux prises une jeune femme qui a tué, on ne sait trop comment, son mari de 50 ans son aîné, et la fille de celui-ci. Le procédé scénaristique suit exactement l'émission de télévision qui est relatée, à une exception près puisqu'on y voit les coulisses. Un documentaire aurait davantage rendu justice au sujet, mais il faut être honnête, nous serions-nous déplacé pour le voir? La fiction a ce pouvoir de rendre palpable l'inadmissible.
    Marilou M.
    Marilou M.

    4 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 octobre 2020
    Comme plusieurs films récents iraniens, mais aussi saoudiens ("the perfect candidate") le montrent, c'est le heurt entre des traditions discriminantes, ici meurtrières, que la société iranienne peine à abandonner (la loi du Talion) sous peine de démantèlement des lieux de pouvoirs archaïques, et l'extrême modernité à laquelle elle cède (la téléréalité, comme les jeux du cirque de la Rome antique).
    J'ai d'abord eu l'impression que certains rôles étaient surjoués, avant de me rendre compte plus tard dans le film, que ce qui se joue n'est pas ce qui semblait.
    Somme toute, un très bon film.
    PLR
    PLR

    400 abonnés 1 459 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    C’est peu de dire que ce film est troublant. De la télé-réalité à la sauce religieuse de l’Islam Chiite. Non pas que la notion de Pardon, nous soit quelque chose d’étranger dans notre culture judéo-chrétienne, surtout chrétienne, puisque c’est l’un de ses fondements, mais qu’elle puisse être érigée en une espèce de Jeux du cirque, avec vote par SMS des spectateurs et contribution des sponsors en récompense. Ces derniers verseront le Prix du sang sur leurs deniers, c’est-à-dire l’indemnisation de l’ayant-droit de la victime, si d’aventure elle accorde son Pardon conformément à une option prévue par la Charia, laquelle ne fait qu’un avec le Code pénal iranien. Le choc culturel est rude même si on sent que télé-réalité oblige, le résultat attendu de la décision finale de Pardon ou pas est téléguidé pour des raisons de politiquement correct. Certainement ni plus ni moins que comme dans les coulisses de tous les programmes de télé-réalité dont nous sommes nous-mêmes coutumiers, même si c’est pour notre part sur un ton et des sujets autrement plus badins. Ce type de scénario dans un pays qui n’est pas spécialement réputé ouvert à la libre inspiration de ses cinéastes et par le simple fait qu’il ait pu être réalisé localement (sa diffusion est une autre affaire) témoigne ainsi assurément d’une certaine volonté des autorités d’arrondir les angles d’une législation ô combien répressive et ne laissant guère de place à la nuance. Tu as tué, tu seras tué. La notion de circonstances atténuantes ne semble pas avoir sa place. Seul le Pardon accordé pourra venir tempérer le bras de la Justice ( ?). Avec un côté quelque peu thriller dans la découverte, peu à peu, des tenants et aboutissants de ce drame intra-familial, l’attention reste soutenue et la tension non moins.
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    314 abonnés 505 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 février 2020
    Il s'agit du 2ème long-métrage de cet auteur et réalisateur iranien qui a eu de gros problèmes dans son pays et des menaces de mort à la suite de son premier long-métrage « Une famille respectable » présenté à Cannes en 2012 à la quinzaine des réalisateurs, mais interdit en Iran.
    Ce film pose un regard critique intéressant et étonnant pour ne pas dire choquant sur la société iranienne.
    Une émission de télévision utilise ainsi pour cadre le pardon en direct. Tout cela n'est pas innocent, car on cherche bien sur à faire de l'audience. On assiste tout au long du film à ce pardon orchestré par la production de cette émission sensée divertir et donner de l'émotion à un large public de téléspectateurs. C'est ainsi que le « culturel » vient au secours d'une condamnée à mort selon la loi islamique du talion encore en vigueur en Iran.
    Ce film d'auteur est bien réalisé et bien interprété.

    Bernard CORIC
    Yves G.
    Yves G.

    1 251 abonnés 3 262 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 octobre 2020
    Ayat est le producteur de l'émission de téléréalité à succès "Le Prix du pardon". Chaque semaine, un condamné vient y implorer le pardon de sa victime pour obtenir, comme la loi coranique le permet, la commutation de sa peine.
    C'est le cas, le soir de "Yalda", la fête zoroastrienne qui marque le début de l'hiver, de Maryam qui a été condamnée à mort pour avoir tué Nasser, son époux. La très jeune femme s'était trouvée, à la mort de son géniteur, un père de substitution dans ce riche publicitaire, déjà père de famille. Encouragée par une mère carnassière, elle avait conclu avec lui un "mariage temporaire". Pour ne pas spolier sa fille unique, Nasser avait interdit à Maryam de tomber enceinte. Mais la jeune femme n'avait pas respecté cette clause du contrat.

    Massoud Bakhshi fait partie de ces nouveaux visages du cinéma iranien qui prospèrent sur les traces de Ashgar Ferhadi. Il montre à l'Occident, dans des films qui ne franchissent pas toujours les foudres de la censure en Iran, l'image d'un pays pris en étau entre le respect étouffant de la loi des mollahs et un désir bouillonnant de modernité.

    Le pitch de "Yalda" était excitant. Unité de temps, unité de lieu, unité d'action : le temps d'un show de téléréalité, la lumière serait faite sur un crime sordide dont on aurait imaginé qu'il cacherait son lot de détails croustillants, révélateur de l'impasse d'une société malade de ses interdits.

    Hélas, "Yalda" est l'exemple parfait d'un film plombé par les défauts d'une écriture brouillonne. Sauf à être familier de la loi coranique, on comprend mal les termes du débat. Dès le départ, les dés semblent pipés : si Mona, la fille de Nasser, de qui Maryam implore le pardon, a accepté de participer à cette émission, n'est-ce pas qu'elle était déjà prête à la blanchir de son crime ? On ne comprend guère mieux les rebondissements de l'intrigue qui scandent l'émission. Alors que le film voudrait - si j'en ai bien compris le sens - nous rendre sympathique Maryam, ses jérémiades produisent l'effet inverse.

    Les deux actrices qui incarnent Maryam et Mona ne déméritent pas. Mais leur prestation ne suffit pas à sauver un film englué dans une intrigue trop confuse pour qu'on en comprenne les subtilités. Dommage....
    selenie
    selenie

    5 326 abonnés 5 996 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 octobre 2020
    Malheureusement, côté intrigue, le scénario est si dirigé que c'est biaisé d'emblée. En effet, outre l'émission, le scénario est tout dirigé vers l'innocence de Maryam et non vers le pardon éventuel, nuance ! Le rebondissement ultime est géré très maladroitement, où comment Mme Zia a aussi un don de voyance puisqu'elle devine en un coup d'oeil furtif le pot aux roses ! Niveau invraisemblance, la fin est également hors catégorie, où on voit une condamnée à mort qui se promène comme elle veut, seule et sans surveillance aucune. Massoud Bakhshi signe un drame qui manque de neutralité, par un scénario aussi manipulateur que les producteurs de l'émission, et qui pêche par des rebondissements tirés par les cheveux. Résultat, on sort un peu du récit et on passe à côté d'une émotion plus forte. Dommage...
    Site : Selenie
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 146 abonnés 3 966 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 octobre 2020
    En Iran, il existe réellement une émission de téléréalité où des personnes condamnées par la justice, sont invitées en direct pour présenter leurs excuses aux victimes. “Yalda, la nuit du pardon” s’en inspire fortement. La fête de Yalda se déroule la nuit la plus longue de l’année. Maryam, une jeune fille mariée à un homme beaucoup plus âgée, l’a tué accidentellement. Alors qu’elle doit être condamnée à mort, elle est invité à participer à une émission pour demander pardon à Monya, la fille du défunt mari. Si elle obtient son pardon et l’acceptation des millions de téléspectateurs, Maryam sera graciée. Lorsqu’on sait l’authenticité des faits, “Yalda, la nuit du pardon” fait froid dans le dos. La justice laisse place au spectacle et au divertissant alors qu’on parle bien de la vie ou de la mort de quelqu’un.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    66 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2020

     

            Cela pourrait être un film de fiction un peu glauque, genre La mort en direct, assez acabradabrantesque, si ce n'est que cette émission de télévision existait réellement.... si j'ai bien compris, elle n'a été supprimée qu'après la réalisation du film de Massoud Bakhshi.
          Etrange pays que l'Iran. Les premières images, filmées de nuit, sont celles d'une tour de télévision cernée d'autoroutes urbaines surchargées, rubans scintillants à perte de vue. On pourrait être à Los Angeles. Etrange pays où les filles peuvent étudier, exercer des professions masculines à condition d'être empaquetées des pieds à la tête. Où des studios clinquants où officient de jolis présentateurs, minets élégants qui ne dépareraient pas le Bachelor mais placent un Inch Allah à chaque phrase, diffusent des émissions de téléréalité plus vulgaires et plus crues que les chaines américaines. Et étrange système judiciaire qui donnent un pouvoir exorbitant aux familles de victimes. Peu importe le jugement civil: s'il y a eu mort d'homme, sa famille a le droit de réclamer la tête du responsable. C'est la loi du tallion. Ou d'accepter un équivalent en argent. C'est le prix du sang. Ou bien de pardonner...
          La nuit de Yalda, au milieu du Ramadan, c'est la nuit du pardon. Et elle a donné son nom, donc, à une émission de téléréalité qui confronte la famille et le meurtrier, rejoue le drame, attend le vote des téléspectateurs par sms, et, en fonction du nombre de votant pour le pardon, paye une partie ou la totalité du "prix du sang" aux plaignants... Si les plaignants pardonnent en direct, l'accusé sauve sa tête (ou plus exactement son cou puisque les exécutions sont par pendaison)
          Le père de Maryam (Sadaf Asgari) était le chauffeur de Nasser, riche publicitaire. Maryam et sa mère avaient fini par être considérées un peu comme de la famille, un peu comme des cousines pauvres, et à la mort du chauffeur, la fille unique de Nasser, Mona (Behnaz Jafari), dans un rôle de grande soeur bienveillante, avait trouvé un emploi pour Maryam auprès de Nasser. Mais Nasser, bien qu'ayant environ quatre fois son âge était tombé amoureux de la petite et lui avait proposé un mariage temporaire. Ah! le mariage temporaire. Encore une belle invention de la législation iranienne, une forme de concubinage ne donnant aucun droit à l'épousée qui pouvait être répudiée d'un moment à l'autre mais la morale était sauve: il n'y avait pas de péché.... Condition de la famille: qu'il n'y ait pas de descendance. Aie, Maryam tombe enceinte, refuse d'avorter, accouche finalement d'un enfant mort-né, se dispute avec Nasser, le fait tomber et au lieu d'appeler les secours s'enfuit, le laissant mourir... Sordide histoire reconstituée entre des pubs et des chansons à l'eau de rose de chanteurs à la mode.
            Bien sûr que pour la production, le pardon est l'issue nécessaire, d'une part le succès de l'émission repose là dessus, et puis tout ce petit peuple que l'on voit s'agiter en régie, techniciens, assistantes, au fond, ils ne sont pas mauvais, mais que l'accusée leur rend la tache difficile! La mère de Maryam, omniprésente (Fereshteh Sadre Orafaee), celle qui par cupidité a poussée sa fille dans les bras de Nasser, qui exhibe des photos des premiers jours du couple où Maryam semblait très contente d'être devenue une jeune femme riche et élégante, se mêle de tout, donne des mauvais conseils à sa fille, tente de lui faire dire tout ce qu'il ne faudrait pas dire, et Maryam elle même ne sait que pleurer, hurler, accuser, et face à elle, il y a Mona, cette intellectuelle diplômée, glaciale, murée dans son ressentiment.... On s'accroche à cette confrontation fascinante. Dommage que la fin du film soit encombrée de rebondissements et péripéties diverses, sans doute destinées à donner plus de romanesque au film pour le public autochtone mais qui ne nous apportent rien à nous autres qui le regardons come un document quasiment sociologique... et à ce titre, passionnant!

    Stephan M.
    Stephan M.

    31 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2020
    c'est en écoutant l’émission " le masque et la plume " que j'ai eu envie d'aller voir ce film, et bien je suis un peu moins enthousiaste qu'eux. La voie plaintive de Sadaf Asgari est tellement insupportable, on a envie que cela finissent mal pour elle avant la fin du film pour quelle se taise, j'aime bien en VO, mais cette fois ci le film aurait été plus agréable doubler en français.

    Le sujet est grave et en même temps contre balancer avec le monde de la télé réalité complétement kitch qui joue avec la mort, j’ai bien cette opposition que l'on le retrouve en plus rythmé dans le film "le prix du danger".

    est ce qu'il y a des qualités dans ce film ? oui, il y a des moments, des ambiances, des non dits et des subtilités que j'ai trouvé juste à certains moments dans les coulisses; l'actrice qui joue Mona est plutôt juste et on partage le dilemme de cette femme qui doit faire un choix difficile entre la vengeance et le pardon.
    Les scènes dans la régie télé sont pesantes, sombres et jouent le contraste avec le plateau lumineux avec un présentateur qui présente cette émission comme le télé achat
    J'ai aimé la scéne de fin avec ce balai des véhicules qui emmènent les protagonistes à un retour à la normalité de la vie après avoir vécu une situation surréaliste

    Ce film est donc à voir pour faire le constat que la télé réalité en France à encore une marge de progression pour aller vers le pire
    Etienne
    Etienne

    1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 septembre 2020
    Vu en avant première au TNB de Rennes. Un huis clos dans un studio TV lors d’une émission dont la thématique est le pardon des familles de victimes de meurtres involontaires pour les meurtriers. En caméra portée le film joue sur le stress liée au dénouement. L’anxiété ayant elle même un effet sur les impressions de temps longs et de temps courts. Admirablement joué les personnages s’inversent et les rôles se mélangent.... Dernière précision, cette émission existait vraiment en Iran pendant plus de 10 ans. Elle s’est arrêtée il y a peu de temps.
    Aubert T.
    Aubert T.

    109 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 octobre 2020
    Rarement ai-je vu un film aussi horripilant Les femmes y sont menteuses, manipulatrices, dissimulatrices, veules, vénales, fuyardes... Et chouinent et geignent pour apitoyer. Quant au pardon tant imploré, il est finalement très intéressé.
    Atroce portrait de femmes, pitoyables contours de la société iranienne. Je suis sorti en ayant envie de vomir.
    Claire B.
    Claire B.

    24 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    Un documentaire aurait été préférable. Le sujet est intéressant mais le film est laid et reste trop timide quant à ce qu'il dénonce.
    christian c.
    christian c.

    7 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 octobre 2020
    L’École des femmes de Molière à la sauce piquante des traditions patriarcales iraniennes, transfigurée sur un plateau de télé-réalité. La condensation de l'obscénité à son point culminant qui remise la modernité dans le local le plus vénal qui soit. Un film d'une densité surprenante.
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