Mon compte
    Je veux juste en finir
    Note moyenne
    2,6
    827 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Je veux juste en finir ?

    100 critiques spectateurs

    5
    13 critiques
    4
    20 critiques
    3
    15 critiques
    2
    23 critiques
    1
    13 critiques
    0
    16 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Sterwerze
    Sterwerze

    29 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 septembre 2020
    Coup de coeur pour se film Netflix assez spécial. On se perd dans les pensées de cette jeune fille et les plans en voiture que certains nomme comme "soporifique" sont en fait hypnotisant et très intéressant. Malheureusement, après une première partie rempli d'émotion le film s'essouffle et devient plus "basique".
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 22 septembre 2020
    Film ennuyant, long et j'ai jamais autant subit un film ... thriller qui ne représente pas du tout le film !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 22 septembre 2020
    Je ne pense pas que cette œuvre plaise à tout le monde, c'est un style particulier. Mais pour moi ce film est une perle.. C'est un voyage intemporel, poétique, philosophique.. Triste, drôle, troublant, on s'y perd, on s'y retrouve aussi.. Un jeu d'acteur impressionnant.. Une atmosphère unique.. Merci pour ce moment.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 septembre 2020
    Le commentaire ne sera pas long, je n'ai absolument rien compris ! Mais quand je dis rien c'est rien, pas même un morceau d'explication ou une théorie, je vous le dis rien !
    spoiler: Le néant total entre les personnages (chien compris) qui lag, la danse contemporaine qui sort d'on ne sais où(ça à tout de même le mérite d'avoir été beau), puis un cochon qui parle à la fin. Sorry mais ça fait beaucoup la non ?
    loux59
    loux59

    3 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 septembre 2020
    je ne comprends pas la raison d'être de ce film, long , ennuyant, qui tente d'être subtil dans ses métaphores sans succès. les seuls points d'interrogation pouvant susciter l'intérêt (d'ou viennent les protagonistes etc) ne sont pas creusés. les longs dialogues ne sont que de la masturbation intellectuelle. dommage car le pitch était prometteur
    Vincent P
    Vincent P

    18 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 septembre 2023
    Un film incroyable. Je me suis retrouvé ébranlé par la poésie qui se dégage des longues scènes dialoguées de ce couple en proie au doute. Ils sont comme prisonniers de l'habitacle de la voiture tout en étant ballotés par le mouvement du blizzard qui évoque le temps qui passe, où les souvenirs et les visages s'entremêlent, comme traversés par leurs vies passées ou imaginées. Le film est complexe, brillant, intelligent et ses métaphores sur la vieillesse nous bouleversent.
    Vive l'émotion des tableaux abstraits sans personnages !
    Nathalie R
    Nathalie R

    21 abonnés 144 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 septembre 2020
    On sait à quel point Charlie Kaufman aime les casse-têtes et les histoires alambiquées. Je veux juste en finir en est la parfaite illustration. Beaucoup d'éléments visuels sont sensés donner des indices aux spectateurs pour comprendre ce qu'il se passe, mais ils sont tellement étranges et difficilement interprétables sur le moment qu'on se perd rapidement. Le plaisir à regarder le film est balayé par les tentatives de résolution du casse-tête entre les personnages aux comportements tout aussi étranges que les situations dans lesquels ils se trouvent. Pour bien comprendre, il faudrait apparemment lire le roman de Iain Reid dont le film est l'adaptation.
    Flokita
    Flokita

    78 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 octobre 2020
    Wow ! Ça dépote ! On frôle beaucoup de choses, on angoisse énormément, on se questionne sans cesse. Il y a du dialogue percutant, de la poésie et une forme de tendresse qui nous aident à tenir. Jusqu'à la fin où l'on comprend mais on reste quand même un spectateur ébahi qui se demande à quelle sauce il va être mangé. Jusqu'au générique de fin, on aura été emporté. Ce n'est pas un voyage d'agrément, mais ça valait le déplacement.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 septembre 2020
    Pourquoi la typologie du générique est aussi petite au début et a la fin ?

    Cette question m’a perturbé pendant 2h15...il y a sûrement un sens caché!
    issanissa1
    issanissa1

    11 abonnés 149 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 septembre 2020
    Oui je pensais voir, vu la bande annonce une comédie bien balancée avec l'ex Muriel. Que nenni, ce film est une symétrie rotative avançant vers un point central. Ce point se trouve près d'un endroit précis.
    Références philosophiques, physiques, cinéphiles, mais on pense à Lynch également.
    Peut-être manque t'il une tension suffisante pour crier au génie, mais ce film est épatant.
    Jorik V
    Jorik V

    1 197 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 septembre 2020
    Voici un film qui porte son titre à merveille! En effet « Je veux juste en finir » est tellement assommant, opaque et interminable que l’on ne souhaite qu’une chose une fois qu’on l’a commencé : en finir avec ce supplice cinématographique si peu passionnant qu’il est vraiment difficile d’aller jusqu’au bout. On connait le goût de Charlie Kaufman pour les bizarreries mais là c’est tellement incompréhensible, étrange et sans aucune (ou très peu) de clés de compréhension que son visionnage relève du supplice. Il n’y a qu’à voir la durée de la première scène en voiture qui fait près d’une demi-heure pour s’en convaincre.



    Mais si seulement cette scène était intéressante ou permettait de mieux comprendre ou même appréhender ce qui se joue devant nos yeux. Mais que nenni! De longs tunnels de dialogue plus ou moins abscons entrecoupés par la voix off du personnage principal incarné par la pourtant excellente Jessie Buckley. C’est inintéressant au possible et pesant comme jamais. Passé cette introduction qui pourrait éclairer la psychologie des protagonistes ou nous donner quelques indices sur l’histoire, nous voilà coincé dans un huis-clos d’une heure tout aussi bavard et bizarre dans une ferme abandonnée avant de renouer avec l’habitacle de cette voiture pour la dernière partie avec de nouveau des dialogues sans fin. On ne voit toujours pas la raison d’être de ce film et Kaufman, qui semble suivre le livre dont ce film est adapté, nous serine le coup de grâce avec une fin entre onirisme et comédie musicale qui achève notre patience et rend le tout encore plus nébuleux.



    Et à la fin, en sait-on plus me direz-vous ? Et bien non, hormis quelques suppositions sur un homme à la vie fantasmée. Tout cet ennui et ce rythme soporifique et agaçant pour ça. Autant les films étranges dont on ne comprend pas tout peuvent être réussis (comme souvent chez Lynch avec « Mulholland Drive » par exemple) ou clairement envoûtants comme « Donnie Darko » ou « Under the Silver Lake », autant ici c’est tellement hermétique, moche à regarder et chiant qu’on préfère abandonner toute velléité d’assimilation narrative. Un film que Kaufman semble avoir fait pour lui sans se soucier aucunement du plaisir du spectateur. Si le climat anxiogène et étrange est plutôt réussi, ce n’est pas ce qui sauve cette purge opaque et prétentieuse du néant et du fond de tiroir du catalogue Netflix (comme pour beaucoup de films venant de la plate-forme). A fuir sauf si on veut un bon somnifère ou qu’on est passionné par des logorrhées verbales sans fin sur tout et n’importe quoi et une intrigue sans aucun sens. Le genre d’histoire qui aurait dû rester littéraire ou qui s’est retrouvée très mal adaptée.



    Plus de critiques sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 septembre 2020
    Critique en forme de lettre à mon frère (cinéphage plus que cinéphile, mais assez exigeant, et potentiellement ouvert, si ce n'est son goût envahissante et restrictif pour la vraisemblance, qui pourrait le parasiter ici, bien évidemment) : "Voici un film qui m'a bluffé, de façon plus profonde et impactante encore que tout ce que j'ai pu jusqu'ici mentionner en termes d'expériences cinématographiques marquantes, spécifiquement dans la catégorie "mindfuckers" (tu sais, genre "Enemy", "Dans la peau de John Malkovitch", "Mr. Nobody", etc.. C'est "Je veux juste en finir", le nouveau film du plus génial et délirant scénariste : Charlie Kaufman. Imagine-toi "Mother!" (je crois me souvenir que ce film d'Aronofsky a une valeur sentimentale à tes yeux, puisque c'était, il me semble, le premier que tu voyais au ciné avec GG ! Et je me souvienne même la raison de ce choix radical - même si tu ignorais encore à quoi vous alliez vous exposer là ! LOL : c'était le seul à l'affiche qui était en VOSTFR, pour laisser à GG une chance de passer une séance potentiellement intéressante ! Et vous n'aviez pas eu à le regretter, du fait même que cette œuvre était inclassable, inouïe, en nous proposant un vertige, une transe, une descente progressive aux enfers, au fil de son emballement jusqu'aux confis de l'hystérie - quand bien même tu m'avais précisé que "le film se spoile tout seul dès son premier plan", chose que je n'avais pas eu à déplorer, étant généralement trop bon public, à suspendre farouchement mon incrédulité, à en ignorer +/- sciemment tous les indices exploitables livrés en pâture à notre convoitise d'impatient autodivulgâcheur contre-productif), "Mother!", donc, mixé à "The Visit" de Shyamalan, saupoudré du clip "Bachelorette" de Björk (le final, symbolique) et d'autres joyeusetés qui ne manqueront pas de te filer le tournis, positivement (j'en doute) ou négativement (réaction normale à un tel objet cinématographique non-identifié). Bref, je suis à peu près sûr que tu vas détester - comme 80% des téléspectacteurs -, mais je ne résiste pas à t'inviter à y jeter un œil, car ce fut pour moi un régal, une des séances les plus denses et intenses que j'aie connues, je crois. Je n'oublierai jamais ce film - contrairement à 80% des autres que j'aie pu voir ou que je pourrai encore voir...!
    velosolex
    velosolex

    4 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 septembre 2020
    Ce film fascine et répulse. D'emblée tout de même, on voit la qualité et l'originalité du metteur en scène, du jeu d'acteur. Tout parait improbable, cauchemardesque. Un monde situé entre Jeunet et David Lynch. On cherche les références comme pour se rassurer, pour tenter d'identifier cet ovni. J'ai tout de même failli éteindre, tant les thèmes me dérangeaient. Liés à l'incommunicable entre les êtres, le vieillissement, la culpabilité, l'absurdité, le hasard qui régit une bonne partie de notre vie, quoi qu'on dise. Où va t'on, que fait on là, est ce que je perds mon temps?...Les interrogations des acteurs sont les notres. Nous sommes les passagers de ce film qui joue sur l'ineffable, dont on pense pendant longtemps que c'est un film gore de plus, une sorte de "nuit des morts vivants", avec ses scènes classiques sur la cave, les cadavres dans la grange. . Mais il cherche à représenter ce qui est normalement impossible à représenter au cinéma, ce qui est une gageure. Une sorte de recherche du temps perdu. Les héros passent d'un âge à l'autre, et on ne sait jamais quelle époque va descendre l'escalier de la maison des parents, univers horrifique et banal . Le passé n'est jamais mort, et nous avons notre avenir sous les yeux. Notre psyché est la partie émergée de l'iceberg dont les autres ne voient que la partie extérieure. S'attaquer à cette partie cachée , fait de fantasmes et d'images sorties du néant de notre imaginaire et de nos fantasmes, met en position de danger le spectateur, qui ne veut se reconnaitre, et le rejet est compréhensible. Comme on a rejeté " les demoiselles d'Avignon". Au total, au fil des jours, on se dit qu'on a vraiment vu un chef d'œuvre. Et on garde comme une perle cette scène de danse, si belle, la seule esthétisant la jeunesse, dans le couloir du lycée. C'est cela que l'on recherche, toute notre vie. Pour cet absolu de bonheur, nous sommes prêts à supporter le reste, et hésitons à tourner le bouton du poste pou juste en finir.
    Amilda Le couedic
    Amilda Le couedic

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 septembre 2020
    Ce film fascine et répulse. D'emblée tout de même, on voit la qualité et l'originalité du metteur en scène, du jeu d'acteur. Tout parait improbable, cauchemardesque. Un monde situé entre Jeunet et David Lynch. On cherche les références comme pour se rassurer, pour tenter d'identifier cet ovni. J'ai tout de même failli éteindre, tant les thèmes me dérangeaient. Liés à l'incommunicable entre les êtres, le vieillissement, la culpabilité, l'absurdité, le hasard qui régit une bonne partie de notre vie, quoi qu'on dise. Où va t'on, que fait on là, est ce que je perds mon temps?...Les interrogations des acteurs sont les notres. Nous sommes les passagers de ce film qui joue sur l'ineffable, dont on pense pendant longtemps que c'est un film gore de plus, une sorte de "nuit des morts vivants", avec ses scènes classiques sur la cave, les cadavres dans la grange. . Mais il cherche à représenter ce qui est normalement impossible à représenter au cinéma, et qui finalement y parvient. Les héros passent d'un âge à l'autre, et on ne sait jamais quel époque va descendre l'escalier. Le passé n'est jamais mort, et nous avons notre avenir sous les yeux. Notre psyché est la partie émergée de l'iceberg dont les autres ne voient que la partie extérieure. S'attaquer à cette partie cachée , fait de fantasmes et d'images sorties du néant de notre imaginaire et de nos fantasmes, met en position de danger le spectateur, qui ne veut se reconnaitre, et le rejet est compréhensible. Comme on a rejeté " les demoiselles d'Avignon". Au total, au fil des jours, on se dit qu'on a vraiment vu un chef d'œuvre. Et on garde comme une perle cette scène de danse, si belle, la seule esthétisant la jeunesse, dans le couloir du lycée. C'est cela que l'on recherche, toute notre vie. Pour cet absolu de bonheur, nous sommes prêts à supporter le reste, et hésitons à tourner le bouton du poste pou juste en finir.
    tisma
    tisma

    255 abonnés 1 860 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 septembre 2020
    Le film "Je veux juste en finir" reste assez étrange et ennuyant avec son atmosphère sombre et déroutante ! Le film est beaucoup trop long et par moments on a l'impression de se retrouver dans un trop long dimanche en famille. Cependant, les sujets de discussion sont intéressants et la conclusion et l'interprétation du film entier reste assez bien !
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top