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    Climax
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    3,3
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    242 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 septembre 2020
    Oppressant, esthétique, dérangeant.
    Techniquement et artistiquement impressionnant.
    Pour ma part, j’aurais aimé que les personnages soient un peu plus approfondis, mais ça reste un film UNIQUE qui porte bien l'empreinte de Gaspar Noé .A voir ( âmes sensible s'abstenir).
    lum_in_essence
    lum_in_essence

    8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 août 2020
    Encore un grand Gaspard Noé !
    Un film qui ne laisse pas indifférent, qui m'a donné énormément de matière a m’évader et à penser par la suite. Une pure bombe psychologique
    Merci à toute l'équipe pour ce film. Et j’espère en voir encore !
    youliyouli
    youliyouli

    13 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juillet 2020
    Ca fait mal, mais ça fait du bien. Les corps et la danse sont peints avec réalisme et force, du grand art.
    Patrick S.
    Patrick S.

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juin 2020
    Une claque admirable signée Gaspar NOE ! Le thème axé sur la danse qui montre l'envers du décors, et les dérives en tout genre. le confinement mène à la folie.
    On en redemande !
    Vassil C
    Vassil C

    8 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 juin 2020
    Une entrée en matière très prometteuse ! La séquence de présentation est parfaitement maîtrisée, on sent une certaine tension dans les successions de "speeches" et on accroche facilement.
    Puis le scénario se veut déroutant, il l'est, un peu trop selon moi, on se perd avec des dialogues qui paraissent presque improvisés.., mais Noé revient en force lors de la première altercation entre deux des danseuses, problème qui a pour conséquence une scène de malaise et d’empathie : une marque de fabrique ou plutôt une signature venant de lui.. (irréversible :/ )
    Un film à voir, mais une seule fois, comme ses prédécesseurs... Au fond je pense que c'est ce que peut rechercher Gaspar Noé : un film qui marque, mais qui le fait de manière théâtrale et maîtrisée !
    Sébastien D
    Sébastien D

    94 abonnés 541 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 juin 2020
    Je mis 1,5 car les 15 premières minutes sont superbes. Les images du casting sont plutôt intéressantes et mettent la lumière rapide sur les personnes qu'on va voir, et surtout, cette première danse est sublime. La musique est top, les pas sont endiablés et très bien réalisés. Mais après... on plonge dans un dégueuli de paroles absurdes entre jeunes, les discussions typiques qu'on a tous eu en soirée mais qui n'intéressent personne au cinéma. Après une seconde danse filmé de facon beaucoup moins intéressante, et donc bien plus terne, on entre dans la phase "gore parce que ça va faire parler et que j'adore qu'on parle de moi", donc la, on m'a perdu totalement. Avec en plus des phrases faussement philosophiques pour essayer de justifier un point de vue purement théâtrale et de mauvais gout, c'est insupportable ! Car de plus, la deuxième parti du film n'apporte absolument rien. Ils se rendent tous compte, au même moment, qu'ils sont apparemment défoncés, et après ? Une vague de violence mal filmé et mal réalisée. de la maltraitance d'enfant, de la paranoïa, du sexe hétérosexuel, du sexe homosexuelle, une orgie dans le "noir", de l'inceste entre frère et soeur... tout y est, sans aucun but à part vouloir qu'on en parle parce qu'on est "choqué". Ce genre de film et de réalisateur m'est absolument insupportable, et c'est confirmé aujourd'hui. Dommage qu'on ne soit pas concentré sur la danse, ou sur une histoire avec plus de sens ou de scénario.
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    63 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 mai 2020
    Peut-être un des films de Gaspar Noé les moins réussis et sans doute un des plus difficiles à supporter, tant sur le fond car il n'y a quasiment aucune intrigue, que sur la forme car les images et les sons sont assomants durant le bad trip psychotique de la bande, qui paraît durer une éternité et dont on sort complètement lessivé.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 514 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 mai 2020
    Climax est un film pseudo-intellectuel est inutilement long et horrible. Cela ressemble plus à un projet final inachevé pour un programme de maîtrise plutôt qu'à un long métrage. Les histoires sont déroutantes et laissent beaucoup de points perdus. Le message global semble vaguement existentialiste même si les événements du film ne sont justifiés par rien sauf par le trip acide. C'est le rêve d'une nuit d'été cauchemardesque que je ne recommanderais pas à moins que vous n'aimiez ce genre série Z. Après avoir été attiré par la promesse d'un film d'horreur, j'ai été profondément déçu quand j'ai eu 45 minutes de gens idiot dansant et parlant de sexe suivis de 45 minutes de gens paniqués. Il n'y avait aucune horreur dans Climax. Je ne recommanderais ce film à personne même a mon pire ennemi. Je suis juste reconnaissant de ne pas avoir payé pour le regarder. Les bobos et cinéphiles pur et durs habituels y trouveront surement un message caché ou d'autres références. Nous pauvres spectateurs incultes n'y trouveront rien comme d'habitude. Je supporte toujours le cinéma français mais il y a des limites...
    Marc L.
    Marc L.

    41 abonnés 1 491 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mai 2020
    Depuis ses premiers faits d’armes à la fin des années 90, Gaspard Noé s’est imposé comme le plus radical des réalisateurs français en activité : il est même l’un des rares dont je me dis systématiquement que ne pas avoir vu ses films sur grand écran devait sans doute diviser leur impact par deux. D’un autre point de vue, ce n’est peut-être pas un mal de parvenir à ce demi-résultat puisqu’il y a rarement de “fond” à proprement parler et que si personne ne remettra en question la virtuosité du personnage et de son chef opérateur attitré, son unique objectif semble être d’étaler ses obsessions, généralement assez voisines de ce que l’humanité peut générer de pire. ‘Climax’ suit les règles des 3 “D” : Dialogues, pour ouvrir le buffet...c’est sans grand intérêt à vrai dire, d’autant plus que comme il ne s’agit pas d’acteurs mais de danseurs et de chorégraphes, il ne faut pas trop compter sur eux pour apporter du relief aux conversations. Danse, ensuite : les mouvements sont impressionnants mais ils se prolongeront peut-être un peu trop longtemps au goût de ceux qui n’éprouvent pas de passion particulière pour ce médium. Défonce, finalement, et c’est là que les choses sérieuses commencent : la caméra continue à virevolter nerveusement, le choc des couleurs s’accentue et s’accélère, la tension augmente, la violence se libère, le volume sonore devient intolérable. Au moins, le film porte-t-il bien son nom, car Noé et Debie se livrent à un travail de sape de haute volée, qui attaque méthodiquement les résistances nerveuses du spectateur sans la moindre pause. C’est le craquage nerveux qui est ouvertement visé et, de fait, il n’y aurait que de bonnes raisons de déposer les armes et d’abandonner la séance en cours de route puisque le film ne raconte rigoureusement rien et se contente de fourrailler dans les tripes du public, comme s’il cherchait le point de rupture où il pourra frapper. Au cinéma, je peux concevoir que la vision de ‘Climax’ doit s’apparenter à une expérience sensorielle de l’extrême, à l’usage de ceux qui ont les nerfs bétonnés. Sur un écran plus petit, il ne reste que le malaise et la question de savoir pourquoi on a poursuivi cette expérience masochiste, mais fascinante je le repète, jusqu’à son terme. Pour ma part, je n’ai pas encore tranché…!
    eldarkstone
    eldarkstone

    188 abonnés 1 964 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 mai 2020
    Beaucoup de danse, beaucoup de Bla Bla, le tout sans queue ni tête, avec zéro scénario, juste de la provocation malsaine ... on savait le réalisateur assez dérangé, mais alors là, il entre dans une nouvelle dimension.
    Anthony B
    Anthony B

    1 abonné 16 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mai 2020
    Une fois de plus Gaspard Noe nous embarque dans une atmosphère totalement immersive et oppressante. De longs plans séquence nous plongent en plein gros méchant bad trip. Du cinéma inventif et audacieux mais qui ne peu pas plaire à tout le monde. Nous sommes très loin d'une oeuvre "grand public".
    FaulKeuR
    FaulKeuR

    4 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 avril 2020
    Juste par la mise en scène, Gaspar Noé rend ce film perturbant, percutant voir flippant.
    Le réalisateur nous livre une descente aux enfers, mais à la différence des films d'horreurs, il reste ancré dans le réel.
    La première demie heure plus contemplative permet de nous attacher aux personnages pour rendre les scènes sous l'emprise de LSD encore plus choquantes.
    C'est un réel coup de maître que Gaspar Noé a fait, mais pour les personnes les plus aventureuses.
    fujitsu003
    fujitsu003

    3 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 avril 2020
    Le terrifiant Climax est avant tout le fruit d'une mise en scène vertigineuse, hypnotique et jouissive du réalisateur, un symbole de son cinéma. Une descente aux enfers d'1h30 totalement déstabilisante.
    AMANO JAKU
    AMANO JAKU

    298 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2020
    Un nouveau film de Gaspar Noé est toujours un évènement pour moi : ce type n’a jamais cessé de me surprendre à chacun de ses « méfaits ». Alors inutile de dire que j’attendais son "Climax" avec une certaine impatience…alors de quoi ça parle "Climax" ? Bin tout simplement d’une bande de jeunes danseurs professionnels tout juste sélectionnés pour aller faire un spectacle aux USA : ces derniers viennent d’achever leur dernière semaine de répétition et organisent une grande teuf pour célébrer leur départ prochain. Vous trouvez ça simpliste et d’une banalité affligeante ? Que nenni mes amis, nous sommes bien dans un film de Noé : sous l’apparence innocente d’une situation de rêve et suite à un évènement précis, c’est bien à un terrible cauchemar psychédélique auquel nous allons assister. La première chose qui saute aux yeux après visionnage du film, c’est que "Climax" est certainement le film de la maturité pour Noé tant ce dernier représente une sorte de « Maxi Best Of » du réalisateur italo-argentin, qu’il s’agisse de sa conception de la mise en scène ou des thèmes qui l’intéresse et qu’il a déjà abordé dans ses précédents films : les sentiments et les pulsions sexuelles ("Love"), le rêve français et le vivre-ensemble ("Carne"), la sauvagerie et les lieux confinés ("Irréversible"), les expérimentations , la vie/la mort et la métaphysique ("Enter The Void"). On retrouve encore une fois une narration déstructurée que Noé adore tant : le film commence par la dernière scène suivie directement du générique de fin, ensuite nous avons droit à une sorte d’introduction en style documentaire avant de voir enfin le récit principal qui sera partagé en deux actes délimités par l’apparition des noms des acteurs et de l'équipe technique suivis d’une succession de scénettes en jumpcuts…le du titre du métrage n'apparaît alors que dans les toutes dernières secondes de ce dernier : du pur Noé ! Et la force première du métrage est justement ces deux actes qui sont incroyablement filmés par plan-séquences d’une virtuosité hallucinante ! Ah c’est sûr que notre ami se fait plaisir : la caméra semble voler autour de nos héros tel une âme en peine lors de la longue performance artistique dansée en temps réel. Chaque mouvement semble accompagner la chorégraphie et les différentes trajectoires prises par les danseurs, défiant toute notion d’apesanteur et de vertige, aboutissant à un formidable ballet totalement hypnotisant et assourdissant (au passage, la bande son est absolument démente : Cerrone, Giorgio Moroder, Soft Cell, Daft Punk, Patrick Hernandez, Aphex Twin, Chris Carter, Dopplereffekt). Quand au second acte, la caméra continue de virevolter dans cet espace en huis clos composé simplement d’une salle de danse et d’un dortoir reliés par un long couloir absolument lugubre, tout en s’approchant extrêmement des personnages. Une sensation d’étouffement se fait alors ressentir tandis que les éclairages varient en temps réel, reflétant l’état psychologique de la personne suivie. Toute cette seconde partie est hautement anxiogène, l’effervescence ayant laissé place au malaise, et nous apparaît alors comme un film d’horreur sous acide, une longue descente aux enfers dont la conclusion ne peut être que tragique. Noé semble donc nous démontrer le paradoxe entre les individualités et la vie en groupe. En effet, d’un côté nous avons un groupe de personnes réunis par le biais de leur passion commune qui nous apparaissent comme une allégorie de la France multiculturelle (ils ont tous des origines différentes, une couleur de peau différente, des cultures différentes et des orientations sexuelles différentes), allégorie soutenue par spoiler: l‘énorme drapeau français à paillettes accroché au mur de la salle et par le carton d’amorce « Un film français et fier de l’être »
    . De l’autre côté nous avons un projet commun qui demande à chaque membre de la troupe de ne faire qu’un tous ensemble, autrement dit nier ouvertement toute individualité et tout désir particulier. En gros, la danse c’est leur vie, mais danser signifie mourir, ce que souligne remarquablement les deux actes du récit : spoiler: dans le premier ils dansent en groupe mais ils sont en vie, dans le second ils s’arrêtent de danser pour redevenir un être unique mais vont finalement mourir petit à petit
    . Une belle métaphore de l’existence qui n’est pas sans rappeler le symbole du Yin-Yang. Outre sa réalisation impressionnante, le film nous interloque aussi par le biais de son casting : à part Sofia Boutella qu’on connaît bien ("Atomic Blonde", "Kingsman 1&2", "Star Trek : Sans Limite", "La Momie", "Hotel Artemis"), tous sont des danseurs professionnels dont c’est la première expérience en tant qu’acteur ; pourtant on le ressent absolument pas tant ils paraissent naturels à l’écran (ce qui d’autant plus remarquable que Noé leur a demandé de faire énormément d’improvisation lors des prises !). Ils crèvent tous l’écran et sont remarquables…et Boutella est proprement hallucinante lors du second acte du métrage. Après "Seul contre tous", "Irréversible", "Enter the Void" et "Love", Gaspar Noé nous offre avec "Climax" son film le plus radical, sorte de « Best Of » ultime. Pourtant, aussi paradoxal que cela puisse paraître, il s’agit aussi de son film le plus accessible. Immersif, hypnotique, trash, malsain, misanthrope et pessimiste, "Climax" est un véritable conte horrifique tutoyant la folie et le nauséeux, une expérience sensorielle extrême qui ne peut laisser personne indifférent. Mon cher Gaspar, c’est quand tu veux pour ta sixième péloche !
    Le cinéphile iserois
    Le cinéphile iserois

    8 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 avril 2020
    Et bien on peut dire que ce film et bien plus choquant que irreversible et enter the void pour les amateur de gaspard noe vous allez etre servis
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