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    Filles de joie
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    lionelb30
    lionelb30

    392 abonnés 2 510 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 juin 2020
    Film pas marrant sur la prostitution et la misère dans le nord de la france. Les actrices sont correct mais c'est le scenario qui pêche dans ce film. Comment en s'ont elles arrivées la et le meurtre d'un homme laisse perplexe.
    Michel C.
    Michel C.

    241 abonnés 1 386 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 juin 2020
    Bon, comment dire, ... pas super réjouissant !!! Ambiance misérable, malgré nos 3 personnalités très inégales.... Assez décevant dans l'ensemble, à commencer par les dialogues nauséabonds, des images pas folichonnes..... J'adhère très peu à cette proposition, juste quelques attitudes de Noémie Lvovsky (Maman) surprenantes et drôles.... beaucoup mois apprécié le jeu de Sara Forestier. Bref cet ensemble glauque n'inspire guère, et n'arrive à aucun moment à offrir une évasion à la médiocrité ambiante. Dommage ..!!**
    Vinz1
    Vinz1

    129 abonnés 2 312 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 juin 2020
    A vouloir faire trop dans le pathos, les deux réalisateurs donnent à leur film un ton faussement caricatural dans lequel les hommes par leurs actions ou leur inaction passent pour de véritables ordures et les femmes pour des saintes ou des besogneuses prêtes à tout pour s’en sortir ! Au secours ! Force est de reconnaître toutefois que les trois actrices (deux confirmées et une révélation) sont formidables tantôt justes, tantôt émouvantes, chacune à sa manière, mais c’est bien peu pour sauver une entreprise que je qualifierais de « misérabiliste » desservant la condition féminine en général, dommage !
    Ciné-13
    Ciné-13

    94 abonnés 893 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 juillet 2020
    3 doubles vies un peu trash. D'une manière très habile, le film dévoile au fil des scènes les écheveaux des situations personnelles. Il y a une vraie cassure entre leur "boulot" en Belqique et leurs vies de famille.
    La vulgarité s'oppose aux misères quotidiennes. Etonnant!
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 194 abonnés 4 004 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mars 2020
    Dans “Filles de joie”, Sara Forestier, Noémie Lvovsky et Annabelle Lengronne mènent une double vie. Ces femmes du nord de la France se retrouvent chaque jour sur un parking pour traverser la frontière de Belgique et exercer leur profession de prostituées en maison close. Le titre du film est plein de sens car si en apparence, elles semblent heureuses et qu’il s’agit de l’expression donnée aux travailleuses du sexe, le personnage de Sara Forestier élève son enfant dans un HLM en tentant de fuir les violences de son ex mari, celui d’Annabelle Lengronne vit dans le même immeuble et doit se battre contre ses démons intérieurs, tandis que celui de Noémie Lvovsky fait tout pour subvenir aux besoins de sa famille sans qu’ils ne s’en rendent compte. Frédéric Fonteyne et Anne Paulicevich se servent de l’humour pour aborder le combat douloureux de ces femmes désarmées de par leur condition sociale. Les co-réalisateurs ont également souhaité leur redonner leur dignité en leur offrant la possibilité de se venger comme nombre de scènes violentes le démontreront. “Filles de joie” est long-métrage qui soulève des questions sociales tout en assumant une certaine exagération pour se rendre divertissant.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Liam Debruel
    Liam Debruel

    13 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juin 2020
    Quand on parle de prostitution, les regards sont souvent remplis de jugement pour les personnes qui se doivent d’officier dans le milieu pour exister. Heureusement pour nous, ce n’est jamais le cas de Frédéric Fonteyne et Anne Paulicevich, qui cherchent surtout à mettre en avant leur trio de femmes devant faire face à leur quotidien marqué, que ce soit par la peur ou la déception. On sent une implication empathique pour celles-ci et une envie d’éviter de les catégoriser dans leur métier comme peuvent le faire certains, bien aidées par la prestation d’un casting principal impeccable.

    Jamais le film ne tombe dans le racolage gratuit et préfère ausculter ces existences, travaillant dans ce domaine pour des raisons différentes mais avec le même espoir de pouvoir s’émanciper et vivre en dehors des regards accusateurs. Les drames qui rapprochent ces êtres, ces moments de partage ou de détresse accentuent la portée d’un long-métrage qui préfère capter au mieux l’intimité de ses personnages que plonger dans le gratuit à différents niveaux. La mise en scène va dans ce sens et permet au mieux d’appréhender ces trois vies liées par le même métier, le même chemin quotidien mais surtout une amitié qui permet de réagir face à la violence des autres.

    Filles de joie se dévoile comme un film réussi dans sa volonté de suivre ses héroïnes dans leur quotidien avec une certaine volonté de dépeindre des femmes du quotidien trouvant en leur union une force face aux épreuves. À l’image de ses interprètes, c’est d’une mesure remarquable et éloquente.
    ffred
    ffred

    1 521 abonnés 3 972 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 décembre 2020
    Pas voulu le voir en salles, à tort. Voilà un film fort, et même s'il est fictionnel, parle de situations et de personnages qui existent. Sans pathos ni misérabilisme, Frédéric Fonteyne (Une liaison pornographique), accompagné de Anne Paulicevich, dresse un portrait aussi dur qu'attachant de ces femmes françaises qui vont tous les jours en Belgique, où les bordels sont autorisés, pour se prostituer afin de joindre les deux bouts. C'est fait de manière simple mais cru, presque en style documentaire. J'ai toujours eu du mal avec Sara Forestier mais elle est une nouvelle fois, après Roubaix une lumière, très bien. Noémie Lvovsky est comme toujours parfaite, et Annabelle Lengronne une belle révélation. Les trois forment un trio détonnant. Avec aussi une belle brochette masculine qui regroupe Sergi Lopez, Jonas Bloquet et Nicolas Cazalé (un peu perdu de vue depuis Le fils de l'épicier et Mensch). Au final, un film sensible et bouleversant qui ne juge jamais, sombre mais traversé d'une belle énergie et au final d'un peu d'espoir. Une excellente surprise pour l'un des meilleurs films de l'année.
    Jorik V
    Jorik V

    1 206 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 novembre 2020
    Le duo de réalisateurs à l’œuvre ici choisit un sujet peu traité au cinéma, celui de la prostitution, et le montre sous l’aspect social et humain. Et même si c’est parfois brut de décoffrage, frontal ou vulgaire, on sent qu’il y a de la documentation sur le terrain derrière car « Filles de joie » sonne totalement vrai. Dès les premières images, on entre dans la vie de ces trois femmes sans tergiverser, sans une véritable introduction. Et on en sortira de la même manière, sans véritable conclusion. Une façon de débuter et de terminer ce long-métrage de façon quelque peu abrupte, comme si on jetait en pâture au spectateur la vie de ces filles à un moment T mais sans leur donner de passé et de futur. Cela donne une impression étrange, celle que le film et cette histoire ne sont pas finis, qu’il y manque un début et une fin mais sans pour autant que cela lui nuise narrativement ou dans la perception qu’on en a. « Filles de joie » s’apparente à une chronique, une tranche de vie(s) entre rires, larmes et frissons. La vie en somme.



    Les actrices choisies pour jouer dans « Filles de joie » forment un casting de choix probant et surtout étonnant. Il y a une osmose entre les trois comédiennes qui fait plaisir à voir et qui traverse l’écran. Elles sont excellentes et se donnent à fond pour leurs rôles, pas forcément faciles. Aucune ne se tire la couverture à elle ou n’est meilleure que l’autre. Cependant on dira sans hésiter que ce sont des personnages qui leur vont bien. Sara Forestier se retrouve dans un type de rôle évident qu’elle maîtrise sur le bout des doigts, Noémie Lvovsky montre encore une fois qu’elle devient indispensable au cinéma français devant la caméra et le long-métrage révèle véritablement Annabelle Lengros. Chacune a le temps de briller grâce à un montage efficace alternant les vies séparées des trois et leurs moments ensemble (les meilleurs). En revanche, le gimmick de voir certaines scènes des trois points de vue n’était pas indispensable vu la petite duré du film… La prostitution féminine n’est pas montrée sous un angle scabreux et misérabiliste mais les réalisateurs ne font pas non plus l’impasse sur les côtés les plus sombres et durs du métier. On hésite à savoir si le film est vraiment féministe et conspue les hommes ou si l’inverse est suggéré. Une zone d’ombre sur le fond qui s’avère un peu dommageable. Et la courte durée du film ne permet pas assez d’approfondir les personnages et leur passé, ce qui provoque pas mal de zones d’ombre et nous frustre un peu.



    « Filles de joie » n’en demeure pas moins passionnant et recèle de nombreuses fulgurances visuelles et émotionnelles malgré une mise en scène très marquée par le cinéma indépendant (caméra à l’épaule, image parfois terne, …). Ces choix correspondent au final au sujet et sont en cohérence avec le contexte et les lieux où se déroule l’action. On pense notamment aux scènes dans la maison close qui font ressortir la camaraderie ambiante et balaie les clichés d’une prostitution crasse et forcée comme on a pu beaucoup le voir. Le film semble d’ailleurs prôner la liberté sexuelle des femmes et le fait de pouvoir monnayer leur corps. L’aspect thriller qui se rajoute sur deux des trois portraits n’était pas nécessaire et n’apporte rien au film. Le mélange de plein de genres est à la limite du trop. Mais on se laisse emporter durant toute la projection par les qualités et les bonnes intentions avouées de ce petit film et l’énergie de ses actrices investies.



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    Jessie23
    Jessie23

    29 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 août 2022
    Film très juste avec une brochette d'actrices extra emmenées par une Sara Forestier encore géniale (mais cela devient une habitude).
    Le quotidien de ces femmes entre violence, difficultés financières et leur double-vie un peu sordide débouche tout de même sur une certaine beauté.
    BouBacar C
    BouBacar C

    4 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 janvier 2022
    Bien moi qui connait assez bien le milieu, j'ai trouvé se film très réaliste. Je vois des critiques acerbes parce que les bobos dans les sofa ne savent pas trop de quoi il en retourne mais la prostitution n'a rien de fascinant et les femmes de ce milieu ont des personnalités aussi caricaturales que l'on pourrait le penser. Je sais c'est pas aussi glamour que sex in the city (des prostitués aussi mais pas au SMIC, payées en attention et en capital social en nature) mais la prostitution c'est des femmes avec souvent un vide existentiel plus qu'un vide financier à combler, c'est ce que refléte assez bien le film. Et le meurtre de l'homme symbolique à la fin (l'homme grossier) est assez fidèle à la réalité, on notera la clémence de la punition pour le bourgeois et la violence de celle infligée à leur alter ego masculin (en vide existentiel). Merci de n'avoir pas dérapé dans le feminisme bête et méchant. Les critiques sont un peu du meme niveau que l'européen qui dit tout le temps: "les africains sont pauvres mais très solidaires, ils ont le sens de la famille" et auquel on montre un reportage sur le génocide rwandais qui détruit sa perception névrosée du réel.
    joelle g
    joelle g

    78 abonnés 845 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 juin 2020
    déçue par la façon de film, caméra à l'épaule comme un reportage....ok cela donne un cote très vrai au film...mais on ne Creuse pas assez les personnages, leurs peurs , leurs doutes....
    Yves G.
    Yves G.

    1 313 abonnés 3 313 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 juin 2020
    Dominique (Noémie Lvovsky), Axelle (Sara Forestier) et Conso (Annabelle Lengronne) n'ont pas la vie facile. La première est infirmière, mariée et mère de deux adolescents pour lesquels elle se meurt d'inquiétude. La deuxième élève seule ses trois petits après s'être séparée d'un mari violent. La troisième rêve au Prince charmant mais va de désillusion en désillusion.
    Les trois femmes mènent une double vie : elles vont ensemble chaque jour travailler dans un bordel de l'autre côté de la frontière belge.

    "Filles de joie" est un film radicalement féministe qui met en scène trois femmes cabossées par la vie. Les hommes n'y ont guère de place : ce sont des pervers narcissiques (l'ex-mari d'Axelle), des salauds (le "prince charmant" de Conso) ou des silhouettes sans épaisseur (le mari de Dominique interprété par un Sergi Lopez qu'on se désespère à voir relégué dans des rôles aussi mineurs).

    Les trois héroïnes de "Filles de joie" se prostituent. Le film ne nous dit pas pourquoi. On imagine que le manque de revenus en est la raison. Mais le film ne nous en dit pas plus.

    Les scènes de bordel, filmées dans une belle lumière estivale, sont étonnamment joyeuses. On y voit Athéna, Circé et Héra (ce sont leurs noms de scène) rire ensemble dans une ambiance de sororité empathique. On ne croise quasiment pas leurs clients, sinon un veuf triste qui prend son bain en philosophant avec Dominique. Les trois femmes semblent trouver dans ce cocon un peu de la sérénité qui leur fait si cruellement défaut de l'autre côté de la frontière, dans leur vie grisailleuse.

    Du coup, "Filles de joie" est guetté par un risque, peut-être assumé par leurs deux co-réalisateurs : présenter le bordel comme un lieu joyeux, épanouissant, où les trois femmes pansent les plaies qu'un quotidien brutal leur inflige. C'est un parti pris qui peine à emporter l'adhésion tant on ne nous fera pas croire que vendre son corps contre l'argent puisse être un geste anodin.
    elriad
    elriad

    387 abonnés 1 793 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 juin 2020
    Elles sont trois. Trois femmes qui laissent leur vie familiale chaque matin pour franchir la frontière belge et aller vendre leur corps dans une maison close. Malgré une distribution de choix, le film dont l'idée était pourtant bonne, rate totalement son objectif, et il ne reste qu'à l'arrivée un film décousu, plutôt prétentieux et complaisant, où des scènes se succèdent, plus ou moins réussies. On cherche désespérément un peu de fond, mais hélas, le scénario en est dénué. Sara Forestier fait du Sara Forestier, spécialiste dans les rôles borderline (sa diction est toujours aussi mauvaise). La surprise vient plutôt de Noémie Lvovsky, surprenante dans ce personnage. Hélas, cela ne suffit pas et quand le générique de fin défile, on cherche toujours des qualités à ces "filles de joie"...
    CinÉmotion
    CinÉmotion

    152 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 juillet 2020
    Film intéressant sur le réalisme du milieu qu'il présente, et logique quand on apprend que la réalisatrice s'est rendue régulièrement dans un bordel pour essayer de comprendre l'histoire personnelle et ce qui poussait ces femmes à mener une double vie. La thématique n'apporte rien de révolutionnaire en soi dans son traitement filmique, et heureusement que le film est catégorisé dans le genre "drame" et pas "comédie" qui aurait pu découler sur quelque chose de plus malsain et contre productif. L'intrigue n'empêche pas des légères touches d'humour apportées ici ou là, qui sont plutôt bien servies et dosées.
    Le trio d'actrice est extrêmement convaincante, Sara Forestier, Annabelle Lengronne et surtout Noémie Lvovsky sont très bien, j'ai été surpris de leur niveau de jeu, qui me paraissait vraiment naturel et leurs personnages vraiment bien incarnés. Bien qu'elle soit induite, j'aurai aimé que l'intrigue nous mène quand même bien plus profondément dans la psychologie de ces 3 femmes, que l'on comprenne vraiment l'origine de ce qui les ont pousser à passer cette "frontière" et leur cheminement personnel. Mais cela reste un bon film mais qui est clairement porté par ses actrices.
    aldelannoy
    aldelannoy

    33 abonnés 331 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 juillet 2020
    Il est impossible d'entrer dans ce film. Le scénario n'est en effet pas du tout crédible. Un minimum de réalisme est nécessaire dans une histoire sinon on en reste dehors.
    Les héroïnes du film sont de jolies jeunes femmes qui se prostituent. De jolies jeunes femmes qui se prostituent ont, dans la vraie vie, des revenus comparables au minimum à ceux d'un cadre supérieur. S'il y a des prostitués, c'est parce que ça rapporte gros, même très gros. Certaines prostituées sont pauvres mais c'est parce qu'elles sont vieilles, laides ou, bien plus souvent, parce qu'elles ont un souteneur qui les exploite (parce que c'est très rentable) ou parce qu'elles sont camées. Les filles saines qui se prostituent se gagnent un pognon de dingue, dirait le président des Français, en peu de temps. Or le film nous présente de jolies prostituées qui vivent en HLM. On ne comprend pas, ça n'a aucun sens. Pourquoi se prostituent-elles si ça ne gagne pas ? Invraisemblable.
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