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Nico2
89 abonnés
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5,0
Publiée le 17 décembre 2011
A Casablanca, pendant la Seconde Guerre mondiale, le night-club le plus couru de la ville est tenu par Rick Blaine, un Américain en exil. Mais l'établissement sert également de refuge à ceux qui voudraient se procurer les papiers nécessaires pour quitter le pays. Lorsque Rick voit débarquer un soir le dissident politique Victor Laszlo et son épouse Ilsa, quelle n'est pas sa surprise de retrouver dans ces circonstances le grand amour de sa vie... Michael Curtiz signe avec Casablanca un chef d'œuvre impérissable qui ne perd rien de sa superbe au fil des années. L'histoire d'amour intemporelle est d'une grande force et le film est traversé par un souffle romanesque digne des plus grandes oeuvres du siècle dernier. Car derrière la romance, Casablanca est un film engagé contre la montée du nazisme et sa domination militaire sur l'Europe. A travers le personnage de Rick, le film soulève des questions sur l'engagement et la nécessité de prendre ses responsabilités dans des circonstances exceptionnelles. Humphrey Bogart est parfait comme à son habitude et d'un charisme fou, Ingrid Bergman est bouleversante, le film est visuellement superbe avec un noir et blanc d'une rare qualité, la musique magnifie l'ensemble. Michael Curtiz signe là une oeuvre forte où la petite histoire rencontre la grande et traite de thèmes universels, c'est pourquoi Casablanca est toujours aussi fort et parlant après autant d'années. Définitivement un des plus beaux films jamais tournés.
Un chef-d'oeuvre intemporel du cinéma qui brasse une multitude de thème dont la passion, l'espionnage, la guerre. Michael Curtiz, affublé d'un scénario béton armé tant sur la linéarité de l'histoire que lors des dialogues, nous amène dans la métropole marocaine de Casablanca durant la 2e Guerre Mondiale. Et bien que nous soyons loin de cette dernière, c'est tout un microcosme du conflit qui resurgit dans cette ville sous occupation française. On est emballé par le charisme d'Humphrey Bogart et par la beauté diaphane d'Ingrid Bergman, un couple plus que mythique du 7e Art. A voir et revoir, sans modération.
C'était assez osé de sortir à l'époque de la seconde guerre mondiale,un film dénonçant clairement le nazisme.C'est pourquoi il serait un crime de ne pas voir Casablanca,car tout est mythique dans ce film,que ce soit le couple mythique et charismatique Bogart/Bergman,la musique "As time as goes by" ou encore le scénario sur fond d'histoire d'amour.Le film remporta un grand succès et obtiendra trois oscars dont meilleur film.
Casablanca est un film sur lequel on a trop spéculé. Si le titre de "un des meilleurs films de tous les temps" sied à un Citizen Kane par exemple, qui a révolutionné la technique du cinéma, le décerner à l'oeuvre de Curtiz paraît un peu galvaudé. Casablanca fait davantage office d'étendard du divetissement et du cinéma grand public que de chef d'oeuvre formel. Un divertissement celà dit, plutôt enlevé, et servi par un trio d'acteurs glam et culte.
Bien entendu la présence du duo glamour d’Hollywood de l’époque, composé d’Ingrid Bergman et Humphrey Bogart, constitue le point fort de cette réalisation signée par Michael Curtiz. Néanmoins, la romance est loin d’être le seul intérêt de cette histoire. En effet, la dimension politique prend également une résonnance d’autant plus poignante que ce long-métrage a été tourné durant la Seconde Guerre mondiale. A travers les hésitations d’un homme sombre partagé entre ses sentiments amoureux et son sens du devoir pour protéger un chef de la Résistance, le récit porte un regard critique sur le régime de Vichy. La tension atteint son paroxysme dans un dénouement dont l’écriture scénaristique n’a été tranchée qu’au dernier moment du tournage. Bref, un grand classique du cinéma récompensé de l’Oscar du meilleur film en 1944.
Un film époustouflant et truffé de trouvailles géniales. Curtiz nous offre une mise en scène incroyable où la lumière et l'obscurité tiennent une place aussi importante que Bogart et Bergman. La virtuosité de la réalisation n'empêche pas l'émotion qui nous emporte tout au long de ce moment inoubliable de cinéma.
Un film d'amour comme on en voit rarement dans lequel Humphrey Bogart démontre encore une fois l'étendue de son talent. Michael Curtiz a su jongler entre scènes profondes et légères, jonchées d'humour et d'allusions subtiles, à travers une romance d'antan, faisant de "Casablanca" un superbe film.
Un grand film classique, une comédie dramatique qui a marqué l'histoire du cinéma. Tourné en 1942, "Casablanca" fait partie de ces films qui s'en prennent directement au nazisme, dans la lignée du "Dictateur" ou de "Jeux Dangereux". Mais contrairement à ces deux films, celui de Curtiz s'intéresse également aux personnages, notamment à Rick, joué par un Bogard magistral, et à leurs relations parfois complexes. Film d'actualité, drame magnifique, non dénué d'un certain humour noir et d'ironie (l'histoire d'amour est surprenante), "Casablanca" est ce qu'on peut appeler un grand film.
"Casablanca" restera désormais un classique. Un classique intemporel et émouvant à voir et à revoir pendant encore longtemps. Car "Casablanca" met avant tout en lumière un couple mythique : Humphrey Bogart et Ingrid Bergman. Deux légendes cinématographiques qui plus d'une heure et demie durant, échangent leurs regards scintillants et leurs passions fougueuses pour notre plus grand bonheur. Classé en troisième position des cent plus grands films américains de tous les temps, "Casablanca" n'est cependant pas exempt de tout reproche ; on pourrait facilement souligner son coté un peu appuyé, son pathos évident...Il suffit juste que le charme opère. Car Michael Curtiz na pas réalisé un long-métrage très novateur cinématographiquement parlant il est vrai. Mais laisser vous tout simplement emporter par le parfum indéfinissable émanant du duo d'acteurs ainsi que de la magie de certaines scènes (comme la fameuse "Marseillaise" ou l'inoubliable final). Laissez vous emporter.
Casablanca, grand classique qui a traversé les époques et qui aujourd'hui encore est précieux dans le coeur des spectateurs. Casablanca se déroule en temps de guerre, pendant l'occupation nazie, un sujet aujourd'hui maintes fois exploité, pourquoi donc un succès si grand pour le film de Michael Curtiz ? Tout simplement parce que le réalisateur américain n'en reste à ce message politiquement engagé en faveur des alliés, non. L'action a déjà pour particularité de se dérouler en Afrique, chose assez rare dans le contexte. Ensuite c'est surtout le traitement autour des personnages qui est marquant, tout d'abord du trio amoureux, mené de mains de maître par un grand Humphrey Bogart. Sur le thème du souvenir, des regrets et marqué par cet air de piano, cette chanson : As time goes by. Chanson interprété par le personnage de Sam, personnage qui fera liaison entre Paris et Casablanca. Outre cela il y à aussi les personnages secondaires pour le moins inoubliables, du capitaine Renault, en passant par le major Strasser, sans oublier le fameux Sam. Rien de novateur dans le traitement certes mais Michael Curtiz réussit tout ce qu'il entreprend par une mise en scène sans éclat mais toujours fluide. Un film marquant, à voir.
Le cinéma hollywoodien transcendé par l’Histoire avec un grand H. Bogart trouve un rôle qu’il reprendra beaucoup par la suite (chez Huston surtout), celui de l’homme partagé entre son désabusement, son amertume, voire ses ressentiments, et son intégrité foncière. Le film aligne un beau casting de grands comédiens européens réfugiés à Hollywood dans ses seconds rôle (Peter Lore, Conrad Veidt..).Entre drame sentimental, intrigue de film noir et suspense, ça ne serait que de la belle ouvrage vieillie s’il n’y avait l’urgence, la tension historique sous-jacente qui font littéralement oublier les artifices de genre et de style (des réfugiés en costumes et toilettes haute couture…) et rendent le film toujours terriblement émouvant. Classique indémodable, suivant l’expression bateau et pléonastique.
Casablanca est un grand classique du cinéma américain qui a fait entrer dans la légende Ingrid Berman et Humphrey Bogart qui incarnent à l'écran un couple nostalgique. Et malgré que l'écriture du scénario a souven changé de fin, ce film politiquement engagé, triompha dans les salles américaines en 1943 et obtiendra 3 oscars, ceux de la réalisation, du scénario et du meilleur film. Le succès de Casablanca s'explique par le fait qu'il arrive à être un film patriotique qui au lieu de montrer des scènes de combats héroïques sait mettre merveilleusement bien en relief le romantisme et l'idéalisme de ses personnages principaux. Sinon, j'ai trouvé intéressant dans le film, les dialogues qui sont souvent plein d'esprit ou ironiques.
Très, très grand film Casablanca nous emmène au cœur d'une histoire d'amour passionnante durant la seconde guerre mondial. Cette événement servira de fil conducteur pour nous raconter cette histoire. La représentation est très bonne mais petit bémol sur les faits historiques qui nous sont racontés qui n'ont pas l'air toujours véridiques même si cela nous apportes des scènes magnifiques. Et elles sont nombreuses vu la qualité de la mise en scène de Michael Curtiz qui sait mettre en valeur à la perfection ses comédiens. Le jeu de lumière du au noir et blanc et la photographie sont eux tout aussi réussie. Les comédiens justement sont distinguer, d'un charisme incroyable et jouent tous sublimement leur rôles. Le duo Bogart, Bergman nous éblouie et tous les acteurs secondaires sont de leur niveau que ce soit Rains, Henreid, Veidt ou encore Wilson ils sont tous magnifique. Et pour les sublimer encore plus, ils ont le droit à des dialogues et des répliques excellentes qu'elles soient vives, drôle ou passionnelle. Et la j'en vient à mon deuxième point négatif qui est parfois la façon de prononcer leur dialogues qui ne m'ont pas l'air très naturel. Mais cela ne nuit en rien au film vu que c'est très rare et que justement les dialogues sont excellent. Pour finir la b.o. est elle aussi de très bonne qualité, parfois dansante, parfois nostalgique, elle nous guide dans les émotions des acteurs. Mais surtout elle nous offre une scène sublime spoiler: lors de la confrontation entre La Marseillaise et Die Wacht am Rhein, ultra prenant ce moment est magique et on se surprend à chanter La Marseillaise fier et le sourire aux lèvres . Casablanca est véritablement un très grand film, peut-être difficile les 15 premières minutes le temps que l'intrigue se mette en place mais une fois dans la ville vous n'en ressortirez pas sans en dire "c'est un chef-d’œuvre".
Film culte de l’histoire du cinéma, Casablanca a pour mérite d’empiler diverses qualités : traiter d’un sujet alors d’actualité tout en le mettant en scène ‘à l’américaine’, une ambiance, une musique, des scènes cultes, un casting hors-pair... La mise en scène, d’un beau noir et blanc et d’une grande efficacité, annonce les prémices du film noir. Humphrey Bogart à la grande classe, aux côtés de la toujours magnifique Ingrid Bergman ; deux petits rôles sont également joués par des grands (petits en taille) : Claude Rains et Peter Lorre. Néanmoins, on peut regretter que ces qualités soient passées à la moulinette des studios pour un rendu très classique ; l’histoire commence à se répéter passées les premières scènes, et le film souffre donc de nombreuses longueurs.