Derniers Avis : Child's Play : La poupée du mal - Page 10

Super remake du film originel Chucky, même si l'histoire est totalement différente de l'original, le film se tient et les scènes sont de plus en plus sanglante à force d'avancer dans le film. Je note 4/5 en espérant qu'une suite soit prévue.

Finalement pas si mal du tout ! j'y croyais pas plus que ça et ce film se révèle être un très bon divertissement .
J'ai un vague souvenir du film original et donc pas vraiment de comparaison mais encore une fois quand on décide de voir ce genre de film il y a des passages obligés et là tous sont respectés .
Un bon moment .

Je ne suis pas fan de Chucky de base. Je n'ai vu que le premier film et bien que je l'avais adoré, je n'ai pas pris la peine de voir les suites, considérant que le premier se suffisait à lui-même. Mais peut-être qu'il faudrait que je me mette à les regarder. Malgré mon aversion pour cette manie qu'a Hollywood de produire des remakes surtout de classiques, je suis quand même aller voir ce remake. Je ne m'attendais à rien et pourtant, encore une fois, ce qui commence à devenir une habitude avec les remakes de cette époque, j'ai été bien déçu. Déjà je déteste cette nouvelle interprétation du personnage de Chucky. spoiler: Ici, ce n'est plus une poupée possédée par l'esprit d'un criminel, c'est un robot avec une intelligence artificielle.
Je peux comprendre qu'ils ont voulu se démarquer du film original, mais bon sang, ce n'est pas une raison pour détruire ce qui est la base du film.
Donc, déjà l'idée de base est assez absurde, car un être vivant tu peux que le tuer pour qu'il arrête ses meurtres ou tu l'enfermes, là.... bah t'as juste à éteindre le robot en fait, donc techniquement au premier meurtre, peut-être que tu devrais désactiver et éteindre la poupée et peut-être à l'occasion, en parler ! Mais passons le fait que les personnages soient débiles à ce niveau, il fallait passer les 1h30 de film donc, ne pas s'énerver... Et alors est-ce que le reste rattrape le tout ?... NON ! Déjà que non content de mettre un temps fou à décoller, le film enchaîne un nombre incroyable de clichés que tu ne peux plus te permettre en 2019... rien que les plans sur les éclairs d'orage. Et les jumps-scares sont d'un classicisme lassant. Certaines scènes d'horreur, loin de provoquer le frisson, font rire tellement elles virent au ridicule. Ca veut faire trop dans le délire déjà que le film ne l'est pas vraiment de base. Bref, sans être un fiasco total, c'est un divertissement d'horreur insipide et relativement inintéressant, très loin d'avoir la saveur et la consistance du film original.

Pendant près d’une heure, le spectateur se dit qu’il a sous les yeux l’un des remakes horrifiques les plus audacieux et ambitieux vus depuis longtemps, le film entretenant de façon quasi parfaite une tension à la fois angoissante et burlesque. Puis tout s’effondre. La parcimonie des effets cède la place au grand-guignolesque des plus déplorables : la clausule s’apparente à une séquence de torture porn vraiment malvenue où nous pouvons voir une mère meurtrie et ligotée, en pleine agonie, et son fils qui contribue, pour un temps, à la pendre. Là, nous ne rions plus. Et toute la construction mi comique mi horrifique jusqu’alors en règle disparaît, ne laissant en lieu et place qu’un empilement de scènes mal coordonnées et trop courtes. Child's Play : La Poupée du mal est une œuvre avortée, au potentiel évacué par facilité ou par nécessité technique ; nous ressentons les coupes effectuées pour réduire le film à une heure et demie, nous nous heurtons aux scènes ainsi accolées les unes aux autres, sans que le crescendo horrifique ne dispose de suffisamment d’espace et de temps pour se développer. Quoi qu’il en soit, c’est frustré que ressort le spectateur, conscient du vrai propos de fonds qui animait l’œuvre dans sa première partie : insérer une poupée déréglée dans un foyer lui aussi déréglé était une idée ô combien intelligente, idée augmentée par une dénonciation en creux des conditions de travail dans les usines étrangères en charge de réaliser les productions américaines. Car c’est toute une société qui se trouve malade, rongée par la violence endémique : la poupée n’est que le réceptacle de cette culture de la violence, et tend à devenir le bras armé d’un retour à la justice par le prisme des codes en vigueur. Ce discours, absent du Chucky originel, bénéficie en outre d’un parti pris esthétique qui donne naissance à des plans superbement composés. Le souci réside dans l’incapacité du film à repousser la fascination pour la violence qu’il dénonce ici, puisqu’il s’engouffre, en guise de clausule, dans les pires facilités du genre. Le massacre dans le magasin de jouets devait donner lieu à la grande scène cathartique et burlesque ; or, quelques petites minutes suffisent à la traiter… Child's Play se précipite et perd en subtilité ce qu’il gagne en bêtise. Reste une première heure superbe, à l’atmosphère renforcée par la géniale composition musicale de Bear McCreary qui mobilise bon nombre d’instruments aux sonorités étranges évoquant l’enfance (xylophones, accordéons, chœurs et bien d’autres).

rien a sauver sur ce film mais alors rien du tout , le personnage fait pas peur fin pour moi en tout cas

D'abord dubitatif pendant la situation initiale du film, j'aurai finalement passé un excellent moment de détente devant cette proposition fraîche de film d'horreur tournant sur un objet tueur. Ici, il ne s'agit pas de placer l'action dans le passé où une poupée sensée être inanimée se retrouve dotée de vie par l'intermédiaire de forces obscures, mais dans le présent accès high-tech et intelligence artificielle, une "poupée" "vivante" capable de se connecter à toute une flopée d'objets via l'internet et d'apprendre voit son code changé par un programmeurs venant de se faire virer avant de se retrouver dans une famille et attaquer tout le monde à tour de rôle, si l'exposition d'une poupée à l'esthétique flippante dans la société actuelle peut paraître étrange (avouons le, visage flippant = cahier des charges du siècle précédent), outre le fait que les consommateurs du XXIe achètent un objet à l'esthétique creepy pour devenir "le meilleur ami" de leur enfant, cette proposition à l'aire de notre époque ouvre les portes vers des situations inédites et est bien exploité. Les personnages sont attachants, l'horreur imaginé fonctionne bien, l'horreur graphique (étonnamment explicite) fonctionne bien, l'humour, les séquences d'émotion, pour du divertissement au dessus des attentes.
un film que je recommanderais, bonne surprise.

Le slasher high tech de Lars Klevberg se laisse visionner comme une agréable série B à l'ancienne, boostant une franchise d'un petit coup de sang neuf. A l’heure où les films d'horreur sortent de moins en moins souvent dans les salles obscures, relayés directement sur des plates formes comme Netflix, on ne s’en plaindra pas.

surprise et belle en plus a ete de le mettant en plein dans notre temps c'est a dire l'age du numerique. bon film bien adapté a cette epoque ou l'enfant aime ce qu'il detesterait subir en vrai. chucky ne fesait que rendre vivant les reves d'andy. nos reves aux fonds.
bravo

Une pâle copie du célèbre Chucky : même couleur de cheveux même tenue même nom dans le film. C'est juste une poupée connectée !

J’ai été très agréablement surpris par le film après avoir lu les critiques (aussi bien celles de la presse que celles des spectateurs) qui le dénigraient en disant qu’il était lent, prévisible, qu’il ne faisait pas peur et n’offrait rien de neuf... Tout cela est, dans une certaine mesure, un peu vrai MAIS c’est là tout ce que j’ai apprécié dans ce reboot : on modernise pour le principe et pour le style, mais on reste dans une veine classique, véritable hommage aux films des années 80 et 90 : alors oui, on s’attend à certaines choses - et on prend plaisir à les anticiper. Oui, le film présente une forme de peur un peu démodée - mais les amateurs s’en réjouiront, et les novices ouverts d’esprits devront en reconnaître le charme. Oui, ce n’est pas un film qui enchaîne les actions - au contraire, il prend le temps que n’ont plus les blockbusters d’aujourd’hui. Alors si on doit trouver un défaut au film, c’est d’avoir eu la faiblesse de croire que les plus anciens allaient pouvoir tolérer le côté « connecté » sans s’offusquer, et que les plus jeunes étaient suffisamment intelligents pour apprécier un film au rythme humain. Le film ne rencontre pas un franc succès chez le grand public, mais il reste tous ces petits publics qu’il saura séduire, et en cela, s’il n’est effectivement pas exceptionnel, il reste remarquable.

L'idée de départ est plutôt intéressante à défaut d'être originzle, dans l'esprit d'un épisode de Black mirror, où la technologie et l'hyper connectivité se retournerait contre ses utilisateurs. Mais en choisissant de rendre réel le monstre d'origine qui était surréaliste, poupée possédée par un tueur, le film se heurte à un gros soucis de crédibilité, ne réussissant jamais à faire passer la pillule d'un jouet aussi sophistiqué. Ajoutez à cela un réalisateur qui essaye de faire un épisode de série télé au lieu d'un film d'horreur, et on se retrouve avec le reboot habituel des films des années 80, qui ne réussit jamais à imposer un style ni une ambiance convenable. D'autant plus dommage qu'il y a des nombreuses bonnes idées et des personnages attachants (mention spéciale au jeune acteur qui n'est pas sans rappeler le jeune Elliott de E. T et apporte beaucoup au film).

Très bon remake, La poupée de mal est modernisée et je trouve ça bien ! C'est juste un petit peu dommage car on s'éloigne un peu trop de la version originale. Mais j'ai beaucoup aimé.

Vraiment super bon film meurtre ghore histoire cool un remake original et pas un copier coller et parfumer d'une touche d'humour noir vriament drôle je recomande fortement a ne pas rater

Si tous les artisans des précédents numéros sont partis, la nouvelle équipe s’essaie ici à renouveler un peu les effets d’épouvante, mais elle a bien du mal à échapper à la routine.

Excellent surprise que ce reboot modernisé de Chucky ! Meme si la nouvelle poupée n'est pas aussi trash et charismatique que celle d'origine, le film tient la route sur ses passages gore et humour noir. Mais bon, j'espère que le vrai Chucky nous reviendra en série télé comme promis