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    Child's Play : La poupée du mal
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    225 critiques spectateurs

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    prol3eter
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    2 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 novembre 2019
    une mère célibataire offre a son fils pour son anniversaire une poupée high tech mais elle ignore qu'un employé mal intentionnée a désactivées toutes les restrictions de sécurité et de langage tous ces dysfonctionnement additionnées vont faire basculer la gentille poupée pour enfant buddy en un double agressif et psychopathe renommée chucky reboot du jeu d'enfant en 1988 beaucoup plus high tech que l'original (chucky peut se connecter a touts les appareils technologiques) des meurtres original et bien mise en scène mais je préfère globalement l'ancienne poupée chucky qui avait beaucoup plus de charisme, un visage beaucoup plus effrayant , des répliques cultes et un ricanement inoubliable bref c'est mission impossible pour ce nouveau chucky de faire oublier son prédécesseur
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 26 novembre 2019
    Le retour de Chucky, pour la énième fois... Reboot du 1er opus, Chucky n'est, pour une fois, pas une usurpation d'identité.
    Les puristes ou cinéphiles ou fans du genre, éventuellement les curieux, se souviendront des origines de la poupée et de ses nombreuses et oubliables suites, suites obscures et hautement peu recommandables.
    Donc on revient sur les origines de la poupées tueuse et cela fait du bien de voir que en 2019, on peut rebooter une franchise en prenant en compte l'évolution de la société et de la technologie.
    On ne va pas revenir sur le scénario mais bel et bien sur l'évolution du titre, qui en cas de succés, promet quelques suites.
    Le sujet est bien traité, actuel, et on suit sans déplaisir l'évolution de cette poupée dans le coté obscur de la force.
    Les acteurs font le travail et le film se déroule sans déplaisir.
    Sans être un film à voir, les fans du genre, je pense et j'espere, ne bouderont pas cet essai plutôt bon et augurant des retours de franchises datées de qualités... Wait and see.
    Liam Debruel
    Liam Debruel

    13 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 novembre 2019
    Reboot déjà désavoué de Don Mancini, cette nouvelle version de Chucky est-elle réellement défectueuse ?
    Andy est un garçon qui ne sait pas se faire d’amis. Sa mère cherche à lui faire plaisir en lui offrant un Buddi, une poupée ultra connectée. Malheureusement, ce dernier est défectueux et va plonger Andy dans une crainte de plus en plus forte.
    Il est sûr que les fans avérés de Chucky risquent de grincer des dents en voyant ce qui a changé par rapport à la saga originale et son postulat d’origine. En effet, bien qu’il y ait quelques points conservés comme les noms, beaucoup de choses ont été modifiées et il est évident que cela va faire râler. Mais d’un autre côté, on pourra apprécier de ne pas avoir joué la carte du simple copier-coller assez facile et d’avoir voulu ancrer cette version un peu plus dans une époque bardée par la technologie, tel un épisode de « Black Mirror » avec plus de gore (ce qui devrait ravir les fans d’hémoglobine).
    En partant dans une autre direction, le film de Lars Klevberg se permet d’aborder d’autres thématiques que le « Jeu d’enfant » original. Dans le long-métrage de Tom Holland, la peur se nourrissait de plusieurs tabous ancrés dans les rapports conflictuels entre adultes et enfants ainsi que la manière dont le regard dit « rationnel » tombait petit à petit dans l’incrédulité de l’origine de la menace. Ici, on peut y voir une forme de capitalisme se retournant envers un schéma familial déjà en souffrance ainsi qu’une manière d’appréhender les relations toxiques avec ce qui devrait être le lien le plus fort et doux du monde : l’enfant et son jouet.
    S’il n’a pas autant de maîtrise que Tom Holland, Klevberg gère à souhait ses effets et procure beaucoup d’amusement dans les mises à mort ainsi que dans un climax assez plaisant. On notera que le nouveau look de Chucky procure des sentiments opposés nourrissant les sentiments que l’on peut éprouver envers celui-ci. Et si l’on apprécie de sentir la présence animatronique de la poupée, on regrette une construction narrative assez simple et tombant par moments dans la facilité, malgré quelques instants assez grinçants par le mordant de son humour.
    Ce « Child’s play » nouvelle génération est en cela une bonne série B assez appréciable et profitant des changements effectués pour avoir sa propre identité et permettre à Mancini de faire prospérer sa saga à sa manière. Sans doute pas le jouet de l’année mais un produit assez solide pour procurer du plaisir au public.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 novembre 2019
    Il est bien, mais c complètement hors sujet.
    Il complète un peu la collection, mais de très très très loin sur l'étagère.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 novembre 2019
    Selon moi, c'est un très bon Remake. Le film est angoissant et surprenant. Chucky est très bien réalisé. À voir absolument pour les fans du genre.
    Fabien S.
    Fabien S.

    469 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 novembre 2019
    Un reboot de la poupée Chucky très moyen et rempli d'inconhérences . Le scénario est trop inpiside. L'original est mieux.
    Phil MacGyver
    Phil MacGyver

    16 abonnés 183 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 novembre 2019
    Je suis sorti particulièrement mitigé du visionnage de ce remake.
    Après une séquence d'ouverture marrante, mais franchement trop expédiée pour être crédible (tout le nouveau concept du "déconnage" de Chucky repose dessus quand même), le film est réellement épatant jusqu'à sa 1ère moitié, et vaut un bon 4.5/5 à mon avis.

    Une très très bonne idée, qui déplaira aux grincheux intégristes de la série, mais qui apporte un souffle nouveau à la franchise et offre des possibilités inédites jusque-là:
    La poupée déglinguée de la tête ne l'est plus parce qu'elle est possédée par un serial-killer un peu trop vénère, mais parce que tous les filtres informatiques de son programme ont été levés, et que donc elle peut apprendre n'importe quoi, l'interpréter à sa façon sans recul, et réagir comme bon lui semble.

    Hyper prometteur, surtout quand le début de son éducation se fait devant "Massacre à la Tronçonneuse 2", en compagnie de 3 gamins hilares !
    De là à ce qu'il considère que ce qu'il voit à l'écran est donc fun et source de nombreux jeux potentiels à proposer à son jeune propriétaire, il n'y a qu'un pas... que Chucky franchit vite sans complexes pour notre plus grand bonheur !!!

    Toute la première partie est franchement jouissive, et utilise relativement bien les ressorts, même si l'évolution est un peu bancale.
    Le comédien qui interprète le jeune héros est vraiment très bon, dommage que le reste du casting ne soit pas au diapason.
    Contrairement à certains internautes, que trouve que ce nouveau Chucky a de la gueule et est à certains moments vraiment flippant.
    Le dosage comédie/horreur se défend, même si parfois un peu déséquilibré, le cul entre deux chaises.

    C'est dans la deuxième partie que tout se complique. Après que les enfants pensent lui avoir fait la peau au Chucky un peu trop turbulent.
    Ça se complique toujours dans ce genre de films à twists et surenchères, mais ici, pas pour les bonnes raisons.
    C'est le scénario, jusqu'alors bien pensé, qui se met à déconner jusqu'a un point de non retour dans un final absolument portnawak !

    Une autre idée très intéressante amenée avec ce nouveau Chucky, c'est qu'il est connecté sur le Cloud.
    Et on frétille d'avance à tous les délires que cela peut amener !
    Encore faut-il garder une certaine cohérence avec les règles établies. Ce n'est pas parce que c'est un film fantastique (plus SF en fait), qu'on peut faire n'importe quoi. On établit dans l'histoire un certain nombre de possibilités qui n'existent pas dans la vie courante, mais une fois cet univers créé il faut rester logique avec cette nouvelle réalité.

    Ce n'est absolument pas le cas ici !
    Chucky se met à pouvoir contrôler tout et n'importe quoi, n'importe comment à distance, et sa dimension "d'apprentissage de la vie" raté par mauvaise interprétation de ce qu'il voit - vraiment très très bien vue - est complètement abandonnée pour en faire une bête poupée méchante qui s'amuse et se venge, alors que le nouveau concept n'est pas une personnalité, mais un logiciel informatique qui simule une personnalité, qui a été désinhibé par malveillance, et interprète ce qu'il voit, et apprend, de manière très contestable, sans aucune référence valable.

    Donc outre cette incohérence gravissime avec le concept exposé dans la 1e partie, Chucky se met à pouvoir faire des choses beaucoup trop grosses pour qu'on puisse y croire. Ça ne fonctionne pas dans cet univers SF.

    Alors c'est relativement fun, mais ça ne va pas aussi loin qu'on pourrait l'espérer. Outre d'être incohérent et stupide, ça manque franchement d'imagination !
    Une idée à laquelle on ne croit pas un instant - Chucky qui se met à contrôler toutes les nouvelles poupées, les versions 2.0, que le public de moutons dociles est venu acheter avec la plus grande impatience - mais qui offrait de purs délires potentiels, est incroyablement sous-exploitée et bâclé !
    J'étais prêts à avaler des couleuvres sur ce coup-là, mais bon sang, fallait me donner du costaud à voir pour ça !!

    N'importe quoi, dans le scénario, mais pas visuellement. Ça délire correctement, mais y'avait tellement plus à faire. Et puis c'est tellement expédié !
    Jusqu'à un final décevant, qui irait pour une scène mi-film, mais pas pour une fin censée se terminer en apothéose. C'est le principe du climax, c'est censé aller plus loin que tout le reste.

    À cela ajoutez des comportements peu crédibles et l'impression désagréable qu'il manque des choses, que tout n'a pas été bouclé, et vous sortez finalement du visionnage terriblement déçu, d'autant plus que la première moitié était terriblement prometteuse.

    De mon 4.5/5 initial je descends à un 3.5/5 bien payé, j'ai failli mis 3.
    Mais vu qu'il peut faire n'importe quoi apparemment, je ne veux pas que Chucky débarque chez moi pour se venger et foute le bordel. Alors...
    Stef P.
    Stef P.

    24 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 novembre 2019
    Moyen pour la reprise de chucky. Un jeu d acteurs minable mais le scenario est sympa et quelques scenes bien saignantes font remonter la moyenne, mais sinon, aucune frayeur, aucun suspens....un petit thriller parmi tous les autres sui finiront aux oubliettes.
    Michael R
    Michael R

    90 abonnés 1 174 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    Un remake étonnant car supérieur à son modèle ! Déjà, le pitch de départ est bien plus réaliste (un bug sur un produit connecté) si bien que cela pourrait être un épisode de BlackMirror. Le contraste entre le jouet d'enfant qui cache un psychopathe sadique, ou même certains personnages craspec et le jeune Andy et ses potes (qui ramènent à l'ère Amblin) détonne... c'est drôle, gore, sale et méchant bref c'est jouissif !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    Ça ne vaut pas l’original
    Là c’est un film pour ados un peu sanglant
    Dommage d'avoir gâcher de l'argent pour ça !!!!
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 190 abonnés 4 004 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 novembre 2019
    Tous les amateurs de films d’horreur connaissent Chucky, une poupée maléfique et parlante initiée au cinéma à la fin des années 80 et qui connaîtra de nombreuses suites. “Child’s Play : La Poupée du Mal” est une sorte de reboot. Une mère offre à un fils une poupée dotée d’une intelligence artificielle et visant à améliorer le quotidien des enfants. Le modèle offert était défaillant et le Chucky qui nous intéresse ne connaît aucune limite entre le bien et le mal. Loin de faire peur, cette version 2.0 est un nanar non déplaisant à partir du moment où le regarde avec un second degré.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Ariel4985
    Ariel4985

    33 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 octobre 2019
    Je l'ai pas du tout aimé il fait pas du tout peur l'ancien été vraiment mieux là poupée est un peu bizarre après
    Renaud  de Montbas
    Renaud de Montbas

    29 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2022
    La franchise déconno-gorrifique est de retour et je dois dire que pour ces nouvelles aventures de Chucky, notre meilleur ami pour la vie, tous les codes sont respectés. Humour pas toujours finaud mais qui m'a parfois fait sourire et quelques séquences sanglantes ! L'idée de faire de Chucky un jouet connecté afin de le mettre au gout du jour apporte un petit plus à l'histoire (si on peut appeler ça comme ça) et n'est pas mauvaise. Je regrette juste que notre bonne vieille poupée ait un nouveau look un peu cartoonesque. On ne touche pas aux Masque de Michael dans Halloween, ni à celui de Jason dans vendredi 13, donc faut pas toucher à Chucky... il y a des références culturelles qu'il faut savoir respecter :-)
    bon moment pour ma part... 3.5 / 5
    Culturevsnews
    Culturevsnews

    61 abonnés 199 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 octobre 2019
    En 2019 le défilé apparemment interminable de redémarrages, de réimaginations et de révisions est un rafraîchissement de la comédie d’horreur Child’s Play, un classique de la comédie d’horreur. Bien que cette version n’ajoute pas grand-chose à la mythologie de Chucky et enlève certains des morceaux les plus juteux de sa légende, elle refuse aussi de se prendre trop au sérieux.

    Certaines scènes de films résument parfaitement le ton et l’intention du cinéaste. Nous arrivons à mi-chemin du nouveau Child’s Play. Andy (Gabriel Bateman) vient de se faire deux nouveaux amis après un déménagement, et le trio regarde un film avec la dernière acquisition de jouets d’Andy, Chucky. Ils regardent The Texas Chainsaw Massacre 2 de 1986 dans toute sa gloire sanglante. Ils rient tous avec plaisir de la violence caricaturale et des scalpings alors que Chop-Top et la famille Sawyer se fraient un chemin à travers une bande d’adolescents. Les enfants humains dans la pièce disent (je paraphrase ici), « Ce n’est pas comme ça que le scalping fonctionne » et continuent à aboyer. Chucky regarde toute cette situation avec un grand émerveillement. Non seulement il s’amuse dans ce chaos, mais il est aussi incapable de comprendre la différence entre la violence dans les films et les dommages réels causés aux humains. Pour notre chance, Chucky n’existe qu’à l’écran et il est capable de reprendre là où Leatherface s’arrête. Plus tard, quand Chucky présente un visage scalpé qui contient à la fois des yeux et des dents, nous sommes maintenant le public qui hurle de rire devant le fait que la peau du visage ne fonctionne pas vraiment comme ça. Ne dites pas que Child’s Play ne vous a pas prévenu explicitement – c’est un film idiot.

    Le remake de The Child’s Play imite l’original de 1988 de quelques façons importantes, mais l’ignore complètement dans d’autres. Chucky est une poupée tueuse qui appartient à un jeune garçon du nom d’Andy. Le design de la poupée est généralement le même, avec chemise rayée et salopette. Cependant, cette version mise à jour de Chucky est souvent évidemment CGI, plutôt que de maintenir les charmes des effets pratiques originaux de la marionnette. Le changement le plus marqué d’une version à l’autre est la racine des mauvaises manières de Chucky. Dans les années 80, Chucky était possédé par l’âme d’un tueur en série qui l’a transformé en poupée tueur en série. Dans cette version, un ouvrier mécontent de l’usine a supprimé tous les programmes de sécurité de l’IA de la poupée. Ça ne devrait pas forcément rendre une poupée maléfique, mais Chucky y arrive.

    Le méchant affaibli, ou du moins moins moins menaçant à l’origine, aurait pu se prêter à un film d’horreur moins divertissant, et il l’est, mais pas au point que vous pouvez craindre. Le refus du film de se prendre au sérieux ajoute au plaisir de la prémisse ridicule. Pour la plupart, c’est une farce idiote. Aubrey Plaza s’amuse à jouer la mère sarcastique et attentionnée. Mark Hamill est la voix parfaite de Chucky. Et même les enfants acteurs sont tous parfaitement utilisables comme amis d’Andy.

    Note : 8/10
    Thomas Chalanson
    Thomas Chalanson

    5 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 octobre 2019
    C'est nul nul nul !!!! j' ai 38 ans et Chucky déjà à l' époque était u pseudo film d' horreur mais au moins il y avait un bon scénario, ici la poupée ne fait pas peur et elle s' appelle Buddy et non Chucky.
    Voilà quoi un remake pour le fric, il faut attendre environ la 35° min environ pour que sa démarre et que Chucky devienne vraiment maléfique donc autant vous dire que c'est long. à éviter....si vous voulez pas perdre 1 H 30 min de votre temps si précieux !
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