Avis : Ceux qui travaillent - Page 3

excellent film qui montre le vrai visage du capitalisme et le caractère montrueux de nos entreprises;un souverain olivier gourmet toujours présent qui nous fait partager avec talent son inhumanité et sa vulnérabilité!un grand film qui mérite un bon succès et enfin un film intalligent!

avec un sujet aussi important le film est nul. pas de sentiments. trop de transitions sans rapport. une vie familiale absente. c'est long. c'est plat. on a sa une envie c'est que ça se termine

un drame social fort porté par un excellent Olivier Gourmet.
le chômage, le suicide le manque de dialogue dans une famille
beaucoup de thèmes sont abordés et bien traités.
le rythme est lent mais nécessaire.

Voici l’histoire émouvante et très crédible, très authentique, d’un homme ancré dans son travail au cœur d’un monde capitalistique inhumain. À la suite d’une décision terrible, il perd pied, culpabilise, s’enferme et accroît son introversion.Il se ressaisira pour sa famille et ses valeurs découvertes… pour mieux retomber dans le bouillon gras des affaires.
Un film fort, vrai, humain sur un drame social, sur un drame auquel beaucoup de nous paricipe, insconsciemment presque toujours. On apprécie la maîtrise et la précision du réalisateur – c’est un Suisse ! – et surtout on peut admirer la prestation impressionnante d’Olivier Gourmet, bloc impénétrable de questionnement intérieur. Une interprétation où les silences deviennent des dialogues ! Un film social très fort, très profond, très humain.

Un très bon film qui flirt avec le malaise en permanence. Les états d'âme d'un cadre dans une grande société d'import /export qui se fait licencier pour faute professionnelle . Regard sans complaisance sur notre monde occidental capitaliste et ses errances.
Pas du tout chantre de la bonne pensée facile, le réalisateur décrit un monde où se côtoie la froideur glacée sans états d'âme et les tentations permanentes de la vie où l'argent est roi. Il ne prend pas partie de manière grossière. Il constate et suggère.
Olivier Gourmet est magistral, tout en retenue et faisant passer ses vagues intérieures à l'écran de façon très subtile . La jeune actrice qui joue sa fille est très bonne aussi.
À découvrir si vous ne l'avez pas encore vu. Excellent. Loin des faux clivages droite /gauche. Intelligent.

Un sujet qui m'intéressait mais je suis déçu. C'est lent, il ne se passe pas grand chose, sous prétexte d'introspection du personnage principal.

J attendais ce film avec impatience tant les films français récents sur le monde du travail sont plutôt réussi à.

Ici un carnage. Tout sonne faux. Certainement un réalisateur qui n a j'aimais travaille dans une entreprise et qui de permet de déverser avec bêtise des principes idéologiques et faux de livres militants dont il a du se gaver.
Comment peut on faire croire que des cadres dressées font tuer sans vergogne des migrants qui font entrave à leur profit ?

Il faut voir la réalité et arrêter de direr n importe quoi !


Même l acteur, d habitude excellent, jour faux.
.a éviter

Un bon film mais assez inégal et inabouti On est très vite pris par le scénario et ce qui arrive au personnage. Le problème c'est que passé les 40 minutes il ne se passe plus grand chose et le personnage flotte un peu, comme le scénario. Le film tient surtout par la performance d'Olivier Gourmet.

Au risque de choquer ceux qui encensent ce premier film, je dirais que je suis sorti très déçu de ce film dominé par l'ennui de la narration sans imagination d'une histoire sordide. L'omniprésence d'Olivier Gourmet en cadre supérieur d'une entreprise de fret maritime, licencié après une faute impardonnable, alourdit encore l'atmosphère de ce film aux accents lugubres. On ne met pas en cause la qualité de son jeu, mais son rôle de brave salaud qui ne comprend pas vraiment ce qui lui arrive, la rareté des échanges dialogués, son mutisme pathologique autant verbal que sentimental finissent par ennuyer la spectateur le plus bienveillant. Sans entrer dans le jugement de valeur du contenu scénaristique du film, on peut s'interroger sur cette esthétique du crime qui atténue l'horreur de la pire des saloperies.

Le choix de Olivier Gourmet, image du citoyen honnête et travailleur brossé depuis des années par les Dardennes notamment, est judicieux ; un autre acteur aurait sans doute pousser carrément à l'antipathie. La famille de Franck est tout aussi gênante, on finit par se moquer éperdument de ses membres surtout quand un fils avoue à Franck qu'il se passerait sans soucis d'un père mais pas de son niveau de vie ! Si le cinéaste réussit l'exploit de ne porter aucun jugement, ni envers Franck ni envers le systèle économique, on se pose pourtant la question : Quel est son propos ?!
Site : Selenie

Attention, cet avis comporte ce genre de spoiler: Le saviez-vous? Les oignons rouges et les agneaux proviennent souvent de la terre du mil...de Nouvelle Zélande. Bah oui, ça coûte moins cher de leur faire traverser 19000kms que de produire en France. Il faut dire que certaines externalités négatives ont peut-être été oubliées dans le calcul du voyage. Ha et Amazon fait rouler "ses" camions à vide pour livrer en 24h parce qu'il est bien évidemment insupportable d'attendre quelques jours cette nouvelle paire de basket fabriquées dans des conditions discutables qui selon un.e instagrammeu.r.se en collaboration avec la marque offre confort et style à ses pieds. Et qui seront tellement "vous" par ricochet.

Film glacial et glaçant. Quand la forme est aussi désagréable que le fond, l'oeuvre est réussie, non? Le réal semble nous dire que la travail est moche, son absence aussi, la famille est moche, la société de consommation est moche, le capitalisme est moche, le quotidien est moche, même les pulls à capuche sont moches. Trop réaliste mais...pudique, il se garde bien d'analyses ou de questionnement. On n'est pourtant pas dans le minimalisme. Le film est parcouru d'authentiques morceaux de banale routine...on s'y croirait et on regrette. Pourtant avec une dizaine de personnages, il se passe plein de choses. Mais le réal pose une interaction et la règle sans passion, cyniquement, en quelques plans, en une phrase voire en silence. On n'en saura pas plus. Reste le personnage d'Olivier Gourmet, irrémédiablement seul. Il se voit offrir le temps de prendre un temps qu'il n'a jamais pris pour entrer en introspection, en dépression et c'est long. Dans le plan final (enfin je crois), absolument spectaculaire de non spectaculaire (alors qu'il aurait pu être une gifle dans ta face si les personnages secondaires n'avaient pas été fantomatiques parce que l'individualisme, c'est moche), spoiler: il renvoie ses personnages dos à dos et nous avec.
Le film était-il ordinairement cruel ou cruellement ordinaire ?

En voyant cette première œuvre d’un jeune cinéaste suisse, la comparaison avec un autre film social contemporain s’impose assez naturellement. Il s’agit de La loi du Marché dont Ceux qui travaillent constitue un peu le pendant « cadre supérieur ». Une même question étant au cœur des deux films. Quel est le sens à donner au travail dans une vie ?

Mais la vraie question c’est pourquoi La loi du Marché est-il un chef d’œuvre alors que Ceux qui travaillent un film disons inabouti ? La raison ce n’est pas que Stéphane Brizé soit meilleur réalisateur qu’Antoine Russbach, tous deux ont fait leur film avec beaucoup de soin. La raison ce n’est pas non plus que Vincent Lindon soit meilleur qu’Olivier Gourmet, tous deux sont des acteurs charismatiques et totalement investis dans leurs personnages respectifs (même si Russbach se repose totalement sur son interprète alors que Brizé savait aussi nous montrer autre chose). Non la raison c’est simplement que la loi du Marché est un film bien mieux construit ou le contenu et la chronologie de chaque scène sont empreints de sens.

Dans Ceux qui travaillent en revanche, passée la première demi-heure, on baigne en permanence dans une sorte de flou existentiel, comme celui qui semble occuper l’esprit du personnage principal.
A fortiori que mis à part ce dernier et ses tourments, il ne reste plus grand-chose dans le film. Les personnages secondaires sont très peu développés et les autres pistes de réflexion comme le capitalisme meurtrier sont évoquées trop timidement.
Et puis surtout les lenteurs, les scènes étirées à l’extrême, les longs silences ténébreux ou personne ne se dit rien, ça va un peu. Mais il arrive un moment ou l'on se dit que le but n’était peut être rien d’autre que le remplissage.

J'ai trouvé ça d'un ennui terrible. Hormis 2/3 scènes plutôt intéressantes, c'est lent et sans grand intérêt.

Quelle déception
Des blancs de 30 secondes
Des scènes qui se répètent
Une fin spéciale
On a du mal à comprendre où le réalisateur veut en venir
Si c est pour dire le monde du travail est sans pitié et peut s en suivre des états dépressifs...Soit
Et Olivier gourmet faudrait qu il apprenne à articuler

Mon sentiment après avoir vu ce film est le réconfort de ne plus travailler dans ce monde de travail complètement obsolète qui ne respecte plus rien ! A quand le vrai changement de société ?