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tisma
265 abonnés
1 881 critiques
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2,5
Publiée le 24 avril 2021
Un film décevant car il perd le spectateur. On est très peu emporter par cette histoire qui aurait pu etre intéressant, mais dont on n'arrive pas trop à suivre l'idée. On est perdu. Quelques blagues arrivent à relever le niveau de ce film.
Film très touchant, plutôt poétique bien qu'un peu trop romantique dans son approche. Alain Chabat est très bon dans ce genre de rôle. On ne comprend pas certaines choses (ne sortir de l'aéroport qu'au bout de 10 jours ? Super star dans l'aéroport, inconnu dans Séoul ?), un arrière goût de "Terminal" (avec Tom Hanks) en plus romancé, plus naïf aussi. Ok, c'est beau de rêver mais ça ne fait pas tout.
« #Jesuislà », une comédie française réalisée par Eric Lartigau (Mais qui a tué Pamela Rose ?, Un ticket pour l'espace, L'Homme qui voulait vivre sa vie, La Famille Bélier et la célèbre série "H") en 2020. Avec Alain Chabat, Blanche Gardin et la talentueuse actrice, chanteuse et photographe sud-coréenne Bae Doo-na. Si au début le film parait être un toute petite comédie parisienne habituelle où les personnages vont faire du portable pendant tout le film, la surprise est très bonne avec un superbe décollage inattendu du film et un merveilleux voyage en Corée. C'est drôle, mais c'est surtout beau, touchant, tendre et magnifiquement dépaysant. Un très bon film qui sait surprendre le spectateur. Une réalisation de qualité et une très bonne surprise.
#JeSuisLà commence plutôt bien, avec sa famille sympathique qui nous parle (qui n'a jamais connu cette famille où le père demande à son plus jeune de s'occuper "des trucs sur Internet", où l'on jase sur les enfants du village en les appelant directement par leur nom) et surtout avec un belle histoire qui fleurit peu à peu sous nos yeux : celle du papa endeuillé qui ré-apprend à vivre au travers d'une relation longue distance qu'il souhaite concrétiser. Direction l'aéroport, sur un coup de tête, pour rejoindre en Chine la jeune demoiselle...qui n'est pas là, apparemment. Le personnage si attachant interprété par Alain Chabat va alors nous faire un remake de Le Terminal, à la sauce française (de la bonne cuisine pour s'occuper, plutôt que conduire les chariots et courir après les tampons verts comme Tom Hanks). On s'amuse même de la culture extravagante et surconnectée chinoise, et de la popularité-éclair (bien que peu probable dans la démesure qui nous est montrée) et de ce papa devenu rock-star de l'amour malgré lui (on sourit souvent). Mais tout s'effondre d'un coup, d'un seul, après la rencontre des deux amants, car on tombe sur un spoiler: personnage féminin détestable (hautain, à l'intention incompréhensible sur cette relation, qui s'enfuit...) Bet sur une suite de scénario qui n'est qu'errance (cela devient long, et spoiler: l'arrivée des deux enfants n'arrangent rien), avec une fin amère qui déçoit franchement, on est très loin de nos ambitions d'après le joli démarrage qu'avait opéré cette comédie. On reste alors sur cette ouverture assez drôle (bien que peu originale si l'on a connu Le Terminal) avant que tout ne devienne "inacceptable" (tampon rouge).
Une comédie douce-amère attachante et bourrée de charme, portée par un Chabat super touchant de sincérité, et qui donne envie de prendre un avion pour la Corée même à l'improviste !
La précédente collaboration Eric Lartigau Alain Chabat avait donné l’excellent « Prête moi ta main ». #jesuisla se dirige moins vers la comédie pure mais montre un joli portrait d’un homme qui s’est perdu lui même et qui va se retrouver en se perdant réellement dans un pays lointain. C’est aussi une jolie réflexion sur les relations virtuelles et sur les illusions qu’elles engendrent. Mais aussi le fait que d’être hyper connecté donne finalement une tendance à s’auto centrer et à perdre le lien avec ses proches. C’est parfois un peu simpliste mais c’est par moment touchant grâce notamment à Alain Chabat qui fait une nouvelle fois preuve d’une belle sensibilité.
Film fade. On cherche de saisir l'essence du film qui est inexistante. Le type qui ne sort pas de l'aéroport parce qu'il a peur di vivre, c'est une idée banale qui est au centre du film. D'ailleurs qui a fait ce film ne connaît absolument pas la culture coréenne. À éviter.
Un film sans queue ni tête... Ca démarre pourtant bien mais le film s'embourbe en plein milieu en tentant un remake du "terminal" avec Tom Hanks mais c'est insipide, c'est un fiasco. La fin nous laisse sans voix : "tout ça pour ça ?!". #jesuispasla
Si retrouver Alain Chabat reste toujours un plaisir, grâce notamment à sa transpirante bonhomie (appelons cela le talent), l'histoire est d'une superficialité majeure. Manque de rythme, personnages sans aspirités... Si j'eus voulu m'informer sur les charmes de la Corée du Sud, un bon documentaire aurait été de bien meilleur aloi.
Film vague, sans réel intérêt, ni histoire. Inclassable ? Une originalité pas désagréable qui attirera surement un certain public. 2 étoiles. ----Février 2021----
Un français perdu dans Séoul recherche une femme avec qui il échange sur Insta, l'idée est belle, Chabat est toujours aussi attachant et les incrustations numériques sont habilement utilisées mais les gags et les dialogues ne sont pas très drôles et la fin décevante.