Avis : Rollerball - Page 4

Un thriller sur le monde du sport et du spectacle juste mauvais et ridicule , aucune sympathie qui pourrait laisser un côté agréable . Remake d'un vieux film de Norman Jewison avec James Caan , le scénario raconte l'aventure puis la rébellion d'un sportif américain venu jouer a un sport limite mais prospère en Aise avant de découvrir la corruption et la violence de ce sport , une histoire propice a une vision réaliste et choc sur la corruption dans la société mais au final , c'est juste un schéma répétitif et lassant qui ne fait que rabacher une morale lourde et guimauve, avant un final au sommet du ridicule... Venu de la saga "American Pie", Chris Klein utilise sa belle gueule pour avoir la classe mais oublie la base du jeu d'acteur , alors que Jean Reno fait vraiment pitié dans un rôle pitoyable et c'est triste pour un acteur de son rang. Avant son dernier (pour le moment) et très bon film "Basic" , John McTiernan s'attaque a ce remake avec l'envie de créer un univers nouveau et punk mais c'est plus indigeste et hypnotique que réussi , et c'est bien dommage.
Un remake pathétique et répétitif , parfois ridicule mais très souvent lourd .

Les matchs (les combats plutôt) de ROLLERBALL (d'une violence rare) sont magnifiquement filmés et le sentiment d'être plongé dans l'arène au milieu de ces gladiateurs des temps modernes est excellent. Hélas, un film qui a fait froid dans le dos des critiques... Allez je l'encourage !!!

Très moyen. La mise en scène est complètement nulle. Par contre, c'est bien interprété et les scènes de Rollerball sont magnifiques.

C'est un film nerveux, avec un bon scénario qui n'a pas été totalement exploité. Par contre on regrette clairement le jeu de Chris Klein totalement fade et sans finesse.

Le chef d'oeuvre d'anticipation de Jewison méritait peut être un dépoussiérage, mais certainement pas cette daube décérébrée. Ici plus de côté épique, ni de charisme des personnages, ni même de talent de la part d'un Mac Tiernan complètement à côté de son sujet. Sur une "musique" hard rock indigeste et assourdissante, on suit les matches peu passionnants de l'équipe de Jonathan E. avec un semblant d'intrigue en toile de fond, tout ça sous les yeux d'un Jean Reno caricatural au possible dans son rôle de big boss véreux. Passons notre chemin et revisionnons à l'infini le Rollerball original et son James Caan en état de grâce.

Remake inutile; je vénère Mc Tiernan pour ses Die Hard, Last Action Hero ou autres... Mais là, l'original interprété par le géant James Caan reste loin devant, tres loin...Comme quoi, le remake d'un film culte fait par un realisateur de films cultes ne marche pas tout le temps.

Remake d'un film qui n'était déjà pas un chef d'oeuvre absolu, cette nouvelle version est un film bien bourrin au montage à la hache, certes sur vitaminé mais sans réelle fluidité,. Le scénario est ultra pauvre et on sent que les très nombreuses coupures pour passer l'obstacle de la censure américaine rendent ce film incomplet, fade et ennuyeux. Jean Reno trouve là un des films où son jeu est le plus ridicule et la très belle Rebecca Romijn ne sauve rien de ce spectacle désastreux.

Ce remake du film de Norman Jewison était l'occasion de renouveler le genre au goût du jour et de rehausser le CV d'un John McTiernan détruit après l'odieux charcutage opéré sur Le 13ème Guerrier. Malheureusement, l'expérience se réitère ici honteusement, les producteurs coupant scènes sur scènes, rajoutant des plans aberrants nuisant à l'équilibre du métrage, proposant des stars issues des récents teen-movies et balance le tout dans un fouillis désastreux... Car Rollerball s'avérait bigrement intéressant, exemple-type du remake bienvenu dépoussiéré pour les années 2000, avec ce qu'il faut d'action et d'effets spéciaux pour faire oublier la petite ringardise qui a enseveli le film original. Hélas, si l'intention est là, bien présente, aussi bien dans le scénario que dans la volonté de moderniser le look du film, le résultat est tout aussi ringard que son prédécesseur. Certes, les fameux matchs de rollerball restent sympathiquement bourrins mais également peu cohérents, n'empêchant aucunement le scénario, pourtant intéressant, d'être laborieux. Le tout est donc assez indigeste, la faute à des costumes ridicules (certains semblant même échappés d'un mauvais sentaï), la musique du pourtant doué Éric Serra n'est jamais correctement placée sur les images et les nombreux incohérences au niveau du montage nous font enchaîner les facepalms à une vitesse ahurissantes. Entre faux-raccords par dizaines et ces plans fixes remplacés immédiatement par un autre (du jamais vu), on se demande ce qui a bien pu passer par la tête des producteurs sur la table de montage. Regardable mais aussitôt oublié, Rollerball est la nouvelle preuve que Hollywood ne veut plus de John McTiernan.

Sainte Marie Mère de Dieu, comme dirait ma mémé.
On peut se tirer sur la quique tant qu'on veut sur le Maiiitre McTiernan (un maitre qui a la particularité d'avoir pondu plus de daubes et de films tout juste passables que de chef d'oeuvres (le premier Die Hard demeurant l'un des films devant lequel je génuflexerai jusqu'à la mort)), mais il faut faire preuve d'une sévère mauvaise foi (ou avoir une fourchette en plastique en lieu et place du bon sens)pour trouver des circonstances atténuantes à cette chose.
Alors oui, cette phrase et trop longue et il y a trop de parenthèses. MAIS! Qu'on ne vienne pas me refaire le coup du "c'est la faute aux producteurs, c'est la faute au projections test, c'est mon chien qui a mangé mon devoir, tanani tanana".
Déjà, ça fait trois fois que papa MacTiernan nous chante le même air, et ça commence à se voir, quand même.
Et surtout, on a beau le prendre par tous les bouts possibles et imaginables, c'est-juste-tout-pourri; jeu d'acteur, montage, cadrage (oui), jusqu'au sound design (et je ne parle pas que du fabuleux -et culte- BOING de cartoon des années 50 qui surgit de nulle part, au milieu d'une séquence hallucinante en night vision cache misère foirée -un peu comme quand on étale la tache qu'on essaye de faire partir-). Bref c'est époustouflant. A regarder comme on regarde un car rempli de scouts plonger dans un ravin.

Si vous voulez achever un film avec un scénario complétement bidon n'offrant que des scénes d'action molles et qui de plus est tiré d'un remake.Mettez Jean Reno en méchant dedans et le tour est joué.Le grand maitre McTiernan blasé de toutes ces productions qui lui offre des commandes sur lesquelles méme le public ne miserait pas un copeck décide de se tourner les pouces et nous salope un film avec un scénario déja nul avec des scénes super mal tournées dont une est tournée en camera infrarouge ce qui est du déja vu mais faudrait se demander pourquoi parce que c'est nul,ca n'a aucun interet.Le spectacle n'est méme pas au rendez-vous sauf peut-étre pour les fans de Hard Rock.

Film assez moyen dans l'ensemble, le scénario tient sur du papier cigarette mais on peut quand meme se laisser porter par les matchs de rollerball somme toute très violent.
Jean Reno n'apporte quasiment rien au film par contre la belle rebecca oui ^^

j'aimerai bien savoir pourquoi un bon réalisateur comme john Mctiernan s'est lancé dans un tel projet ? Au final, on obtient un remake aussi mauvais qu'inutile avec un Chris Klein aussi charismatique qu'une huite et un Jean Reno ridicule avec son accent russe. Tout le film n'est qu'une vaste blague par rapport à l'original et je me demande qui a eu l'idée de tourner avec des cameras infrarouges nous donnant une image verte vraiment trés laide ?

Non mais, sans déconner, c'est quoi cette bouse infâme ?? Pourtant, je suis bon public, mais là, non... Passé l'intro un peu fun avec la descente en pseudo-skeleton, on comprend plus rien, et pourtant on est pas si con, non? Parce que finalement le film est tellement vide d'enjeu, ma fichu, mal défendu, mal présenté, et surtout, mal monté, que tout est creux, naze : on s'en fout et on a jamais envie de savoir la suite. Rien n'est bien amené donc. Et avec un doublage VF tout pourri, ça achève cette grosse daube. Pourtant, Jean Reno semble y croire, malgré une composition grand guignolesque mais plutot convaincante (un comble !). Mais qu'on fait les producteurs en charcutant tout ça??

Peut-on dire qu'il est bien ? Rien qu'en voyant l'affiche j'avais des prédictions, et bien c'était les bonnes. Tout l'intérêt du film se porte dans un jeu futuriste où on ne comprend pas même les règles. Il y a plus de sang que de génie, les acteurs sont niais et pas interessants. Reste Jean Réno, le 'petit' français qui a de la renommée, mais j'aurais jamais cru que cette renommée allait lui faire jouer un tel rôle. C'est pour l'argent qu'il a accepté ? Il reste une étoile pour le divertissement, car, même si c'est un navet, il reste une chose que je peux dire de positif : Je n'ai regardé ma montre qu'une seule fois.

Rollerball n'est pas exant de défaut certes mais quand on connais le bohnomme derriere la camera on se dit que ce n'est pas de sa faute mais de celle de producteur trop frilleux et paniquer a l'idée de produire un film aussi ambitieux et rentre dedans comme celui ci, il ont donc décider de couper 30 minutes du métrage ce qui ne le rend pas plus doux pour autant. Car Rollerall est une oeuvre forte, violente politiquement incorrectes et sans consession. McTiernan nous montre le monde comme il est, c'est a dire avide de sentation forte, de pouvoir et d'égoisme) tout en prenant soin de renvoyer a la gueule du spectateur ses fantasme les plus primaire dans une mise en scene virtuose a l'image de la poursuite filmé en vision de nuit. On pourra toujours chippoté sur le casting fort peux glorieux, Rollerball est une bombe monumental qu'il faut déffendre contre vent et marré pour évité que le 7eme art ne tombe dans le grand guignol formaté, censuré et asseptiser, car rarement aura t'on vu film d'action aussi spectaculaire qu'intéligent et ca ca fait plasir.