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    Falling
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    105 critiques spectateurs

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    Ufuk K
    Ufuk K

    466 abonnés 1 402 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mai 2021
    " Falling" première réalisation de Viggo Mortensen est un drame britannique touchant. En effet même si j'ai trouvé le scénario assez académique et quelques longueurs, l'histoire s'intensifie au fil du temps , le réalisateur nous décrypte la relation difficile entre un père et son fils sur des décennies , le film évoquant des thèmes forts comme la déchéance, l'homosexualité, les relations familiales difficiles avec des séquences fortes entre Viggo Mortensen et Lance Henriksen.
    pierrre s.
    pierrre s.

    352 abonnés 3 237 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 octobre 2020
    Vu grâce au Club 300.
    Une première réalisation subtile et inspirée dans laquelle Viggo Mortensen s'investit à 300% (interprétation, réalisation, production, écriture , montage et musique!!!) Un beau travail, sur une histoire proche de l'autobiographie. On regrettera seulement que le personnage de Lance Henrisken soit si odieux qu'il finisse par devenir insupportable.
    lionelb30
    lionelb30

    387 abonnés 2 499 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mai 2021
    Film pas drôle sur la fin de vie entre un père autoritaire , réactionnaire et son fils sensible et homosexuel. C'est assez lent , il ne se passe pas grand chose au final et on s'ennuie assez rapidement.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 198 abonnés 7 235 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 mai 2021
    Willis, père de famille, veuf et atteint de démence sénile, vit reclus dans sa ferme familiale. Son fils John aimerait qu’il s’installe en Californie où il vit en couple avec Eric et leur fille adoptive. Mais ce dernier ne l’entend pas de cette oreille et reste englué dans une époque révolue et ses souvenirs désuets.

    Falling (2020) est le premier long-métrage de l’acteur Viggo Mortensen qui nous plonge au cœur des tourments d’une famille déchirée entre un père acariâtre & conservateur et un fils homosexuel. La confrontation entre les deux est constamment électrique, d’un côté le monde rural et rétrograde et de l’autre, un fils gay & progressiste. Basé sur un scénario qu’il a lui-même écrit, si le film n’est pas autobiographique comme il l’a annoncé, néanmoins, ce dernier s’inspire tout de même de certains éléments de sa vie personnelle.

    S’il faut bien admettre que cette première réalisation s’avère imparfaite (et épuisante), il faut aussi reconnaître que le film laisse entrevoir les talents insoupçonnés de metteur de scène de Mortensen. Cette chronique familiale ne joue pas sur la corde sensible et ne s’avère pas larmoyante (fort heureusement) et nous entraine entre passé & présent, au cœur d’une famille déchirée et où l’accompagnement (dans leurs vieux jours) des êtres aimés (ou que l’on a aimé), quels qu’ils soient et quoi qu’ils aient pu faire, n’est pas toujours chose aisée. C’est en cela que Viggo Mortensen a su parfaitement le retranscrire, magnifié par la présence glaçante d’un Lance Henriksen bluffant (80 ans, ça force le respect !) et des seconds rôles tout aussi séduisants, entre le suédois Sverrir Gudnason & la canadienne Hannah Gross. A noter aussi, la présence aussi surprenante qu’inattendue de David Cronenberg (dans le rôle du proctologue).

    Une histoire tragique & irréconciliable (comment aimer un père qui ne vous a jamais aimé ?), portée par de formidables acteurs mais dont la mise en scène s’avère trop répétitive et accuse d’une certaine lourdeur dont on se serait bien passé.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    Lo De
    Lo De

    13 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 mai 2021
    thème déjà 1000 fois vu ! aucun intérêt car scenario vraiment pas original, même si bon jeu d'acteurs.
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    80 abonnés 280 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 mai 2021
    Levé 6h30 pour être prêt à temps, sûr et certain d’inaugurer cette ré-ouverture des cinémas dès 9 heures du matin. Ce qui équivaut pour moi à une re-naissance. J’ai bien cru que ces 7 longs et interminables mois absolument stériles n’auraient jamais de fin.
    Doublement Pfizerisé, quel bonheur de voir autant de monde devant les caisses du cinéma pour ce rendez-vous. Quel plaisir incommensurable d’être assis devant une image qui me dépasse, un son qui m’englobe, une obscurité qui me protège. Mes yeux ont une soif de lumière, de profondeur de champs, de zoom (ah non par pitié ….plus jamais de ZOOM), de travellings, de champs-contre champs…. J’ai donc vu « Falling » premier film de l’acteur Viggo Mortensen qui pose une question pas souvent traitée au cinéma et encore moins dans le cinéma américain : comment accueillir chez soit son père vieillissant et malade (un cancer en plus d’alzheimer) quand celui-ci est raciste, homophobe, misogyne, violent, chasseur et Républicain alors que l’on est homosexuel et en couple avec un asiatique. Le film est magnifiquement joué par Viggo Mortensen himself et surtout par Lance Henricksen dans le rôle de l’affreux jojo inextinguible. Ce premier film aux ambitions plus que louables veut trop en dire et est par conséquent trop souvent répétitif et démonstratif sans faire jamais avancer la situation. Chacun est enfermé dans son rôle tout au long des très très nombreux flah-backs qui nous montrent surtout que la situation de conflit est la même depuis 40 ans spoiler: et qu’elle n’évoluera jamais
    . Le spectateur a du mal à développer de l’empathie pour ces personnages tétanisés devant ce monstre d’égoïsme et de bêtise… Viggo Mortensen ne fait pas assez confiance à son sujet et paralyse l’émotion par son montage trop voyant et des plans malickiens inutiles sur une campagne américaine qui seule sait être apaisée et silencieuse.
    1890woundedknee
    1890woundedknee

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 mai 2021
    très caricatural, bien pensante, et finalement très politique , les démocrates bien pensants face aux républicains réactionnaires, machos, non tolérants
    DADOUISMAEL
    DADOUISMAEL

    5 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 mai 2021
    De l'ennui à subir durant tout le film l'absence de réaction d'un entourage face à un parent tyrannique
    Christophe. G
    Christophe. G

    4 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 janvier 2022
    Une pure merveille cinématographique.

    Un duo entre Viggo Mortesen et Lance Hericksen, une relation contreversee entre un père et son fils. Le film est fait de flash-back sur leur vie.
    La principale attraction du film est sans contexte le personnage du père complètement dément , odieux et réac envers tout le monde même sa propre famille. , homophobe, à la fois inquiétant et émouvant il est parfois amusant.
    Christoblog
    Christoblog

    743 abonnés 1 616 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 mai 2021
    Le premier film de Viggo Mortensen est pétri d'intentions louables : dresser le portrait d'un père qui approche de la fin, montrer le rapprochement de celui-ci et de son fils qui a évolué dans un milieu totalement différent, donner à voir la beauté de la nature américaine, faire ressentir au spectateur la fine trame du temps.

    Bien sûr, rien de bien nouveau dans ces objets déjà largement abordés, mais Mortensen parvient à y apporter une petite touche personnelle qui rend le film aimable au premier abord, et qui tient principalement dans sa placidité d'adulte gay, résigné face aux attaques homophobes de son facho de père.

    On est donc d'abord plutôt séduit par Falling, même si la multiplicité syncopée des flash-backs donnent un peu le tournis. Malheureusement, le film stagne assez vite : son propos ne progresse plus vraiment, la trame temporelle nous égare un peu plus, et surtout le personnage du père devient tellement détestable que l'amour de son fils finit par nous échapper. Même si on déteste le personnage, il faut reconnaître que la performance de l'acteur Lance Henriksen est incroyablement forte dans le registre sexiste, machiste, violent, raciste et réac.

    Un film à connotation autobiographique, honnête et parfois touchant, mais dont la longueur et le manque d'originalité érodent à la longue notre curiosité. A noter un cameo amusant de David Cronenberg en médecin proctologue.
    Cinememories
    Cinememories

    440 abonnés 1 433 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mai 2021
    La précision et la maturité sont les outils les plus convaincants de cette première réalisation, où Viggo Mortensen trouve l’équilibre idéal pour s’adonner à l’exercice de metteur en scène, qu’il appréhende avec une grande sincérité. Sa remarquable carrière parle de son engouement pour les récits introspectifs et il finit par se noyer dans une autopsie familiale, la même qui l’a emmené jusqu’ici depuis le décès de sa mère. L’idée étant de renouer avec un paternel, en proie à la démence et au conservatisme rigide, mais que l’on ne condamne aucunement. L’honnêteté du sujet réside dans les diverses madeleines de Proust, que le cinéaste convoque avec brio et d’une délicatesse à en partager les charges morales. Une relation père-fils devient ainsi l’objet d’étude d’hommes de la maison et d’enfants de la nature, car il reste toujours une place pour ceux qui ont encore la force de guérir le passé.

    Mortensen incarne ainsi John, dont la vie est le portrait progressiste d’une ’Amérique qui évolue aujourd’hui avec crainte. Nous pouvons lire autant de divisons dans une nation qui pourrait bien se répartir entre deux catégories, ceux qui appartiennent aux piliers du passé et ceux qui en bâtissent de nouveaux et sur-mesure. Ce fils, pour qui l’enfance a été l’épisode de tout son bonheur et de toute sa déception, tente alors de se rapprocher de son père Willis (Lance Henriksen). La communication n’est pas furtive lorsqu’on devient son interlocuteur et il ne mâche pas non plus ses mots pour accentuer son caractère antipathique. Et pourtant, malgré les bourrasques qu’il génère, il est soumis à la gravité et à la puissance de ses émotions, qu’il a longtemps redoutées. La grande focale est souvent réquisitionnée dans les basculements soudain de l’ermite, fluidifiant ainsi les allers-retours avec le passé, justifications incontestables des plaies qu’il porte encore dans ses complaintes. L’œuvre convoque ainsi la lucidité et la sensibilité du public à comprendre les maladresses du vieillard contemporain, en décalage avec son époque, que même que du jeune père de famille, dont l’instinct primitif ne gagne pas toujours à couver l’amour de ses enfants.

    On ne cesse de chercher quelque chose à sauver, quelque chose à réconcilier avec un présent, qui déborde de mondialisation et de modernisation à ne plus savoir quoi en faire. Chaque parti devrait faire l’effort d’accepter l’autre pour ses vertus, parfois rendues illisibles dans le sillage de désaccords. Mais le conflit est évitable et semble-t-il n’avoir jamais émergé pour la fleur adoptive qu’est Monica (Gabby Velis), héritage et connexion symbolique, voire universelle, entre deux univers. D’autres viendront ainsi se greffer autour de la douleur que les aînés finissent par transmettre malgré eux. Les points de vue convergent toujours vers Willis, véritable succès et volcan d’émotions de cette poignante aventure. Sarah (Laura Linney) a préféré la fuite pour s’opposer au mieux aux registres du paternel impulsif et spontané, chose qu’il est difficile à encaisser, mais qu’il convient de chérir, avant que le deuil ne revienne hanter le paysage d’une ferme en ruine et qui constitue un socle solide des méandres sentimentaux.

    Comme les premiers pas d’un nouveau-né, Mortensen remonte le temps pour mieux s’épanouir et pour mieux affiner son approche de la mise en scène. Côté direction de comédiens, il parvient à légèrement s’effacer pour laisser son entourage exploser au cœur d’un propos, à la fois personnel et d’actualité. « Falling » encourage ainsi à lâcher prise et à laisser les émotions déborder de la baignoire, pour enfin rompre l’ambiguïté embarrassante d’un fils aimant et d’un père qui l’est tout autant. Nous pourrions trouver la manœuvre répétitive, avec la simple idée de combler les lacunes avec la meilleure des volontés, mais ce sont autant de fragments de vie qui nous habitent et qui nous ramène à nos regrets, nos erreurs et nos responsabilités.
    gabdias
    gabdias

    75 abonnés 1 750 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 avril 2021
    Première pour Viggo Mortensen qui passe derrière et devant la caméra pour un poignant témoignage familial avec sa relation difficile avec son père homophobe, raciste, réact et conservateur. C’est poignant et vif sur la vie de famille et une réflexion sur la vieillesse. Sélectionné à Cannes et à Toronto et une première réussite pour Viggo.
    Didier C
    Didier C

    20 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 mai 2021
    Quelques longueurs sur des plans ”nature” qui ne servent pas particulièrement le film, mais des acteurs qui donnent tout, quelques répliques qui font rire (jaune). Les dialogues justifieraient un classement -12 ans.
    Le film suivant de V. Mortensen sera sûrement encore meilleur.
    Yves G.
    Yves G.

    1 292 abonnés 3 296 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mai 2021
    John (Viggo Mortensen) a la cinquantaine bien entamée. Il vit aujourd'hui en Californie avec son mari et avec leur fille adoptive. Il a été élevé dans les années soixante dans une ferme isolée de l'Etat de New York par un père violent et par une mère soumise. Ses parents se sont séparés ; sa mère est morte ;  mais son père, Willis (Lance Eriksen), est toujours vivant.
    Le vieillard, solitaire et aigri, rumine sa misanthropie. Bien qu'il ait souffert de son ingratitude sa vie durant, John prend sur lui de la lui pardonner.

    Vous aimez les feel good movie ? N'allez pas voir "Falling". C'est un film âpre, dur, dont on ne ressort pas indemne. Est-ce en raison des déchirures familiales qu'il décrit ? ou des patronymes scandinaves de ses deux principaux acteurs ? J'ai pensé au Bergman de "Scènes de la vie conjugale" et de "Cris et chuchotements".

    Le film joue sur deux temporalités. La vie contemporaine de John et son père est éclairée par de longs flashbacks qui racontent l'enfance du jeune homme dans cette ferme qu'on dirait intemporelle, noyée dans un hiver qui semble ne jamais devoir s'interrompre.

    "Falling" se prête aisément à une lecture politique. C'est deux Amériques qui s'affrontent : celle de John, californienne et gay friendly vs. celle de Willis, machiste, homophobe, rurale, le doigt sur la gâchette. L'action se déroule en 2009 juste après l'élection d'Obama - dont John arbore fièrement le portrait dans sa cuisine tandis que bien sûr Willis, qui le traite de "n***", l'a en détestation. Elle pourrait tout aussi bien se dérouler dix ans plus tard et mettre face à face pro- et anti-Trump.

    Mais "Falling" est avant tout un drame familial poignant. Sans se presser, avec un classicisme qui n'est pas sans rappeler la manière de filmer de Clint Eastwood, Viggo Mortensen dont c'est le premier film est allé sonder les recoins les plus sombres de sa propre bibliographie pour raconter cette histoire. Il s'en est expliqué, dans un français impeccable, aux spectateurs du Forum des Images venus le regarder en avant-première l'avant-veille du couvre-feu en octobre 2020. J'avais le privilège d'en être. Merci monsieur Mortensen !
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    151 abonnés 1 725 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 octobre 2020
    Une belle exclue découverte hier grace à AlloCiné Club300 en la présence de Mr Mortensen. Brillant jeux d'acteurs (chapeau à Lance qu'on prend plaisir à revoir et jouer ainsi). Viggo est surprenant à la barre de son premier film. Dommage que le film ne soit pas beaucoup plus personnel. Les personnages sont très (trop) fictifs. Un certain message politique (pique sur Obama, couple homosexuel ayant adopté une petite fille contraste avec le personnage de Lance). Pas un chef d'oeuvre, mais un film réussi.
    merci encore aux organisateurs du club300 et au forum des images
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