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    Emma.
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    Marc L.
    Marc L.

    40 abonnés 1 487 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 octobre 2020
    La dernière fois, c’était Thomas Hardy. Cette fois, c’est donc au tour de Jane Austen, en attendant une prochaine adaptation des soeurs Brontë : le film patrimonial britannique tourne peut-être en circuit fermé mais il est difficile de se lasser de ce genre d’adaptations tant elles affichent un côté universel : Prenez ‘Emma’, par exemple : le fonctionnement même de la Rom’com américaine comme du Drama coréen sont toute entières contenues dans ce boquin publié en 1815. Voyez plutôt : Emma Woodhouse dissuade sa dame de compagnie Harriett d’épouser le fermier Robert Martin, estimant que le pasteur Elton lui conviendrait mieux. Mais Elton ne feint l’intérêt pour Harriett que pour approcher Emma, ce qui suscite la jalousie silencieuse et réprobatrice de George Knightley, ami de la famille Woodhouse. Emma ne remarque de toute façon ni les approches de l’un, ni les piques de l’autre, entièrement occupée à imaginer l’invisible Frank Churchill, qu’elle estime possiblement digne de son rang et à persifler sur l’arrivée de la cousine Fairfax. Si j’ai bien compté, on est dans un heptagone amoureux et pour info, le célèbre ‘Clueless’ de 1995 était simplement la version Beverly Hills de ‘Emma’. Cette adaptation n’est pas littérale, ceci dit : le roman avait également pour vertu de décrire avec précision la vie dans un village de province anglais à l’aube du 19ème siècle et de fonctionner comme une enquête, le lecteur n’étant mis au courant que de ce que voit, pense et interprète l’héroïne (qui a généralement le nez dans le guidon), et cette particularité se ressent finalement assez peu à l’écran. A deux siècles d’écart, ce n’est peut-être plus non plus l’indépendance d’esprit et la liberté de ton qui caractérisent la jeune femme, qui agit bien souvent comme une péronnelle écervelée. Néanmoins, en dehors de l’intérêt propre au récit, dans ce créneau patrimonial qui dégage souvent un légère odeur de naphtaline, ‘Emma’, par ses couleurs, par ses dialogues, par la manière dont ses acteurs jouent, dégage une bonne humeur communicative et une légèreté qui lui confère une imperceptible petite touche de modernité.
    Alasky
    Alasky

    286 abonnés 3 082 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 avril 2020
    Sympathique mais pas incontournable selon moi, ce film vaut surtout par son esthétique extrêmement soignée, sa lumière, ses ombres, ses plans parfaitement maîtrisés, et que dire des couleurs, des pastels utilisés avec brio. Belle incursion dans l'aristocratie anglaise, où les protagonistes sont tous élégants et hauts en couleurs. Anya Taylor-Joy incarne une Emma exquise et convaincante.
    selenie
    selenie

    5 450 abonnés 6 017 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mai 2020
    Enième adaptation d'un roman de Jane Austen, mais un premier long métrage de la réalisatrice et de la scénariste. L'écrin de cette fable sur les moeurs aristocrates est enveloppé d'une fantaisie acidulée pleine d'élégance et de délicatesse, ce qui n'empêche pas quelques joutes verbales savoureuses. Par contre, la première partie est un peu étouffée par une musique trop forte, un peu trop envahissante au style qui appuie le fait qu'ils 'agit d'une comédie satirique qui, heureusement, s'atténue au fil du récit. Les dialogues sont aussi succulent que vénéneux, passant du plus charmant au plus cinglant même si on reste constamment dans le plus délectable des marivaudages. En tous cas un premier film inspiré qui se déguste comme une gourmandise. A conseiller.
    Site : Selenie
    Kubrock68
    Kubrock68

    34 abonnés 1 209 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 janvier 2021
    Une jeune femme de l'aristocratie déploie une discrète arrogance autour d'elle. Tiré d'un roman de Jane Austen, le film décrit les milieux les plus aisés de l'Angleterre du 19ieme avec leur flegme, leur retenue qui les caractérisent encore. L'héroine éblouissement interprétée retient notre attention dans son parcours personnel et social. On est là face un modèle de scénario tout en rebondissements et subtilités. Un grand film.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 415 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 juillet 2020
    J'ai adoré le look de Emma de la bande-annonce et je n'ai pas été déçu. C'est un morceau tout simplement sublime de divertissement comique. Emma Woodhouse (Anya Taylor-Joy) est une riche et privilégiée de 21 ans qui s'occupe de son père âgé et excentrique (Bill Nighy) dans la majestueuse maison familiale. Elle n'a jamais aimé malgré la présence persistante de l'ami de la famille George Knightley (Johnny Flynn). Mais trouve amusant de s'engager dans le jumelage en particulier en ce qui concerne son amie de classe un peu inférieure Harriet Smith (Mia Goth). Emma a de grandes ambitions pour Harriet des idées bien au-dessus de ce que sa position sociale et son apparence pourraient suggérer. Emma a ses vues sur un homme mystérieux Frank Churchill (Callum Turne). Elle ne l'a jamais rencontré mais est obsédée par son mythe. C'est un jeu délicieusement amusant et parfois ridicule. Visuel : S'il s'agissait d'un gâteau, Emma serait le nouveau gâteau à la crème au beurre le plus digne de ce nom. Chaque scène a été tournée de manière absolument magnifique et avec tant d'attention aux détails. Les couleurs douces et les jolis paysages donnent à chaque prise de vue ce à quoi nous souhaitons tous que nos photos de mariage ressemblent. Dans l'ensemble je dirais que c'est un film exactement comme il se doit...
    Jorik V
    Jorik V

    1 197 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mars 2020
    Pour son premier film Autumn de Wilde choisit d’adapter un roman de l’illustre écrivaine Jane Austen, une auteure que le septième art aime vu le nombre d’adaptations de ses œuvres portées sur grand écran. Et un art qui le lui rend bien, les films étant en général de bonne qualité. On pense notamment au célèbre « Orgueil et préjugés » de Joe Wright mais surtout à « Raisons et sentiments » de Ang Lee et sa pluie de récompenses. Il y a même des détournements de son œuvre au cinéma avec le teen-movie culte « Clueless » ou en mode Bollywood contemporain avec « Coup de foudre à Bollywood ». « Emma. » est la seconde adaptation du roman éponyme après « Emma l’entremetteuse » avec Gwyneth Paltrow et Toni Collette, encore peu connues à l’époque puisque c’était il y a près de vingt-cinq ans. Et ces deux versions se valent, sympathiques mais pas inoubliables en comparaison à d’autres adaptations. « Emma. » version 2020 étant juste visuellement plus contemporaine et un tantinet plus vacharde que son aînée des années 90.



    Il faut avouer dès le départ qu’on a du mal à rentrer dans le film car la mise en route de l’histoire est plutôt laborieuse. En effet, « Emma. » commence vite sans véritable prélude et nous noie sous un déluge de personnages et de noms qu’il nous est bien difficile à assimiler. On s’y perd et cela dure près d’un tiers du long-métrage, ce qui est tout de même préjudiciable puisque notre esprit est un peu confus une bonne partie du film. Il est donc relativement difficile de l’apprécier pleinement dans le sens où les atermoiements amoureux vécus à l’écran semblent opaques. Et par là même de se délecter des joutes verbales et des beaux textes de l’écrivaine puisque notre esprit est davantage préoccupé à saisir qui fait quoi et pourquoi. Il y a également quelques personnages dispensables tels que la sœur de l’héroïne et son mari qui ne font que passer et alourdissent encore la charge de protagonistes à identifier. La fidélité au livre est donc ici un boulet plus qu’une gageure, car il est plus facile de prendre le temps de comprendre et d’assimiler des tenants et aboutissants ainsi que des noms à la lecture qu’en regardant un film où l’on ne peut revenir en arrière.



    Mais « Emma » fait partie de ces œuvres qui se bonifient non pas avec le temps mais sur la durée. Une fois passé cette pénible petite heure on prend plaisir à suivre ce délicieux marivaudage victorien où les coups bas sont légers mais les rebondissements nombreux. Les joutes verbales sont fréquentes et plaisantes et les acteurs s’en donnent à cœur joie, dans des postures et situations volontairement ridicules pour nous (donc drôles). Anya Taylor-Joy sort de ses rôles bizarres et/ou torturés et convainc en entremetteuse ingénue. Le reste du casting est du même acabit avec un Bill Nighy en père hypocondriaque et Josh O’Connor, révélé en gay refoulé dans le drame campagnard « Seule la terre », tous deux très drôles en seconds rôles. On apprécie donc sans problème « Emma. » sur le tard surtout que la reconstitution d’une petite ville d’Angleterre du XIXème siècle, des décors aux costumes en passant par les accessoires est en tous points parfaite. Tout comme la mise en scène de la néo-cinéaste qui alterne beaux plans larges et champs-contrechamps habiles avec maestria. Dommage qu’on ne puisse apprécier ce film en costumes dès le départ par manque de clarté narrative.



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    Redzing
    Redzing

    924 abonnés 4 297 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 septembre 2021
    « Emma » fait partie des romans de Jane Austen les plus adaptés, allant de téléfilms de la BBC jusqu’à des versions cinémas, en passant par sa relecture californienne avec Alicia Silverstone ! En 2020, le cinéma a-t-il encore quelque chose à apporter à l’univers de Jane Austen, et vice-versa ? A l’image du point adjoint au titre « Emma. », Autumn de Wilde cherche à répondre par la positive, voulant ajouter des éléments rafraichissant à cette adaptation. A noter que de manière beaucoup plus pragmatique, la réalisatrice a expliqué ce curieux choix de ponctuation dans le titre par un jeu de mot tout à fait banal. En effet, le point (period en anglais) signifierait tout simplement que l’on est dans un film d’époque (period film en anglais) ! Bref, revenons au film… Le souci de l’intrigue du roman « Emma » est que la protagoniste est très antipathique. Une jeune femme immature, jouant les entremetteuses en manipulant un entourage crédule, et qui va se prendre ses propres rouages en pleine figure. Un handicap pour la plupart des adaptations, où l’on a du mal à s’attacher à cette marquise de Merteuil juvénile. « Emma. » cuvée 2020 saisit justement à bras ouverts le caractère antipathique du personnage, pour mieux dresser une satire acidulée de l’aristocratie de l’époque. Interprétée par une froide Anya Taylor-Joy, Emma est donc ici des plus calculatrices et implacables, avec une vision sans concession de l’ordre social. Néanmoins cela vient surtout de son immaturité, et du fait qu’elle n’a pas encore vu ou éprouvé de vrais sentiments. Elle changera en se rendant compte de ses propres émotions et de celles des autres. Tout cela est enrobé dans un univers proche d’une féérie qui masquerait un cauchemar. Musique classique, gros plans sur des visages souriant à l’excès, dialogues très polis, jeux de couleurs pastel extrêmement travaillés, costumes très élaborés, domestiques à la botte du moindre caprice, touches d’humour chez de vieux riches déconnectés… alors que les coups tordus et les cœurs brisés sont légions. A l’image de l’hypocrisie de l’aristocratie, on sent que toutes ces apparences sont prêtes à exploser pour révéler la vraie nature des personnages. Une explosion qui ne surviendra pas, l’adaptation restant fidèle à son matériel… et à une époque et un milieu relativement rigide. « Emma. » est ainsi une nouvelle version intéressante, moins académique que certains de ces prédécesseurs.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 22 novembre 2020
    Une comédie-romantique très belle visuellement, mais qui est portée par une actrice principale insupportable et sans grand talent et des stéréotypes sexistes avec des hommes qui ne pensent qu'à coucher et des femmes qui ne pense qu'à faire cela. C'est trop eau de rose et vulgaire pour moi pour ne pas dire surjoué. Franchement, cette fois je suis déçu de la Working Title Films et Jane Austen doit se retourner dans sa tombe. Un nanar dans la lignée de La Favorite mais qui lui comportait trois grandes actrices de talent qui sauvée la mise, ici c'est du néant.
    lancelo25
    lancelo25

    30 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 octobre 2021
    Comparé à la bande annonce de la série « La Chronique des Bridgerton », ce film est un chef d’œuvre visuel et de subtilité mais sans cette comparaison, il reste de facture classique et convenue. Personnellement, je n’ai pas réussi à m’intéresser à l’héroïne que je trouve peu attachante, voire antipathique et dont le physique et la personnalité vantés par tous ses prétendants m’apparaissent comme sans charme et sans noblesse de cœur. Le choix d’une autre actrice aurait peut-être changé toute la portée et la crédibilité de ce film dont le jeu des acteurs secondaires reste aussi très théâtral.
    Cinememories
    Cinememories

    440 abonnés 1 432 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 août 2021
    S’il faut se rappeler dans un premier temps de la comédie pour adolescents « Clueless », cette adaptation du roman de Jane Austen ne souffre pas tant que cela du décalage temporel. Exit la bourgeoisie américaine des temps modernes et place à coquetterie britannique. On nous ramène ainsi à une époque où les relations naissent par nécessité ou par amour. Et quelques fois, les deux vont de pair, malgré une héroïne dont le code moral influe énormément sur son entourage, à l’image d’une société abasourdite par l’estime de soi. La photographe Autumn de Wilde s’emploie donc avec une certaine élégance dans une première réalisation plutôt bien transposée aux problématiques contemporaines. Mais ce jeu possède ses limites, car le second degré, fièrement entretenu par l’auteur n’est pas toujours bien mis en scène pour qu’on la comprenne et qu’on la ressente. Les émotions sont au cœur du débat et l’on n’avance jamais assez loin dans la narration pour les associer aux mœurs dont il est question.

    Le récit en oublie également une structure policière qui fait tout le charme de cette comédie. Le burlesque appelle un certain décalage que l’on trouve rarement, malgré un Bill Nighy affaibli. Mais toute l’attention se repose sur Emma Woodhouse, campée par une Anya Taylor-Joy rigoureuse. Chaque époque est divertie par une entremetteuse et celle-ci est loin de ressembler à un site de rencontre, du moins, dans cet élan dont on ne manipule pas l’énergie avec la finesse souhaitée. À force de tâtonner l’insouciance du personnage, qui ne se rend évidemment pas compte que ses actes résultent plus de l’antipathie que de la noblesse, on finit par jouer la même boucle tout le long. Parallèlement, la plupart des situations comiques ne font qu’effleurer le sujet. De plus, le réalisme ou la banalité du monde n’est pas toujours palpable si l’on omet les longues scènes de promenades. Le mouvement se révèle superficiel, car les angles parlent d’eux-mêmes. Doit-on y voir la staticité d’une société qui vit mal sa mutation ou juste un choix de mise en scène académique ?

    Tout ressemble à un défilé de maladresses, malgré quelques dialogues délicieux, mais qui n’ont pas l’occasion de marquer les esprits. Revenons-en alors au personnage, qui est loin d’être anecdotique qu’il n’y parait. Elle préserve le film d’une chute certaine, mais pas d’un dérapage, gage d’une première réalisation ambitieuse et dont les techniques s’affineront avec le temps. La foire aux célibataires s’annonce donc compromise par les caprices d’une bourgeoise idolâtrée pour ses résultats, mais pervertie par des conséquences irréversibles. Et c’est justement dans cette distance, régie par la hiérarchie des classes, que l’on trouve toute la teneur des thèmes explorés. Dommage que l’on cabotine dans un premier acte difficile à conclure, avant de rompre cette continuité bien connue des spectateurs aguerris. L’illusion n’est réussie que si elle a le sens du timing. Malheureusement, il s’agit d’un concept qui échappe à cette narration et à la notion de consentement.

    Hélas, « Emma. » n’est pas à la hauteur d’une adaptation complète, car l’exercice de style ne couvre que le décor, les couleurs vives des costumes et la photographie. Les bons points s’effacent donc petit à petit derrière de bons passages qui nous ramènent à l’Église et au mariage. Le dynamisme d’Emma se voit ainsi alimenter d’une aura de cruauté dont elle ne soupçonne pas l’existence et nous autres spectateurs, sommes témoins de ces moments qui convergeront inévitablement dans le doute. Entre ce que l’on pense connaître et ce que l’on apprend de nous-même, il existe un fossé qu’il faut combler avec de la confiance, chose que l’on redoute à travers les décisions d’hommes et femmes si imparfaits et donc si humains. Et s’il faut retenir un discours de cette balade incongrue, laissons-nous enchaîner un instant, le temps d’une danse qui synthétise toute la bêtise et la beauté de l’amour véritable, celui qui peut blesser.
    S5Clem
    S5Clem

    66 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 avril 2020
    Scénographie magnifique, comme les décors, les costumes et la BO. Le travail sur l’esthétique général du film est très flatteur. Les acteurs jouent tous excellemment, et plus particulièrement Anya Taylor-Joy qui incarne parfaitement l'époque. Plein de subtilité, doté d'un humour burlesque bien dosé, mais parfois un peu fouilli. Beaucoup de personnages étant d'abord présentés uniquement par leur nom, ça n'est pas toujours facile à suivre. Le scénario nous livre une critique gentille de la bourgeoisie du XIXe, de leurs "problèmes existentiels" de bons mots, de castes, et de l'Humain qui existe derrière le titre qu'on lui colle. Un scénario et des acteurs pleins de subtilité et de second degré dans leurs interprétations et mimiques. Du très bon divertissement
    Ciné-13
    Ciné-13

    93 abonnés 887 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 décembre 2022
    Photographie, Décors, Costumes, Paysages et BO opératique et illustrative : 4 étoiles
    Complexité de la trame avec ces joutes, ces manigances, ces rebondissements : 1 étoile de moins.
    Anya porte le film avec son joli minois et ses grands yeux écarquillés. Le personnage du pasteur en amoureux transi et mielleux est exceptionnel. Nous avons droit à une farandole de personnages haute bourgeoisie, de carrosses, de ballets, de danses, de mariages. C'est touffu, dense, un peu labyrinthique.
    Le + drôle : le patriarche qui craint les courants d'air sur ses genoux et qui s'entoure de paravents! (nous rappelle que le ton est parodique).
    En plus de la BO, on a droit à du HAYDN et sera du plus bel effet!
    ffred
    ffred

    1 501 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 février 2021
    Nouvelle adaptation du roman de Jane Austen. Aucun souvenir de la version avec Gwyneth Paltrow et Toni Collette. De belles images, de beaux costumes, de beaux décors mais je me suis un peu ennuyé. Connaissant le dénouement, cela s'explique sans doute. On retrouve les deux jeunes comédiens en vogue du moment, Anya Taylor-Joy (Le jeu de la dame) très bien dans le rôle titre, et Joshua O'Connor (The Crown) dans un second rôle. C'est frais, légèrement cruel (mais donc pas assez), joli à voir mais vite oublié.
    Matthieu C
    Matthieu C

    7 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 avril 2020
    C'est très lent et vraiment insipide. On voit le dénouement gros comme une maison dès le début même si l'on comprend pas bien qui est qui dans cette multitude de personnages. Autrement très beau film techniquement parlant et les costumes et décors sont de premier plan. Mais le bouquin est une bouze, donc avec un scénario faiblard quoi attendre???
    Emmanuelle Verhoeven
    Emmanuelle Verhoeven

    2 abonnés 198 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mai 2020
    film frais, très plaisant et léger. Les acteurs, on arrive bien à suivre l'histoire même s'il y a beaucoup de personnages.
    Les meilleurs films de tous les temps
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