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    The Father
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    4,3
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    578 critiques spectateurs

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    nicolas steiner
    nicolas steiner

    3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 février 2023
    franchement je n arrive pas à comprendre les bonnes note... j ai regardé ce film justement parce qu il avait des bonnes notes... je peux vous faire gagner du temps à ceux qui veulent regarder ce film. c est l histoire d un vieux qui cherche sa montre et qui mange du poulet fin de l histoire..
    toinou
    toinou

    38 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 février 2023
    Un film qui traite de l'alzeihmer vu par quelqu'un qui en est atteint, on est donc embarqué dans son délire, et on a l'impression que tout ce qu'il voit est vrai. Anthony Hopkins est magistral, Olivia Colman aussi est très bonne. Le scénario est juste excellent et les dialogues très bien écrit, le tout et très bien rythmé, dommage qu'on ai une mise en scène plutôt basique. Je n'aime pas forcément l'opéra mais il faut avouer que le BO est sublime et pleine de sens. Une excellente fin qui nous surprend et qui peut nous faire pleurer.
    cbeaumont
    cbeaumont

    3 abonnés 194 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 janvier 2022
    Aïe aïe aïe comment avec des premières minutes prometteuses on peut faire un film aussi rasoir et aussi peu émouvant? Ce petit procédé du scénario tient 20 minutes! Les comédiens sont bons. La pièce a marché donc il fallait forcément en faire un "film"? J'ajoute que le procédé implique une incohérence majeure : à savoir que le père est moins lucide au début qu'à la fin, or c'est forcément le contraire avec cette maladie...
    Sylvain P
    Sylvain P

    299 abonnés 1 330 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mai 2021
    Mis en scène de façon à nous présenter la confusion mentale d'un vieux monsieur atteint d'Alzheimer, The Father est perturbant. C'est ce qui en fait son succès dans les cérémonies de récompenses. Il est en outre remarquablement interprété par Anthony Hopkins et Olivia Colman. Mais à force d'être dans une tête confuse, le spectateur ne comprend plus vraiment ce qui se passe. L'émotion prime tellement sur l'intellect que ça en devient anecdotique.
    Dora M.
    Dora M.

    48 abonnés 479 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 février 2022
    Anne (Olivia Colman) vient voir son père octogénaire, Anthony (Anthony Hopkins), elle lui annonce qu’elle souhaite aller vivre à Paris.
    J’ai adoré ce film de bout en bout. Tout est réussi : l’idée de base très originale et bien traitée ( spoiler: se mettre du point de vue du malade, on est à sa place, aussi désorienté que lui sur ce qui arrive
    ), le traitement du sujet (pourtant difficile, déjà abordé mais jamais de cette façon), les acteurs (et en particulier Anthony Hopkins qui est incroyable, tellement touchant et vrai), l’esthétique (chaque plan est soigné, beau, dans le souci du détail), la musique (Ludovico Einaudi), enfin les émotions que le film procure ( spoiler: il y a plusieurs scènes marquantes et fortes, c’est poignant, on termine le film la gorge serrée, le souffle coupé
    ). Ce film est marquant.
    Maximus28
    Maximus28

    32 abonnés 129 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juin 2021
    Ce film aborde le sujet de la vieillesse , de la dépendance et de la maladie ...c'est réalisé avec un réalisme très juste .. par contre j'en ai pas aimé les scènes qui se chevauchent pour nous plonger dans la mémoire défaillante de la vieillesse et de la maladie
    Uther Zendrest
    Uther Zendrest

    2 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 mai 2023
    C'est très théatral, lent, confus dans tous les sens du terme. De bon acteurs au service d'un scénario insipide.
    traversay1
    traversay1

    3 090 abonnés 4 623 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mars 2021
    Il était inéluctable que l'auteur de théâtre français contemporain le plus joué au monde, Florian Zeller, passe un jour ou l'autre derrière la caméra pour adapter l'une de ses pièces à succès. Le choix du Père s'imposait et avec l'aide de Christopher Hampton au scénario, excusez du peu, le projet avait toutes les chances de déboucher sur un succès. Vu l'accueil reçu à Sundance puis les 6 nominations aux Oscars, les espérances de Zeller se sont réalisées. Le sujet est fort, un voyage dans l'esprit confus d'un homme aux prises avec une démence progressive, et l'exercice est de haut vol, magnifié par un stradivarius nommé Anthony Hopkins, d'une perfection absolue. Ce "jeu" constant entre la réalité et les déformations de la conscience d'un esprit malade est parfaitement exécuté, prenant à témoin le spectateur qui doit faire lui-même le tri entre ce qui est vrai et ce qui ne l'est pas. Une gymnastique intellectuelle qui rappelle celle imposée par l'extraordinaire Providence d'Alain Resnais, à la seule différence que ce dernier était du pur art cinématographique alors que The Father ne s'affranchit pas, volontairement, de son origine théâtrale, malgré une mise en scène déliée où champs et contrechamps alternent. La manière de Zeller tient donc son public à distance, sentiment renforcé par une pudeur affichée, de peur sans doute de verser dans une trop grande sentimentalité. Sur le thème de "Il faut bien que vieillesse se passe", avec douleur, mélancolie et déréliction, The Father est impeccable et brillant mais il y manque, peut-être un brin d'humour, de fantaisie et d'audace pour emporter davantage et bouleverser.
    Redzing
    Redzing

    919 abonnés 4 295 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 janvier 2022
    La maladie d'Alzheimer est un thème très délicat, relativement peu traité au cinéma. Florian Zeller aborde le sujet frontalement en adaptant sa propre pièce de théâtre. Ainsi, "The Father" nous fait suivre le quotidien d'Anthony, un octogénaire qui sombre dans la démence. L'originalité étant que les événements seront décrits exclusivement de son point de vue. La première chose qui frappe durant le visionnage est bien évidemment la performance éclatante et bouleversante d'Athony Hopkins, qui éclipse les autres acteurs pourtant talentueux. A plus de 80 ans au compteur, l'acteur semble ne faire qu'un avec le personnage, jusqu'à lui prêter son prénom et sa date de naissance (!). Il parvient à juguler les émotions d'une personne qui doit plus ou moins brutalement faire le deuil de la perte de sa mémoire. Choc, déni, colère, tristesse, résignation : autant d'émotions qui le traverseront, quand il s'apercevra que sa mémoire disparait, telle de la neige qui fond entre les doigts. Un phénomène inéluctable, dont il ne reste que des bribes, très vaguement ressemblantes à ce qui subsistait à l'origine. L'autre force du film est qu'il balaye les défauts habituels des adaptations de pièces de théâtre, souvent focalisées sur les dialogues et les situations. La mise en scène et la construction cinématographique ont ici toute son importance, montrant la confusion qui règne dans l'esprit d'Anthony. Des personnages qui changent de visage et qui disparaissent/apparaissent violemment, au grès d'un simple contre-champ. Des lieux qui évoluent régulièrement, jusque dans certains détails (soyez attentifs !). Une photographie qui met l'accent sur certaines couleurs (bleu notamment) pour montrer comment l'esprit s'accroche de toutes ses forces à des détails. Des ellipses et des trous dans la narration. Des répétitions dans les scènes. Le brio du film est qu'il parvient à évoquer cette confusion douloureuse, tout en ne perdant pas son spectateur. En effet, celui-ci comprend peu ou prou ce qui se passe... même s'il sait qu'il ne peut se fier à rien de ce qui est montré, car tout est vu depuis un esprit défaillant. En résulte un drame intelligent et terriblement touchant, qui offre au passage un très beau final.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    591 abonnés 1 402 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 juin 2021
    Florian Zeller, à la base auteur de théâtre français, adapte ici l'une de ses pièces à succès sur grand écran. Récompensé à plusieurs reprises, notamment par l'Oscar du meilleur scénario adapté et du meilleur acteur, The Father nous immerge dans le quotidien d'un octogénaire vivant seul dans son grand appartement londonien. Sa fille, Anne, lui rend régulièrement visite et cherche une aide à domicile compétente qui saura le prendre en charge lors de ses absences. Mais son père ne partage pas cet avis et pense pouvoir se gérer seul, et ce, malgré un environnement de plus en plus confus et distordant... Après une version plus "soft" avec Jean Rochefort et Sandrine Kiberlain en tête d'affiche dans Floride, c'est au tour d'Anthony Hopkins et d'Olivia Colman de se plonger dans les abîmes de la vieillesse. Autant dire qu'on change de standing ! Tout simplement poignant et bouleversant, Florian Zeller réussit à transformer ce huis clos d'appartement en labyrinthe mental et nous emporte, au même titre que son personnage principal, dans des allers et venues inquiétants où les contre-sens se multiplient pour devenir de véritables pièges sensoriels. Les visages se mélangent, les prénoms se confondent, l'espace-temps se distord, les objets se perdent, les répliques se réitèrent,... Au début, on laisse le doute nous envahir sur les suspicions que porte le vieillard sur son entourage et on devient alors le témoin et le compagnon de sa perte de repères. Cette première réalisation de Zeller est intelligemment maitrisée et d'une inventivité folle car elle utilise de façon répétitive les mêmes cadres afin d'amplifier ces notions d'enfermement et de stagnation. Des modifications soudaines surviennent aussi dans le décor, ce qui nous enfonce encore plus dans l'esprit décousu d'Anthony (le prénom du personnage, lourd de sens !). La musique, très discrète mais marquante de Ludovico Einaudi, sonne le glas à des moments déterminants et s'assimile à des moments de lucidité et d'émotions puissants. Anthony Hopkins est saisissant de complexité et de vulnérabilité presque enfantine. Une sorte de Roi Lear en pyjama désorienté, passant de l'euphorie à la perte totale de repères en un éclair. Sa prestation touche au coeur et retranscrit parfaitement le sort inéluctable provoqué par une maladie dévorante. Face à lui, Olivia Colman est bouleversée par les incohérences de son père. Sa peine, sa douleur, ses larmes quand il lui échappe ne peuvent laisser indifférent. Le reste du casting est tout aussi remarquable, bien que moins imposant (Olivia Williams, Rufus Sewell, Imogen Poots...). Plus qu'un simple drame, "The Father" est une claque d'émotions qui s'avère difficile à regarder en face tant ce qu'elle touche vise notre imperceptible peur de la finitude.
    Ti Nou
    Ti Nou

    405 abonnés 3 355 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2022
    Un film fort sur la vieillesse et la perte d’autonomie. En jouant avec les points de vue, Florian Zeller fait ressentir la perte de repères de son personnage devenant sénile. Le sujet est universel et Anthony Hopkins y trouve un rôle à sa démesure.
    moket
    moket

    434 abonnés 4 202 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2022
    Ce film a un côté un peu répétitif et il est très déprimant voire effrayant mais Anthony Hopkins est absolument incroyable, si bien qu'on est captivé de bout en bout.
    PLR
    PLR

    406 abonnés 1 474 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mai 2021
    Film répertorié dans la catégorie des drames. Il est vrai que le thème n’est pas folichon. Mais en retenant que c’est quelque chose à laquelle nul n’est à l’abri, soit personnellement en fin de vie, soit en tant que proche ou accompagnant, c’est davantage de mélancolie et de regrets qu’il s’agit. Sentiments renforcés par l’illustration musicale. Sur la forme narrative, il y a vraiment quelque chose d’original, difficile à développer ici sans spolier. Disons que le scénario, à dessein déroutant pour le spectateur jusqu’à ce que lui au moins retrouve ses repères, met ce dernier dans la situation d’un patient (âgé ici) atteint de maladie neurologique dégénérative (chacun aura reconnu l’Alzheimer). Le temps (passé et présent), le lieu, les visages des proches, celui des accompagnants… tout s’embrouille, tout se mélange, tout s’estompe. Le spectateur lui-même ne saura pas tout de suite où il est en est avec ces faux retours en arrière dont il finira par douter des raccords chronologiques. Ce qui, avec cette sensation d’être mentalement perdu, lui permettra justement de ressentir certaines choses qui n’auraient sans doute pas été faciles à faire passer à l’image autrement. Comme un réveil brutal en pleine nuit quand vous ne savez plus qui vous êtes et où vous êtes. C’est d’ailleurs vraiment la nuit qui vient, paraphrasée par l’automne et le soleil (la vie) qui décline. Le résumé du vécu de cette maladie viendra du dialogue final entre l’homme malade et dépendant (le père, The Father) et son infirmière. Le genre de sujet qui parle et qui fait réfléchir
    Hotinhere
    Hotinhere

    417 abonnés 4 736 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mai 2022
    En dépit d'un récit (volontairement) confus, un drame intimiste poignant qui nous plonge dans la démence sénile d’un homme atteint de la maladie d’Alzheimer, qui vaut beaucoup pour la performance (récompensée par un Oscar) d’Anthony Hopkins et celle pleine de justesse et de sensibilité d’Olivia Colman.
    Alasky
    Alasky

    284 abonnés 3 080 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juillet 2021
    La vieillesse et ses naufrages... Déchirant, bouleversant de justesse. La narration est touchante et le jeu des acteurs/actrices est criant de réalisme. Une oeuvre qui fout le cafard. Un poil surestimé, mais vaut le détour.
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