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Jean-Luc Riviere
4 abonnés
23 critiques
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1,0
Publiée le 25 mai 2021
Qu'est-ce que le surnaturel vient faire dans cette histoire on ne peut plus classique ? Les effets spéciaux sont risibles et même pas digne d'un film fantastique des annnées 30. James Norton en fait des tonnes, le film n'a de toute évidence pas été dirigé. Décidément, netflix....
Vraiment pas mal du tout, bonne ambiance, bon acteur. Certes pas un film d'horreur, mais ce n'est pas le véritable coeur du film. Je recommande, surtout les amateurs de cinéma horrifique, surnaturel et thriller 🙃
Ca aurait pu être un mélodrame familial plutôt crédible sans la partie fantastique qui ne sert à...rien, sauf à nous assener de clichés pompeux dans le genre mais qui n'apportent strictement rien à l'histoire. Et la fin qui se veut énigmatique est en réalité plutôt navrante...
Le film n a pas vraiment de sens. L intrigue n est jamais vraiment captivante et heureusement qu Amanda Seyfried campe un personnage sans quoi, on aurait abandonné
Seul un cliffhanger surprenant aurait pu donner de la dimension au reste du récit peu intéressant. Mais malheureusement non... rien.
Ce film est d'une longueur incroyable... Il est long et mou. Ce n'est absolument pas un film "d'horreur"! spoiler: ce film me fait un peu penser à Amityville, l'homme possédé, la maison hanté... Bref, du déjà vu quoi Et la fin, sérieusement !? 🙄 Franchement ? Passer votre chemin !
"Things Heard & Seen" est adapté du roman "All Things Cease to Appear" d'Elizabeth Brundage. Si dans le livre on sait de suite ce que trouve George en rentrant chez lui, le film commence par une scène où on le voit fuir sa maison avec sa fille dans les bras. On revient ensuite plusieurs mois avant lorsque la famille Claire emménage dans leur nouvelle maison à Chosen pour être proche du nouveau travail de George. L'adaptation est difficile notamment pour Catherine qui n'a pas l'impression d'être seule dans son nouveau foyer... "Things Heard & Seen" commence comme un film sur une maison hantée avec des manifestations très explicites avant de prendre une tournure plus proche du thriller. Il s'agit d'une histoire assez riche au sein de laquelle aucun personnage n'est inutile. Entre les événements de la maison liés à son passé et les problèmes conjugaux, Shari Springer et BermanRobert Pulcini auraient facilement pu faire deux histoires distinctes. Cependant, ils utilisent bien les deux aspects de l'histoire pour donner de la consistance au récit. Même si le film ressemble de plus en plus à spoiler: "Amityville" lorsque l'histoire se dévoile et que la dernière partie est frustrante, "Things Heard & Seen" reste un petit thriller horrifique assez solide et plaisant à suivre notamment grâce à son bon casting.
J'en attendais sûrement beaucoup de cette histoire de maison hantée. Dès les premières minutes, un air de déjà-vu se fait sentir alors qu'un couple de citadins emménage dans une vielle bâtisse à la campagne, avec leur fille unique. D'apparence parfaite et garante d'un nouveau départ, le lieu se révèle hanté par l'esprit des propriétaires passés. Rien de bien nouveau à se mettre sous la dent me direz-vous... C'est le couple de réalisateurs, Shari Springer Berman et Robert Pulcini, qui tiennent les rênes de cette adaptation de roman. Ce qui distingue cette intrigue, c'est son point de vue féminin et son cadre temporel du début des années 80. J'ai également apprécié le contexte mystique du lieu choisi. Il s'agit de l'endroit où est née la légende du Cavalier sans tête et la plupart des personnages semblent ouverts, voire accommodés, au monde du surnaturel. L'épouvante se veut ici plus émotionnelle et intègre la thématique du féminisme pour réfléchir à la violence du genre horrifique. La très belle Amanda Seyfried est au centre de l'image et du récit et alors qu'elle nous parait comme ayant très peu de libre arbitre (une femme au foyer anorexique subissant les choix de son mari), souvent représentée en train d'effectuer des tâches quotidiennes, son intérêt réside dans sa compassion et sa sensibilité. Ces qualités lui permettent d'entretenir un lien invisible avec les âmes pacifiques de la maison. Alors, ça ne fait pas peur, qu'on se le dise. Cela dit, le côté maléfique est bien présent mais obstrué par le parti pris du féminisme. Un autre film avec le point de vue du mari aurait été bien plus violent et proche de "Amityville : la maison du diable" ou "Shining". Là, bien que le matériau de base soit revisité, on a droit à une succession de signes fantomatiques particulièrement faibles et peu novateurs, et un mari qui perd peu à peu toute bienveillance, sombrant dans une folie au combien prévisible, rappelant une fois encore les classiques précédemment cités. Sans savoir qu'il s'agissait d'une adaptation de roman, j'ai trouvé que la mise en scène s'éparpillait dans une multitude de détails pour signifier l'étrangeté du lieu et la plupart des interactions avec les personnages secondaires ne servent à rien sinon à aboutir dans les lieux communs du genre. Donc finalement, le message sur les femmes opprimées par un patriarcat étouffant est flouté et laisse la place à un thriller débridé, pauvre en effets et en inventions. Ha oui, et je n'ai absolument pas saisi le sens du titre...
Moins un film d’épouvante qu’un thriller hitchcockien, Dans les angles morts délaisse vite le fantastique pour s’attarder davantage sur son couple dysfonctionnel, trop lisse pour ne pas cacher des cadavres dans le placard.
Cela commence de façon très classique par une famille qui s'installe dans une vieille maison campagnarde. Famille très banale composée d'un couple et d'une petite fille. au début, le film va se focaliser sur la maison qui se révèle hantée. Jusque là, ce n'est pas terrible car tout est hyper stéréotypé. Et puis, le film va heureusement prendre un autre cap bien plus intéressant. le fantôme qui hante la maison va finalement devenir un allié pour combattre un autre mal que l'on attendait pas au début du film. Cette originalité scénaristique redonne du crédit au film qui se termine très loin de ce que l'on aurait pu croire au commencement. Cela dit, le nouveau cap de drame psychologique familial que prend le film en seconde moitié n'a plus rien de surnaturel et donc on peut se demander pourquoi avoir commencé le film par cette histoire de fantôme ! Il aurait fallu jouer à fond la carte d'un style ou d'un autre mais pas un mix des deux. Le film ne m'a pas mis une claque mais je juge qu'il vaut quand même le détour car il a réussi à me surprendre.
Encore une production Netflix qui ne retiendra pas notre attention plus que nécessaire. On aurait pu croire à une bonne histoire, mais on retrouve toujours les mêmes défauts, un traitement qui s'étire sur la longueur, comme si le cahier des charges stipulait qu'il faute produire des films de 120 minutes minimum, pour occuper le maximum d'espace sur la plate forme. Alors, on se heurte à des longueurs, lorsque déjà le sujet est mince, on imagine très vite que l'intrigue va nous donner des somnolences et cela ne manque pas. Un film qui se regarde en accéléré car pas besoin de perdre trop de temps à espérer plus que nécessaire. Côté acteurs, rien de transcendant non plus, côté horreur rien n'a attendre, et côté thriller, c'est si téléphoné que l'on raccroche, reste une fin métaphysique, on en demandait pas autant.
Ce n'est pas d'un grand niveau dans le genre épouvante-horreur, malgré une construction scénaristique intéressante. Peu de risque dans la mise en scène, une fin qui manque de panache, un côté fantastique fragile et bancal... Dommage car il y avait quelque chose de prenant dans l'évolution des personnages, mais qui fait finalement autant d'effet qu'un pétard mouillé. Un film assez "Bof" quoi...
Plutôt un drame marital qu'un film d'épouvante (il y a deux ou trois incursions de fantastique, rapides, et pas un brin d'effroi), qui raconte la vie d'un couple qui découvre que les problèmes de désamour suivent avec le déménagement, qu'il était absurde de penser tout arranger en changeant juste de maison (ça alors, les bras nous en tombent). D'ailleurs, cette maison a accueilli une histoire à peu près similaire, qui s'est très mal terminée... Le nouveau couple suivra-t-il la trace du précédent ? Vous le saurez dans deux heures. Car ce film psycho ne sait visiblement pas faire court, et accuse une bonne demi-heure de trop (au bas mot), dans un scénario très simple, prévisible, sans réelle surprise jusque dans les dernières minutes, et finalement pas si fantastique que les fiches techniques (absolument toutes) veulent le laisser penser (on le répète : à part 5 minutes de tissu qui vole et de dame fatiguée dans les escaliers, sur 2h, c'est un pur drame). James Norton et Amanda Seyfried essaient de surnager dans un récit plutôt convenu, les premières scènes de faux "jumpscares" sont pénibles (il n'y a absolument rien dans la pénombre, même luminosité du téléviseur poussée à fond : qu'on donne une lampe torche à cette gamine, elle arrêtera d'affabuler, et de nous faire baisser le son à chaque "pouet" assourdissant sur du vide visuel...), et on n'est finalement pas mécontent que le film aborde un virage à 180° pour aller dans le drame familial et le psychopathe quelque part entre Jack Torrance et Mr Ripley (impossible de ne pas penser que les scénaristes ont puisé dans ces deux modèles). Pas grand-chose à dire d'un produit Netflix assez creux, pas forcément insipide (grâce au final) mais qui a une bonne demi-heure redondante. Et si vous pensiez voir un film fantastique ou d'épouvante (comme il est souvent vendu pour cela), prenez votre hache : "Coucou chérie, c'est l'Ennui...!".
Une très banale histoire de fantômes, vue et revue des milliers de fois et évidemment en beaucoup mieux. Pour commencer, ça met des plombes à démarrer, ensuite c'est loin d'être bien joué (jamais été fan d'Amanda Seyfried) et pour finir le scénario est des plus éculé. Ajoutez à cela une absence totale de rythme et quelques rebondissements bien mal amené et vous vous retrouvez devant une vulgaire série B peu inspirée et peu inspirante.
« Dans les angles morts » est un thriller horrifique peu convaincant. Son seul véritable atout : la distribution. Le film aurait dû se contenter du côté psychologique avec la folie d’un des personnages principaux, et davantage approfondir cet axe.
Mon avis complet : https://mediashowbydk.com/critique-film-dans-les-angles-morts/
C'est du Netflix donc quand on l'enclenche on se doute bien qu'on verra pas le film de l'année, et la plateforme américaine a la délicatesse de ne quasiment jamais contredire nos à-priori. Comme toujours c'est trop long mais cette histoire de fantôme qui révèle les failles d'un jeune couple et surtout la psychopathologie du mari intrigue pendant une bonne heure. Puis l'histoire s'étiole et se conclut avec des effets spéciaux qui font même un peu pitié....l'équation Netflix (moyens financiers "illimités"+ Final Cut = rien) continue à m'intriguer.