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    Tralala
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    traversay1
    traversay1

    3 096 abonnés 4 624 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 juillet 2021
    Qu'est-ce qu'on attend d'une comédie musicale ? Plutôt qu'une histoire porteuse de sens, de la fantaisie et une certaine légèreté, sinon ce serait un drame musical, non ? En tous cas, les frères Larrieu séduisent vraiment avec Tralala, qui commence à Paris mais s'enracine très vite dans leurs chères Pyrénées et plus particulièrement dans une ville célèbre dans le monde entier pour ses apparitions. Oui, c'est du Lourdes et le film utilise d'ailleurs le "folklore commercial" local pour ses desseins, sans se moquer mais avec une tendresse singulière. L'histoire de Tralala est loin d'être idiote et les nombreuses chansons encore moins, participant de la progression dramatique. Et sur 2 heures de temps, qui passent très vite, c'est un bel exploit. La musique est bonne, excellente même, les Larrieu ayant engagé Philippe Katerine, Dominique A, Etienne Daho et Jeanne Cherhal. Parmi ces pointures, qui ont composé dans des styles différents et chatoyants : disco, pop, rock, ballade, rock ... n'oublions pas Bertrand Belin qui crève aussi bien l'écran comme acteur que comme chanteur avec ses faux airs de Bashung dans le phrasé. C'est du lourd aussi côté interprétation autour de Mathieu Amalric : Josiane Balasko, Mélanie Thierry, Denis Lavant, Maïwenn, Galatea Bellugi, excusez du peu, qui forment cette troupe joyeuse et stylée dont les aptitudes vocales sont variées mais même leurs manques sont touchants. Quant aux masques qui recouvrent assez souvent le visage des figurants et autres danseurs, ils font partie intégrante de l'aventure, signe de l'époque et en phase avec ce qui est raconté. Bienvenue dans le Tralala Land !
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 171 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 juillet 2021
    Présenté en séance de minuit au Festival de Cannes 2021, “Tralala” suit les pas d’un sans-abri des rues de Paris qui n’a qu’une guitare comme seule richesse. Il chante ses pensées et on a l’impression d’entendre Philippe Katerine. Le générique nous le confirmera car le chanteur est l’auteur des musiques aux côtés d’Etienne Daho, Dominique A, Jeanne Cherhal et Bertrand Belin qui joue également dans le film. Croisant la route d’une mystérieuse jeune femme qu’il prend pour une apparition divine après qu’elle lui ait conseillé de ne pas être lui-même, “Tralala” décide de la retrouver et se rend à Lourdes où Josiane Balasko le prend pour son fils disparu vingt ans plus tôt. Là-bas, tout le monde le prend pour le fils Pat et son intégration se passe plutôt bien avec le pseudo frère et ses amantes Mélanie Thierry et Maïwen. “Tralala” est une comédie musicale qui se dessine et se développe avec une fluidité remarquable. Les chansons sont originales et certaines parviennent même à nous toucher. Josiane Balasko surprend par sa retenue, Mélanie Thierry rappelle parfois Emmanuelle Béart et sa sensualité de “8 femmes” et Bertrand Belin nous livre des morceaux à la nostalgie communicative. Créatif, naïf et drôle, “Tralala” est une joyeuse surprise.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Blankovitch
    Blankovitch

    35 abonnés 202 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 octobre 2021
    Le charme des comédiens tient le film péniblement à bout de bras. Et puis dans la dernière partie, la musique enfin audible sauve le tout de la catastrophe.
    AZZZO
    AZZZO

    268 abonnés 728 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 octobre 2021
    Ce n'est guère le retour de Martin, plutôt celui de Patrick, à Lourdes mais tout en légèreté, uniquement vêtu d'une guitare et d'un quiproquo. C'est dans la ville des miracles que l'enfant prodigue un amour volé mais désintéressé. Mathieu Amalric est extraordinaire en vagabond-musicien ; il crée un personnage qui dénote, avec ou sans guitare. Remuant la queue tour à tour pour Virginie, Jeannie et Barbara, l'adopté cabotine avant de se retrouver aux abois : est-il Pat ou pas Pat ? L'irréel se drape en poésie musicale. C'est une belle intrigue, un cinéma atypique, moderne et retro à la fois. Les frères Larrieu n'ont pas fait les choses à moitié pour renouveler Jacques Demy, les guitares sont de sortie et sous les parapluies, ça rocke fort. Bertrand Belin est à croquer, Denis Lavant doux, les premiers et seconds rôles régalent. Un film musical sans demi-mesure : soit vous détestez soit vous adorez et dansez dans la salle.
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    330 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 septembre 2021
    Ce nouveau film des frères LARRIEU est toujours aussi soigné dans sa réalisation. Cette fois-ci, il s’essaye à la comédie musicale. Le film est tourné à l’été 2020, à Lourdes, en pleine période de COVID avec des acteurs masqués. C’est assez réussi malgré quelques séquences un peu moins abouties. Le côté musical du film est constitué de plusieurs chansons de Philippe CATHERINE, Jeanne CHERAL, Etienne DAHO, Arthur A , entre autres. En résumé, l’ensemble est assez bon bien qu’un peu trop long.

    Bernard CORIC
    Jessie23
    Jessie23

    29 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 août 2021
    Adoré ce film, véritable Ovni et objet artistique, orginal et prenant.
    On se demande au début où l'on est, où l'on va, et on se retrouve petit-à-petit pris dans la poésie, la musique, les personnages. Du grand Art. Bertrand Belin, Mélanie Thierry, Mathieu Amalric, bien sûr sont extra, les compositions sont belles.
    D'un autre calibre que d'autres comédies musicales lancées avec moults dithyrambes ou auréolées du génie toujours prometteur...
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    79 abonnés 280 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 octobre 2021
    Ai vu "Tralala" des frères Larrieu. Quand un parolier de variétoche n'a plus d'inspiration pour finir une chanson il la bâcle en écrivant Tralala sur la mélodie, quand les frères Larrieu sont en panne sèche, ils appellent leur manque d'idée "Tralala" et en font un film. La dernière comédie musicale cinématographie française était une catastrophe et cela s'intitulait "Annette" quelques mois plus tard c'est un désastre de non sens qui a pour nom "Tralala" qui s'échoue sur les écrans français. Ce film qui est difficilement repérable pour ses qualités est avant tout le premier dont les acteurs sont masqués et dont les mêmes comédiens jouent aussi faux qu'ils chantent. Tralala est un clochard chanteur parisien qui suite à une rencontre furtive se croit chargé d'une mission : rapporter le briquet qu'une jeune fille a oublié sur une table, briquet qui porte le nom de "Lourdes". Voici notre "Tralala" dès le lendemain matin à Lourdes et qui en 5 minutes retrouve la fameuse fille, sauf que toute la famille de Virginie le reconnait comme étant "Pat" chanteur raté (lui-aussi) disparu 20 ans plus tôt. Aucun acteur ne croit vraiment à son esquisse de rôle, les regards, les larmes, les champs-contre champs et les chants tout courts sont vides de sens, de lumière et de vie. Mais la critique parisienne trouve cela merveilleux, très original et si sympathique. C'est juste une succession de chansons (pour certaines pas si mal que ça) et le spectateur a la sensation d'assister à un concert rock en direct de Lourdes. Les chorégraphies sont aussi indignes que celles des émissions de Nagui à 19h00 sur France 2. On a mal pour Josiane Balasko, pour Mélanie Thierry et certains autres... seul Denis Lavant qui n'a aucun rôle mais qui sert du Champagne du début à la fin à l'air de s'amuser comme un illuminé dans ce capharnaüm cacophonique. Sur la trentaine de spectateurs à l'embarquement il n'en restait plus que la moitié en fin de croisière sur cette eau encore plus plate que celle du robinet.
    Rgxbx
    Rgxbx

    19 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 octobre 2021
    Quel pied. "Surtout, ne soyez pas vous-même".

    Sortons de nous-même. Arrêtons de prétendre. Les frères Larrieu reviennent en force. Casting 5 étoiles avec la découverte du très grand Bertrand Belin ; Amalric est miraculeux et Mélanie Thierry divine. Le tout porté par un casting de compositeurs encore plus impressionnant peut-être, la crème de la pop française triste.

    Le doux spleen du film rend hommage à toutes les personnes que nous ne sommes pas et que nous ne serons jamais mais que nous imaginons chaque jour dans nos rêves.

    Je conclurai cette critique sans queue ni tête (dont l'intention vient de la folle séance que je viens de vivre) par cette citation de Pessoa dans son livre de l'intranquillité car Tralala en est un bel exemple, d'intranquillité :
    "J'ai pris une telle habitude de ressentir le faux comme le vrai, les choses rêvées aussi nettement que les choses vues, que j'ai perdu la capacité humaine, erronée me semble-t-il, de distinguer la vérité du mensonge."
    L_huitre
    L_huitre

    61 abonnés 344 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 octobre 2021
    A quoi sert le cinéma, sinon nous procurer quelques moments furtifs de bonheur ? Des petits moments qui vous chatouillent tous les sens, et qui sont d'autant plus puissants qu'ils vous surprennent dans votre petite routine de spectateur blasé. Ah, ce que ce film fait du bien !... Je crois que je le reverrai avec plaisir, ne serait-ce que par le côté entraînant et hypnotique de quelques scènes. Ce "Tralala" est une petite musique, d'abord assez aride, qui n'emporte pas une adhésion immédiate. Mais elle se propage comme une mélopée pour vous entraîner dans une farandole improbable. C'est difficile de ne pas céder au charme des interprètes, Matthieu Almaric en tête, étonnant en hurluberlu hirsute, Josiane Balasko en mère portée sur la chansonnette mais aussi une révélation, Bertrand Belin à la voix rauque qui vous embarque.... Le scénario est un prétexte, il ne compte pas. Ce film est inclassable, déroutant, hors norme, comme devait l'être le Boléro de Ravel lors de sa sortie. Lyrique, poétique, stimulant, symbolique, on ne sait pas trop quel adjectif lui attribuer. L'idée de placer l'action à Lourdes, pays des miracles, peut paraître grosse ficelle, mais se révèle être une idée géniale. Elle est très bien exploitée, avec des soeurs, des prêtres, des alleluia en fonds sonores. La piété réhabilitée par le cinéma commercial, quelle audace !... Enfin, les chansons sont amusantes, les rires fusaient dans la salle, les chorégraphies de groupe donnent un rythme chaloupé qui impacte la rétine, la photographie est enfin de toute beauté. Et puis surtout, il y a Mélanie Laurent. Elle y est absolument délicieuse. Une actrice qui dégage des émotions par la pureté de son jeu. Sa chanson de maharadjah au milieu des bondieuseries de boutiques laisse sans voix. Dans toutes ses apparitions, elle attire les regards comme un aimant. Son sourire à lui seul résume tout le film. On est là pour passer du bon temps, sourire béatement à une historiette sans autre ambition que de vous surprendre. Du cinéma léger, léger, léger, comme une bulle de savon. Cela monte, puis éclate, et vous avez un regard d'enfant. Oui, c'est ça, ce film nous fait redevenir enfant. Beaucoup n'aimeront pas cette régression. Moi j'ai adoré....
    Damien Vabre
    Damien Vabre

    145 abonnés 409 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 octobre 2021
    Des moments de grâce avec Mélanie Thierry sublime, de belles séquences musicales avec Bertrand Belin et une photo magnifique plombés par une histoire d'imposture bancale et Mathieu Amalric en éternel grand séducteur... Le cinéma français l'aime beaucoup dans cet emploi pas loin d'être gênant ici.
    Jipéhel
    Jipéhel

    33 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2021
    Surtout ne soyez pas vous-même

    Arnaud Larrieu et Jean-Marie Larrieu font des films ensemble depuis longtemps déjà. Héla pour eux, ils trouvent rarement leur public et la critique institutionnelle se montre souvent tièdasse à leur égard. Une fois de plus, et je le déplore, le constat devrait être le même. Tralala, la quarantaine, chanteur dans les rues de Paris, croise un soir une jeune femme qui lui adresse un seul message avant de disparaitre : « Surtout ne soyez pas vous-même ». Tralala a t-il rêvé ? Il quitte la capitale et finit par retrouver à Lourdes celle dont il est déjà amoureux. Elle ne se souvient plus de lui. Mais une émouvante sexagénaire croit reconnaître en Tralala son propre fils, Pat, disparu vingt ans avant aux Etats-Unis. Tralala décide d’endosser le « rôle ». Il va se découvrir une nouvelle famille et trouver le génie qu’il n’a jamais eu. 120 minutes de tendresse et de poésie aussi que décalée. On n’est pas obligé d’aimer. Moi j’aime ce courant d’air frais qui souffle sur notre cinéma souvent trop frileux ou conventionnel. Un O.V.N.I. !
    Le pari de la comédie musicale est toujours risqué dans notre pays. Férus de musique depuis toujours, les frangins – qui pour les besoins de ce film sont retournés au bercail Lourdais pour le tournage -, se sont lancés dans la grand aventure appuyés par le gratin des compositeurs français - Philippe Katerine, Bertrand Belin, Dominique A, Jeanne Cherhal, Etienne Daho - qui ont composé là une superbe BO originale. L’histoire est fantasque à souhait – donc irréaliste, puisqu’il s’agit d’un troubadour paumé et loser qui croit avoir rencontré la Vierge dans les rues de Paris et qui tente de la retrouver à Lourdes où il va marcher dans les pas d’un type dont il va épouser le destin… Oui, c’est invraisemblable ! Cartésiens, passez votre chemin. Et en plus, tout se fait en chansons… Le coup de grâce pour certains, l’enchantement pour d’autres… dont je suis. A noter que c’est aussi le 1er film qui ose intégrer la pandémie à l’image. Question simple : que peut-on attendre d’une comédie musicale ? Qu’elle soit drôle et… musicale. C’est le cas. Donc mission remplie. Et puis quel casting !
    Mathieu Amalric, un habitué des Frères Larrieu, porte le film dans la peau d’une sorte de Boudu guitariste. Magnifique ! Autour de lui, gravitent une distribution au diapason – c’est le cas de le dire – avec Josiane Balasko, Mélanie Thierry, Maïwenn, Denis Lavant, Jalil Lespert, Bertrand Belin, Galatéa Bellugi… Tout ce petit monde chante en direct et danse – sans prétention – avec un certain talent et même parfois un talent certain. De la fantaisie, de la légèreté et plein de musique… un cocktail séduisant et miraculeux. Alors, comme il est dit dans le film, surtout ne soyez pas vous-même, lâchez-vous et tous dans les pas de Tralala.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    676 abonnés 1 416 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 décembre 2021
    Mais quelle bouse musicale !!
    Un scénario sans queue ni tête, des comédiens qui se prennent pour des choristes poussant la chansonnette pour un oui pour un non, j'ai plus souvent vu du ridicule que de la poésie dans cette comédie chantante frôlant l'insupportable par instants.
    Si ce film a voulu apporter de la joie au spectateur, c'est raté de mon côté, je n'ai ressenti que de la gène et de la lassitude dans cette soupe grotesque et invraisemblable.
    Seule Mélanie Thierry arrive tout juste à surnager dans ce naufrage collectif.
    Même au 10ème degré, cette oeuvre est pénible de bout en bout !
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Corinne76100
    Corinne76100

    29 abonnés 162 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 octobre 2021
    Dans mon esprit une daube est un plat mijoté savoureux et raffiné, mais c'est malheureusement ainsi que l'on peut qualifier ce ramassis immonde de scènes ineptes aux dialogues nauséeux. Pauvres acteurs !
    Loic D
    Loic D

    6 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 octobre 2021
    Très bonne surprise. Nous sommes aller voir ce film en famille pour le plaisir de voir une comédie musicale,et l'expérience s'est révélée totalement réussie. Pas de dérive "auteuriste" ou stylistique, une comédie musicale citant le passé (Honoré, Demy) mais présentant une forme moderne, légère et profonde, mélangeant avec bonheur l'esthétique de Rimbaud et la disco. Une vrai réussite, sans jamais d'ennui et extrêmement bien jouer. Amalric, Belin, Henry, Lavant, Balasko, tous parfait!
    A voir!
    tixou0
    tixou0

    630 abonnés 1 970 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 octobre 2021
    Mais qui est donc "Tralala" (Mathieu Amalric, un habitué du duo fraternel Larrieu), marginal des rues et des squats de la capitale ? Pourquoi pas spoiler: "Pat(rick)", le Lourdais (comme les cinéastes) porté disparu depuis 20 ans, de retour au pays, guidé par "Virginie", figure mariale revisitée (le voyage aux Pyrénées se faisant en TGV...) ? Lourdes, son lac, sa grotte, sa basilique, ses marchands du Temple - ses pélerins (dont beaucoup animés d'une foi totale). Tiens, non... on n'en verra pas chez les Larrieu.

    Reconnu par spoiler: la mère du vrai (?)/faux fils prodigue (Josiane Balasko), moins évidemment par son frère "Séb(astien)", par ses anciens familiers, dont la gargouille "Climby", aiias Denis Lavant (phénomène d'entraînement), (re)séduisant un amour d'adolescence, "Jeannie" (Mélanie Thierry), stupéfaite de capacités sexuelles inédites pour elle... Se trouvant même une rejetonne - la fille de "Barbara" (Maïwenn), l'hôtelière - son "apparition" vagabonde ! Après tout, il chantait lors de ses errances parisiennes un "tube" personnel (une vraie "scie", plutôt) narrant une odyssée compatible, en "Electron libre"....
    Et il met en pratique la pressante recommandation de l'apparue en blanc et bleu : "Surtout (sur tout ?), ne soyez pas vous-même !".
    Une affaire de mystification (mythification ?), à "chute" morale (le seul passage intéressant : celui de la « confession ») : pourquoi pas ?
    Seulement, les Larrieu ont voulu se la jouer "musical". spoiler: On doit donc subir, presque 2 heures durant, un Amalric barbu hirsute (archétype du clodo) qui chantonne (rejoint ponctuellement par d'autres comme le nommé Bertrand Belin, que je découvre, un pro de la chansonnette, apparemment, qui joue le rôle du "frère"), voire gesticule et se déhanche (la "danse"), accompagné de plein d'autres, souvent en zombies covidistes masqués (nombreuses nonnes...).

    Ceci à haute dose - ce qui devient très vite insupportable !
    Mon "pour moi, c'est un Larrieu sur deux" ne se vérifie pas ! Ce, non pas "burlesque", mais grotesque, "Tralala", après le déjà décevant "21 Nuits avec Pattie" (2015), sonne comme un hallali ! Hélas.
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