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    L'Homme de la loi
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    15 critiques spectateurs

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    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    516 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 janvier 2013
    Seuls les cinéphiles ayant aimé ce film peuvent le défendre pour des raisons personnelles de sensations fortes. Ils auront quand même du mal à argumenter tant la cohérence de l’ensemble est inexistante et tant la violence sans justification est présente. Pour ma part, sa mise en scène à la spaghetti western, sa psychologie totalement invraisemblable, le mépris du réalisateur pour son héros...Tout cela est rédhibitoire et en fait le parfait exemple du film affreux. Il n’y a strictement rien à sauver puisque les 4 ou 5 idées contenues dans le scénario ont été bien mieux traitées dans d’autres films. Ce qui reste un mystère, c’est la question que beaucoup de ses inconditionnels se posent: comment Burt Lancaster a-t- il pu se commettre dans un tel film? Winner question talent de réalisateur n’arrivant pas à la cheville de celui de l’acteur Lancaster. Le pire du pire étant la scène finale puisque on y voit Maddock, qui s’est venté plusieurs fois de ne jamais tirer le premier, assassiner de dos l’homme pour lequel la femme avec laquelle il s’aprêtait à partir ressentait une vraie tendresse. Comment faut-il prendre cela ? Pour ma part je n’apprécie pas du tout cette façon de traiter les spectateurs respectueux d’une certaine décence intellectuelle et pour qui le cinéma est important dans la vie.
    NeoLain
    NeoLain

    4 231 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 octobre 2012
    L'homme et ses ennuis, l'homme et ses ennemis ennuyeux... Le début laisse envisager du bon, Burt Lancaster qui va pas lâcher les personnes qu'il compte bien ramener tout ça face à la justice. Et s'il le faut, il tuera. Seulement, on patauge au fur et à mesure, ça devient long et on en à plus rien à faire du dénouement final.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 février 2014
    Dommage que ce film n'ait pas eu plus d'impact car c'est l'un des meilleurs films et surtout westerns de Michael Winner avec "Les collines de la terreur" tourné avec l'un de ses acteurs fétiches, Charles Bronson. Curieusement d'ailleurs, ou pure coïncidence, Lee J. Cobb tient le rôle d'un dénommé Vincent Bronson. Le réalisateur s'appuie sur trois grandes stars des années 50-60. Tout d'abord, Burt Lancaster dont c'est l'un des rôles les plus forts de sa carrière, dans la peau du marshal Maddox, un homme aux traits burinés, au tempérament implacable et aux principes rigides. Ensuite, Robert Ryan sur le déclin, dans le rôle d'un shérif local qui semble dépassé par les évènements, tout comme l'acteur vieillissant, déjà marqué par son cancer des poumons qui entraînera son décès deux ans plus tard. Enfin, Lee J. Cobb dans la peau d'un riche éleveur tenaillé entre le bon sens et la colère, persuadé de pouvoir négocier sa tranquillité par l'argent. Ce western est mené tambour battant par un Michael Winner efficace sur un montage intelligent et bien rythmé. Si les personnages sont stéréotypés, le jeu des acteurs rend le film prenant, avec un Lancaster sublime. Toutefois, on peut reprocher à Winner ses scénarios violents et sanglants, et surtout l'incohérence finale. Pourquoi ne pas avoir terminé le film sur le simple départ du marshal, lassé de tant de violence ? Non, il a fallu qu'il en rajoute une couche en finissant sur un massacre inutile, le suicide du père suite à la perte sanglante de son fils, et surtout, sur la scène incompréhensible, ou Maddox, reniant tous ses principes de légitime défense, tire dans le dos et tue de sang froid, un homme qui était le mari de son ex-petite amie. Incompréhensible, contradictoire et incohérent. Hormis cette grosse bévue scénaristique, les seconds rôles sont épatants comme Joseph Wiseman en infirme, ou le jeune Richard Jordan, le seul qui parvienne à émouvoir Maddox, et jusqu'aux lâches habitants, qui veulent préserver leur quiétude. Un bon film à la finale ratée…
    AMCHI
    AMCHI

    5 034 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juillet 2010
    Burt Lancaster, toujours fabuleux, doit seul contre tous se débarasser de vilains cow-boys. Ni bon ni mauvais, L'Homme de loi est un western qui fait passer un bon moment et il est sauvé notamment par son casting de choix.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    664 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juillet 2010
    Voici un long métrage agréable à visionner, en grande partie, grâce à son casting qui est vraiment de qualité.
    Dans le rôle principal, nous retrouvons un Burt Lancaster ( " Bronco Apache " ) en grande forme dans le rôle du shérif Maddox venant d'un village voisin, et qui bien décidé à ramené morts ou vifs les hommes qu'il est venu arrêté. A ses côtés, Robert Ryan ( " La Horde Sauvage " ) campe, quand à lui, le shérif Cotton Ryan avec le charisme et la talent qu'on lui connait. Il y a aussi dans ce western, un atout de charme non négligeable avec la présence de la belle Sheree North qui apporte un peu de légèretée dans ce film qui se veut parfois assez violent sur certaines séquences.
    En plus, La mise en scène de Michael Winner ( " Un Justicier dans la Ville " ) est d'une certaine efficacité et la photographie de Robert Paynter est agréable à visionner, ce qui fait que l'on passe un moment sympathique devant ce western du début des années 70.
    Wagnar
    Wagnar

    63 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 janvier 2017
    Un western plutôt bien mené et bien interprété par Burt Lancaster mais gâché par une succession de détails frustrants : une mise en scène télévisuelle abusant de zooms inutiles, une histoire d'amour inintéressante, des séquences de dialogues un peu lassantes et surtout ce final incompréhensible et contradictoire où Maddox, reniant tous ses principes de légitime défense, tire dans le dos et abat froidement le mari de son ex-petite amie et cela alors qu'il était visiblement lassé par toute la violence dont il avait été témoin. Bref, un western pas mauvais, mais dont on ne retient pas grand chose au final.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 006 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 août 2023
    Michael Winner cinéaste britannique qui démarre sa carrière en 1960 s’est tout d’abord spécialisé dans des comédies dramatiques où l’humour fleure bon le Swinging London qui était devenu un art de vivre depuis l’avènement des Beatles. Remarqué par la critique anglaise qui goûte son audace, Winner émigre au tout début des années 1970 à Hollywood où il effectuera quasiment tout le reste de sa carrière qui sera éclectique, couronnée de quelques succès commerciaux mais aussi fortement sujette à controverses. En effet, le réalisateur qui n’a pas froid aux yeux commettra le crime de lèse-majesté d’avoir permis à Charles Bronson de s’ériger en émule de Clint Eastwood dans le fameux “Un justicier dans la ville” accusé de promouvoir l’auto-défense dans un pays où la vente libre des armes fait d’énormes ravages. Des deux côtés de l’Atlantique, la critique mainstream se charge de faire sa “promotion”. Une réputation se met dès lors en place qui ne l’empêchera pourtant pas de tourner car le succès commercial du film et de ses nombreuses suites incite les producteurs à toujours miser sur lui. Une réputation qui si elle a commencé à être nuancée avec le temps se dégrade à nouveau quand à l’aube des années 2015 s’étend sur tout le monde occidental, une chasse à tout ce qui peut s’apparenter à du conservatisme ou encore pire à du populisme jugé responsable de tous les maux qui frappent nos sociétés dites “progressistes”. Inutile de préciser que le cinéma de Michael Winner ne peut pas répondre aux nouveaux canons de l’ordre moral en vigueur. Mais quand il débarque dans la Cité des Anges, Michael Winner est encore un homme neuf et c’est un western qui lui est proposé par United Artists. Complètement étranger à un genre typiquement yankee hormis le détournement qu’en a proposé récemment Sergio Leone, le jeune réalisateur, à peine âgé de 35 ans, va devoir en sus diriger des acteurs blanchis sous le harnais, stars certes un peu sur le déclin mais encore suffisamment populaires et influentes pour ne pas s’en laisser compter par le jeune british à la carrure plutôt frêle. Burt Lancaster, Robert Ryan et Lee J.Cobb sont des habitués du genre et Michael Winner va très habilement les laisser exprimer leur talent dans des compositions qu’ils connaissent sur le bout des doigts. Le genre qui n’est plus très en vogue retrouve un peu de souffle depuis que Sam Peckinpah avec “La Horde sauvage” en a écrit une autre grammaire où la violence stylisée tient lieu de ponctuation. D’autres comme Elliot Silverstein (“Cat Ballou” en 1965, “Un homme nommé cheval” en 1970), Arthur Penn (“Little big man” en 1970), Joseph Mankiewicz (“Le Reptile” en 1970) Robert Altman (“John McCabe” en 1971, “Bufallo Bill et les Indiens” en 1976) choisissent la voie de la dérision pour démystifier la légende de l’Ouest. Michael Winner à partir d’un scénario écrit par Gerry Wilson reste dans une trame plus classique tout en introduisant certains messages qui dénotent avec ce qui composait encore le western dans les années 1950. Le shérif joué par Lancaster s’il est tout à fait dans la lignée de la rectitude morale qu’incarne souvent l’acteur est orienté vers une forme d’extrémisme qui amène à se demander si le paravent de la loi ajouté au fait qu’il se targue de ne jamais tirer le premier n’est pas finalement l’autorisation que cet “Homme de la loi”’ se donne à bon compte pour assouvir une pulsion meurtrière solidement ancrée . Le magnat traditionnel régnant d’une main de fer sur une ville dont il assure la tranquillité en échange de voir ses intérêts financiers préservés, interprété par le toujours excellent Lee J.Cobb, n’est pas l’homme sans foi ni loi qui habite généralement ce type d’intrigue récurrente. Prêt à s’en remettre à la loi mais aussi très conscient des massacres qui ont dû être perpétrés pour prendre possession de terres qui étaient depuis l’aube des temps aux indiens, il incarne la prise de conscience d’une Amérique en voie de civilisation où la justice va bientôt remplacer la loi des hommes incarnée par Jared Maddox (Burt Lancaster). Robert Ryan ami hors écran de Lancaster qui sort tout juste du tournage de “La horde sauvage” est lui un ancien shérif qui a compris avant Maddox que la loi du plus fort ne peut guère faire avancer les choses. Enfin Sheree North (ravissante et excellente) qui interprète Laura Shelby, son ancienne maîtresse retrouvée, sera un temps vue par Maddox comme une échappatoire possible qu’il ne saura malheureusement pas emprunter, restant figé dans ses principes et ses certitudes. Les gros plans nombreux sur les visages notamment celui de Lancaster que n’ont pas appréciés certains critiques de l’époque ne sont là que pour traduire l’émotion et les doutes qui assaillent les protagonistes implicitement conscients que l’histoire est en marche et que vouloir la freiner sera vain. De ce point de vue Maddox peut utilement rejoindre les héros de Peckinpah qui tous préfèrent mourir plutôt que de voir leur idéal de vie disparaître. Maddox se sera juste un temps posé la question de prendre le train en marche. On peut donc dire que Michael Winner a largement réussi son examen de passage lui qui courait fortement le risque d’être le chien dans un jeu de quilles. On remarquera la présence assez discrète de Robert Duvall qui à 40 ans est encore à l’aube de sa grande carrière.
    this is my movies
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    617 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 novembre 2017
    (...) Au niveau mise en scène, on est face à un western qui exploite plutôt bien ses décors "urbains" (la ville est bien reconstituée, avec une grande attention portée sur les détails, avec des costumes et des accessoires plus réalistes que dans les westerns des années 50 et 60). Dans la décennie 1970, la reconstitution est plus crue, plus crade, avec beaucoup de poussière, de sueur et de saleté. L'image est également plus terne, plus crue malgré l'utilisation du Technicolor mais on est loin de la flamboyance des images des westerns classiques utilisant cette technique, et on est également très loin des fulgurances stylistiques d'un Ford. Bien évidemment, le western spaghetti est passé par là et le cinéma de Sam Peckinpah aussi. "L'homme de la loi" reprend donc certains tics de ces différentes approches, comme une violence beaucoup plus graphique et un abus de zooms pas toujours très gracieux. Winner est également un cinéaste tourné vers l'efficacité, c'est à dire qu'il effectue peu de prises. Ainsi, il a la chance de pouvoir se reposer sur des comédiens talentueux et qui n'avaient sans doute pas trop la patience, la nécessité ou la volonté d'en faire plus. La mise en scène est donc loin d'être élégante tout en étant un peu plus que fonctionnelle (le montage est tout de même de qualité, dynamisant certaines scènes d'action et quelques travellings sont agréables). En fait, ce qui est plus intéressant dans le film, c'est donc le portrait de ses personnages et en creux, le récit d'une Amérique en pleine mutation (le film se déroule presque un siècle avant sa fabrication). Ainsi, il est aisé de faire des parallèles entre la ville de Sabbath dans le film et ce que vivait le pays à l'époque. Maddox est une relique du passé, un homme qui se bat avec des armes (la guerre du Viêt-Nam fait encore rage à l'époque). Bronson, le rancher, est un pragmatique. Dans son monde, tout s'achète avec de l'argent, y compris la vie d'un mort. Après la conquête de l'Ouest, les hommes comme Maddox et Cotten (Ryan dans le film) sont des anachronismes. Et si Maddox apparaît comme le chevalier blanc au début, il ne cessera de se révéler ambigu tout au long du film. Sa rencontre avec une ancienne conquête, mariée à l'un des hommes qu'il recherche, permettra de travailler le personnage et d'en faire un peu plus qu'un simple justicier. Veut-il réellement se caser ou se berce-t-il d'illusions pour se convaincre que c'est la chose à faire ? Est-il un être épris de justice ou un tueur avec une étoile au veston ? Si l'exploitation de ces thématiques est loin d'être neuve dans le genre (tout comme la ville sous la coupe d'un riche propriétaire terrien, on peut même dire qu'il s'agit de codes du genre), son traitement doit beaucoup à Winner qui y inclut des pistes que l'on retrouvera dans ses futurs travaux. Ainsi, la ville de Sabbath est peuplée d'êtres veules et couards, qui rêvent de sécurité dans leur ville mais qui détestent ou méprisent ceux qui leur offre cela (l'éternel combat entre la sécurité et la liberté). Les employés de Bronson ne sont pas tous des tueurs ou des saints, il y a de tout. On y trouve l'employé fidèle à la ligne inflexible, le fils qui vit dans l'ombre de son père et qui veut en sortir (rôle un peu sous-exploité), l'excité de la gâchette qui veut en découdre, le jeune qui veut se prouver qu'il est un homme de la trempe de Maddox, l'honnête fermier qui est là pour la paie ou encore le lâche de service bref, c'est un échantillon de l'humanité, dans toute sa complexité, dans toute sa diversité. En soi, le film n'est pas désagréable, et il démarre même plutôt bien. Le souci vient d'un 2ème acte un peu faiblard, qui s'enfonce dans des problématiques qui ne font pas avancer l'histoire correctement, des péripéties pas toujours palpitantes et le final, pour expéditif qu'il soit, rehausse un peu le tout en donnant un virage définitivement troublant au personnage de Maddox, qui se dévoile dans toute sa cruauté et même son hypocrisie. (...) La critique complète sur thisismymovies.over-blog.com
    bobmorane63
    bobmorane63

    153 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juin 2022
    Un excellent Western signé par Michael Winner que les cinéphiles connaissent plus pour ses collaborations avec Charles Bronson comme célèbre "Un justicier dans la ville" !!
    "L'homme de la loi" a une très bonne thématique sur le pardon ou la vengeance dont l'histoire commence par une tuerie dans un patelin de cowboys puis après un homme représentant la loi, droit dans ses bottes et tireur rapide, arrive pour soit arrèter , soit tuer, sept hommes impliqués dans les meurtres. Les choses ne vont pas se déroulé comme les personnages centraux le pensaient par la suite. Ce long métrage a été diffusé dans "La dernière séance" d'Eddy Mitchell (d'ou ma curiosité, enfin quoique des fois l'émission passait des nanars) et c'est vrai qu'il mérite le coup d'oeil par un large public car il a pas mal de qualités, un scénario avec une bonne trame, une solide mise en scène, une musique captivante, des beaux paysages désertiques et puis un remarquable casting avec Burt Lancaster, Robert Ryan, Lee J. Cobb, Robert Duvall plus d'impeccables acteurs et une belle actrice dans les seconds roles. Une oeuvre que je conseille.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    216 abonnés 2 785 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 juin 2022
    Avec un casting qui en impose par sa seule présence et une histoire bâtie sur des fondamentaux typiques du genre, l'Homme de la Loi apparaît comme une tentative de réponse au western-spaghetti, en témoigne sa mise en scène aux effets et travellings singulièrement évocateurs, ainsi que sa violence pas du tout édulcorée. En revanche, le résultat, un peu trop cousu de fil blanc, n'est pas au niveau de la Horde Sauvage par exemple, nous offrant des personnages trop prévisibles et une mécanique du scénario qui a tendance à trop se répéter pour avancer un peu. Un film efficace mais guère surprenant.
    Estonius
    Estonius

    2 473 abonnés 5 225 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 octobre 2018
    Curieux western puisqu'à le héros psycho rigide incarné par Burt Lancaster n'attire la sympathie un pendant un court moment (lors de sa rencontre par Laura), ensuite le naturel reprendra le dessus… en pire. Le portrait est terrible. En comparaison Robert Ryan, shérif de paille, finit par gagner en sympathie. C'est pas mal, mais ça fait froid dans le dos et ça ne provoque pas l'enthousiasme malgré des qualités certaines
    jean-paul K.
    jean-paul K.

    7 abonnés 323 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 avril 2016
    ce film fait partie des bons westerns; pas trop d’invraisemblances, quelqueq beaux paysages et une très bonne interprétation du trio Burt Lancaster, Robert Ryan et Lee J. Cobb. Nous avons même de la sympathie pour le marshall Maddox, qui va croissant. Mais finalement le naturel reprend le dessus à la fin et il nous apparaît alors , sous couvert de la loi, comme une brute sanguinaire.
    Oli B
    Oli B

    11 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 septembre 2022
    1971 , la fin des westerns flamboyants d'Hollywood, la libération des mœurs , la psychologie torturée des personnages... Au cours du film , on déteste de plus en plus le "héros" en ayant plus d'empathie pour les autres personnages .... jusqu'à un possible happy end ......qui vire au carnage , chassez le naturel..... Si on est pas inconditionnel du western ça peut paraitre long alors que ça ne dure que 1h34... Paradoxe rime avec Maddox..
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 avril 2015
    Burt Lancaster obsédé par la loi commet un carnage, les paysages du Mexique sont très beaux. Un western remarquable.
    White Fingers
    White Fingers

    6 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 janvier 2023
    Depuis quelques années, le genre western a entamé au cinéma un long et inexorable déclin. Il ne retrouvera que sporadiquement ses lettres de noblesse grâce à des réalisateurs comme Clint Eastwood dans les années 80/90. « L’homme de la loi » (« Lawman ») est un film, à l’image de son époque, violent et pessimiste sur la nature humaine, qui dépasse le manichéisme balisé du western classique. Jered Maddox (Burt Lancaster), le shérif donc l’homme qui est censé représenter la loi, va s’enfermer dans une logique implacable et jusqu’au-boutiste qui va le conduire à se muer en justicier contre-productif et commettre des actes moralement discutables. Le film bénéficie d’une distribution admirable avec des acteurs vieillissants voire fatigués : Burt Lancaster, Robert Ryan et Lee J. Cobb. Je passe sur certains effets de caméra qui font penser aux codes du western spaghetti ou sur la pseudo-romance qui n’apporte rien à l’ensemble. L’histoire aurait pu bien se terminer, mais elle tourne au combat de rue en règle… violence, violence, quand tu nous tiens ! Un honnête film qui a le mérite de casser les codes en nous présentant un parfait anti-héros… plutôt amoral.
    Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
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