Derniers Avis : Songbird - Page 7

Je m'attendais à mieux... décevant et trop irréaliste

Vraiment ... Il est pas bon....Je m'attendais à rien et à je suis quand même déçu ... Incohérence sur Incohérence et montage surcuté

Bon...on se serait attendu à quelques chose de meilleure facture mais ce n'est pas le navet présenté par certains. Le scénario est simple et le film court. Quelques scènes sont particulièrement mauvaises mais l'ensemble se laisse voir. Quant à l'ambiance pandémique, il suffit de voir ce que nous vivons actuellement avec sa cohorte d'hystéries pour se dire que rien n'est impossible...

"Songbird" est un bon film de Science-fiction. Il s'agit du premier film tourné à Los Angeles pendant la période de confinement aux États-Unis lors de la pandémie de Covid-19. Un scénario plutôt sympa, les personnages sont attachants et une durée du film qui n'est pas très longue. J'ai été un peu déçu par le film car je trouve qui manque un peu d'action, l'intrigue est prévisible et je trouve dommage que le récit ne soit pas un peu plus apocalyptique.

Film Sans intérêt d'un coursier immunisé et d'une jeune fille il se passe rien aucun suspens aucune émotion le néant absolu avec la présence de demi Moore en mode botox

Rien à sauver de ce navet opportuniste !


Ou, plus gentiment, comme écrit par ailleurs : "il n'y a finalement pas grand-chose qui mérite le coup d'œil."

Et si ça ne s'arrêtait pas ? 2024, Los Angeles entre dans sa 213ème semaine de confinement face à l'épidémie de Covid qui a upgradé jusqu'au niveau 23 pour désormais attaquer le cerveau des humains de manière foudroyante. Pendant que les contaminés disparaissent par dizaines dans des camps de quarantaine mis en place par un gouvernement U.S. dépassé, les rares immunisés à la maladie peuvent encore circuler dans la ville désertée et sont identifiés grâce à un bracelet jaune, des précieux sésames qui s'arrachent évidemment au marché noir. Au milieu de ce chaos, un livreur va prendre tous les risques pour sauver sa petite amie...

Pas la peine de tergiverser sur l'opportunisme ou non d'un tel projet, "Songbird" est un film si insignifiant qu'il n'en vaut de toute façon pas la peine. Tout ce que le producteur Michael Bay et le réalisateur Adam Mason ont en effet pu tirer de la situation la plus extraordinaire qu'ait connue l'humanité depuis des années se résume à un long-métrage post-apocalyptique creux et terriblement vain.
Bien entendu, la présentation de ce futur pessimiste très proche du nôtre réussit à jouer sur nos appréhensions les plus paranoïaques dans ses premiers instants, quelques détails plutôt bien pensés sur un mode de vie bouleversé par la maladie sur le long-terme font notamment leur petit effet. Mais "Songbird" passe tellement de temps à vouloir présenter et accentuer le pire de ce qu'une société submergée par le virus pourrait devenir qu'il en oublie de construire à peu près tout le reste, sans compter qu'à part l'isolement, les ramifications proposées ne débouchent que sur des standards poussiéreux (des variantes de collaboration/résistance caricaturales en gros).
Dessinés en trois-quatre coups de pinceaux faute de développements conséquents, le nombre trop important de personnages ne peut aboutir que sur une galerie de stéréotypes uniquement définis par leur fonction et la manière par laquelle ils vont se relier entre eux pour servir une intrigue désespérément plate (obtenir un ticket d'or pour fuir) et ponctuée de deus ex machina si grossiers que personne ne semble avoir pris le temps de cacher leur caractère aberrant. Pire, malgré ses enjeux terriblement simplistes, "Songbird" donnera toujours l'impression de ne pas savoir comment passer à la vitesse supérieure, comme si l'ensemble était définitivement condamné à faire du sur-place dans sa trop grande toile d'araignée de points de vue. Et même lorsque les choses bougeront un peu plus dans la dernière partie, "Songbird" se contentera du strict minimum aussi bien en termes d'action que de discours niaiseux délivrés (même séparé, le meilleur de l'humanité trouve toujours le moyen de s'unir dans l'adversité... mouais).
Bref, s'il existe bel et bien la possibilité de réaliser un très grand film sur l'événement exceptionnel qu'a représenté cette pandémie mondiale, ce n'est sûrement pas cet inutile "Songbird" qui a su saisir cette chance...

J'aurais préféré un film plus mature et intelligent. Ce film transpire de sentimentalisme niais. Entre les dialogues entre adultes amoureux aux tons infantilisés et la compassion jouée par de mauvais acteurs apparemment sélectionnés plus pour leurs attraits physiques correspondants aux standards de beauté que pour leur talents d'acteurs dramatiques et la prévisible spoiler: propagande US guerrière avec utilisation entre les mains d'un civil vétéran de guerre d'un drone tueur pour tuer un méchant pas beau
, je ne sais pas ce qui m'a lassé le plus.
Côté scénario et background, je suis resté sur ma fin quand au développement anecdotique qui se suffit au synopsis et à la bande-annonce du film et absolument rien de va au delà de sa présentation. La finalité du déroulement du scénario m'a quelque peu étonné car je m'attendais à spoiler: une bonne couche de propagande pro-vaccination présenté comme une fin heureuse et salvatrice mais pas un seul mot à ce sujet.
plutôt que spoiler: l'apologie du port de bracelet électronique de couleur jaune étoilé qui n'est pas sans rappeler les heures les plus sombres de notre histoire...
. Tout bonnement effarant !
Moralement ; ce film est pernicieux sous couvert de bon sentiments d'origines religieuses et animal sans parler du passage où spoiler: l'apologie de lap dance tarifé et tendancieux fait son apparition.

À part cela ; on aurait dit une vague publicité pour les services de livraison à domicile et une déclaration d'amour à l'uberisation de la société.
J'ai eu envie d'arrêter le visionnage de ce film avant même la moitié.
Ce film est nul en plus d'être moralement condamnable !

le premier film sur la covid 19 qui a muté en covid 23. Un recit post apocalyptqiue dans une amerique post bush decime. Ou l'historie d'amour une sorte de romeo et juliette en mode confinement. L'ambiance est peusante par moment et le film assez reussi. Certes, il y aura d'autres film sur la covib beaucoup plus reussi mais celui ci est interessant

Le covid à fait beaucoup de torts au cinéma, mais ça n'empêche pas celui-ci de surfer sur la vague et de nous sortir Songbird, premier film Us à avoir été tourné pendant le confinement à Los Angeles. Et le résultat est assez calamiteux, scénario fainéant, bourré d'incohérences et surtout affligeant de débilités, acteurs tous à côté de la plaque pourtant le casting n'es pas si dégueu, et la réalisation est médiocre, c'est à se demander sur quoi Mickael Bay c'est appuyer pour produire un truc pareil. Cela aurait pu être intéressant si sa avait été fait de manière intelligente, et surtout sensé, mais ici cela ressemble plus à un projet fait à la vite. Une déception à tous les niveaux.

Écrit et tourné pendant la pandémie, "Songbird" est l'un des nombreux films en rapport avec le virus et le confinement que l'on va voir débarquer au cours des prochaines semaines. Nous sommes en 2024 et le virus a muté au point de devenir très mortel. L'ensemble de la population est confiné tandis que les personnes infectées sont envoyées dans des zones que l'on ne nous montre pas vraiment, mais où il ne fait pas bon vivre. Les seules personnes autorisées à sortir sont celles qui sont immunisées. Nico fait partie de ces gens, il est livreur puisqu'il peut se déplacer partout et il entretient une relation avec Sofia sauf qu'il ne peut pas la voir en chair et en os à cause des restrictions. Parmi les autres personnes que l'on suit, il y a Piper, une femme riche qui vit avec sa fille et son mari avec qui ils font du trafic de bracelets. Il y a également d'autres personnages plus ou moins importants et bien sûr le destin de chacun va être lié. Si l'histoire a une portée différente étant donné que l'on a nous-mêmes vécu un confinement, l'intrigue reste classique et propre à bons nombres de films post-apocalyptiques. Je trouve même que le confinement n'est qu'un prétexte pour simplement coller l'actualité. Cela n'apporte pas grand-chose à l'intrigue. Le film est un drame sur fond de thriller avec cette course contre la montre pour que l'un des personnages en sauve un autre. Il y a un peu de fond avec les personnes aisées qui ont une vie plus agréable même en ces temps difficiles, mais cela ne change pas vraiment de la vie de tous les jours. J'étais curieux de voir ce film pour des raisons évidentes, mais il n'y a finalement pas grand-chose qui mérite le coup d'œil. Le scénario n'est pas fou et les nombreuses histoires qui s'entremêlent manquent d'enjeux. Je n'ai pas trouvé ça mauvais pour autant, mais c'est un film qui sera vite oublié.

Conçu, écrit et filmé dans les premiers jours de la fin du confinement COVID à Los Angeles l’été dernier, Songbird est peut-être le premier véritable film «post-COVID». Songbird avance jusqu’en 2024 alors que le COVID-23, une autre mutation de notre ennemi pandémique actuel, ravage la population. Dans la vision du film, Los Angeles est entrée dans une sorte de ferveur permanente d’état policier post-apocalyptique avec des «Q-Zones» abritant des individus exposés. Un petit sous-ensemble de la population se voit attribuer un bracelet indiquant qu’ils sont immunisés contre les ravages de la maladie mutée et son taux de mortalité de 50%.

Critique disponible dans son intégralité : https://cestquoilecinema.fr/critique-songbird-representation-stupide-mais-amusante-de-2020/