L'incroyable histoire de l'Île de la Rose : Critique presse
L'incroyable histoire de l'Île de la Rose
Note moyenne
2,7
3 titres de presse
Télé 7 Jours
Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
3 critiques presse
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Cette histoire incroyable, mais vraie, donne lieu à une savoureuse comédie italienne, qui fait revivre l'esprit contestataire et ludique des utopies libertaires de 1968.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Cette comédie inspirée de faits réels retrace l’utopie d’un homme qui voulait s’affranchir des contraintes de la société, joué avec fantaisie par Elio Germano (La Nostra vita). Du rêve à la désillusion, le récit s’attache à détailler les étapes de ce projet fou. Mais il demeure théorique et anecdotique.
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Mais quel dommage, alors, que Sibilia, tout affairé à tricoter ce qu’il considère peut-être comme une flamboyante histoire d’amour (spoiler : elle est sans intérêt), néglige son sujet : celle d’une utopie folle, absurde, poétique et enivrante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
AlloCiné
Télé 7 Jours
Cette histoire incroyable, mais vraie, donne lieu à une savoureuse comédie italienne, qui fait revivre l'esprit contestataire et ludique des utopies libertaires de 1968.
Le Journal du Dimanche
Cette comédie inspirée de faits réels retrace l’utopie d’un homme qui voulait s’affranchir des contraintes de la société, joué avec fantaisie par Elio Germano (La Nostra vita). Du rêve à la désillusion, le récit s’attache à détailler les étapes de ce projet fou. Mais il demeure théorique et anecdotique.
Les Fiches du Cinéma
Mais quel dommage, alors, que Sibilia, tout affairé à tricoter ce qu’il considère peut-être comme une flamboyante histoire d’amour (spoiler : elle est sans intérêt), néglige son sujet : celle d’une utopie folle, absurde, poétique et enivrante.