Avis : Avalon - Page 8

Un scénario mené de main de maître par le réalisateur de l'incontournable Ghost in the Shell qui nous transporte entre réalité, fiction, et fiction par dela la fiction, a n'en plus savoir au final ou nous en sommes. A partir d'un theme ressemblant a Matrix,Mamoru Oshii réussit lui avec bien plus de philosophie et d'esthetique a nous faire douter sur notre propre monde nottament par l'utilsation des couleurs (a noter que le monde reel est en "noir et blanc" alors que le niveau superieur du jeu est en couleur) ainsi que la tres jolie bande son qui nous permet de rester accrocher a ce film a l'apparence tres sombre et opaque.
A voir et a revoir, on comprend quelque chose de nouveau a chaque visionnage.

Je ne trouve rien de bon à dire sur Avalon. Si ça doit être un jeu d'ordinateur je ne jouerais pas à ça. Prise de vue médiocre, son médiocre, mauvais acteurs et dialogues déplorables (artificiels et schématiques). Cette répétition constante de tout (scènes, musique, scénarios) m'a beaucoup fatigué. Tellement fatigué en fait, que je me suis endormi pendant la majeure partie du milieu du film. Bien sûr, je voulais aimer ce film mais son vrai problème est que vous n'êtes jamais récompensé pour votre patience. Il ne propose pas une nouvelle histoire sur la réalité virtuelle et rien de nouveau n'apparaît vraiment dans ce film. La fin ouverte m'apparaît ici comme une astuce creuse. Avalon n'est qu'une perte de temps générale...

!!! Rarement vu un film aussi nul que ce soit le scénario ou les effets graphique, en effet 2002 ce n'est tout de même pas le début des effets spéciaux...

Bref un film vide, une histoire sans intérêt. Un nom laissé présager le meilleur... mais ça s'arrête là quel dommage d'utiliser le nom d'Avalon pour un tel navet sans rapport aucun avec la légende d'ailleurs.
Perdu mon temps à vouloir connaître le dénouement.

Un film à double tranchant.
Avalon est sans contestation visuellement magnifique et d'une créativité scénaristique incontestable.
Cependant, le rythme du film m'a surpris.
Réellement lourd voir ennuyeux, le film est déroutant.
Il ne se passe rien pendant 1H30 et les scènes d'actions virtuelles s'avèrent molles, sans énergies.
Ce film plutôt prometteur plonge assez vite le spectateur dans une léthargie inévitable qui fera plonger les moins résistants d'entre nous dans l'assoupissement total.
Avalon peut être un film puissant, marquant pour ceux qui ont la chance d'adhérer à cette atmosphère particulière.
Malheureusement ce ne fut pas mon cas.

Film unique visuellement et très beau... mais je suis déçu car ennuyeux et le scénario est très spécial!

« Avalon » est un véritable ovni cinématographique tant il est surprenant jusqu’à être totalement hermétique en noyant le spectateur dans une totale confusion. On y suit donc Ash, une joueuse d’Avalon, jeu illégal, qui doit accomplir des missions qui rapportent de l’expérience et de l’argent. L’histoire centrale peut sembler banale à première vue, et pourtant, elle traite de la perception d’une certaine dualité entre le réel et le virtuel. Le rendu esthétique des couleurs d’un ton sépia durant une bonne partie du film s’intègre parfaitement au contexte mythologique de l’intrigue que Oshii a voulu créer en appliquant des prises de vue réelles, en les balançant dans un univers virtuel. La structure narrative du film ressemble à un jeu vidéo avec missions à accomplir, des niveaux à dépasser, le boss à vaincre… et comme dans tout jeu, il y a une quête à accomplir. Bref, « Avalon » est une œuvre énigmatique, opaque qui demandera un effort de compréhension ainsi que d’une certaine culture du genre

Film assez incompréhensible, où on nous colle en face des mots "savants" pour faire croire à l'ambiance virtuelle : en gros, pour accéder à la super classe-A et retrouver un non-revenu, il faut tuer le ghost hors du mur, sans demander un reset, avec l'aide d'un prêtre qui n'a pas de point d'accès et qui fait partie des nine sisters... Sinon, c'est horriblement lent, et si je mets l'étoile, c'est pour le côté visuel original du film, qui aurait sans doute bien mieux rendu dans un court-métrage de 30 minutes !

Un film au scénario assez plat. Même si l'idée de départ est intéressante (un jeu en réseau d'un monde virtuel "réel" à la "Matrix" donc), l'intérêt s'arrête vite. La lenteur de l'action n'apporte ici pas grand chose. Le film consiste en séquences du jeu (une suite de missions de différents niveaux dans lesquels on doit tuer seul ou en équipe des ennemis, ce que que je trouve étrangement inintéressant), pour finir finalement par atteindre le fameux niveau qui s'avère être plus "réel" que les niveaux précédents. On comprend alors pourquoi certains joueurs l'ayant atteint préfére y rester que de retourner dans leur salle existence quotidienne. Somme toute très classique. On comprend alors que le lyrisme voulu par le réalisateur puisse laisser quelque peu indifférent.

Le jeu de rôle, le jeu vidéo, investis par le metteur en scène de « Ghost in the shell ». Jouer à en perdre toute notion de réalité. L'idée est intéressante mais dangereuse si elle n'est pas reliée à une thématique universelle. C'est là que le réalisateur frappe fort en proposant une anticipation du monde tellement triste, austère, emprunt de solitude, que la voie du ludique, même extrême, semble dès lors concevable et crédible. Et tout ça, en suggestion, sans jamais rien expliquer. Le récit se veut d'ailleurs très silencieux, laissant la part belle à l'image. Le travail visuel est remarquable dans de ce film ; le graphisme et la photographie sont assez inédits, très proches de l'art pictural. Une adéquation parfaite entre le fond et la forme offre un spectacle de tout premier ordre. Pour moi, un des plus grands films d'anticipation de l'histoire du septième art, rejoignant ainsi les « 2001, l'odyssée de l'espace », « Blade Runner », « Terminator II ». Un film froid et mécanique à l'instar de l'héroïne Ash, mais d'une force suggestive magnifique. Un Iceberg bouleversant.

Faisons aussi court que les quelques lignes qui devaient contenir l'intégralité du scénario du film : histoire sans intérêt qui essaie de nous faire croire qu'il s'agit là d'une réflexion sur la réalité et le virtuel pour pseudo-intellectuels, effets spéciaux d'un Atari, jeu d'acteur pitoyable, lenteur extrême. Félicitations aux spectateurs qui tiennent jusqu'au bout en espérant que tout ça mène à quelque chose. En un seul mot : nul !

Cette critique est purement subjective et n'engage que moi. J'invite chacun à faire sa propre opinion mais c'est là le pire film qu'il m'ait été donné de voir. Je n'accroche absolument pas à l'esthétique du film, irritante au possible. Le sujet traité est relativement intéressant mais le scénario ne se donne pas les moyens de répondre à la problématique posée. Les personnages sont vides et si le jeu des acteurs est loin d'être mauvais, leurs prestations sont complètement desservies par la réalisation.
Les rebondissements ne sont que des pirouettes mal maîtrisés et qui ne font que détruire un peu plus cette ébauche de réflexion sur les jeux en ligne.
Si quelqu'un arrive à déceler une once d'originalité dans ce film ca sera uniquement sur le plan visuel, car sur le fond, AVALON est d'une médiocrité affligeante.

Soyons clair, nous voici en face d'un film on ne peut plus "bizarroide": soit on accroche dès les 15eres minutes soit on décroche (fort compréhensible)...

J'appartiens au 1er camp. Je me suis laissé embarquer dans un monde virtuel près de 2h durant, transporté par une musique irréelle, des scènes étranges,...

Quand au scénario, il peut paraitre très... frustrant (argh mais c'est quoi ces quinze dernières minutes qui remmettent en doute nos certitudes d'avoir à faire à une trame jusque là très logique?!)! Mais c'est ce qui fait tout son charme!

Vous l'aurez compris, ce film aura ses détracteurs et ses admirateurs comme tout film culte. Aah, Le mot est lâché.

Comment pourrais-je decrire un film qui me marque au point d'en acquerir son identité?! Ce film est pour moi le film le plus aboutis de tout les temps. Il a été idéalement conçus pour que des humains comme nous comprennent que l'ont peus aimer le 7eme Art dans ces vrai termes. Mamoru Oshii l'a bien compris lui et ce coup de génie qu'est Avalon n'en ai pas moins un coup de maitre. Et je terminerais simplement en vous disant : Avalon et avec plaisir. ;)

Mouais, ok c'est bien foutu comme film, mais qu'est ce que c'est long! Trop long même!

Envoutant, innovant et sombre; on reprochera quelques complications au niveau de l'histoire.
graphismes et musique au poil !