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    Red Rocket
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    Jean-Pierre B.
    Jean-Pierre B.

    5 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 février 2022
    Ce portrait d'une ex-star du porno qui cherche à trouver sa place dans la société ne m'a pas vraiment convaincu. Si l'acteur principal, issu lui-même de ce système, offre une interprétation juste ; l'histoire me semble déjà vue et revue. Le scénario ne met pas en valeur chaque personnage en jouant grossièrement avec les stéréotypes. Au final, je me suis pas mal ennuyé en le regardant.
    St Montipel
    St Montipel

    5 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 octobre 2022
    La critique plutôt positive m'a donné envie de voir ce film . Erreur, et il est confirmé qu'il de plus en plus difficile de suivre les professionnels du cinéma. Bref entre vulgarité et le néant ,il n'y a qu'une chose à dire s'abstenir d'aller dépenser son argent pour un tel film.
    Sosa
    Sosa

    7 abonnés 360 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 avril 2022
    Un personnage, que l'on ne peut aimer sincèrement, il a des défauts, loin d'être tout blanc. c'est un salaire.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    2 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 mai 2024
    Juste génial. J'avais déjà adoré son Florida Project, qui restait pour moi l'une des réfs de ces 10 dernières années du ciné indé américain que j'aime tant.
    Je ne sais pas encore si celui-ci est juste mieux ou tout aussi bien.
    J'adore. L'ambiance poisseuse et chaude d'un été dans l'amérique profonde. Le jeu d'acteur si spontané que je me suis demandé quelle était la part d'impro. Des persos qui font si vrais...
    On est tellement à 10000 bornes de ce que le cinéma us peut produire de pire aujourd'hui.
    Des films comme ça j'en mangerai tous les jours.
    HenriIV
    HenriIV

    4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2022
    Je comprends les mauvaises critiques et je me démarque par aux autres en mettant 4,5 étoiles, car je viens de voir un film, qui n'est pas dénué d'ntérêt.

    Malgré quelques passages vides d'ici et là, on ne voit pas passer le 2h de film, car c'est bien écrit, et surtout c'est magistralement, bien joué. (même le petit rôle de June est joué avec beaucoup de charisme). J'avais peur que je vais voir un film woke sur la misère, mais finalement non.

    Personne n'est ni totalement bon ni totalement mauvais. Ils essaient tout simplement essayer de sortir de leur mal être. Au point de faire n'importe quoi.

    Rare sont des films où on voit un héros qui est détesté par toutes les femmes avec qui il vient en contact malgré ses charmes, sauf la jeune...et encore on ne sait pas si elle le manipule.
    Ann Ponthieu
    Ann Ponthieu

    3 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2022
    Une plongée dans le Texas très bien menée, qui marque et reste en mémoire. Vraiment très bien. Les acteurs sont parfaits pour incarner ces personnages bien écrits. Je recommande !
    Romain Bauvillard
    Romain Bauvillard

    2 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 mai 2023
    De très belles images, une très belle performance de Simon Rex mais on ne comprend pas trop où veut aller le film ...
    Marc L.
    Marc L.

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 juin 2022
    On y un ex acteur porno plutôt dans la quarantaine, draguer, séduire et coucher avec une gamine de 18;
    LA CLASSE QUOI
    Bafff Vincent
    Bafff Vincent

    2 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 avril 2023
    c'est bien joué mais franchement l'histoire est vraiment bof et une fois le film fini j'ai la désagréable impression d'avoir perdu 2 heures
    Franzy
    Franzy

    2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 septembre 2022
    Surtout ne pas se fier à l'affiche !
    Pas drôle, l'histoire d'un pauvre type dans une Amérique désolée. Laisse un goût amer même.
    Patrick S.
    Patrick S.

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 février 2022
    intéressant mais un peu long par moments, je me suis un peu ennuyé même si le sujet est bien traité, bons acteurs aussi
    Marie-Laure S
    Marie-Laure S

    8 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 février 2022
    Long, scénario faible, sujets de fond à peine abordés, zéro émotion. J'ai perdu 2h10. En fait, je ne vois guère l'intérêt de ce film, hormis le portrait longuet d'une certaine Amérique.
    1critique
    1critique

    11 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 février 2022
    Mon analyse en vidéo: https://youtu.be/LI6lPz4igRo

    Sorti en salle le 2 Février 2022 en France, et précédé d’une opinion générale largement favorable
    voire laudative, Red Rocket n’entre pas tout à fait en terre inconnue. Remarqué par son long-métrage Florida Project en 2017, le réalisateur Sean Baker, dont on qualifie volontiers les films d’OVNI, a su cristalliser l’attention outre-atlantique par la fraîcheur de sa mise en scène et le ton résolument affranchi de son scénario. Et c’est avec l’étiquette très franco-compatible de comédie cynique et grinçante que Red Rocket fait son immixtion dans l’hexagone. Or, qu’en est-il? Peu de chose. Du moins du côté de l’outrage. Côté mise en scène, on attribuera à Sean Baker une aisance certaine qui tombera trop souvent dans une désinvolture in fine plutôt ordinaire. Pas un mauvais film, mais pas un bon non plus. La comédie américaine survoltée nous laisse dans la tiédeur. Jusqu’à la surchauffe.

    Car la structure du film est taillée à la mesure de Mikey: déchaînée, multi-directionnelle, chaotique,
    spontanée, à l’attention trouble qui tente tant bien que mal à se focaliser – littéralement, à suivre son personnage qu’une surcharge libidineuse entraîne. La pornstar masculine désuette, nourrie au viagra, comme le film l’est à l’elliptique et au short-cut, tente par tous les moyens de s’ouvrir une voie; une ligne de crête existentiel, un horizon. Une stabilité. Mais le court-termisme, le rythme effréné des pulsions et leur caractère ambivalent, n’aspirent à aucun projet durable dans le temps long d’une vie. C’est tout le mal qu’il s’inflige, aux désirs mouvants comme la queue du chien, et tout le mal qu’il inflige autour de lui. **Car Red Rocket est un film dont la préoccupation première est l’éthique. Peut-être l’heuristique.** La confrontation du temps long nécessaire de la sagesse et de la construction personnelle contre les mâchoires du besoin et de la consommation. Et un film sur le déterminisme, sur les chaînes de causalité, contre l’idéologie profondément individualiste d’une Amérique en déclin.

    Cette l’Amérique déchue s’incarne comme le veut la tradition au Texas, état témoin de la ségrégation sociale et économique, marginalité où Sean Baker aime étendre sa filmographie. Ruralité désabusée, championne de la consommation de drogues, campée sur un patriotisme aveugle. Mais aussi l’état de Trump, le vivier de ses électeurs, dont les apparitions télévisuelles font une toile de fond au film. Un Texas du désœuvrement, préoccupé avant tout de ses besoins, c’est-à-dire l’intervalle le plus court de l’existence.

    Mikey est un bad-guy déguisé en mec cool et branché, alimentant le porn-dreaming starifié depuis
    quelques années aux états-unis. Derrière ce nouvel américan-dream se cache un exploitant, maquereau légalisé, ondulant ses belles promesses comme le serpent d’Eden, qui précipitera des jeunes femmes immatures au cœur d’un système marchand où le corps n’est rien qu’une location. Là encore s’agite le feu du besoin: la promesse d’une gloire rapide, d’une célébrité facile -il ne suffit que de donner son corps, le règne du fantasme sur une réalité glauque et destructrice. Et une nouvelle apparition de Trump à la télévision, marchand de rêve où règne le fantasme de la solution facile, écran de fumée sur une réalité glauque et destructrice.

    Mais on ne pourrait réduire Mikey à un simple manipulateur factice. Mikey est avant tout une proie de son système de valeur et de son habitus social. Réalité déformée par une surabondance obscène et pulsionnelle, que le réalisateur excite chez le spectateur dans le décor d’un magasin de donuts: où le trou – du cul, la pénétration, sont des allusions pour qui veut bien les trouver. Un prisme déformant par l’omniprésence de son conditionnement mental chez Mikey: une rousse apparaît comme une ginger, une femme, une fille même, comme une sexe-addict délurée, et rien d’autres. Faute d’aptitude à les concevoir par une autre voie. Le règne de l’imbécilité, et une nouvelle apparition de Trump...

    L’irresponsabilité entraîne de nombreux maux, des réactions en chaîne insoupçonnables et irréversibles. C’est la synthèse de la vie de Mikey, qui après avoir détruit la vie de sa femme, s’évertue à plonger à son insu une jeune fille dans les méandres, et causera un accident de masse par son inconséquence. Accident, réaction en chaîne incontrôlée, qui causera la mort et la réclusion pour son nouvel ami. Un exemple de déterminisme, d’inter-relations entre soi et l’environnement, dans une Amérique individualiste, ultra-libérale, libertarienne, qui promeut le self-made man, à l’opposée de la complexité sociétale où tout est noué. Et une nouvelle apparition de Trump, climato-sceptique cette fois... réaction en chaîne et causalité
    irréversibles?

    L’assertion du self-made man battue en brèche sur le thème de la propriété: nous sommes
    tout autant agent actif qu’agent passif, dans une relation perpétuelle d’exploitant-exploité, de maître et d’esclaves: car enfin le succès de Mikey tient tout autant à ses performances qu’à celles de ses
    partenaires, en témoigne le dialogue sur le l’AVN Award pour la meilleure fellation, Mikey agent de ses rêves de gloires mais esclaves de ses pulsions et de ses choix de vie infondés, une mère et sa fille maître de leur propriété mais dont le libre-arbitre est esclave de l’argent rapporté par Mikey, gang tupacisé, maître su secteur mais pourtant régi par l’autorité de leur maman. Donald Trump maître du monde mais dont le succès appartient davantage à un tournant de l’Histoire qu’à sa propre volonté.
    Bérengère P.
    Bérengère P.

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 mars 2022
    J'ai attribué une demi-étoile à ce "film", mais j'aurais pu n'en mettre aucune, tant sa vacuité est la seule chose qu'il me reste à l'esprit à la suite de ces 2 heures interminables. Avec (vraiment) beaucoup d'imagination, peut-être pourrait-on tenter d'entrevoir dans son scénario un portrait de l'Amérique Texane pré-années Trump, avec son lot de misère sociale de tous ordres et ses laissés-pour-compte sur le bas-côté du rêve américain. En réalité, le peu qui ressort de ce film, c'est qu'il s'agit d'un ramassis de clichés machistes, capitalistes et antiféministes (cette pseudo idylle entre le raté Mickey Saber de 40 ans et la pourtant douée "Strawberry" de même pas 18 laisse sans voix, tant celle-ci apparaît rétrograde et malheureusement si conventionnelle d'un point de vue sociétal), le tout d'une lourdeur sans égale et sans épaisseur quelconque. En résumé, l'un des pires films qu'il m'ait été donné de voir (le regard bien souvent dans le vague pour tenter de penser à autre chose), d'une idiotie rarement filmée au cinéma. Le générique de fin, abrupt et sans bande-son, est à l'image de ce film : une erreur.
    Thierry13
    Thierry13

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 mars 2022
    Un petit ovni comme souvent dans ce genre de film le casting est extraordinaire
    Et les acteurs jouent au top.
    Surtout à ne pas manquer.
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