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Les choix de pauline
112 abonnés
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2,0
Publiée le 4 avril 2023
De mon pointde vue... une catastrophe!!n'est pas réalisateur des peaky blinders qui veut!! Il faut travailler son scénario! Diriger ses acteurs et les filmer sans effets de caméra caricaturaux. Et que ça tourne, tourne, tourne! Et que ça ralentit sur de la fumée de cigarette ! Et que filme des regards appuyés!! Ce n'est pas cela avoir du style!! J'ai trouvé cela proche du ridicule. J'avais mal pour les acteurs qui ont du signer pour un film de genre stylé et moderne et se retrouve dans un film ampoulé et sans intérêt. Cela est vraiment du à la réalisation qui ne laisse aucune place ni à un jeu intéressant ni à une histoire passionnante. A côté de cela, j'ai discuté avec deux personnes à la fin du film qui eux avaient adoré .... alors faites vous votre opinion... Moi je trouve que c'est encore un film français d'envergure raté . Je ne comprends pas . On fait de bonnes séries, de bons films intimistes. Mais la comédie et l'aventure, on a vraiment du mal!
"Apaches" est un film que je n'ai pas aimé. L'histoire pouvait être sympa mais très mal exploitée, la mise en scène et la construction du film sont pour ma part une catastrophe. Les personnages sont plus ou moins attachants, les acteurs sont affligeants et le décor est plutôt sympa.
En ce qui me concerne, j'ai vu Alice Isaac au casting et j'ai pas cherché, j'ai été voir le film direct tant cette jeune actrice illumine chaque film dans lequel elle tourne. Après le film en lui même, pas trop mon délire..
À la fin du 19e siècle, Paris est en pleine mutation : les quartiers les plus mal-famés sont assainis et les bandits urbains sont toujours plus violents pour se faire une place. Suite au meurtre de son frère par le gang des Apaches, Billy infiltre leurs rangs pour se rapprocher de l'homme qu'elle souhaite abattre... Mais le souhaite-t-elle vraiment ? En salle le 29 mars.
spoiler: Apaches est plutôt bien rythmé avec son système de chapitres qui décomposent l'intrigue. Le divertissement est au rendez-vous et on passe un moment sympathique même si ce n'est clairement pas un film très qualitatif. Certains acteurs jouent assez mal (et un très très mal), et on voit les coutures de pas mal de scènes. Toutefois, il y a des rebondissements et quelques moments réellement intéressants qui ne m'ont pas laissé insensibles. Mention spéciale pour l'ambiance : décors d'un Paris ancien sur fond de musique moderne, on adore.
Scénario paresseux vu et revu maintes fois qui traîne en longueur. Les acteurs, sont du niveau de l'amateurisme. Les décors sont assez réussi et le thème concernant "les Apaches" était plutôt intéressant, mais là mise en scène pas assez approfondie tourne en rond, ça aurait pu être tellement mieux. Et pitié que quelqu'un explique à Artus qu'il est réellement mauvais, déjà voyant son nom j'aurais dû m'attendre à cette pénitence.
Du cinéma français ambitieux, porté par un casting vraiment inspiré. Un film qui est très stylisé, techniquement très bon mais avec un peu trop de ralenti. ça fait du bien de voir Artus dans un autre rôle que de la comédie. J'ai beaucoup aimé Apaches, c'est un très bon film de gangster à la française.
Un épisode de Peaky Blinders en 1900 à Paris où seules la photographie et la direction artistique sont belles. Le problème le plus important est que la fascination que Billie est censée avoir pour l'assassin de son frère advient très peu, le film laisse donc froid.
Je suis sorti au bout de trois quarts d heure film malsain très violent je n sime vraiment pas sur des rythmes de twist ou morceaux modernes ça rime à rien
Original et électrique. Toute proportion gardée, m'a fait penser au film Doberman et aux gros plans de Guy Ritchie. Belle image, ambiance bas fonds de Paris, sales et violents.
Paris 1900. Après avoir été témoin de la mort de son frère aîné, Billie (Alice Isaaz) n’a plus qu’une idée en tête : le venger. Pour ce faire, elle s’inflitre dans la bande des Apaches, une association de malfaiteurs que dirige Jésus (Niels Schneider) épaulé par son fidèle second, Ours (Artus).
"Apaches" est un film de gangsters en costumes, un revenge movie qui lorgne du côté de "Peaky Blinders" ou de "Paris Police 1900", la série de Canal Plus. J’ai également pensé au film "Les Anarchistes" qui, malgré son casting prestigieux – Tahar Rahim, Adèle Exarchopoulos, Swann Arlaud, Guillaume Gouix, Karim Leklou… – était passé inaperçu à sa sortie en 2015.
"Apaches" est un film à prendre au premier degré qui rappelle la folle vitalité et le culot de Luc Besson ou de ses épigones dans les 90ies. Son scénario rebondissant et ses personnages charismatiques évoquent les feuilletons d’Eugène Sue. Gavroches courageux, prêtres défroqués, prostituées au grand cœur, voyous inquiétants, toute la palette prévisible des caractères de l’époque est convoquée. La production n’a pas lésiné sur les moyens et sur l’usage de la palette graphique pour restituer l’ambiance rétro-punk de l’époque. La musique est contemporaine et assume ses anachronismes.
Bien sûr, on pourra faire la fine bouche, reprocher au scénario ses facilités et aux acteurs de friser parfois la caricature. On pourra aussi trouver que Niels Schneider n’a pas les épaules assez larges ni le charme vénéneux de Cilian Murphy pour porter à lui seul le rôle d’un chef de bande. Mais on aurait tort de minauder devant ce spectacle divertissant et de trouver à redire aux interprétations d’Alice Isaaz, incandescente une fois de plus, et surtout d’Artus qui, depuis sa révélation dans "Le Bureau des légendes" est en train tout doucement de se tailler une place à sa mesure dans le cinéma français.
Une reconstitution anachronique dans un univers punk-rock assez reussie. Le jeu d'acteurs est souvent trop appuyé mais l'ambiance genérale qui se dégage du film est plutôt bien vue. Pas mal du tout.
Une seule bonne chose ça dure 1h30 et pas 1h45 comme annonce. Personnellement c est sur joué ou pas joué. La bande son qui bien décalée. L histoire sans suspens. Un mauvais moment de cinéma.
7 chapitres dont 6 dédiés à la vengeance de "Casque d'Or" (ISAAZ). Chaque chapitre a son annonce musicale pour la plupart anachronique (Johnny Hallyday, Philippe LAVIL, Lollypop,...). Des séquences cinématographiques se succèdent sans trop de lien ni de cohérence (archives de la Belle Epoque, apparitions de Sarah Bernardt, un N&B muet sur une tuerie commise par les Apaches à l'exposition universelle de 1907). Et puis des sottises inutiles : apparition d'un bison, animation onirique, 2ème roulette russe pas logique, assassinat de commissaire en public, animation d'un portrait, religieuse qui accepte sans mot dire d'être poignardée, très gros plans, ralentis, ... ARTUS est excellent à contre-emploi, de même que PARADOT en amoureux transi. SCHNEIDER est coiffé bizarrement par rapport à l'époque mais joue bien son rôle de chef voyou... Et bravo pour les décors, les costumes et la photographie,... Dommage qu'il y ait toutes ces pertes de cohérence...
Un mauvais téléfilm de chaîne TNT... Jeu d'acteurs pas incroyable, les plans ne sont pas très esthétiques malgré la beauté des décors et un scénario vraiment moyen moyen...
Paris, 1900. La capitale doit faire face à une vague de violence perpétrée par un gang ultraviolent : les Apaches. Au même moment, une jeune femme refait surface et est prête à tout pour venger la mort de son frère…
Après le futur proche (Le Dernier Voyage - 2021), pour son second long-métrage de fiction, Romain Quirot nous transporte dans le Paris de la Belle Époque. La science-fiction cède donc sa place au film de gangsters façon Peaky Blinders, dans les ruelles crades et malfamées de la capitale. Vaguement inspiré par le véritable gang des Apaches, le film avait le mérite de promettre quelque chose de novateur dans le paysage cinématographique français, sauf qu’en réalité, c’est mi-figue, mi-raisin.
Découpé en 7 chapitres, Apaches (2023) ne tarde pas à montrer ses signes de faiblesse. A commencer par sa distribution, certes ils jouent bien, mais avouons-le très clairement, ils ne sont pas crédibles dans ce type de rôle. Le quatuor formé par Alice Isaaz, Niels Schneider, Rod Paradot & Artus est bien mignon face caméra, mais on ne parvient jamais à y croire. Tirés à quatre épingles, on se croirait à un bal costumé. Même les seconds rôles surjouent plus qu’ils ne le devraient, mention spéciale à Dominique Pinon.
Côté scénario, c’est là où le bât blesse, d’une pauvreté alarmante, on devine tous les tenants et les aboutissants en un claquement de doigts. Alors certes, la photo, le casting et les VFX sont sympas, mais tout le reste s’avère bien trop sage et simpliste. A titre de comparaison (une bande de jeunes dans un milieu ultra-violent), on préfèrera largement Les Rascals (2023) de Jimmy Laporal-Trésor, sorti 3 mois plus tôt.