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    La Coupe d'or
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "La Coupe d'or" et de son tournage !

    Ruth Prawer Jhabvala, scénariste

    Sa filmographie se confond avec celle du maître. Elle a notamment signé pour James Ivory les adaptations de Henry James, de E.M. Forster (Maurice en 1986, Chambre avec vue en 1987, Retour à Howards End en 1992), de Evan S. Connell (Mr. & Mrs. Bridges en 1990), de Kazuo Ishiguro (Les vestiges du jour en 1993) et de Kaylie James (

    La fille d'un soldat ne pleure jamais en 1998).

    Romancière, elle a signé des scénarii adaptés de ses propres écrits, tels que Le propriétaire (James Ivory, 1963), Chaleur et poussière (id. Ivory, 1982).

    Ruth Prawer Jhabvala a également écrit le scénario de Madame Sousatzka (John Schlesinger, 1988).

    Henry James Ivory

    Avec La coupe d'or, James Ivory adapte pour la troisième fois une œuvre du romancier Henry James, après Les Européens (1979) et Les Bostoniens (1984).

    Le cinéaste américain avoue que «La coupe d'or l'a séduit par l'intensité de sa ligne dramatique, uniquement recentrée autour de six personnages».

    James Fox (Bob Assingham)

    The Servant (Joseph Losey, 1963) lui a apporté une reconnaissance mondiale. Ce comédien anglais a notamment joué sous la direction de Tony Richardson (La solitude du coureur de fond, 1962), Arthur Penn (La poursuite impitoyable, 1966), Karel Reisz (Isadora, 1968), Nicholas Roeg et Donald Cammell (Performance, 1970), Hugh Hudson (Greystoke, 1984), David Lean (La route des Indes, id.) et John Milius (L'adieu au Roi, 1989).

    James Fox est également apparu aux génériques de La maison Russie (Fred Schepisi, 1990), Double vue (Mark Pepleo, 1991) et Jeux de guerre (Phillipp Noyce, 1992).

    La coupe d'or marque sa deuxième collaboration avec James Ivory. Il faisait partie de la distribution des Vestiges du jour (1993).

    La coupe cannoise

    La coupe d'or a été présenté a été présenté en compétition officielle au Festival de Cannes 2000.

    Un gros travail de transposition

    Pour porter à l'écran le roman d'Henry James, James Ivory et la scénariste Ruth Prawer Jhabvala ont dû simplifier la narration et traduire en images les monologues intérieurs des personnages. Ils ont donc opté pour une trame beaucoup plus linéaire. Ils ont également multiplié les scènes de confrontation entre les protagonistes et privilégié le dialogue, afin de trouver des équivalents aux non-dits et aux sous-entendus du roman.

    Ismail Merchant, producteur

    Son parcours épouse celui de James Ivory depuis Le propriétaire (1963), le premier long métrage de fiction du cinéaste.

    Ismail Merchant est également réalisateur. On lui doit notamment Un héritage exorbitant (1993), Le propriétaire (1996) et Cotton Mary (1999).

    Madeleine Potter (Lady Castledean)

    Après Les Bostoniens (1984) et Les esclaves de New York (1989), Madeleine Potter joue pour la troisième fois sous la direction de James Ivory.

    Elle est également apparue dans Suicide Club (James Bud, 1988) et Two evil eyes (Dario Argento, 1990).

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