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Synopsis
Dans l'Angleterre post-victorienne du début du siècle, un aristocrate italien ruiné, le prince Amerigo, prend pour femme Maggie, la fille d'un richissime collectionneur d'art nommé Adam Verver. Le prince avait auparavant entretenu une liaison amoureuse avec Charlotte Stant, une Américaine. Or, par un revirement du destin, Adam en vient à épouser cette dernière, qui devient ainsi la belle-mère par alliance de son ancien amant. Bientot, Amerigo et Charlotte renouent secrètement leur ancienne idylle. Maggie s'en aperçoit et va intriguer pour sauver les deux couples légitimes.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Malgré de trés beaux décors et une subtilité habilement mise en scéne le tout n'arrive jamais à captiver. 11/20
thalidae77
33 abonnés
757 critiques
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3,0
Publiée le 8 mars 2011
un film subtil sur les relations amoureuses interdites entre deux couples, amour torturé qui ne prendra fin que grâce à l'éloignement de chacun.
Pascal
63 abonnés
1 034 critiques
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4,0
Publiée le 20 avril 2022
Après avoir porté à l'écran deux romans de Henry James, " les européens " puis " les bostoniennes", Ivory adapte presque vingt ans plus tard " la coupe d'or".
Le résultat est tout à fait honorable même s'il n'est pas exempt de défauts. Tout d'abord le casting est très déséquilibré. Una Thurman écrase de son charisme et de sa beauté son partenaire jérémie Nortam, vraiment pas du tout dans le rôle qui lui est devolu.
Pour le ...
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Claricewins
47 abonnés
1 053 critiques
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2,5
Publiée le 5 juin 2010
J'aime l'univers de James Ivory, mais là, je ne suis pas convaincue. Premièrement, je n'ai pas du tout adhéré à l'idylle entre les deux protagonistes, que j'ai trouvé antipathiques dès le début. Deuxièmement, Kate Beckinsale est jolie certes, mais son personnage manque un peu de caractère, ainsi que celui de son père. Je n'ai même pas eu de compassion pour eux. Reste le personnage un peu sympathique d'Anjelica Huston, qui rajoute un ...
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Sa filmographie se confond avec celle du maître. Elle a notamment signé pour James Ivory les adaptations de Henry James, de E.M. Forster (Maurice en 1986, Chambre avec vue en 1987, Retour à Howards End en 1992), de Evan S. Connell (Mr. & Mrs. Bridges en 1990), de Kazuo Ishiguro (Les vestiges du jour en 1993) et de Kaylie James (La fille d'un soldat ne pleure jamais en 1998).Romancière, elle a signé des scénarii adaptés de ses propres écrits, tels
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Henry James Ivory
Avec La coupe d'or, James Ivory adapte pour la troisième fois une œuvre du romancier Henry James, après Les Européens (1979) et Les Bostoniens (1984).Le cinéaste américain avoue que «La coupe d'or l'a séduit par l'intensité de sa ligne dramatique, uniquement recentrée autour de six personnages».
James Fox (Bob Assingham)
The Servant (Joseph Losey, 1963) lui a apporté une reconnaissance mondiale. Ce comédien anglais a notamment joué sous la direction de Tony Richardson (La solitude du coureur de fond, 1962), Arthur Penn (La poursuite impitoyable, 1966), Karel Reisz (Isadora, 1968), Nicholas Roeg et Donald Cammell (Performance, 1970), Hugh Hudson (Greystoke, 1984), David Lean (La route des Indes, id.) et John Milius (L'adieu au Roi, 1989).James Fox est également ap
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