Derniers Avis : Subway - Page 4

Un des premiers Besson que je n'avais jamais vu, surtout dans ce genre là. Le départ est canon entre sa bande-son bien d'époque et des scènes très fluides. Malheureusement, le contenu général démarre très doucement et j'ai franchement eu du mal à me mettre dedans, surtout quand j'arrive pas à comprendre la fonction des personnages hormis les policiers. jean Reno lui, fait de la simple figuration et ne sert pas à grand chose. Quand à Adjani, il est étrange de se dire qu'avant elle était très canon, et qu'aujourd'hui, lifting en poche, elle ne l'est plus réellement. Un Besson à vite oublier même si sa fin est très canon musicalement parlant.

Un des premiers succès de Luc Besson, Une histoire qui se déroule entièrement sous paris. Un scénario intéressant et une bande son qui fait toute la richesse du film. Je regrette un peu l'expédition rapide de certaines scène, mais qui influence pas sur le niveau du film. à vous, Bon film à tous

J’ai vu ce film pour la première fois vers la fin des années 80 - début 90 (je devais avoir env. 12 ans) et qu’elle claque ce film m’a mis, j’avais ADORÉ ! Depuis je l’ai revu plusieurs fois et ... aujourd’hui même. Verdicte : Le film à un peu vieilli (205 GTI, autoradio K7, walkman, patin à roulette, bref, toute la panoplie des trucs hypes des années 80 !) mais je le trouve toujours super réussi. La brochette d’acteurs talentueux (même les seconds rôles), le lieu du tournage (en tant que petit campagnard, j’avais vraiment cru à cet univers de métro !!!), le personnage de Fred, l’humour (Galabru et les flics excellent), la musique avec des chansons géniales ... Et le finish : j’avais pleuré comme une madeleine (maintenant à 40 ans, en étant un vieux blasé, ça passe sans mouchoirs !!!). Je comprends tout à fait qu’il ne plaira pas à tous (quelques petites lenteurs de temps à autres et ces personnages marginaux ...), moi, je ne peut que remercier Besson pour ce film poétique, cette histoire d’amour originale et ses souvenirs d’il y à 30 ans ...

Un film qui nous fait changer d'air et d'horizon, tout en restant dans sa ville., mais sous terre. Découverte d'un autre monde, juste sous nos pieds. Amusant, voir même drôle, ce film de Luc Besson met en avant un couple original, aux tenues vestimentaires farfelues dans un environnement que tout le monde ne côtoie pas. Aventureux et burlesque, le scénario nous déloge parfois, de notre logique. J'aime bien.

Un très bon film policier de Luc Besson dans le métro parisien. De bons acteurs. Une très belle mise en scène.

Ce film réalisé par Luc Besson et sorti en 1985 est très bon et pourtant, je n'y croyais pas trop. Effectivement, non pas que je n'aime pas Besson, au contraire, je suis même souvent en contradiction avec ses mauvaises critiques, mais ici, le sujet ne m'attirait pas, tout simplement. C'est l'histoire d'un homme en smoking qui a volé des documents compromettants à une jeune femme, il va par la suite se cacher dans le métro parisien. En gros le synopsis se résume à ça mais on se rend compte que le scénario possède pleins d'éléments intéressants et j'ai donc finalement beaucoup accroché. C'est tout d'abord le style qui m'a séduit, cette espèce d'ambiance étrange qui règne pendant tout le film mais qui est toutefois chaleureuse malgré la froideur du métro. Les personnages sont également complètement déjantés, atypiques et surtout hors-norme et j'adore l'évolution de Héléna, notamment l'excellente scène du repas où elle est coiffée de sa "coupe iguane" et où elle dénote totalement dans ce monde de richesse et d'hypocrisie. Même du côté des policiers, le film est "étrange" car il ne les présente pas de façon "sérieuse" ou en tout cas tel qu'un autre drame l'aurait fait, ici, on réussi à sourire, voir même à rire, dans certaine scène malgré le sujet sérieux du film. Dès la scène d'introduction, le film nous met directement dans le bain avec une excellente scène de course poursuite en nous indiquant bien que le personnage principal est un peu taré et d'ailleurs ce mélange de sérieux, violence et folie est très bon et fonctionne très bien sans jamais tomber dans le ridicule. La trame est également très bonne car on ne s'y attend finalement pas du tout ni d'ailleurs à aucune fin car le film, dans son étrangeté, reste très mystérieux quant au déroulement des choses. La réalisation est quant à elle très bonne et on reconnait bien le style de Besson, notamment avec certains mouvements de caméra et des contre-plongées. Du côté des acteurs, ils sont excellents et correspondent parfaitement à leur personnage notamment Christophe Lambert, Isabelle Adjani, Jean-Pierre Bacri et Michel Galabru. de plus, la B.O. est très bonne, notamment toute la scène avec le morceau "It's Only Mystery" qui est excellente ! "Subway" est donc très bon et il fait parti, pour moi en tout cas, des meilleurs films de Luc Besson.

Clairement, ce film m'a pas du tout accroché. Pour l'un des premiers films de Luc Besson, j'ai trouvé ça vide, chiant et profondément oubliable. Et je trouve ça dommage car ça partait d'un principe intéressant, ça avait du potentiel, mais le film a vraiment beaucoup de mal à s'organiser et à mettre en place beaucoup de choses. Et résultat : on s'ennuie car ça manque de rythme et de rebondissement, et c'est poussif sur les bords. Les seuls trucs que j'ai trouvé sympas dans le film sont les chansons interprétées par les groupes, la BO et les scènes de poursuite dans le métro, mais après c'est complètement lambda. Au niveau des acteurs, Christophe Lambert se débrouille plutôt bien, Isabelle Adjani aussi, elle a un charme convaincant. Michel Galabru (RIP) a un rôle sympa aussi, mais le reste des acteurs, comme Jean Reno, laisse vraiment à désirer. En conclusion, "Subway" est un film très oubliable et sans saveur. Et franchement, je le conseille pas trop. Par contre les fast-foods "Subway", là je dirais pas non ! (Ouais bon ! Désolé pour cette vanne ! )

Vraiment Subway de Luc Besson est splendide par plusieurs aspect. Tout d'abord visuellement, le métro parisien des années 80 est juste splendide de réalisme entre charmes et dégoût puis la réalisation et la mise en scène est juste parfaite. Big up au acteur qui sont excellent et le scénario est super bien accompagné par la B.O de Eric Serra...Enfin bref vive Subway ! si seulement on pouvait faire autant de film comme ça en France !

Après avoir tourné le court métrage L’Avant dernier, le duo Luc Besson-Pierre Jolivet écrit un scénario de long métrage : Subway. Faute de moyens financiers nécessaires, ils décident entretemps de réaliser une version longue de leur court métrage : Le Dernier Combat.
Le succès critique remporté par ce dernier (Prix spécial du Jury du Festival d’Avoriaz) permet au duo de pouvoir mettre en image Subway. Cependant, les relations entre les deux compères ayant commencé à se dégrader dès la récompense de leur précédent film et allant de mal en pis, le résultat final correspond plus à la vision de Besson qu’à celle de Jolivet. Malgré tout, au vu des œuvres suivantes des deux hommes, on peut penser que le fait de décrire la vie de marginaux est un apport important de la part du futur réalisateur de Fred.
Pour le reste, le film porte indéniablement la patte de Besson. Ainsi, le personnage de Christophe Lambert possède l’aspect un peu naïf et de grand enfant typique du réalisateur spoiler: (il est fasciné par une photo du personnage d’Adjani âgé de seulement 9 ans, détail laissant rétrospectivement un goût étrange après les polémiques autour de Léon et le fait que quelques années plus tard le cinéaste épousera Maïween Le Besco alors que celle-ci n’avait que 15 ans)
. De même, l’irréalisme de certaines évolutions de personnages et certaines facilités de scénario spoiler: (la relation entre Héléna et Fred qui devient brusquement une histoire d’amour partagée rend la fin assez peu crédible, fin ne possédant pas de réel climax et étant assez expédiée)
annoncent les points faibles en tant que scénariste que l’on reprochera plus tard à Besson (en particulier pour ses productions qu’il ne met pas en scène).
Ces faiblesses ne doivent pas pour autant gommer les côtés positifs du film. Ainsi, les acteurs produisent de belles performances (même si celles d’Adjani et de Lambert semblent volontairement assez irréelles) : Michel Galabru (dans le rôle du commissaire Gesberg : hommage à son mythique rôle d’adjudant Gerber dans la série des Gendarmes ?) est comme toujours génial, Richard Bohringer est parfait, Jean-Pierre Bacri est excellent dans un rôle annonçant ses futurs emplois de personnages bougons, Jean-Hugues Anglande est plein de fougue dans un de ses premiers rôles et Jean Reno offre une plus grande palette de jeu que dans la plupart de ses futurs rôles…
D’un point de vue visuel, le talent de Besson est déjà à l’œuvre. Comme à son habitude, le cinéaste utilise le cinémascope de manière splendide. Il possède un sens visuel indéniable et s’amuse avec les mouvements de caméras dans les scènes de poursuites (on peut même voir dans la poursuite en voiture inaugurale mélangeant action et humour avec le personnage du jogger les prémisses de la série Taxi). Toutefois, il arrive à livrer une séquence des plus mémorables en misant sur la simplicité et sur le talent de Michel Galabru avec la séquence du fameux "Police, menottes, prison".
Enfin, il ne faudrait pas oublier de mentionner la présence à la musique de l’habituel Eric Serra (qui co-signe notamment le célèbre It’s only mystery) et aux décors d’une légende de la profession : Alexandre Trauner (L’Âge d’or, Drôle de drame, Quai des brumes, Hôtel du nord, Les Visiteurs du soir, Les Enfants du Paradis, Coup de torchon, Tchao pantin ne sont que quelques uns des films où il a apporté sa patte) qui nous permet de découvrir les recoins méconnus du métro parisien.
Malgré certaines faiblesses scénaristiques (cet aspect est toujours le point noir du cinéaste), Subway reste toujours un film assez plaisant où le cinéaste fait preuve de son incontestable sens visuel.

Le film a mal vieilli, prisonnier des années 80. Le choix du décor du métro était intelligent et original mais le scénario est mince et la bleuette entre Adjani et Lambert n'est guère passionnante. Le style visuel est novateur pour l'époque, certes, mais on s'ennuie vite. On appréciera la gouaille éternelle de Galabru et la bande son qui a marqué son époque.

" Subway " est à Luc Besson ce que " Dark Side of The Moon " est à Pink Floyd .
Ce film porte en lui une âme puissante qui emporte les spectateurs dans un monde parallèle enchanteur .
Les éclairages touchent au sublime , le décor du Métro Parisien est bien mis en valeur & le casting tient du sans-faute .
Les regards sont souvent utilisés comme mode de communication principal entre les protagonistes évitant ainsi de supporter des dialogues inutiles , ce paramètre n'ayant jamais été le fort de Luc Besson beaucoup plus doué pour les images .
Le scénario , comme d'habitude avec Monsieur Besson , n'est pas très compliqué mais il a le mérite d'être original & de ne pas du tout verser dans la violence gratuite laissant la part belle à un humour froid du meilleur effet .

En résumé , c'est le meilleur film de Luc Besson d'un point de vue cinéma d'auteur .
Pour les plus jeunes évidemment " Subway " risque de paraître un peu surréaliste .

Pour moi un des meilleurs film français des années 80 . Il reste évidemment très marqué dans son esthétique aujourd'hui. Ce film est rempli de poésie avec des dialogues digne d ' Audiard et des seconds rôles superbes comme Galabru en flic désabusé. Bien sûr il y a Isabelle Adjani et Christophe Lambert qui forment un sublime couple de cinéma . La scène où Adjani descend les marches du métro en tenue de soirée est très marquante . La dernière est une des plus belle du cinéma français . Pour moi le meilleur film de Luc Besson

Un homme possédant des documents compromettant se réfugie dans le métro, avec quelques amis marginaux. Une univers original, des looks improbables (J'ai aimé l'idée des lampes de poches sur les patins à roulettes !) et un film qui passe plus de temps à nous montrer des gens de qui se baladent dans le métro et ses galeries qu'une véritable histoire. Une seule scène a véritablement retenue mon attention : La courte scène du dîner. Le personnage et ses répliques joué par Galabru est également très bon mais le film manque d'ambition.

Deuxième film de Besson, et on attaque avec une pelletée de noms propres au générique : Adjani, Lambert, Bohringer, Reno, Galabru...On a déjà envie de dire stop. Et si l'histoire est somme tout assez banale (autant que peut l'être une oeuvre originale), on se rend vite compte que l'entrée en scène à l'américaine n'est que passagère, et que le casting français va très bien savoir gérer le talent débordant du régisseur. Il place ses acteurs comme des pions, stratégiquement et parcimonieusement, et les laisse décanter dans une ambiance très glauque à laquelle ils ne sont pas forcément habitués et dans laquelle ils révèlent bien leur potentiel.

Comme dit précédemment, le tout est basé sur la quantité de noms propres, si bien que certains décantent moins bien que d'autres d'une façon un peu trop évidente (coucou Adjani). Mais la recette fonctionne et donne même l'impression que Besson ne se force pas, comme s'il avait mis son casting dans un bain qui lui convenait et lui avait dit de se débrouiller... Et pourtant, pour que TOUS ces acteurs s'en sortent si bien, il fallait une sacrée direction artistique.

Sans compter qu'il ne se presse pas pour nous montrer que la musique est un thème primordial. On sent que sa perception de la limite entre l'image et la bande son est particulière (par exemple, la musique s'arrête pour le spectateur quand elle s'arrête dans la voiture ; le fond sonore au saxophone paraît illustrer l'action, mais on découvre que c'est un personnage qui en joue et on se prend à l'écouter, ce qui nous fait nous questionner sur la nature des musiques de film). Mais il faut SURTOUT faire entrer dans l'équation le tube It's only mystery qui a été composé pour le film et dont le batteur n'est nul autre que Jean Reno lui-même !

Au secours!!!! Christophe Lambert a carrement la tete coincé profond dans le fion Adjani est hysterique et ridicule a chouiner a sla jouer a frimer infect!!!!Anglade patine c la cas de le dire comme un connard ya que Galabru qui sauve un peu la mise sinon c la cata et que dire de jean reno qui joue du tambour!!Besson il a un talent pour la publicité kan on voit le film il aurait du se faire sponsoriser par Nestlé ou un autre truc !