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shmifmuf
159 abonnés
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2,5
Publiée le 23 octobre 2012
Un des premiers films de Besson mais aussi un de ses meilleurs. Le scénario reste mince et naïf comme très souvent chez le réalisateur mais l'atmosphère qu'il installe dans cet univers de galeries souterraines n'est pas sans charme.
Une histoire bateau, prétexte à inventer toute une vie et une galerie de personnages dans le métro. Des acteurs connus, qui balancent des répliques qui font mouche. Une musique plaisante et omniprésente. Reste que certains temps sont plus faibles que d'autres et gâchent un peu le plaisir. Besson sur le chemin de ses meilleurs films.
Tout simplement horrible. Avec une mise en scène pareil et un Christophe Lambert en tête d'affiche (à défaut d'avoir une tête à claque), c'est juste infecte. Je préfère me poser à un arrêt de métro et regarder le carrelage pendant 1h44, je suis sûr que j'y trouverais plus d'art dans les formes et les usures. La musique est affreuse, l'ambiance est immonde, c'est une belle bouse signé Besson.
Si Subway part sur une idée originale, à savoir une chasse à l'homme dans le métro, donc un décor d'action assez inédit, Luc Besson, a part cela n'a pas semblé très inspiré. Les acteurs principaux ne sont pas forcément convaincants, les acteurs secondaires livrent de meilleures prestations (Bohringer et Galabru en tête). Et puis Subway offre une fin trop classique, limite baclée qui ne fait que confirmer ce sentiment d'inachevé que l'on ressent tout le long du film. Un film tout juste correct et qui n'est certainement pas une oeuvre majeure dans la filmographie de Luc Besson.
Assez cool comme film. Une galerie de personnage farfelus, porté par une belle bande d'acteurs. Le style visuel et l'esthétique de Luc Besson sont déjà bien présents. L'histoire est sans prises de tête, le scénariste s'est laissé aller.
sixième position? je m'y perd dans mon classement des meilleurs film de Luc Besson, peut être parce qu'il n'a rien de réellement de tape à l’oeil mais la verve des dialogue et situation rocambolesque mention spécial à BACRI et GALABRU, hilarant; jean Bouise encore là! le PLUS français de ses films, Christophe Lambert génial, Jean Hugh Anglade aussi, Richard Boringher aussi, Isabelle Adjani sublime de sincérité et JEAN RENO avant LE GRAND BLEU déjà dans les papier du cinéaste. un film inquiétant, éxitant et drôle; musique de ERIC SERRA où il joue un petit rôle joue un son surréaliste des bas fond du métro parisien. FINALEMENT ce film n'est pas dans la liste des films de Luc Besson, il est a part!
Sans être exceptionnel "Subway" reste efficace car porté par de bons acteurs, en particulier les seconds rôles, et explore un lieu d'action original. Néanmoins on peut noter que la musique est parfois envahissante et que le scénario est finalement assez faible. Luc Besson fera bien mieux plus tard.
Drôle d’ambiance, drôle d’histoire et donc, drôle de film. Subway est une œuvre à part mais, dans laquelle on retrouve bien les caractéristiques de Besson. Sinon, l’intérêt du film repose principalement sur ses excellents seconds rôles, de Galabru à Bacri en passant par Reno.
Un film évoquant une chasse à l'homme dans le métro ne devrait proposer que des scène dans le métro or ici ce n'est pas le cas. Par exemple quel est l'interêt réel de la scène ou Adjani se rend à un diner accompagnée de son mari chez des amis coiffée d'une coupe iroquois? Cela démontre quand même que Besson n'a pas été si inspiré que ça. Et cette fin totalement baclée qui laisse un gout amer. Les seconds rôles (Galabru, Boringher...) sont plus convaincants que les acteurs principaux.
Incroyable... Ou plutôt logique, quand on voit le chemin parcouru depuis. Dès son deuxième long métrage Luc Besson déployait déjà un talent peu commun pour la médiocrité. Comment exprimer par des mots le niveau de ringardise absolue personnifié par «Subway»? Cette musique immonde d'Eric Serra (Victoire de la meilleure musique de film 1985!!!), ces coupes de cheveux improbables, ces dialogues dignes d'un gamin de 6 ans, ces acteurs qui en font des tonnes pour ne rien dire... Besson devait être persuadé à l'époque d'être un mec cool et branché, malheureusement pour lui son film, comment tant d'autres qu'il a pu produire ou réaliser, à très très mal vieilli. Le must : Besson s'est adjoint les services de Christophe Lambert pour l'occasion. Et le résultat est plus qu'à la hauteur des espérances! Son César du meilleur acteur est amplement mérité, il incarne à la perfection son personnage de héros lobotomisé. Le reste de la distribution n'est d'ailleurs pas en reste : de Galabru à Bohringer en passant par Bacri ou Adjani, tous sont ahurissants de sérieux (et de bêtise) dans des rôles d'un ridicule à pleurer. Seuls l'excellent Jean Buise et dans une moindre mesure Jean-Hugues Anglade s'en sortent plus ou moins la tête haute. Il faut dire que le « scénario » ne leur laisse que peu de répit : les clichés et les gags lourdingues s'enchaînent à une vitesse incroyable. Comble du comble, il a fallu pas moins de 4 scénaristes, sans compter Besson, pour en arriver là!! Pourtant quelques plans valent le coup d'oeil (oui ça arrive quelques fois chez le cinéaste français). Le problème c'est qu'on les compte sur les doigts de la main, et qu'au final le monument érigé à la stupidité que constitue «Subway» est (très) difficilement défendable. Même si le regarder promet de grands moments de fous rires, et à part si vous avez 1h40 de votre vie à perdre, mieux vaut vous épargner la vision de cette aberration. Un chef-d'oeuvre du navet à la française. [0/4] http://artetpoiesis.blogspot.fr/
Besson plonge et nous avec, sa caméra dans le métro. Pour en retirer une galerie de personnages pas spécialement pittoresques, juste des clichés et des «gueules», pas toujours très fines, psychologiquement, mais assez attachantes. Film choral à la française, avec la vieille et la jeune garde de l’époque, des musiciens et des acteurs improvisés, seul compte la rencontre. Scénario allégé, pour ne retenir que l’ambiance et la musique, très importante,(gamin ça m’avait échappé), mais ce film est prétexte à un jeu expérimental mise-en-scène/post-production très travaillé au niveau des bruitages et du son, qui remplit les vides, et sert de propos ou de prétexte, comme dit plus haut. L’intrigue minimaliste se conclut musicalement, autour d’un bœuf dans le métro. Le son ressort d'autant plus. A réserver aux nostalgiques d’un passé dépassé, celui de l’ancien Besson, celui de la beauté d’Isabelle Adjani, du regard sauvage de Christophe Lambert, qui a fait son succès à l’époque, d'ailleurs...
Tourner un film entièrement dans le métro fallait le faire, mais la mise en scène m'a ennuyé bien souvent. Christoper Lambert, Michel Galabru et surtout la captivante Isabelle Adjani, sont bons.
Je trouve l'idée de réaliser un film sur l'univers du métro très très bonne, et je pense qu'il devrait être possible d'en sortir des choses intéressantes. Mais dans ce film il n'y a franchement rien, quasiment tout est insupportable, la musique en tête. Il n'y a pas vraiment de scénario et tout ça sonne franchement bien creux. Pas loin du navet..
J'avais adoré quand j'étais jeune. L'ambiance métro secret et branchitude. Je l'ai revu il y a peu, et là c'est le drame ! On croirait que Besson se caricature lui-même. Mais en fait non, tout ce qu'il fait est une caricature. Un pastiche de quoi, on sait pas trop. J'aurais envie d'être un gens bon, et lui concéder que son style nul et niais a le mérite d'une certaine originalité, et est reconnaissable à hurler, surtout avec la zikmu outrancière de Serra typique année 80 avec gros fracas de caisse claire synthé. Je balance 3 scènes affligeante de ce clip à la gomme : 1 - Galabru en roue libre (jeu d'acteur dans la lignée de "furer en folie"). 2 - l’ignominieuse scène sirupeuse avec le tragique C.Lambert en train de raconter son accident à coté d'un néon avec une petite musique pour faire frémir derrière (scène à voir absolument pour mesurer pleinement le niveau ultime de niaiserie de Luc B.). 3 - la scène de fin où il est mort mais non finalement il revit avec le clip musical. Là, j'avoue qu'une obscure consternation métaphysique a plongé mon pauvre esprit athée déjà bien fragile dans l'aliénation. A ceux qui assurent aimer sincèrement Subway : je ne sort jamais sans ma hache, et les vigiles de l'H.P. n'ont jamais pu me rattraper.