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    Vampire humaniste cherche suicidaire consentant
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    85 critiques spectateurs

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    Morgan Blaise
    Morgan Blaise

    2 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 janvier 2024
    Excellente surprise du festival de Gerardmer. Le film nous plaque une sourire au visage du début à la fin. La musique est excellente, les acteurs également. Le rythme est très bon. Vraiment un plaisir à regarder
    laurent gay
    laurent gay

    79 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 décembre 2023
    Vampire Diaries, Buffy, Twilight,True Blood... ne sont pas interdit au moins de 12 ans donc je vois pas pourquoi ce film est interdit au moins 12 ans, c'est n'importe quoi.
    Ce film est surprenant avec des acteurs hors normes, c'est drôle, émouvant, attachant, plein d'esprit, le scenario n'est pas révolutionnaire, mais l'ambiance elle est une vraie réussite et donne une couleur a la fois sombre et joyeuse a ce film.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 331 abonnés 7 272 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 mars 2024
    Sasha est une jeune vampire trop humaniste pour mordre, au grand dam de ses parents, exaspérés. Jusqu’au jour où elle fait la rencontre de Paul, un adolescent solitaire et suicidaire qui consent à lui offrir sa vie…

    Ariane Louis-Seize réalise ici son premier long-métrage, avec une comédie horrifique très singulière où il est question de quête identitaire et de rite d’initiation, à travers le portrait de deux adolescents mal dans leur peau (Sasha a en réalité la soixantaine, mais comme c’est un vampire, elle ne vieillit pas).

    Le film aurait gagné à être resserré, aussi bien en termes de rythme que de montage (les scènes sont inutilement étirées). Malgré quelques idées intéressantes et le regard bienveillant des parents sur leur progéniture, tout le reste s’avère hélas assez convenu et semble survoler son sujet.

    Dans le même registre, je lui préfère amplement Vampires en toute intimité (2014) de Jemaine Clement et Taika Waititi.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    Pierre
    Pierre

    7 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2024
    Ce film était très bien. De l'humour noir pendant le film. Qui aborde le thème de la pression de la famille sur soi. Mais surtout sur le suicide. L'actrice qui incarne Sasha fut très bien dans son rôle de vampire qui doit gérer la pression de sa famille.
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    154 abonnés 2 225 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mars 2024
    Une très bonne surprise venue, une fois de plus, du Québec. Ce premier long-métrage de Ariane Louis-Seize sur une vampire qui fuit sa condition est décalé juste ce qu’il faut avec ses dialogues percutants et ses poches de sang, façon Capri-Sun que l’on boit après avoir accroché un humain à un crochet et l’avoir vidé minutieusement de son sang. J’ai beaucoup aimé certains plans rapprochés, plein d’envie, sur la nuque ou la jugulaire, symbolisant un prochain festin que l’on se délecte de regarder avant d’y goûter, comme un gâteau dans la devanture d’une pâtisserie. Pour résumer ce film, je ferai un parallèle audacieux avec la transmission familiale de la religion : il faut parfois savoir remettre en question ce qui est transmis pour mieux réinventer la pratique en elle-même, trouver sa voie et la foi.
    AZZZO
    AZZZO

    275 abonnés 745 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juin 2024
    Voilà un scénario original : une jeune vampire qui ne parvient pas à tuer. Un vrai souci pour l'organisation familiale et son approvisionnement en sang. A partir de cette idée amusante, Ariane Louis-Seize développe une petite intrigue d'autant plus savoureuse que nos vampires ont un accent québécois. Il est rare que les vampires soient filmés comme des héros sentimentaux et, rien que pour ce regard décalé et le léger ton de dérision, le film mérite d'être vu.
    Original.
    Yves G.
    Yves G.

    1 330 abonnés 3 327 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 avril 2024
    Sasha (Sara Montpetit révélée par "Falcon Lake") est une jeune vampire frappée d’une pathologie qui désespère ses parents : une empathie exacerbée l’empêche d’assassiner ses victimes dont le sang constitue pourtant, comme tous les vampires, la base de son alimentation. Mise au pied du mur à la sortie de l’adolescence, elle est chassée de chez elle et confiée aux bons soins de sa cousine, à charge pour celle-ci de lui enseigner les rudiments de la chasse. C’est alors que Sasha fait la connaissance de Paul, un adolescent solitaire, souffre-douleur de ses camarades, hanté par des pulsions suicidaires. Par amour pour la jeune fille autant que par dégoût de la vie, Paul est prêt à sacrifier sa vie pour elle.

    "Vampire humaniste…" nous vient du Canada. Ses québécismes lui confèrent un exotisme rafraichissant. C’est un film désopilant à la croisée de trois genres. C’est d’abord, comme son titre l’annonce, ainsi que son affiche où l’on voit l’héroïne sirotant à la paille une poche de sang, un film de vampire. Mais les vampires n’y sont ni méchants ni terrifiants. Plus Famille Addams (la jeune Sasha rappelle un peu Christina Ricci) que Nosferatu. Ce sont des gens comme tout le monde, sinon qu’ils vivent la nuit et ont besoin de tuer pour se nourrir.
    Vampire humaniste… est donc plutôt une comédie, même si on n’y rit pas à gorge déployée (!), qui joue sur le décalage entre l’horreur et le surnaturel dans lesquels de tels personnages sont censés évoluer et, au contraire, l’aspect très trivial de leur quotidien.
    Mais plus profondément, Vampire humaniste… est un coming-of-age movie, un film sur la sortie de l’adolescence dans lequel le vampirisme constitue une métaphore à peine déguisée de l’acte sexuel. Le procédé a fait florès. Il est la recette d’un des plus célèbres blockbusters au monde : "Twilight" – que je devrais peut-être me résoudre à voir un jour, même si j’ai toujours cru qu’il était réservé à des adolescentes en pâmoison devant Robert Pattinson.

    Ce pitch ainsi posé est sacrément original et stimulant. Le scénario a le défaut majeur de n’en pas faire grand chose. L’action tarde à s’engager. La rencontre avec Paul n’a lieu qu’après une bonne vingtaine de minutes. Et très vite les termes de l’accord qu’il conclut avec Sasha sont posés : « je me tue, tu me manges ».

    Restait à trouver une conclusion au film. Sacrée gageure dont on imagine les difficultés qu’elle a posées aux scénaristes. Ils s’en tirent plutôt bien. La pirouette finale est charmante. On quitte la salle comme on y est entré, le sourire aux lèvres devant ce film dépaysant et charmant.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 211 abonnés 4 030 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mai 2024
    "Vampire humaniste cherche suicidaire consentant" est une comédie horrifique canadienne qui explore avec subtilité le passage à l'âge adulte à travers le prisme de la découverte du corps et de la sexualité, tout en dressant le portrait saisissant d'une jeune vampire en quête de son identité, déchirée entre le respect des traditions familiales et ses propres convictions morales. La mise en scène, empreinte de sobriété, jongle habilement entre humour noir et poésie mélancolique.
    Christoblog
    Christoblog

    756 abonnés 1 623 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 mai 2024
    Derrière ce titre accrocheur et très bien trouvé se cache un film québécois délicieux, mélange de comédie romantique et de coming of age movie, adoptant tous les codes des films de vampire pour mieux s'en détacher.

    La jeune vampire Sasha, n'aime pas tuer les humains. Ses parents, un peu comme un couple de fauves qui essaierait d'apprendre en vain à leur rejeton de chasser des gazelles, se désespèrent : que deviendra leur fille si elle ne sait pas se procurer sa subsistance par elle-même ?

    La jeune fille a alors une idée géniale : écumer les réunions de suicidaires anonymes pour faire son marché de sang frais, tout en en laissant sa conscience en paix. Les choses se compliquent lorsqu'elle tombe d'accord avec un jeune homme ... dont elle tombe amoureuse.

    La réalisatrice Ariane Louis-Seize (quel nom !) nous donne une oeuvre délicate, très plaisante et superbement mise en scène, regorgeant d'idées amusantes et parfois, émouvantes. On s'amuse beaucoup en se demandant quelle issue pourra être trouvée à cette romance nocturne contre-nature, et on n'est pas surpris par la fin.

    Une excellente surprise, qui fournit le plaisir de retrouver une des interprètes du très bon Falcon Lake, la jeune Sara Montpetit.
    cinono1
    cinono1

    265 abonnés 1 994 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mars 2024
    Après l'excellent Renfield, un nouveau film de vampires avec ce ton ironique. Même les vampires ont des états d'âme, surtout lorsqu'ils sont adolescents (à 68 ans pour un vampire). Le film mélange donc film de genre et teen movie pour un résultat plaisant, amusant et même touchant, grâce à nos deux jeunes héros en proie avec les difficultés de l'existence. Le film est tourné intégralement de nuit, ce qui lui donne une identité particulière
    Ricco92
    Ricco92

    186 abonnés 2 097 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 avril 2024
    Twilight peut aller se rhabiller et ce grâce à une réalisatrice québécoise. En effet, Ariane Louis-Seize utilise également la thématique d’un vampire ne souhaitant pas tuer les êtres humains avec un talent que ne possédait pas la série tirée des romans de Stephenie Meyer. En effet, avec un budget inférieur à 4 millions de dollars canadiens, Vampire humaniste cherche suicidaire consentant est une belle petite surprise mélangeant humour, description des difficultés de l’adolescence et fantastique. Il ne faut pas chercher à être effrayé ou à rire aux éclats en allant voir ce premier long-métrage mais à regarder une œuvre décalée à l’ambiance légère malgré des thématiques sombres. Portée par les interprétations volontairement dépressives de Sara Montpetit et Félix-Antoine Bénard, cette histoire vampirique semble être beaucoup plus courte que sa durée réelle (ce qui prouve toujours une forte implication du spectateur) et donne réellement envie de suivre la future carrière de sa réalisatrice. Une belle surprise !
    À Crocs D’Écrans
    À Crocs D’Écrans

    167 abonnés 991 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mai 2024
    Premier long métrage d'une jeune réalisatrice québécoise, Arianna Louis-Seize, Vampire humaniste cherche suicidaire consentant (VHCSC) est une comédie romantique noire, mélange des genres, comme une façon de se moquer de Twilight et de ses dérivés pour adolescents en manque de fantasme. Tout ici est très posé, basé sur des dialogues sarcastiques, sur une rébellion passive, les réflexions d'adolescents en pleine crise, cherchant à se définir et à définir ce qu'ils souhaitent faire de leurs vies. En découle un rythme un peu mou, principal défaut du film, mais les dialogues sont pertinents, tendres, drôles, décalés. Bref, une comédie agréable, pas des plus prenante, mais fraîchement attachante.
    Fabien D
    Fabien D

    170 abonnés 1 108 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2024
    Vampire humaniste cherche suicidaire consentant ne va pas révolutionner le cinéma tant ses références sont évidentes tout comme son esthétique. On pense à la famille Adams, à Tim Burton forcément mais aussi à toute une tradition du teen movie, on n'est d'ailleurs pas si loin de la sensibilité d'un John Hughes. Cependant l'originalité de ce premier film réside dans sa manière de lier la romance ado à la comédie macabre pour traiter en évitant la sensiblerie du thème du suicide adolescent. Le film est modeste, ne prétend rien révolutionner, peut paraître convenu d
    Guiciné
    Guiciné

    135 abonnés 1 217 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mars 2024
    Un scénario plaisant qui essaye de justifier le titre du film durant toute sa durée, seul certains dialogues sont intéressants et peuvent amener un sourire, sinon les scènes se traînent et ne décollent pas.
    Très sage et manquant d’entrain.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    113 abonnés 1 586 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 avril 2024
    Le premier long-métrage d’Ariane Louis-Seize charme par la seule qualité de son concept, explicité dans ce qui s’annonce comme l’un des meilleurs titres de l’année.
    Il suffit de quelques minutes au film pour nous mettre dans sa poche. Lors d'une soirée d’anniversaire pour ses 8 ans, la jeune Sasha se prend d'affection pour Rico le clown venu faire un spectacle chez elle en présence de toute la famille… Pour la famille Rico est du bétail. Traumatisée par l’événement, l'enfant ne fait que fuir un rite de passage. Sa compassion prend le pas sur sa soif de sang, au point où ses dents pointues refusent de sortir.
    Le concept est génial et très inventif. Dans un jonglage des genres et des styles parfaitement équilibrés, le fantastique se mêle à la comédie et au récit d’apprentissage. Au travers de cette pure dynamique, Sasha se voit couper les vivres par ses parents en pleine adolescence (c’est-à-dire 68 ans pour une vie vampire). La voilà contrainte de chasser, après avoir trop longtemps profité du confort de sa maison, à siroter des poches de sang comme autant de briques de jus d’orange (trouvaille visuelle brillante parmi tant d’autres). Habitant chez sa cousine ainée, chasseuse émérite de gros beaufs, qui doit la former à la chasse ; le décalage entre elles deux permet d’exploiter différentes situations comiques.

    Dans un premier temps, cette déconstruction du mythe suffit à emporter l’adhésion. Avec son numérique granuleux et envoûtant, dont les teintes diffuses accentuent le contraste des couleurs, la photographie convoque l’expressionnisme allemand, alors que le surnaturel vient frapper un quotidien des plus banals. Le père est aimant mais un peu à la ramasse, et la mère est au bout du rouleau. Et hop !!! un petit message pour la charge mentale féminine au passage ; elle se plaint souvent de devoir remplir le frigo. À partir de là, chaque dialogue s’amuse de parallèles hilarants, en détournant la toute-puissance inquiétante du vampire en symptômes des troubles adolescents (à commencer par la sexualité, mais aussi un rapport au morbide très contemporain).
    Le décalage est amusant, mais n’aurait jamais pu se suffire à lui-même sur un long-métrage. Or, Ariane Louis-Seize et sa co-scénariste Christine Doyon ne cessent de renouveler les enjeux de leur récit, ne serait-ce qu’avec l’introduction de Paul, un adolescent aux comportements dépressifs chroniques qui accepte de “s’offrir” à Sasha. Le second degré du film ne le prive jamais de traiter sérieusement sa mythologie, et surtout le parcours émotionnel de ce couple de personnages improbables.
    Il est d’ailleurs primordial de souligner le génie de ses deux acteurs principaux. Si Félix-Antoine Bénard donne à Paul une fragilité et un sentiment de gêne qui transparaît de chaque pore de sa peau, Sara Montpetit porte toute la bizarrerie stoïque du film sur ses épaules. Découverte pour ma part dans un autre film Québécois (« Falcon Lake »), on est certainement appelé à la revoir. La caméra se focalise sur leur langage corporel, sur leur peine à s’ancrer dans leur monde respectif (elle dans la réalité de la vie d’un vampire, lui dans un milieu scolaire aliénant et violent).
    C’est bien ce désespoir, traité avec douceur et amertume, qui donne à l’ensemble sa saveur si particulière. Ariane Louis-Seize ne navigue pas entre les tonalités et les genres pour l’amour d’un patchwork indigeste et auto-satisfait, mais bien pour sa profonde tendresse envers ses deux personnages esseulés. Par la même occasion, sa comédie vampirique pose la question de sa nécessité et de sa modernité.
    Par de petites touches, la comédie noire émeut autant qu’elle fait rire, parce qu’elle transforme son portrait d’ados marginaux en symbole d’une jeunesse solitaire, hantée par un sentiment d’abandon, et qui rend au vampire toute sa force thématique en la modernisant.
    Le film d’Ariane Louis-Seize charme par la seule malice de son écriture pince-sans-rire. Mais « Vampire humaniste cherche suicidaire consentant » est aussi le portrait touchant de l’adolescence et ses troubles, joliment esquissée par sa symbolique fantastique, sa douce mélancolie et le brio de ses acteurs.
    Un beau film à voir avec nos ados ; presque 16 ans, mon fils, au terme des 90’ de la projection s’est exclamé « c’est déjà fini » ; il était triste de quitter Sasha et Paul… Donc programmation de « Falcon Lake » très bientôt avec lui… Faites en de même avec vos ados.
    Pour aller plus loin :
    - Sarah Montpetit en interview rappelle que tout le tournage s’est déroulé de nuit de 21h à 6h ; ce qui aussi donnait encore plus des accents vampires au film. Elle vivait au rythme de ceux-ci.
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