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    Les Trois jours du Condor
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    161 critiques spectateurs

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    Frédéric P
    Frédéric P

    14 abonnés 185 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2018
    43 ans après sa sortie ce film tient toujours la route et restitue le désenchantement d’une époque où de Pentagon papers en watergate on ne peut plus croire dans l’innocence des institutions américaines. Les révélations de WikiLeaks autour des interceptions de la NSA rendent ce film toujours d’actualité.
    Robert Redford en contractuel innocent de la CIA se retrouve traqué comme certains héros hitchcockiens avant lui. On pense à Thornhill/Kaplan dans la mort aux trousses qui demande à sa partenaire de l’héberger dans sa couchette.
    Redford partagera ici la couche de Faye Dunaway.
    Thriller haletant, le film possède plusieurs niveaux d’interprétation.
    cinephile74
    cinephile74

    15 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 octobre 2011
    Au sein de la courte (mais indispensable) liste des films post-Watergate, "Les trois jours du condor" est peut être celui qui fait le plus de concessions au grand spectacle (la romance entre Robert Redford et Faye Dunaway n'est pas très crédible et apparait plutôt comme une caution vis à vis des grands décideurs d'Hollywood). N'empêche, le film constitue un thriller EFFICACE ET INTELLIGENT, ce qui est fort appréciable.
    Ducerceau
    Ducerceau

    11 abonnés 565 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2022
    Un vrai film d'espionnage à l'américaine
    C'est-à-dire avec de l'action dans une histoire incompréhensible. Un tueur à gage avec une vraie tête d'assassin poursuit un rat de bibliothèque de la CIA qui se transforme peu à peu en un agent secret redoutable. Il sait tout faire : tirer au pistolet et manipuler un central téléphonique. Et accessoirement faire l'amour avec une femme qu'il prend en otage. Il est vrai que c'est Faye Donoway et qu'il a le charme de Robert Redford...
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 468 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 avril 2021
    En général je n'aime pas les films réalisés par Sydney Pollack et je n'ai jamais été un fan de Robert Redford non plus. Pourtant j'ai pensé que Les Trois jours du Condor devait être bon. Bien que la réalisation soit assez agréable à regarder et que Max von Sydow fasse un bon travail dans le rôle du sinistre tueur professionnel j'ai trouvé l'ensemble extrêmement décevant. Le film dégage indéniablement une atmosphère paranoïaque mais tout est gâché par une intrigue confuse qui ne semble avoir aucun sens. Il contient également l'une des fins les plus insatisfaisantes que j'ai jamais vu et qui laisse vraiment le spectateur en suspens. Et que dire de cette romance absurde entre Redford et Dunaway. Je préférerais regarder cinq fois de suite n'importe quel film d'Hitchcock plutôt que d'assister une fois de plus à ce gâchis...
    vince113
    vince113

    29 abonnés 208 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juin 2010
    Au-delà de la rigueur kafkaïenne de son scénario, au-delà de la tension permanente d'une mise en scène très tenue et au-delà du charme de l'interprétation, le film de Pollack est une merveilleuse métaphore du désenchantement de l'amérique qui se réveille avec la gueule de bois du Vietnam, du Watergate et de la Baie des cochons, à l'instar de son héros (idéal Redford) qui commence le film dans l'insouciance la plus totale et le termine miné par la paranoïa et le ressentiment. La force du film tient à la force de ce constat en temps réel (le scénar anticipe de façon surprenante les révélations sur les agissements de la CIA au Moyen Orient) et à la solidité de la mécanique qu'il met en place : l'avancée de l'histoire est à la fois implacable et parfaitement illisible. On peut seulement regretter la séquence d'amour, très artificielle, seul bémol au coeur de ce bel édifice.
    Cinemartrem18
    Cinemartrem18

    20 abonnés 131 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 février 2011
    Intelligent et subtil thriller. Le suspens demeure jusqu'à la dernière scène... Et au-delà. À noter la remarquable prestation de Robert Redford.
    Backpacker
    Backpacker

    55 abonnés 780 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Sydney Pollack a réussi l'un de ses meilleurs films. Suspense haletant du début à la fin, dialogues qui font mouche, intrigue redoutable et atmosphère 70's fort réjouissante. Un vrai plaisir de cinéma...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 septembre 2008
    bon film d'espionnage, bon suspense,
    mais il manque quelque chose
    overlook2
    overlook2

    20 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 septembre 2016
    Il y a en Pollack un sceptique qui réfrène sans cesse les élans ou les engouements du romantique. Ce moraliste ne saurait adhérer qu’à une morale de l’ambiguïté, dût-il parfois se résoudre à suspendre tout jugement : « Toujours les gens agissent dans le bon sens pour de mauvaises raisons et dans le mauvais sens pour de bonnes raisons ». De toute évidence, il préfère les individus aux idées, les sentiments aux idéologies, les nuances du gris au contraste du noir et blanc. On reconnaît là une des vertus de cet humanisme indéfectible qui produisit les œuvres les plus généreuses des années cinquante. Comme Hubbelle, dans le film, il n’est sans doute pas loin de penser que la politique est « une jeu sordide et dangereux », qu’elle est, au même titre que la guerre ou l’espionnage, l’affaire des professionnels. Surtout, elle implique qu’on fasse taire en soi le démon du doute – ce à quoi ne saurait justement se résigner l’humaniste. Aussi, lorsqu’il s’en prend à la CIA, porte-t-il spontanément l’accent sur son aspect occulte, tentaculaire, irrationnel. S’il nous montre comment ces bureaucraties totalitaires broient les individus, il ne se sent pas à même d’en démonter les rouages. On ne leur résiste pas, on peut tout au plus s’en détourner avec dégoût. L’ambivalence au cœur de l’œuvre de Pollack pourrait être la suivante : l’action ne peut être la sœur du rêve, mais le rêve ne peut tenir lieu de praxis. Tôt ou tard, les déserteurs se voient sommés de prendre position : Jeremiah Johnson choisit, en se pliant à une éthique chrétienne qu’il avait reniée, de guider les soldats et missionnaires à travers le cimetière sacré des Crow ; le Hubbell de « Nos plus belles années » renonce à ses ambitions en rompant avec Katie et en se laissant reprendre par la médiocrité dorée de son milieu : il n’est pas de tour d’argent pour s’isoler du monde, il vient toujours un moment où il faudra rendre des comptes à ses contemporains : c’est sur ce constat que s’achèvent la plupart des films de Pollack. Comme si, aujourd’hui, le registre du récit romanesque ne pouvait qu’être celui du désenchantement. A la fin des « 3 jours du Condor », lorsque Turner s’en remet à la presse, dernière institution restée fidèle (pour plus très longtemps) à l’idéal démocratique, pour publier son rapport, il se bat avec la seule arme qui lui reste. Chacun témoigne à sa façon, semble nous dire Pollack, et en l’occurrence le cinéma a tenu son rôle puisque ce rapport, cette histoire, ont effectivement été divulgués après le film lui-même…
    Dans le film, il s’agit de confronter un « ingénu » aux machinations ténébreuses du pouvoir. De lui faire vivre au sens le plus littéral, la crise de confiance traversée par la nation. Innocent ou inconscient ? L’enjeu des « 3 jours du Condor » n’est, en effet, ni le pétrole du Moyen-Orient, ni même le sort des institutions américaines, mais l’aptitude du rêveur à faire face à une telle épreuve : on y voit un garçon candide, engagé malgré lui dans un conflit qui le dépasse, être peu à peu envahi par la peur et la méfiance. Mais grâce à cette candeur et à cet amateurisme, Turner va déjouer les plans des professionnels et sauver sa peau (pour un temps) : A notre époque, on programme la politique des nations, mais on ne programme pas encore les émotions et les sentiments. Les romantiques auraient-ils, malgré tout, un avenir ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 juillet 2009
    Robert Redford a vraiment la classe, Max von Sydow aussi et Faye Dunaway est très naturelle et élégante. Le scénario fait preuve d’un vrai souci d’authenticité et de réalisme, mais il devient très complexe un peu avant la fin, en ajoutant des personnages dont on ne connaît pas l’origine, ni la fonction dans l’histoire (est-ce qu’ils sont bons ou mauvais ?). Le film met en place un univers paranoïaque très communicatif dès le début. La scène de carnage du début est marquante et la fuite du Condor est très prenante. Très bonne réalisation de Sydney Pollack.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 août 2018
    un grand film d'espionnage avec des acteurs fabuleux, une mise en scène parfaite et une bande son géniale.
    Labouene
    Labouene

    19 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 mars 2011
    thriller entrainant et passionnant sur fond de crise pétroliere des années 70... réflexion sur les rouages d'un systéme pourri... et Robert...
    Mysterfool
    Mysterfool

    10 abonnés 242 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 mai 2020
    Se retrouver pour quelques scènes dans une des tours du World Trade Center en 1975 ça fait bizarre sachant ce que l'on sait. Ça a vieilli et ça manque de dynamisme.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 mars 2009
    Très bon film de Sidney Pollack. Robert Redford est parfait dans le rôle de l'homme traqué. Ce film est un des pionners dans le genre thriller politico-parano.L'ambiance seventies apporte un côté cool au film. New-York ( au mois de novembre ) est très bien filmé ( un peu comme dans Shaft ). Max Von Sydow est impressionnant dans son rôle de tueur cynique et distingué. Faye Dunnaway apporte une touche glamour et romantique au film.Quelques scènes remarquables: la fussillade du début ( avec un plan où un type s'écroule dans une baignoire avec rideau de douche, similaire à la mort de Vincent Vega ( Travolta ) dans "Pulp Fiction" de Quentin Tarantino ), la scène d'amour ( très esthétique et qui n'a rien à envier à celles de "Don't Look now" et "Out of Sight" ), les confrontations entre Redford et le chef de la Cia ( le gros à moustache ), le tueur déguisé en facteur ( qui semble sorti d'un film de De Palma), etc.
    Ce film n'a pas pris une ride. A voir!
    Mafoipourquoipas
    Mafoipourquoipas

    9 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 juin 2019
    2,5 étoiles - Les trois jours du condor

    L'intrigue est intéressante et il y a du suspense. Néanmoins, le scénario est confus, parfois peu crédible (entre autres, une jeune femme qui succombe bien vite à son agresseur ...). Bref, une construction narrative beaucoup trop rapide.
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