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Synopsis
Joseph Turner est un agent de la CIA chargé de réunir un maximum d'informations dans les livres d'espionnage afin d'en glaner des idées et de trouver les fuites quant aux pratiques de l'agence de renseignements. Sa vie va changer lorsqu'il retrouvera tous ses collègues assassinés pendant la pause-déjeuner. Turner, sous le pseudonyme de Condor va, dès lors, se lancer dans une course contre-la-montre dans le but de mettre au jour un réseau d'espions infiltré au cœur même de l'agence.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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1 252 abonnés
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2,5
Publiée le 30 mars 2015
Le propos était de nous expliquer que la CIA n'était pas si nette que ça, mais il est noyé sous la confusion. Un excellent départ, et puis Redford rencontre Dunaway, ce qui non seulement casse le rythme, mais on nous fait fonctionner le syndrome de Stockholm en mode turbo et les invraisemblances s'accumulent (Dunaway se baladant tranquillou dans les couloirs de la CIA et bluffante un gros méchant qui se fait enlever comme un bleu !). ...
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selenie
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3 620 abonnés
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5,0
Publiée le 22 février 2008
Le film d'espionnage par excellence. Tout y est, scénario et mise en scène méthodique,la critique des jeux de pouvoirs et un esprit disparus aujourd'hui. Le héros n'est pas un super héros au multiple talents cachés, c'est juste un homme normal parmi une guerre qui la dépasse. Un film précurseur, les suivants feront rien de plus. Grand très grand film !
gregbox51
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19 abonnés
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2,0
Publiée le 25 mars 2013
Bof bof bof, plein de trucs boiteux dans ce film d'espionnage : le coup de foudre Redford Dunaway, miss Dunaway se balandant dans les couloirs de la CIA comme dans un moulin et j'en passe. Et tout ce massacre pourquoi, des clopinettes. Vaut le coup d'oeil pour le super système GPS de l'époque (à rire) et les vieux ordis crépitants ....
hamasiblan
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2,5
Publiée le 29 mars 2010
un bon thriller, qui s'essoufle tout le long du film malheureusement. Bien filmé, Redford est niquel. Un classique, mais qui m'a un peu déçu.
Sydney Pollack a dirigé Robert Redford à sept reprises : dans Propriété interdite (1966), Jeremiah Johnson (1972), Nos plus belles années (1973), Les Trois jours du Condor (1975), Le Cavalier électrique (1979), Out of Africa - Souvenirs d'Afrique (1985) et Havana (1990).
Adapté d'un roman de James Grady
Les Trois jours du Condor est l'adaptation cinématographique du roman de James Grady Six days of the Condor. Les scénaristes David Rayfield et Lorenzo Semple Jr. remanièrent le script pour conférer à l'intrigue un aspect plus politique.
Un climat de paranoïa
Les Trois jours du Condor s'inscrit dans la même mouvance que le thriller A cause d'un assassinat, dont le scénariste est également Lorenzo Semple Jr., et la Palme d'Or Conversation secrète, où Gene Hackman interprète un spécialiste de la filature. Ces films reflètent le climat de paranoïa de l'époque, provoqué par le scandale du Watergate et la méfiance des citoyens américains envers leurs institutions.
Sydney Pollack nous explique dans "Les trois jours du Condor" que déjà pendant l'antiquité, les ancêtres d'Edward Snowden pratiquaient sans l'aide de PRISM et autres XKEYSCORE l'étude systématique d'une foultitude d'informations, dont la plupart inutiles, à la main comme les Romains, et que déjà à cette époque, vouloir cafter ses petits camarades était plutôt mal vu par la hiérarchie. Cette bonne vieille hiérarchie, conçue comme gardienne de la paix mais qui, comme dirait l'autre, au lieu de nous la garder ferait mieux de nous la foutre. Heureusement, Bobby Redford est autrement plus sexy qu'Ed Snowden jusque dans ses lunettes jeans et cardigan, sans parler qu'il est 'achement plus balaize dans ses stages de survie que ce vieux pleurnichard d'Eddie, douillettement planqué au fond de diverses ambassades. Malgré l'aspect vintage de ce film, S. Pollack aura encore une fois eu cette sorte de fulgurance divinatoire laissant présager quelque quarante ans plus tôt d'un avenir pas forcément si radieux que cela et que tout n'est qu'éternel recommencement. Ce qui force toute notre admiration...3,5/5
Docteur Jivago
Bien foutu, bien mis en scène, bien interprété, une réussite.
Laurent B.
D'accord avec Zapata30, quelle déception ! D'abord l'acteur principal est beaucoup trop blond, ensuite on a beau chercher, on ne voit jamais de condor, ce qui est regrettable quand on considère la beauté de l'animal. Si vous voulez voir un documentaire sur les prédateurs volatils, rabattez-vous plutôt sur Planet.
dydy-2306
Bon film d'espionnage !
Kofuku
Pour cette quatrième collaboration avec Sydney Pollack, produite par Dino de Laurentis, l'acteur américain Robert Redford incarne le Condor. Cet homme du renseignement illustre une fonction méconnue mais essentiel du métier, l'analyse et la recherche. Il passerait tout son temps dans les bouquins, s'il n'était pas poursuivi par des assassins qui se révèlent être des collègues de l'agence, gênés par son enquête en interne. Le toujours glaçant Max von Sydow joue l'eau et le feu avec Faye Dunaway, l'autre star du moment, toujours sublime. Le thriller est efficace et nous tient jusqu'au bout en alerte, même si le spectateur n'est pas certain à la sortie d'avoir dénoué tous les fils de l'intrigue. Les Trois jours du Condor, abrégé d'un roman qui en comptait six, doit beaucoup aussi au décor de New York, un monde impitoyable où l'ennemi surgit de partout.
Zapata30
Bon film d'espionnage bien dans la veine des années 70, réalisation soignée. On en n'attend pas moins du maître Polack. Déçu cependant de l'intrigue minimaliste. Depuis dans le genre La Recrue ou Spy Game lui sont à mes yeux supérieurs.